❝Je viens en pays, je hisse le drapeau blanc.❞

feat Cly & Kait ✖

Spoiler:

Je relisais le dernier message que je lui avais envoyé. Il remontait à une semaine maintenant... On était aussi fière l'un que l'autre et ça m'énervait au plus au point. Dans mon lit, prés de mon bébé.  Je la pris dans mes bras et l'allongea sur moi.

"Ecoute... Quand tu seras grande faut pas être comme maman... Pas être rancunière, pas jalouse... Enfin si un peu sa fait pas de mal mais pas comme maman.. Et surtout ne fait pas mal aux gens que tu aimes. Même si ils sont énervant et fière."

Tout ce qu'elle eu à me dire pour me répondre était un filet de crachat suivi d'un fou rire. Je l'adorais. Je me mise à rire et à jouer avec elle mais un bruit de minuteur me sortit de ce si bel instant. Je la prise avec moi et la posa sur sa chaise avant d'aller regarder ce qui était au feu. Je sortis du four deux génoises, je les laissais refroidir et me mise à chanter une cantine pour ma fille. Elle essayé de chanter mais sa ressemblait plus à des cri de poulet égorgé qu'à du chant ce qui avait le don de m'amuser, je la pris ensuite avec moi et je me mise à danser avec elle. Attention chez nous on baigne dans ça des la naissance. Je sortis ensuite la crème pâtissière coloré en rouge avec quelques morceaux de fraise, je la pris et commença à la mettre au sommet de la première génoise après avoir coupé le dessus. Je mis la seconde génoise coupé sur le bas. Et je mis par dessus un glaçage au chocolat au lait par dessus et sur les cotés. Je pris de la nougatine que je découpa en tout petit morceaux et plaça le tout sur les côtés. Et sur le dessus quelques petites boule de chantilly allégés et des décoration mignonne en dessous écrit "I'm so sorry to have do that.. (I was in my period)". Malheureusement au moment ou je comptais le prendre pour aller chez Clyde, je me rendis compte que personne n'était là. Je tenta d'appeler la nounou de Des' mais elle ne répondait pas, je fus obligé de la prendre avec moi, mais pas question de prendre la poussette pour une si petite distance, je pris son sac porte bébé le mis sur moi puis je la pris et la mise à l'intérieur. Pas la peine de la changé elle était aussi bien habillé que moi.Il ne faut pas croire, je suis pas tout les jour sexy généralement j'étais habillé de manière plutôt simple. Je pris le gâteau avec moi et soupira une dernière fois avant de sortir de la maison en fermant la porte à clé. JE me dirigea vers la porte du jeune homme et après une bonne dizaine de minutes à parler avec Chance pour savoir c'était une si bonne idée que ça de venir je finis par sonné à la porte légèrement angoissé.

❝Faute avoué, à moitié pardonné❞

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Clyde avait de la musique à fond dans son casque. Il était quatre heure et il préparait le goûter de Tara parce qu'elle allait bientôt de réveiller de sa sieste. La chanson de B.O.B , So hard to breath se jouait dans son MP3 : une de ses chansons préféré.

Ce n'était pas qu'il se sentait concerner par la chanson, c'était surtout une phrase qui lui inspirait sa propre vie : « C'est si dur de respiré. Et encore plus de dormir quand personne ne s'en préoccupe. ». Il savait ce que c'était que de ne compter pour personne, du moins d'avoir cette impression. Il n'en parlait pas souvent mais son cœur avait souffert , son cœur avait enduré tant d'abandons et de déceptions qu'il était devenu impassible à la douleur. Il était passé par le pire : quand la mère de Tara avait avoué qu'elle trompait son père avec un autre, quand son propre père avait levé la main sur lui l'esprit influencé par une femme qu'il venait de connaître. C'était son fardeau, c'était devenu son bouclier plus tard. Puis il avait appris à voir au delà de la douleur, voir au delà de son petit nombril. Il avait vu Tara, il avait vu qu'elle aussi avait besoin d'elle, il avait vu dans ses yeux le remède pour pensé ses plaît. Clyde s'était donc battu pour elle, se relevant de parmi les morts, faisant face à ses plus grandes peurs. C'était grâce à elle si il était encore en vie, grâce à elle qu'aujourd'hui toutes ses blessures appartenaient au passé et qu'il arrive à relativiser.
Une fois le biberon prêt il le laissa refroidir sur le plan de travail et sortit un gâteau au céréale pour plus tard quand elle l'aurait finit. Il l'entendit pleurer pile au moment ou il allait s'installer devant la télévision en attendant qu'elle se réveille. Il sourit et monta à l'étage pour la prendre. Il lui sourit elle s'était mise debout dans son lit et tendit les bras vers lui dés qu'elle l'aperçu. « Oui princesse je suis la » ; il la prit contre lui et elle posa sa tête prêt de son épaule. Clyde descendit prudemment les escaliers, quand elle aperçu le biberon elle eu envie de l'attraper mais Clyde savait qu'il était encore trop chaud alors il la berça en sautillant doucement pour la faire rire. Le jeune homme comptait se rendre vers son parc à jouet mais on  toqua à la porte au même moment. Il se demandait qui ça pouvait être. Il garda Tara dans ses bras et alla ouvrir. La, il tomba nez-à-nez avec Kaitlyn. C'était la dernière personne sur laquelle  il pensait tomber donc il eu un petit rire étonné.
Clyde n'avait pas parler à Kait depuis une semaine maintenant. Après le message qu'elle lui avait envoyer il n'avait pas répondu, même après avoir dé-saouler. Il estimait que Kaitlyn n'avait pas besoin de quelqu'un pour la surveiller, elle n'avait en aucun cas à se justifier sur la ou elle allait. Clyde avait un peu dépasser les limites en dansant comme il l'avait fait avec Kait l'autre soir, il ne regrettait pas parce que ça lui avait plut, mais il avait déjà agit plus intelligemment que ça.
Mais le plus surprenant dans cette histoire c'était que Kaitlyn n'était pas venu seule : elle avait un bébé contre elle . Tara se tourna vers Kaitlyn et montra la petite du doigt avant même que Clyde n'ait dit un mot . « Bébé ! » ; dit elle en riant. Clyde sourit : « Oui c'est bébé … Un grand bébé et un petit bébé. » ; Clyde sourit à Tara et fixa son regard sur Kaitlyn, puis sur le gâteaux, il sourit en lisant ce qui était dessus et se poussa de l'entré. « Rentre, je t'en pris » . Elle était venu en paix, hissé le drapeau blanc Clyde ne pouvait pas la laissé dehors. La laissé entré c'était signe qu'il acceptait de régler le conflit. Il se dirigea vers le salon, puis alla dans la cuisine pour prendre des verres et du jus de pommes et posa le tout sur la table. Il alla prendre le biberon de Tara et vint s’installer à table tara sur ses genoux. « Il a l'air bon » ; il désigna le gâteau de la tête et Tara saisit son biberon furtivement. Elle ose tourna vers son père et pointa du doigt le gâteau. « Oui princesse t'en aura » ; il lui sourit et lui donna un bisou sur le front. Il ne savait pas trop quoi dire, il ne savait pas si il avait des choses à dire. Après tout c'était elle qui était venu, c'était à elle de parler.

❝Je viens en pays, je hisse le drapeau blanc.❞

feat Cly & Kait ✖
Après un petit moment la porte s'ouvrit, je restais un peu tétanisé, mais la petite qu'il tenait dans ses bras réussis à me faire sortir de cet état statique. Je souris.

".. Salut." Je lui dis cela pas trop sûr. "Coucou toi . Oooh t'es mignonne comme tout."

Là par contre mon côté maman était ressorti d'un seul coup, vous savez ce côté tout moelleux et mielleux qu'ont les mamans quand elle voit un autre enfant. Voilà c'est ça. Elle désigna Chance du doigt en l'appelant bébé je ris avec l'adorable petite fille qui me faisait face. Et la réponse de son père m'amusa encore plus. Mais quelque part j'aurais voulu dire qu'il n'y avait pas seulement deux bébés présent actuellement. Mais ça, c'est une autre histoire. Il m'invita ensuite à rentrer, ce que je fis assez rapidement. Chance, regardait Clyde et sa fille avec la bouche grande ouverte et ne les lâchait pas du regard, elle était comme ça à chaque fois qu'elle rencontrait des gens qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Je souris simplement. Je déposais le gâteau sur la table. Je ne savais pas pourquoi mais j'avais l'impression que la maison n'avait rien à voir quand on la voyait de nuit et quand on la voyait de jour. Je détachais le kangourou et le posa à côté de moi, je gardais Chance sur moi elle lâcha des petits cris de plaisir de pouvoir à nouveau sautiller sur les genoux de sa maman. En attendant que Clyde revienne je regardais la mignonne enfant devant moi.

"Elle est vraiment mignonne ta fille. Elle a tes yeux je crois."

Je lui caressais doucement la joue rapidement, on ne sait jamais si elle n'aimait pas les gens extérieurs à son entourage. Lorsqu'il revint, il avait des verres et une boisson avec lui. Il me dit que mon gâteau paraissait bon.

"Bin j'espère qu'il l'est aussi dans ce cas. J'ai mis des fraises à l'intérieur... J'espère que ça ne vous dérange pas."

Je regardais surtout la petite en disant ça. À force de vivre avec une enfant à la santé fragile & très sensible comme chance, j'avais toujours peur que les enfants en général aient des allergies ou des problèmes. En tout cas elle avait l'air d'en vouloir un bout et c'était un très grand compliment pour moi. Les enfants étant les critiques les plus sévères que je connaisse, c'est clair que si elle en voulait un bout c'est que déjà l'apparence était pas mal. Ils étaient tellement mignons tous les deux, j'avais bien raison c'est un vrai papa poule. Je pris mon souffle et je regardais à nouveau Clyde. Je ne voulais pas tourner autour du pot trop longtemps. Mais les mots avaient du mal à sortir.. Quelle gamine j'étais, c'est grave. Je regardais Chance pour me donner du courage, après tout il fallait que je lui montre l'exemple. Je ne voulais pas qu'elle devienne aussi têtue et fière que moi. Et je ne pense pas que ce soit une solution de faire ça avec un ami que je venais tout juste de retrouver. Tu retrouves les gens et ensuite tu fais tout pour les perdre. Je soupirais doucement. Profitant de ce dernier instant pour prendre mon courage.

"Il... Il m'a fallu du temps avant de me rendre compte que ce que j'avais dit aurait pu être interprété différemment de ce que je voulais dire. Je.. Je suis désolé d'avoir pu te blesser de quelque manière que ce soit. Je dis souvent des choses qui.. 'Fin qui à cause du contexte sont mal interprétés. Je suis maladroite dans mes phrases. Je suis une gourde certes, mais je sais me remettre en cause et avouer lorsque je suis fautive ou pas... Et actuellement c'est le cas. Voilà, je pense qu'il est un peu tard, mais mieux vaut ça que de rien dire du tout... Désolé."

Voilà, les mots étaient sortis je me sentais... ridicule. Bizarrement ridicule. C'est vrai c'était ma faute. Mais je ne pensais pas sur le coup que le fait de faire une blague aurait pu avoir autant de conséquence. Ce n'est qu'en rentrant chez moi qu'en ayant décuvé, dormi et reposé que je compris que j'avais directement touché sa fierté en disant ça. Pourtant pour quelqu'un de fière comme moi, j'aurais dû sentir que ce que je venais de dire était de trop.. Mais non. Je n'ai fait que m'enfoncer. L'alcool & moi toujours un si mauvais mélange apparemment. Pourtant j'aime trop ça. Quoi que.. Même après avoir réalisé j'ai quand même attendu par fierté. En croyant que cela allé s'arranger tout seul. Je suis bête, c'est comme si j'avais face à moi un autre moi et que malgré tout je ne savais pas comment agir avec. Je ne savais plus trop ou me placer... Je me demandais si je devais m'en aller maintenant ou si je devais rester statique. D'un coup Chance saisit un objet et se mis à l'agiter dans tous les sens, en riant à gorge déployé. Ce qui eût pour effet de me faire sourire.