|
| Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 22:05 | |
| « Call it magic when I'm with you, And I don't want anybody else but you. » FICHE D'IDENTITE
✿ NOM : Wilkerson, elle a pris le nom de son époux. ✿ PRÉNOMS : Beth Adalind ✿ SURNOMS : Dépendent des gens (surnoms personnalisés, quoi) ✿ AGE : 29 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : 14 janvier 1985 ✿ NATIONALITÉ : Américaine ✿ SEXUALITÉ : Hétérosexuelle ✿ SITUATION AMOUREUSE : Mariée et heureuse en mariage ✿ EMPLOI/ETUDES : Avocate de formation, elle a obtenu le concours du barreau, mais s'est arrêtée là. Elle a ensuite monté sa propre association pour permettre l'éducation d'un maximum d'enfants au Guatemala. ✿ NOM DU QUARTIER : President Drive ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Son mari lui apporte tout le bonheur dont elle a besoin, pas besoin de plus. ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : 14, c'est pair, c'est beau.
| LE CARACTÈRE
Malgré son éducation un peu houleuse, Beth a développé un caractère bien trempé. Elle a appris à se faire respecter au fil du temps, et tant qu'à faire, pour ce qu'elle est réellement. L'estime que l'on pouvait lui porter parce qu'elle était cheerleader n'est pas de celle qui compte le plus à ses yeux, par exemple. Elle aime avoir raison, et a un peu trop tendance à vouloir imposer ses idées. Lorsqu'elle est convaincue de quelque chose, elle n'en démord pas. Une qualité pour un avocat, après tout. Elle a la répartie qui va avec, d'ailleurs. Elle a été élevée pour être la meilleure et a une organisation des plus carrées, mais ne faites pas autant d'elle quelqu'un de coincé. Elle sait ouvrir sa gueule quand il faut, et, d'ailleurs, a le langage vulgaire très facile. D'un naturel spontané et vif, elle sait pourtant garder une image plus sobre qu'il s'agit de son association, qui est le projet pour lequel elle se bat depuis des années. Elle a conscience de la chance qu'elle a eue dans sa vie et ses études, et, après avoir visité quelques villages au Guatemala, a décidé, de partager sa bonne étoile avec ceux qui n'avaient pas encore trouvé la leur. Généreuse, donc, mais n'allez pas croire qu'elle vous donnera sa dernière pièce Gucci parce qu'elle vous aime bien. Elle se plait à croire qu'elle se bat pour les vraies causes, mais elle ne se voile pas la face et sait qu'elle ne se prive pas de dépenser pour du superficiel. Pour faire bonne impression lorsqu'il s'agit de promouvoir son association, se dit-elle pour se rassurer. Mais la vérité c'est qu'elle comble sans doute un manque, celui laissé par son mari, qui travaille d’arrache-pied pour leur offrir le luxe de cette vie qu'ils partagent. Incroyablement romantique, Beth sait déjà que c'est avec cet homme-là qu'elle finira sa vie, et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle a accepté de l'épouser si peu de temps après le début de leur relation. Heureuse en mariage, donc, et heureuse sur tous les autres aspects de sa vie. Beth respire la joie de vivre, d'ailleurs. Toujours vive et souriante, elle est très sociable et considère aujourd'hui qu'elle a tout ce dont elle pouvait rêver.
|
NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR. « Ne mets pas les coudes sur la table », me disait-elle sévèrement. Je ne devais pas avoir plus de six ans, mais ces images restent gravées indélébilement. Ma mère était rigide, beaucoup trop. Mon père était son parfait opposé, mais je ne le voyais pas souvent. Il avait un super boulot, pensais-je à l’époque. Il devait être super-héros jour et nuit, pour être aussi peu présent. Quelques années plus tard, j’ai simplement compris qu’il aimait gagner de l’argent le jour et se taper des inconnues le soir. Mais ce n’est pas le genre de choses que l’on dit à ses enfants. On préfère leur laisser croire qu’être adulte, c’est beau, malgré les responsabilités. Ma mère, malgré tout, ne donnait pas du tout cette image-là de sa vie. Elle avait l’air de souffrir à chaque instant, et maintenant que j’ai le recul nécessaire, j’ai compris pourquoi. Elle savait tout des infidélités de mon père mais n’a jamais eu le courage d’y faire face. Elle ne travaillait pas. Le seul travail qu’elle avait, c’était de m’élever, et c’était l’enfer. Littéralement. « Qu’est-ce que je vais faire de toi ? » avait-elle conclu cette soirée-là en quittant la table, levant les yeux au ciel, horripilée par l’incapacité de mes coudes à rester éloignés du bord de la table. Elle était allée ranger la cuisine, nous laissant, moi et mes coudes, persuadés de n’être capables de rien. Et c’est là toute l’optique dans laquelle elle m’a élevée. A forces de remarques et de leçons destinées à faire de moi une jeune fille irréprochable, je suis devenue de celles qui ne sont jamais considérées comme suffisamment bien pour quiconque ou quoi ce soit. Toutes les personnes qui m’approchaient le faisaient avec un but derrière la tête, parce que je n’étais pas suffisamment convenable pour avoir de vrais amis. Lorsque je renversais un peu d’eau en me servant, j’entrainais une guerre interminable entre ses nerfs et mes larmes, et j’en suis devenue incapable de me faire confiance pour quoi que ce soit. Le son de sa voix stridente me faisait peur, même lorsqu’elle n’était pas là. Et lorsque pour une raison ou une autre, je la suspectais de débarquer, mon cœur s’emballait, angoissé par ce qui pourrait se passer, par les remarques qu’elle pourrait me faire ou la façon qu’elle aurait de me dévaloriser, une fois de plus. Pourtant, ses intentions étaient tout l’opposé de ça. Elle voulait faire de moi quelqu’un de convenable, je le savais. Elle voulait que je reçoive la meilleure éducation possible, que je poursuive des études exemplaires et que je fonde une famille parfaite, comme celle qu’elle n’avait pas su avoir. Seulement, ça a eu l’effet inverse. A quinze ans, j’étais angoissée comme aucune autre gamine n’aurait dû l’être. « Je t’ai transmis mes inquiétudes » se contentait de relever ma mère, convaincue que c’était le fruit d’une force divine et qu’elle n’y était pour rien. A seize ans, je me battais au lycée pour retrouver une bribe de confiance. Lorsque je suis entrée dans l’équipe de cheerleader, ma mère a haussé un sourcil dubitatif. « C’est pas ce qui t’amènera à la fac, Beth » avait-elle dit d’un ton presque méprisant. « Faut travailler. Si t’entres dans la fac idéale et que tu travailles, tu feras le travail que tu veux. Avocate, ou médecin. » Avocate ou médecin. C’était comme s’il n’y avait que ces deux métiers parmi tous les choix qu’elle semblait m’offrir. Le métier que je voulais ? Je n’en avais aucune idée. Je me laissais porter par le vent, et c’était très bien comme ça. Je me battais au lycée, autant pour ma place de cheerleader que pour celle de première de la classe. Un mélange qui sortait des rangs et faisait de moi une bête de foire, mais pourtant, une bête de foire à peu près bien accueillie dans sa classe et son lycée. Au lycée, je vivais. J’étais libre. Je savais que je devais travailler, et je le faisais, tout simplement parce que je ne savais pas faire autrement. J’étais habituée à travailler et à donner le meilleur de moi-même dans tout ce que j’entreprenais. Mais il ne faut pas oublier qu’à cet âge-là, c’est l’âge où les jeunes filles découvrent le sexe opposé sous un autre angle. C’est l’âge où les amis deviennent une seconde famille et, dans mon cas, la famille qui m’avait tant manquée. « Ignore ce qu’elle te dit », me disaient-elles, on ne peut plus sérieusement, alors que je leur enviais leurs mères souriantes et détendues. Mais elles ne comprenaient pas, au final. Elles me disaient que ma mère était cool, un peu rigide, mais cool. Elles ne la vivaient pas au quotidien. Et même si je ne doute plus vraiment de ses bonnes intentions, je peux encore lui reprocher de tout avoir fait de travers. Si je n’avais pas rencontré les bonnes personnes au bon moment, je serais sans doute recroquevillée sur moi-même, à espérer un miracle. A espérer valoir quelque chose, finalement, à espérer que quelqu’un veuille de moi pour ce que je suis et pas pour ce que je pourrais être si on m’y forçait. Alors oui, maintenant, je ne mets plus mes coudes sur la table. Quand je me sers de l’eau, je le fais précautionneusement, comme si la moindre goutte qui tomberait à côté du verre aurait l’impact d’une bombe nucléaire. Je me tiens droite, je ne fuis pas les regards des gens et mes ongles sont toujours parfaitement limés. Ce sont ces choses-là qui me restent d’elle et de son éducation, ces réflexes sans lesquels l’apocalypse se mettrait en marche. Je sais qu’ils sont ridicules et exagérés, mais ils sont mes habitudes, et je ne m’en défais pas. Je me suis construite autour de tout ça, au lieu de détruire ce qui avait été fait. Et malgré l’impression que ça peut donner de moi, je me plais à penser que je m’en suis plutôt bien sortie. J’ai certes des frissons lorsque je renverse de l’eau à côté de mon verre en me servant, mais j’ai appris à faire avec, car se défaire de tout ça aurait été encore plus difficile à entreprendre, voire impossible. Je me suis construite autour de tout ça, finalement. Pourtant, cette idée de la perfection ne me quitte jamais. Être irréprochable dans tout ce que je fais, du moindre muffin aux galas de charité que j’organise. Tout se doit d’être parfait, parce que tout est binaire : il y a la perfection et… ce qui ne l’est pas. C’est ce que j’ai appris : n’accepte que le meilleur de toi-même, et des autres.
Des fois, je me dis que c'est davantage grâce à ce qu'elle m'a inculqué que grâce à mon propre travail que j'ai accompli ce que j'ai accompli. Lorsque rien n'est jamais assez pour vous ou les personnes qui comptent le plus à vos yeux, il y a plusieurs façons de réagir : abandonner, ou vous surpasser. Moi, j'ai décidé de me surpasser. Parce que c'est ce que ma mère m'a appris. Finir ma terminale en tant que capitaine des cheerleaders et prom queen, ce n'était qu'un début. Avec les notes que j'avais, toutes les universités -ou presque- m'ouvraient leurs portes. Je ne suis pas partie loin, pourtant.
Il avait des yeux bleus clairs, lumineux et joyeux. C'est ce que j'ai vu en premier chez lui. Cet aura qu'il dégageait naturellement, ce sourire qu'il arborait sans fin, ça, c'est ce que j'ai remarqué ensuite. Il était l'image parfaite de l'homme qu'une femme -ou un autre homme, d'ailleurs- rêverait de mettre dans son lit. Et lorsqu'on a parlé pour la première fois, lorsqu'on a partagé une grande conversation, comme si elle n'était jamais destinée à se finir, j'ai compris qu'il était encore plus que ça. Daniel Wilkerson était l'homme que quiconque rêverait d'épouser. Il était intelligent, entrait en première année d'école de droit, et la façon qu'il avait de me regarder de ce regard perçant faisait bouillir en moi comme une certitude. Il était le premier homme qui me faisait cet effet, et il serait le dernier. Quelque chose était né lorsqu'il m'avait donné son numéro, l'air de rien, pour m'aider à travailler mes cours et à mettre toutes mes chances de mon côté pour que, moi aussi, quatre ans plus tard, je puisse entamer des études de droit. Je deviendrais avocate. C'était son rêve aussi, m'avait-il confié la deuxième fois qu'on s'était vus, autour d'une tasse de café -enfin, de deux, on était pas radins à ce point-là, quand même. Mais plus le temps passait, plus s'était installée une amitié presque attendrissante. Il devenait mon confident, mon meilleur ami, et pourtant, je voulais toujours plus. Je voulais ce que j'avais espéré depuis le premier jour. Je voulais plus, toujours plus.
« Salut, moi c'est Josh. Joshua. » Paralysée avec un gobelet de bière à peine entamé à la main, je prêtais à peine attention au jeune homme qui se tenait à mes côtés, au milieu de la foule alcoolisée qui peuplait cette soirée. En face de nous, un mec était en train de vomir ses tripes. Sur le beau tapis d'une maison de fraternité. Il était pâle comme un vampire albinos, et le voir vomir me donnait une irrépressible envie d'en faire de même. « Beth. Et je crois qu'il va mourir. » Dégoûtée, je m'étais approchée de lui, juste pour vérifier qu'il respirait encore. Il était à deux doigts de s'étouffer dans son vomis, et ce n'était pas une scène que j'étais prête à vivre. Je m'étais accroupie à côté de lui alors qu'il était à présent immobile, et face à son regard idiot, mes nerfs avaient été les seuls à parler lorsque je lui avais mis une claque monumentale. C'était ma première fête en tant que Kappa Alpha Theta, et le geste que je venais de faire aller rester me suivre durant toutes mes études. A côté, deux de mes nouvelles sœurs s'esclaffaient, et elles n'allaient pas tarder à raconter que j'avais claqué le doyen des Sigma Phi Epsilon. « Ça fait au moins deux ans que tout le monde rêve de faire ça », s'expliqua l'une d'elle un peu plus tard. « Il fait exprès de louper ses exams pour ne pas quitter la fac, les Sigma commencent à en avoir marre de son comportement. » Et voilà comment, après une rush week des plus éprouvantes et une offre des Kappa Alpha Theta, je venais de sauter d'office ma période d'essai. J'étais désormais l'une d'elle. Et ce soir-là, j'ai fêté ça avec Josh, avec un peu d'alcool et de longues conversations.
« Allo, Beth ? Ça te dit, un dîner ? » avait balancé Daniel, l'air de rien. « T'as une bonne nouvelle à m'annoncer, c'est ça ? Non, non, dis pas. Si c'est une mauvaise nouvelle, fast food. Si c'est une bonne nouvelle, tu me paies la totale au Old World. Alors, on se retrouve où ? » Ma question fut suivie d'un silence pendant lequel je fis tourner mon crayon autour de mes doigts, nerveuse. « En gros je te dis maintenant, quoi... » Ouais, il avait tout compris. « Je passe te prendre à huit heures, comme ça ça laisse le suspense. A ce soir ! » Mais... « Mais je porte quoi ? Je sors les talons ou je... » bip bip bip... Et fort heureusement, j'avais sorti les talons et le reste de la tenue qui allait avec. Car il était venu me chercher dans une grosse berline, et je savais déjà quelle nouvelle ça présageait. J'avais 23 ans, il en avait 27, nous étions amis depuis cinq ans. Il venait de finir ses études et de... réussir le concours du barreau. Voilà ce qu'il m'annonça au Old World, autour des plats les plus onéreux possibles. Je le félicitais, encore et encore, pour son succès, et il ne cessait de me dire que ce serait bientôt mon tour. Tout ça, je l'avais prédit. Je savais qu'il finirait ses études avec brio et passerait le concours sans aucun soucis. Son travail et sa rigueur feraient de lui le meilleur avocat de Californie, au moins. Par contre, ce que je n'avais pas été capable de prédire, c'était ce baiser qu'il m'arracha à la sortie du restaurant, quand on marchait pour rejoindre sa voiture. Je n'avais pas imaginé non plus qu'on passerait la nuit ensemble, et que cette amitié de cinq ans, que j'avais appris à accepter, se transformerait en réelle histoire.
Six mois plus tard, on vivait ensemble, et un an plus tard, on était fiancés. Mes études se passaient parfaitement bien, et je me sentais parfaitement à l'aise dans ma vie de jeune femme. J'étais épanouie. Ma mère, elle, ne voyait pas mes fiançailles d'un bon œil. « T'es trop jeune et votre relation aussi, ça durera pas » disait-elle, convaincue par ses propos. Ce discours, elle le répétait en boucle, sans doute persuadée qu'elle pourrait me faire quitter l'amour de ma vie, mais il n'en était rien. Elle avait tort, voilà tout. Et je comptais bien lui prouver. « On se marie l'été prochain, viens ou ne viens pas, c'est comme tu veux. Je m'en remettrais si tu décidais de boycotter le mariage de ta fille unique » avais-je finalement lâché, impartiale, avant de tourner les talons et retourner aider mon cousin à monter le sapin de Noël. Je n'avais plus la force ni le courage de me battre avec elle Je voulais juste vivre ma vie pleinement, et ma vie, oh, elle se présentait parfaitement bien. A vingt cinq ans, j'épousais donc Daniel Wilkerson et abandonnais mon nom de jeune fille pour le sien. J'étais à présent sienne, complétement.
On était tous les deux assis dans notre lit conjugal. Il faisait sombre, dehors, en cette nuit hivernale, mais la chaleur de notre foyer me réconfortait toujours. Ce soir, cependant, j'avais quelque chose à lui dire. A lui demander, plutôt. C'était important, et je le ressassais depuis des jours, des mois. Le moment n'avait jamais semblé opportun. Lui passait ses journées à travailler sur ses affaires, et, lorsqu'il arrivait à rentrer le soir, passait ses soirées à en faire de même. Mes journées, je les passais à m'investir pour mon association ou d'autres encore. Je m'accrochais désespéramment à notre relation, en me rassurant par tous ces moments qu'on arrivait quand même à partager. Des petits déj' qu'il me ramenait au lit le dimanche matin aux longues heures que nous passions à débattre sur une affaire, chaque instant qu'on passait en tête à tête avait quelque chose de magique. J'étais éperdument amoureuse de mon mari. Et, ce soir-là, assise dans mon lit, je le regardais lire une dernière fois l'affaire à laquelle il serait confronté le lendemain. Je ne savais pas comment me lancer... Alors, je lui ai simplement pris le dossier des mains pour le poser sur ma table de nuit. Il me regardait, un sourcil arqué, se demandant sans doute si j'avais des envies charnelles à cet instant précis. Je le sentis poser une main sur ma cuisse, sous le drap, et l'arrêtai aussitôt. « Il faut qu'on parle ». J'introduisais la chose comme je pouvais, lui accordant mon sourire le plus rassurant. « Ça fait quatre ans qu'on est mariés, et y'a quelque chose qui me trotte dans la tête... » Se rapprochant de moi pour saisir ce qui se passait, il me regardait, dubitatif. « Tu veux un nouveau voyage de noces pour fêter ça ? Je sais que t'as toujours rêvé d'aller en Italie... » Avec un sourire en coin, je l'arrêtai. « Arrête de me gâter comme ça. Je t'aime toi, pas ton argent. Et je voudrais... » J'avais marqué une pause, angoissée par ce qui allait suivre. « T'as jamais pensé à avoir des enfants ? » Dans son regard, j'ai lu la panique. Puis son expression s'était transformée en quelque chose de complétement différent. « Alors je réserve notre voyage et on le fera là-bas... » dit-elle, se penchant vers moi en reprenant ses caresses sur ma cuisse. Il déposa un baiser sur ma joue, puis sur mes lèvres, et sa main quitta ma peau pour récupérer son dossier. On est en juin, tout ça s'est passé il y a cinq mois et je n'ai aucune nouvelle de ce voyage, si ce n'est de vagues « je fais des recherches pour nous trouver le meilleur hôtel, ma chérie » ou d'autres « je fais gaffe à la météo, même si on sera occupés à l'intérieur, on compte bien sortir. Faut étudier ça. » DERRIÈRE L’ÉCRAN
✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Lux Aeterna, tandis que mon prénom est Diane. Je suis âgé(e) de 23 ans et je vis actuellement du côté de Nancy/Lille. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Nolan (enfin, pas dessus, mais vous m'avez comprise), ma première impression en le voyant a été hihih. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de un max selon les circonstances/7 et que mon niveau rp est de pas trop mal mais peut mieux faire. Concernant mon personnage j'ai choisi Leighton Meester comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Love is enough comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Beth A. Wilkerson le Sam 7 Juin 2014 - 23:14, édité 10 fois |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 22:13 | |
| rebienvenue sushiqueen |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 22:14 | |
| Je sais pas pourquoi mais j'ai ressenti le besoin de te dire re-re-re-bienvenue sous Dustin J'approuve déjà ce personnage et j'approuve encore plus ton choix d'avatar Et je veux un lien avec l'un de mes persos! - Citation :
mon niveau rp est de pas trop mal mais peut mieux faire. Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu, non? |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 22:29 | |
| Merci les cocottes *-* Par contre Dustin j'aime pas trop la façon dont tu te ramènes par ici... Enfin, si, mais non. Enfin, c'est compliqué quoi. J'te câline mais j'te fous une baffe, you know what I mean ? =p Sinon du coup plutôt Emilia je suppose Dustinou ? *-* J'hésitais avec Meester mais je sais pas trop. Du coup jsuis en standby pro-Emilia pour l'instant xD
Dernière édition par Beth A. Wilkerson le Ven 6 Juin 2014 - 23:10, édité 1 fois |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 22:49 | |
| Vu que j'aime pas trop les baffes (surtout quand je suis blanche comme neige et que j'ai absolument rien fait [pour l'instant] ) je me ramène avec un compte neutre (comme ça tout mes comptes vont venir te saluer en plus, c'est la classe ) Puré, tu me poses un vrai dilemme là. Surtout que je me suis remise dans Gossip Girl pour un petit marathon de la série et Leighton c'est tellement ma préférée que… arghhhhh… c'est dur Mais je crois quand même que… je préfère Emilia pour le coup (mais sache que je viens de me déchirer le coeur à taper ça ). Elle est sublime |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 23:13 | |
| Ahaha merci pour la neutralité du compte, je retire ma baffe ! =p Mais on est bien d'accord, avec Dustin c'était de la provocation (namého) Meester je suis retombée amoureuse d'elle quand elle a fait la promo Naf Naf. Du coup j'avoue que c'est aussi un dilemme pour moi xD Pour le moment je garde Emilia, je vais voir d'autres avis pour avoir un panel statistiquement correct et puis je prendrai ma décision définitive. Bon, du coup pour la fiche je pense que je bouclerai ça ce weekend =D |
| | | Eden M. Jefferson GOOD COP
› MESSAGES : 370 › EMMENAGEMENT LE : 07/09/2013 › AGE : 39 › STATUT CIVIL : PÈRE CÉLIBATAIRE D'UNE PETITE FILLE ; CROIS AVOIR TOURNER LA PAGE SUR MARISSA, EN RELATION SECRETE AVEC JANE ET PEUT-ÊTRE AMOUREUX DE BETH. › QUARTIER : A PALM AVENUE, AVEC SA FILLE ; › PROFESSION/ETUDE : ANCIEN PSYCHIATRE, HOMME AU FOYER ; › HB AWARDS : (2013) MEILLEUR PERSONNAGE (LOVE IS ENOUGH) (2015) SEX SYMBOL JUNIOR (2016) COUPLE LE PLUS IMPROBABLE AVEC JANE › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : LE PLUS BEAU DE TOUT LES HOMMES SEXY : IAN SOMERHALDER ; › COPYRIGHT : ELOW ;
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 23:19 | |
| Je dois dire que j'ai une préférence pour Queen B. (Meester quoi) et je veux absolument un lien ça va de soi ! (en fait, Emilia je l'aime bien, mais j'ai un peu mal au yeux à force de la voir partout ceci-dit, ça passera ) Re-bienvenue |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Ven 6 Juin 2014 - 23:26 | |
| - Beth A. Wilkerson a écrit:
- Mais on est bien d'accord, avec Dustin c'était de la provocation (namého)
pardon Je ne recommencerai plus, c'est promis et pour Leighton, je te comprends bien, l'une ou l'autre de toute façon ce sera un bon choix! |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Sam 7 Juin 2014 - 10:26 | |
| J'aime les deux choix. Je ne te serais d'aucune aide ! Re-bienvenue Sushi Queen ! |
| | |
| | | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Sam 7 Juin 2014 - 16:08 | |
| |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Sam 7 Juin 2014 - 16:31 | |
| Vous êtes des amours 4545 Nono t'es trop choue ! Clodo ? Challenge accept-- bon, pas maintenant, peut-être un jour (a). Je veux du lien avec tout le monde *-* Et puis par contre... je crois que j'ai pris ma décision, je vais opter pour Meester je pense. Je suis allée sur tumblr, j'ai été convaincue en 2 min xD J'essaie de vite finir ma fiche *-* (ce weekend c'est sûr déjà!) |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Sam 7 Juin 2014 - 19:06 | |
| Rebienvenuuuuuuue J'aime beaucoup Leighton perso |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Sam 7 Juin 2014 - 19:48 | |
| |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Sam 7 Juin 2014 - 21:51 | |
| |
| | |
| | | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Dim 8 Juin 2014 - 14:30 | |
| je sais que c'est trop tard et que la majorité a déjà décidé, mais personnellement, j'imaginais plus Emilia en lisant la fiche mais peu importe, tu choisis ce qui t'inspire le mieux je te valide donc, et pas besoin du petit message classique |
| | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. Dim 8 Juin 2014 - 15:31 | |
| j'arrive trop tard aussi mais c'est vrai que j'ai une préférence pour Emilia aussi j'aime pas gossip girl ni blair ( me tapez pas ) mais j'aime bien Leighton bienvenue je vais de ce pas lire ta fifiche |
| | |
| | | |
| Sujet: Re: Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. | |
| |
| | | | Beth ~ Tell me a piece of your history that you're proud to call your own. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |