feat Cly & Kait ✖
Clyde avait de la musique à fond dans son casque. Il était quatre heure et il préparait le goûter de Tara parce qu'elle allait bientôt de réveiller de sa sieste. La chanson de
B.O.B , So hard to breath se jouait dans son MP3 : une de ses chansons préféré.
Ce n'était pas qu'il se sentait concerner par la chanson, c'était surtout une phrase qui lui inspirait sa propre vie :
« C'est si dur de respiré. Et encore plus de dormir quand personne ne s'en préoccupe. ». Il savait ce que c'était que de ne compter pour personne, du moins d'avoir cette impression. Il n'en parlait pas souvent mais son cœur avait souffert , son cœur avait enduré tant d'abandons et de déceptions qu'il était devenu impassible à la douleur. Il était passé par le pire : quand la mère de Tara avait avoué qu'elle trompait son père avec un autre, quand son propre père avait levé la main sur lui l'esprit influencé par une femme qu'il venait de connaître. C'était son fardeau, c'était devenu son bouclier plus tard. Puis il avait appris à voir au delà de la douleur, voir au delà de son petit nombril. Il avait vu Tara, il avait vu qu'elle aussi avait besoin d'elle, il avait vu dans ses yeux le remède pour pensé ses plaît. Clyde s'était donc battu pour elle, se relevant de parmi les morts, faisant face à ses plus grandes peurs. C'était grâce à elle si il était encore en vie, grâce à elle qu'aujourd'hui toutes ses blessures appartenaient au passé et qu'il arrive à relativiser.
Une fois le biberon prêt il le laissa refroidir sur le plan de travail et sortit un gâteau au céréale pour plus tard quand elle l'aurait finit. Il l'entendit pleurer pile au moment ou il allait s'installer devant la télévision en attendant qu'elle se réveille. Il sourit et monta à l'étage pour la prendre. Il lui sourit elle s'était mise debout dans son lit et tendit les bras vers lui dés qu'elle l'aperçu.
« Oui princesse je suis la » ; il la prit contre lui et elle posa sa tête prêt de son épaule. Clyde descendit prudemment les escaliers, quand elle aperçu le biberon elle eu envie de l'attraper mais Clyde savait qu'il était encore trop chaud alors il la berça en sautillant doucement pour la faire rire. Le jeune homme comptait se rendre vers son parc à jouet mais on toqua à la porte au même moment. Il se demandait qui ça pouvait être. Il garda Tara dans ses bras et alla ouvrir. La, il tomba nez-à-nez avec Kaitlyn. C'était la dernière personne sur laquelle il pensait tomber donc il eu un petit rire étonné.
Clyde n'avait pas parler à Kait depuis une semaine maintenant. Après le message qu'elle lui avait envoyer il n'avait pas répondu, même après avoir dé-saouler. Il estimait que Kaitlyn n'avait pas besoin de quelqu'un pour la surveiller, elle n'avait en aucun cas à se justifier sur la ou elle allait. Clyde avait un peu dépasser les limites en dansant comme il l'avait fait avec Kait l'autre soir, il ne regrettait pas parce que ça lui avait plut, mais il avait déjà agit plus intelligemment que ça.
Mais le plus surprenant dans cette histoire c'était que Kaitlyn n'était pas venu seule : elle avait un bébé contre elle . Tara se tourna vers Kaitlyn et montra la petite du doigt avant même que Clyde n'ait dit un mot .
« Bébé ! » ; dit elle en riant. Clyde sourit : « Oui c'est bébé … Un grand bébé et un petit bébé. » ; Clyde sourit à Tara et fixa son regard sur Kaitlyn, puis sur le gâteaux, il sourit en lisant ce qui était dessus et se poussa de l'entré.
« Rentre, je t'en pris » . Elle était venu en paix, hissé le drapeau blanc Clyde ne pouvait pas la laissé dehors. La laissé entré c'était signe qu'il acceptait de régler le conflit. Il se dirigea vers le salon, puis alla dans la cuisine pour prendre des verres et du jus de pommes et posa le tout sur la table. Il alla prendre le biberon de Tara et vint s’installer à table tara sur ses genoux.
« Il a l'air bon » ; il désigna le gâteau de la tête et Tara saisit son biberon furtivement. Elle ose tourna vers son père et pointa du doigt le gâteau.
« Oui princesse t'en aura » ; il lui sourit et lui donna un bisou sur le front. Il ne savait pas trop quoi dire, il ne savait pas si il avait des choses à dire. Après tout c'était elle qui était venu, c'était à elle de parler.