HUNTINGTON BEACH ™
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 wherever this goes, no matter how far...

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MessageSujet: wherever this goes, no matter how far...   wherever this goes, no matter how far... EmptyLun 2 Juin 2014 - 3:32

Baby, you are the song that’s written on my heart.
 Nolan Buckley & Mischa Miller
D'un geste précipité de la main, je remontai le col de mon manteau et enfonçai mon menton dans ma poitrine. Verrouillant l'habitacle de ma voiture que je venais de garer d'un coup de bip, je mis ensuite les mains tout au fond de mes poches pour finalement avancer dans la rue d'une démarche presque féline, cherchant à me fondre dans le paysage. Pourtant, l'ironie voulait que l'on ne voit que moi. Lunettes noires chaussées sur le nez et casquette enfoncée sur le crâne, je marchais le cou rentré dans les épaules d'un pas rapide, jetant des coups d'oeil furtif de tous les côtés. On n'avait pas vu attitude plus transparente - et suspecte - depuis celle d'un dealer lors d'une soirée transe (à savoir que ces derniers avaient toujours forcément la tête de l'emploi, et était bien souvent les plus drogués de l'assistance... une façon comme une autre de prouver que leur came était bonne). On aurait dit un serial killer en fuite, mais je ne cherchais à éviter personne. A vrai dire, je voulais surtout que l'on ne me reconnaisse pas. C'était pour ça, la dégaine de "célébrité voulant éviter les papparazzi". Et, non, si vous vous le demandiez, je ne me prenais pas pour une star... Pas aujourd'hui.

Aujourd'hui, je n'étais que Nolan Buckley, mais pas n'importe lequel : le Nolan sobre, clean, et heureux. On aurait pas dit, comme ça, mais pourtant, c'était bel et bien le cas. Regardant à droite et à gauche plusieurs fois avant de, finalement, traverser, je soupirai longuement en atteignant le trottoir devant la boutique tant espérée. J'étais si fébrile qu'à l'angle de la rue, un peu plus tôt, j'avais manqué m'emplafonner une femme et sa poussette... N'aurait plus manqué que je me fasse écraser à deux mètres de mon objectif ! Mais il ne fallait pas que je meure : pas maintenant. Pas si près du but... Je l'avais fait, j'étais devant. Souriant à pleine dent, alors que je fixais la devanture, je retirai ma monture pour observer plus attentivement les petits objets brillants qui s'étalaient sous mes yeux, m'approchant jusqu'à presque coller mon nez à la vitre. Mais une seule catégorie retenait vraiment mon attention... Les bagues. Elles étaient toutes magnifiques, et surtout hors de prix. Je me mordis la lèvre un instant. Au dessus de ma tête, on pouvait lire en grandes lettres dorées Midas Jewelry, la bijouterie la plus réputée de la ville... Aussi celle où, il y avait de ça bientôt six ans, j'avais acheté la bague de fiançailles de Mischa, ainsi que nos alliances, que nous avions choisies ensemble. Un sourire de nostalgie grimpa sur mon visage serein. Plongé dans la contemplation des anneaux, je laissai se superposer quelques instants les images de notre mariage, doux souvenirs parmi les plus beaux de mon existence. Ils paraissaient si loin aujourd'hui... Et à la fois si près. Prenant finalement mon courage à deux mains et, après avoir remis mon col correctement, je retirai ma casquette pour entrer résolument dans la boutique, le coeur battant.

J'en ressortis environ une heure plus tard, temps qui m'avait semblé durer le triple tant j'avais hésité longtemps. Mon précieux achat en poche, je me sentais paradoxalement plus léger... Et quelque part, c'était bien le cas, tout du moins financièrement parlant. Car cette fois, j'avais mis le paquet. Ayant mis pas mal d'argent de côté - même si une bonne partie de ma fortune était passée dans l'emprunt pour le loft et mes multiples sorties (avec les "annexes" qu'elles comportaient) - grâce à quelques gros projets sur lesquels j'avais travaillé au fil des ans, j'avais fini par acquérir un petit pactole. C'était ainsi que j'avais pu aujourd'hui me permettre d'envisager d'éblouir l'élue de mon coeur. Et là, vous êtes en train de vous dire (même si vous avez lu la description du sujet), mais qui est donc l'heureuse élue qui va voir sa main s'alourdir sous peu d'un bon pesant d'or et de diamant ? ...Mischa Miller, bien évidemment ! Qui d'autre aurait pu accepter de se marier avec un imbécile comme moi, hein ? On se le demande. Cependant, je n'avais encore dit à personne de mon entourage que nous étions de nouveau ensemble... Peut être parce que c'était tout récent. Ou que ça me semblait encore trop beau pour être vrai. D'où le mystère que je faisais autour de l'achat d'une simple bague. Enfin, simple... Soupesant la petite boite dans la poche de mon manteau, je laissais mes traits s’imprégner d'une expression de ravissement. J'avais hâte de découvrir son visage quand elle la verrait... C'est la réflexion que je me faisais alors que mes yeux accrochèrent une silhouette familière sur le trottoir d'en face. Des boucles en cascade, une démarche gracieuse, un visage parfait... DAMN IT ! J'aurais pu me pincer pour vérifier que je ne rêvais pas tant la coïncidence était malheureuse. Elle se tenait juste là, à quelque mètres ! Et elle marchait, sans se douter un seul instant de ma présence...  

Mon premier réflexe fut de vouloir remettre ma casquette, mais je constatais avec désarroi que je l'avais visiblement oubliée à l'intérieur. Mon deuxième réflexe fut ensuite de faire volte face. J'hésitai à re-rentrer dans la boutique, dont la porte se trouvait à cinq pas, mais je pouvais aussi simplement me retourner... Même si elle risquait de voir mon reflet dans la vitrine et de me reconnaître. Je réalisai que ce moment d'hésitation pouvait me coûter cher car plus je tardais à réagir, plus elle s'approchait. Je fis donc la chose la plus stupide qui soit, autrement dit, la seule chose qui me passa par la tête et qui donc, par définition, était forcément stupide : je me jetai par terre, comme dans les films. Vous savez, dans ces scènes où les méchants tirent sur le héros (mais ne le touche jamais) et qu'il a le temps de se jeter derrière une voiture ? C'était à peu près ça, mon idée. Sauf que le trottoir était plus large que prévu. Et que, donc, cela me conduisit simplement à... plus ou moins m'étaler comme une merde sur le bitume. Le seul point positif était que la voiture que je visais contribuait tout de même, selon mon calcul, à me cacher au regard de Mischa... Tout du moins, cela aurait été le cas si, l'instant d'après, elle n'avait pas démarré pour rejoindre la route, laissant donc mon imitation de la crêpe à la vue de tous. Génial, c'était tout simplement gé-nial... Avec un peu de chance, elle continuerait son chemin sans rien remarquer... Comment ça "non" ? Oui bon, je vous l'avoue, moi-même je n'y croyais pas trop, à cet instant. L'univers ne semblait pas, mais alors, vraiiiment pas de mon côté aujourd'hui... J'aurais dû lire mon horoscope, tiens. A coup sûr c'était mon jour de malchance !
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MessageSujet: Re: wherever this goes, no matter how far...   wherever this goes, no matter how far... EmptyLun 8 Sep 2014 - 23:07

Sarah avait encore du mal à s’y faire. En même temps, on ne peut pas devenir mère de 7 enfants du jour au lendemain et avoir l’impression d’avoir été mère toute sa vie. C’est juste impossible et inconcevable. Ce n’est déjà pas facile d’être mère d’un seul enfant, on se pose plein de question. On se demande si on serait à la hauteur. On s’inquiète de mal faire, on doute à chaque instant, parce qu’on voudrait donner le meilleur au petit être fragile qu’on a porté pendant neuf mois. Il n’y a pas de mode d’emploi pour élever un enfant. Bien sûr on peut écouter le conseil de x et y qui ont été mère avant vous, mais au final vous ne pouvez vous fiait qu’à vous et à votre instinct de mère, pas toujours très développé. Ce n’est pas facile d’être d’un enfant, mais ça l’est encore moins d’être la mère de SEPT enfants ! Surtout quand ces sept enfants ne sont génétiquement pas les vôtres. Sarah ne savait toujours pas comment elle avait fait pour accepter toute cette histoire. Elle devait être folle ! N’importe qui de censé n’aurait pas accepté de voir débarquer du jour au lendemain des enfants qu’elle ne connaissait pas et devenir leur tutrice légale. Même s’il s’agissait des enfants de sa sœur et de son époux. Sarah était une jeune plutôt gentille et nombreux était ceux qui s’étonner de la savoir célibataire et sans enfants, elle qui semblait si douce et pourrait être une mère idéale. Mais ce n’est pas parce qu’elle avait le profil « mère parfaite » qu’elle serait une mère parfaite…

Allongé dans son lit l’Irlandaise regarder le plafond de sa chambre en essayant de trouvait le courage de se lever. Peut-être que le plafond saurait lui indiquer la bonne marche à suivre… Le problème c’est qu’elle avait trop bon cœur. Si elle n’avait était qu’une égoïste elle ne se serait pas soucier du sort de ces enfants, qu’importe qu’ils soient séparé, placé dans des familles d’accueil différente. Mais c’était au-dessus de ses forces, alors voilà, elle tentait le coup… Une petite voix dans sa tête lui soufflé qu’elle avait sans doute signé son arrêt de mort, mais tant pis !
C’est alors que la Carter était plongé dans ses pensées que la porte de sa chambre se mit à grincer pour s’ouvrir tout doucement. Une petite fille, blonde, les cheveux frisés avec un petit d’air d’ange passa alors sa tête par l’encolure. Sarah eut un sourire. C’était la plus jeune. Elle était du côté des Lancaster, le nom de famille du mari de Léana. « Tante Sarah ? Je peux entrer ? » « Bien sûr Emy. » « Emilie. » reprit l’enfant avec un sourire timide. « Emilie. » répéta Sarah avec un sourire plein d’excuse. « Désolé. J’ai encore un peu de mal. Qu’est-ce qui t’arrive ? » « Je voulais savoir si tu allais devenir notre nouvelle maman ? » dit-elle avant de grimper sur le lit. Sarah ne savait pas quoi lui répondre. « Je ne pense pas. Une maman on en a qu’une. » « Moi j’ai eu deux maman. Et les deux sont montés au ciel. Tu as l’air gentil. Alors je ne veux pas que tu sois notre nouvelle maman Comme ça toi, tu ne montera pas au paradis. » Les paroles de la petite fille lui fendirent le cœur. Dire que ses parents était mort dans un accident de voiture. La pauvre… « Viens là » dit-elle simplement en lui ouvrant les bras pour qu’Emily vienne se blottir contre elle.

Dix minutes plus tard, Sarah descendait à la cuisine pour essayer d’assumer son nouveau rôle de mère de famille. Elle ne pût cacher son étonnement quand elle retrouva l’une des enfants couverte de lait ! Il s’agissait d’Addison Carter, la fille de Léana ( la sœur de Sarah ) . De l’autre côté, Charlyne Lancaster rigolait. « Qu’est-ce qui se passe ici ??? » « Addison c’est prise pour la reine d’Angleterre alors je la remettais à sa place. » « Charlyne c’est ça ? » « Oui » « Tu es punie ! » « Quoiiii ??? » « Tu a versé du lait sur les cheveux de ta sœur donc tu es puni ! » « C’est pas juste ! Elle m’a traité d’Hyppie juste parce que MOI je ne passe pas 3h à m’occuper de mes cheveux. Et puis c’est pas ma sœur ! Et tu n’es pas ma mère ! Je fais c’que j’veux !!! » Ça commençait bien… Non seulement Sarah ne savait pas encore où était sa place et comment assumer son rôle, mais apparemment en plus de ça ce n’était pas l’entende cordiale entre cette famille recomposé qui apprenait tout juste à vivre ensemble…

Fort heureusement une heure plus tard tout le monde était à l’école et la jeune femme pouvait se concentré sur quelque chose qu’elle connaissait d’avantage : son travail ! L’Irlandaise était organisatrice de mariage et aujourd’hui une tâche un peu particulière lui avait été confiée. Les Johns allaient se marié dans une semaine et la future mariée n’avait rien trouvé de mieux que de faire tomber son alliance dans le vide à ordure. Paniqué, elle avait chargé Sarah de rajouté la même bague avant que son futur époux n’ait vent de cet incident. Il faut dire que Peter était un homme très superstitieux qui prenait les évènements pour un signe du destin. S’il venait à apprendre la disparition de la bague il en conclurait que c’était un signe, ils ne devaient pas se marié ! Voilà pourquoi en ce jour Sarah entra dans la bijouterie. « Bonjour, je suis venue vous acheter une bague. J’ai une photo sur moi. Il me faudrait celle-ci. »
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MessageSujet: Re: wherever this goes, no matter how far...   wherever this goes, no matter how far... EmptyDim 5 Oct 2014 - 14:46

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Une telle coïncidence était tout bonnement incroyable. Tomber sur la dernière personne que vous souhaitiez voir, alors que vous aviez tout mis en oeuvre pour l'éviter, c'était quand même un comble ! C'est clair, ce genre de connerie n'arrivait sûrement qu'à moi. C'était forcément un coup du karma. A tous les coups une vengeance divine suite à mes - nombreuses - mauvaises actions ou une intervention cosmique dirigée contre moi... O-bli-gé. Et, non, je ne suis pas du tout égocentrique. Je suis juste persuadé que l'Univers a des plans pour moi, c'est tout. C'est pas vraiiii, grommelai-je dans ma barbe en la voyant approcher de plus en plus. Les chances qu'elle ne me reconnaisse pas étaient proches de zéro. Après tout, j'étais le mec qu'elle allait bientôt épouser. Et probablement le seul abruti qui pensait qu'être allongé sur un trottoir était une bonne cachette. Il fallait que je réagisse. Que je trouve quelque chose. Mes méninges tournaient à mille à l'heure, si bien qu'on aurait presque pu entendre les rouages grincer les uns contre les autres. Vite vite vite, un plan... Je me mis sur un genou, prétextant de faire mon lacet, menton enfoncé dans la poitrine. Alors, je me mis à prier. Un temps s'écoula, durant lequel, les yeux clos, je n'osais plus changer de position. Puis, un bruit de talons sur le trottoir m'indiqua qu'elle était toute proche, et me fit relever les yeux avec lenteur - QUOI, ELLE ÉTAIT SI PROCHE ?! -, juste à temps pour la voir entrer dans la bijouterie, sans même un regard dans ma direction. Bordel, je suis cocu ou bien ?, aurais-je sûrement dû me demander au vu de la chance incroyable que je venais d'avoir, si j'avais été quelqu'un de normalement constitué (ou pas), mais au lieu de ça, la seule chose qui me passa par la tête fut... Mais qu'est-ce qu'elle fout dans notre bijouterie ?! Elle n'avait pas pu avoir la même idée que moi, quand même... Parce que, d'abord, c'était les hommes qui offraient les bagues... Non ? Bon, je n'étais pas forcément le plus doué dans ce domaine, non plus, il fallait dire. Peut-être que quelque chose m'échappait.  Il y avait sûrement un million de choses sur le mariage que j'ignorais, alors... Ou peut être, simplement, me sous estimait-elle, se disant que je ne ferais sûrement pas l'effort de nous racheter des bagues puisque nous avions conservé les anciennes... Merde. Il fallait que j'en ai le coeur net. Tant pis pour la surprise.

Ni une, ni deux, je me relevais pour entrer, avec force et fracas, dans la boutique. « Chérie, arrête tout de suite ce que tu es en train de faire ! » m'écriai-je, sans préambule, pour mettre fin à toute possible transaction en cours, me jetant presque sur elle, comme si ma vie en dépendant. Je passai ensuite une main autour de la taille de ma fiancée, souriant à toutes dents avec une tendresse infinie, pour lui annoncer au creux de l'oreille... « J'ai déjà tout acheté... Bon c'était supposé être une surprise mais... » Soudain, je remarquai quelque chose de "changé", par rapport à d'habitude... Et ce qui me frappa surtout était son parfum. Cette odeur que j'adorais, mélange de son shampoing et de son eau de toilette de chez Chloé. Ce n'était plus le même. « Chérie, tu as changé quelque chose ? Ton parfum peut-êtr- » commençai-je tout en venant chercher son regard, et m'arrêter net. Je me décollai prestement d'elle, réalisant ma méprise. « Oh, mon Dieu, pardon. Je suis terriiiiblement désolé. Vous n'êtes visiblement pas ma fiancée. » trouvais-je intelligent de dire. Mon regard se promena instinctivement sur la vitrine, et je vis, au loin, la silhouette de Mischa qui s'éloignait prestement, toujours sur le trottoir d'en face. Visiblement, elle ne m'avait même pas remarqué et avait continué son chemin, sans traverser la route. Incroyable. Moi qui m'était fait toute une scène ! C'était simplement ma paranoïa qui avait pris le dessus, me faisant imaginer n'importe quoi. Pourtant, j'aurais dû me rendre compte que ce n'était pas elle. La panique, sûrement... Diantre. Y'avait vraiment des jours où j'atteignais des sommets dignes de l'Himalaya. Pour ne pas laisser un silence malheureux s'installer, je me sentis obligé de me mettre à parler : « Elle a la même coupe que vous... » commençai-je, mimant des boucles autour de mon visage avec mes index, dessinant des spirales dans l'air. « Et vous faîtes à peu près la même taille. Et les mêmes mensura- Bref. Vous lui ressemblez. » terminai-je, empêchant mon regard inquisiteur de la toiser plus avant, déjà parce que c'était très malpoli, ensuite parce que je n'allais pas lui faire perdre son temps plus longtemps, surtout pas en comparant ses courbes avec celles de ma future femme. Chose qui, en soi, n'avait aucun intérêt, nous sommes d'accord. Je me balançai un instant un pied sur l'autre avec un sourire contrit, mon regard passant de la vendeuse à l'inconnue sans savoir sur laquelle s'arrêter. « Bon ben je vais y aller. » finis-je par dire après un court silence, me détournant pour regagner la sortie avant de, une fois de plus, revenir sur ma décision. « Ah, ma casquette... » fis-je tout en récupérant mon bien, resté sur le bord, et, de nouveau, faire volte-face pour, enfin, m'apprêter à quitter les lieux.  « Au revoir, et bonne journée ! » glissai-je tout en conservant mon sourire crispé, commençant à m'engouffrer à l'extérieur. Allez. Cette fois, c'était la bonne...
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