| Sujet: + shine a light (lolita) Lun 22 Juil 2013 - 16:01 | |
| « colors change your mind » FICHE D'IDENTITE
✿ NOM : elle porte le nom de bielinski. ✿ PRÉNOMS : lolita et ludmila, des prénoms doux et innocents ... comme elle. ✿ SURNOMS : lo, loli, ou lola. ça dépend des jours, et des gens. ✿ AGE : elle a dix-neuf ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : née le jour de la fête des amoureux. ✿ NATIONALITÉ : elle a miraculeusement obtenu la nationalité américaine. ✿ SEXUALITÉ : vierge effarouchée qui ne sait pas ce qu'elle aime. ✿ SITUATION AMOUREUSE : éternelle célibataire qui fait des ravages sur son passage. ✿ EMPLOI/ETUDES : elle ne fait rien, c'est bien simple. mais elle peut également tout faire, du moment qu'on lui demande. ✿ NOM DU QUARTIER : écrire ici ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : les sept gusses qui l'accompagnent sont un peu comme des animaux. et puis ils ont un gros chien gras, borgne avec l'oreille machouillée. c'est un peu leur mascotte. ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : le numéro un.
| |
NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR. Tu sais maman, il y a tant de choses que j’aimerais te dire ! J’aimerais te dire que je suis désolée d’avoir claqué la porte un peu trop fort quand j’ai quitté la maison, mais que jamais je ne m’excuserai d’être partie. J’aimerais te parler d’eux, de Tahir, d’Alejandro, Pepino, Morten, Nayem, Foxy, et de tous ces gens qui ont croisé ma route. J’aimerais te dire que je ne suis plus une enfant, que la vie et la route m’ont appris tout ce que tu as été incapable de m’apprendre. Mais d’abord je vais te raconter mon histoire : pas celle que tu as connu, mais celle que j’ai vécu.+ ON ACCEPTE L’AMOUR QU’ON PENSE MÉRITER Pourquoi est-ce que je suis née, maman ? Tu sais, tu aurais pu te contenter de Bella. Bella la magnifique, Bella la parfaite. C’est ta fille préférée, et ce depuis toujours. Alors pourquoi est-ce que tu m’as imposé la vie, si c’était pour ne pas m’aimer ? Est-ce que tu te souviens de ce jour-là, où papa a organisé un bal, à la maison ? Il y avait tous les gens importants de Russie. Tu disais qu’ils étaient des amis, mais ils étaient juste là pour admirer l’ampleur que prenait notre famille. J’étais assise sur cette chaise, dans l’angle de la pièce. Bella, bras croisés dans le dos, se pavanait à tes côtés. Tu la présentais à tout le monde en espérant trouver quelqu’un d’assez bien pour elle. Et quand quelqu’un me désignait, tu haussais les épaules. Je n’existais pas. J’étais malade, j’étais dans mon monde, je n’avais aucune valeur à tes yeux. Il aurait fallu que tu sois là, toi, juste toi, et cette maison gigantesque ne m’aurait pas paru aussi vide qu’en cet instant. Est-ce que tu sais ce que ça fait d’avoir l’impression d’être en trop ? D’avoir l’impression que la personne qui nous a donné la vie rêve secrètement de nous l’ôter ? Car oui, je sais que tu rêvais que je disparaisse. Je t’ai entendu en parler à papa. A quel point je t’épuisais, à quel point ma maladie te rendait dingue et tu en avais honte. Enfant, je n’aimais pas vraiment Bella. J’étais jalouse d’elle tu sais, j’aurais donné n’importe quoi pour être à sa place. Mais maintenant, je vais te dire franchement ce que je pense : je pense qu’elle n’a pas compris le sens de la vie. Peut-être que personne ne le peut, mais elle, et toi, et tous ces gens qui vivent dans le luxe se leurrent. Vous faites semblant de vivre. Vous vous extasiez pour des choses futiles, pour quelques paillettes et une tartine de caviar. Moi, enfant, j’avais déjà compris que tout est vain, et que l’argent ne fait pas le bonheur. A cause de ça, je n’étais pas assez bien pour toi, et aujourd’hui je dois l’être encore moins qu’avant. Est-ce que je te manque, maman ? Je suis certaine que tu as pleuré pour faire croire que mon absence te touchait, mais que tu es maintenant ravie. Je suppose que Bella est mariée, n’est-ce pas ? Sache que moi je ne marierai pas. Et que si jamais c’était le cas, tu ne le saurais pas.+ LA GOUTTE D’EAU QUI FAIT DÉBORDER LE VASE. Tu sais, s’il y a une chose que la route m’a apprise, c’est que rien n’arrive par hasard. Je croyais fermement au hasard, mais en fait tout est lié. Toujours. Maman, est-ce que tu te souviens de ce jour où tu as décidé de me déscolariser ? Oui, juste après la visite médicale. Bipolaire. Un mot que tu ne pouvais pas supporter. « Que vont dire les voisins ? Qu’est-ce qu’on pensera de nous ? » C’est la seule chose que tu étais encore capable de dire, alors que j’avais seize ans. J’étais une pauvre gamine perdue, terrifiée, les larmes aux yeux et la lèvre tremblante. Papa serrait mon épaule, mais ça ne servait à rien. C’est de toi que j’avais besoin. Mais toi tu t’en foutais, t’avais besoin d’être rassurée aussi, t’avais besoin qu’on te dise que les voisins s’en foutaient que je sois bipolaire. Je me suis levée lentement, et je suis sortie. Il neigeait, le mercure annonçait quarante degrés en dessous de zero. Et pourtant, j’avais la sensation d’être en ébullition. J’ai pleuré, hurlé dans la neige. J’étais seule au monde, et en plus tu voulais m’enlever de l’école. J’ai erré comme un fantôme jusqu’à la nuit tombée où j’ai fini par m’évanouir à cause du froid et de la fatigue. Quand je me suis réveillée à l’hôpital tu étais là, en larmes. J’ai cru que tu étais triste, mais tu étais juste furieuse. Tu m’as crié dessus, tu m’as dit que tu étais déçue. C’était comme se prendre un nouveau coup de couteau dans le cœur. C’est à ce moment-là que j’ai pris la décision de m’en aller. A seize ans j’étais trop jeune, mais ça se ferait en temps voulu. Et puis, l’année d’après, suite à une énième dispute, j’ai mis mon plan au point. Le jour de mon dix-huitième anniversaire, j’aurais disparu de vos vies. La dernière chose que je me suis demandée en claquant la porte un peu trop fort, c’est si ça t’avait réveillé. Je savais que c’était idiot parce que la maison était bien trop grande pour que tu entendes, mais j’ai espéré, réellement. J’ai espéré que tu cours voir dans ma chambre si j’étais encore là, que tu cries mon prénom et me cherches. J’ai attendu, mais je n’ai rien entendu.+ STUPEUR ET TREMBLEMENTS. Ca a été troublant et intense à vivre. Comme si toute mon enfance, j’avais attendu ce moment en particulier. Ce moment où je prendrais enfin mon envol. Je me suis sentie triste et heureuse en même temps, et même si je me demande comment on peut être les deux en même temps, c’était bien le cas. Tu sais maman, tu m’as manqué. La porte à peine refermée derrière moi, j’ai pensé à ta façon de remettre ta mèche de cheveux derrière ton oreille, ta démarche féminine et déterminée. J’ai pris le bus, j’ai pris le train, j’ai avancé au hasard sans jamais imaginer revenir en arrière. Je suis passée en Allemagne, puis en France. Là-bas, je n’ai pas tardé à trouver quelqu’un d’assez peu recommandable pour me cacher et m’aider à obtenir des papiers américains. En échange, je devais juste faire quelques trucs pour lui, des choses dont je tairais la nature. Je sais que tu n’aimes pas qu’on parle de sexe maman, tu trouves ça tabou. Et tu n’aimerais certainement pas que je te dise ce qu’un homme d’une cinquantaine d’années a demandé à une gamine de dix-sept ans, j’en suis sûre. Malgré tout, si ça peut t’intéresser, je suis partie de chez lui encore vierge. J’ai donc traversé l’Atlantique et me suis retrouvée perdue aux Etats-Unis. La Russie me paraissait être un grand pays, les Etats-Unis m’ont paru gigantesques. Une fois là-bas, j’ai traîné dans des fermes dont les propriétaires me logeaient et me nourrissaient tant que je travaillais pour eux. Sur internet, j’ai trouvé un article qui parlait de ma disparition. On a mis ça sur le compte de ma bipolarité. « C’est vrai ça ? » a demandé la grosse femme bedonnante qui nettoyait toujours son couteau plein de sang et de miettes de pain dans son tablier. J’ai haussé les épaules et ris, et je lui ai tout raconté. Elle m’a dit que tu devais être morte d’inquiétude et je lui ai répondu qu’elle ne te connaissait pas, pour dire ça. Et puis après je m’en suis voulue, parce qu’après tout, ce n’est pas bien de dire du mal de toi. Malgré tout ça, je t’aime encore. J’ai été soulagée qu’ils abandonnent les recherches, au moins j’étais tranquille. Je suis restée quelques mois avec eux pour apprendre mieux l’anglais, et j’ai repris la route.+ ON THE ROAD AGAIN. J’avais cette chanson dans la tête qui tournait en boucle, cette chanson que j’avais entendu en France. On the Road Again de Bernard Lavilliers, ça te dit quelque chose ? Je ne sais même pas pourquoi je te demande ça, tu n’écoutes que du classique et de l’opéra. D’ailleurs, est-ce que tu sais que les américains ne vont pas beaucoup à l’opéra ? Je ne crois pas en avoir vu depuis que je suis arrivée. J’ai marché longtemps, longtemps, erré à travers champs et le long des routes sous le soleil ardent. Je ne sais même pas comment j’ai fait pour m’en sortir, sans me faire enlever ou violer. Il faut croire que je suis bien meilleure manipulatrice que je ne le pensais. Mais la chaleur a fini par me taper sur le système, et j’ai fait une crise. Mon voyage m’a semblé vain, j’étais même prête à faire demi-tour. « A quoi ça va me mener ? » je me demandais. Tout ce que j’avais entrepris me semblait alors flou et sans intérêt, parce que j’étais toujours aussi seule. C’est à ce moment-là que j’ai rencontré Tahir. Si je me souviens bien, c’était à une station essence ou un motel, au milieu de nulle part. Quand j’ai croisé son regard, j’ai su que je ne serais plus seule. Il est sorti, et j’ai eu le besoin incompréhensible de le suivre. Je l’ai suivi. Je sais ce que tu dois penser : je suis irresponsable de suivre un homme que je ne connais pas, surtout quand il a l’air aussi méchant. Tu verrais la tête de Tahir ! On dirait qu’il a envie de nous tuer dès qu’on lui parle ! Je crois que c’est ce qui m’a plu chez lui, aussi. Je l’ai suivi donc, et il s’est retourné pour me regarder et m’a dit de dégager. « Qu’est-ce que tu veux ? Lâche-moi, retourne dans les jupes de ta mère ! » Mais bien sûr je ne l’ai pas lâché, parce que le lâcher ça aurait voulu dire que je serais de nouveau seule, et je n’aurais pas supporté. Je l’ai suivi, jour et nuit, sans jamais me plaindre. Je crois qu’il me déteste, même encore maintenant, mais moi je l’aime vraiment bien. Je peux même dire qu’il m’a sauvé la vie. Et puis c’est grâce à lui que je les connais tous, aujourd’hui. DERRIÈRE L’ÉCRAN
✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Alaska, tandis que mon prénom est Justine. Je suis âgée de 18 ans et je vis actuellement du côté de Montpellier. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur facebook, grâce à la troupe des huit, ma première impression en le voyant a été positive puisqu'on a été bien accueillies et le design est très joli.. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de 7/10 ?. Concernant mon personnage j'ai choisi Rosie Tupper comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi u can't buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement mémoires d'une geisha. A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Lolita Bielinski le Lun 22 Juil 2013 - 23:30, édité 8 fois |
|
Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: + shine a light (lolita) Lun 22 Juil 2013 - 16:57 | |
| |
|
Marissa I. Stewart THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 3736 › EMMENAGEMENT LE : 25/08/2012 › AGE : 40 › STATUT CIVIL : Deuxième fille d'Andrew & Isobel Stewart. Divorcée d'Eden Jefferson avec qui j'ai eu une fille prénommait Faith, nous avons perdu notre deuxième enfant. Soeur d'Emma et de Leah, les brunes les plus sexy de la ville après moi ! Je suis également la tante de la petite Lilou et du petit Mason. En couple depuis peu avec le très sexy Simon rencontré lors d'une mission humanitaire ♥ › QUARTIER : Actuellement à la recherche d'un nid douillé › PROFESSION/ETUDE : Je dirige le service obstétrique de l'hopital, j'ai mis mon métier de côté depuis quelques mois. Je suis en pleine remise en question. › DOUBLE COMPTE : Mischa S. Miller - Noah S. Harper - Sawyer E. CLarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Erin R. Preston & Zola Rosebury › CELEBRITE : Sophia Bush (aa) › COPYRIGHT : Cranberry.
| Sujet: Re: + shine a light (lolita) Mar 23 Juil 2013 - 12:34 | |
| Oh la belle Rosie 4545 Bon courage pour la suite de ta fiche & bienvenue parmi nous |
|
Marissa I. Stewart THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 3736 › EMMENAGEMENT LE : 25/08/2012 › AGE : 40 › STATUT CIVIL : Deuxième fille d'Andrew & Isobel Stewart. Divorcée d'Eden Jefferson avec qui j'ai eu une fille prénommait Faith, nous avons perdu notre deuxième enfant. Soeur d'Emma et de Leah, les brunes les plus sexy de la ville après moi ! Je suis également la tante de la petite Lilou et du petit Mason. En couple depuis peu avec le très sexy Simon rencontré lors d'une mission humanitaire ♥ › QUARTIER : Actuellement à la recherche d'un nid douillé › PROFESSION/ETUDE : Je dirige le service obstétrique de l'hopital, j'ai mis mon métier de côté depuis quelques mois. Je suis en pleine remise en question. › DOUBLE COMPTE : Mischa S. Miller - Noah S. Harper - Sawyer E. CLarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Erin R. Preston & Zola Rosebury › CELEBRITE : Sophia Bush (aa) › COPYRIGHT : Cranberry.
| Sujet: Re: + shine a light (lolita) Sam 17 Aoû 2013 - 17:29 | |
| Bonjour, Le délai de ta fiche est dépassé, merci de nous tenir informé |
|