NOM : HODGSON PRÉNOMS : Aiden Edern SURNOMS : Je n'aime pas que l'on m'appel par un surnom, quel qu'il soit.AGE : 27 ans DATE DE NAISSANCE : 15 Mai NATIONALITÉ : Américain SEXUALITÉ : Hétérosexuel SITUATION AMOUREUSE : Célibataire EMPLOI/ETUDES : Barman NOM DU QUARTIER : Pacific Lane ANIMAUX DE COMPAGNIE : / CHIFFRE PORTE BONHEUR : Le 24

On dit que l’endroit dans lequel vous êtes né, la maison dans laquelle vous vivez, ou encore le type de gens que vous côtoyez fait de vous ce que vous êtes, et ceux pour le restant de votre vie.  Ce jeune homme considère que c’est faux. Pour lui, savoir exactement la personne que l’on est relève de l’impossible. Ceux qui le pensent se mentent. Chaque jour, chaque épreuve lui a permis de se redécouvrir. Il y a cru un jour à ce sentiment, le sentiment de connaître la moindre parcelle de soi-même. Triste illusion. Mais malheureusement la seule façon de le voir a été pour lui qu’absolument tout autour de sa personne se casse la figure. Il s’est renfermé sur lui-même, trop peut-être. Il ne sourit quasi-jamais, peux être parce qu’il ne sait pas le faire sans se dire que c’est faussé. Il paraît indifférent à tout, ne parlant pas beaucoup et se contentant de faire ce qu’il doit faire. Derrière ce mystère qui effraie la plupart des gens, il veut les faire fuir plutôt que d’affronter leur joie de vivre et leur éternel bonheur surfait. Ce n’est pas difficile, avec ses tatouages et sa dégaine de mauvais garçon. Ce jeune homme semble inaccessible, impossible à comprendre. C’est précisément ce qu’il veut, il recherche cette froideur, pour se cacher de l’amour et l’attachement, tout ce qu’il la détruit. C’est une attitude de lâche et il le sait. Mais plus rien n’a encore pus lui prouver que la vie vaut la peine d’être vécu pleinement, avec ses vices, ses malheurs servies à la pelle, mais aussi tout le bonheur des moments heureux qu’on prend la peine de rechercher.  Il n’est pas particulièrement séducteur ni sociable,  et sauf quelques exceptions il reste souvent indifférent et glacial aux quelques filles qui prenne la peine d’essayer de lui parler et a très peu de vrai amis. Comment relever la tête à présent ? Comment le faire sortir dans la torpeur dans laquelle il se noie ? C’est peut-être trop tard. Ou peut être pas.

Je suis né à New York, la magnifique et belle New York avec son Broadway, ses tours gigantesques, son Central Park et ses stands de hot dog légendaires. Je suis né riche mais pauvre de famille. Oh, j’ai des parents, mais ce sont les parents qui n’ont fait un enfant que pour les bons côté. Et pour eux les bons côtés sont de l’ordre de l’exposition sociale que cela procure. Et oui, quand on est marié depuis quelques années, à la tête d’une entreprise qui rapporte plusieurs millions chaque année, exposés aux médias, un enfant ça le fait grave. Je n’ai donc jamais eu beaucoup d’amour venant d’eux, sans jamais m’en soucier. Quand vous vivez de la même manière depuis votre naissance, vous ne vous posez pas la question si c’est la meilleure façon de vivre ou pas, surtout quand vous êtes un petit garçon. Vous vivez juste, en conjuguant les bons côtés avec les mauvais. Ce fut seulement à l’âge de treize ans que ma vie a pris un réel sens, la plus belle chose du monde ma rejoins, mes parents m’ont annoncé l’arrivée d’une sœur.

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« Cours Aiden, voyons cours ! »

Mon père me tiens dans une main et son portable dans l’autre. Nous parcourons ainsi les couloirs de la clinique privée ou ma mère va accoucher d’une minute à l’autre. Je le regarde hurler des ordres dans le combiné ce qui provoque un ralentissement net de ma course. Pourquoi il est en colère ? alors que sa fille va naître, aucune idée, c’est typiquement mon père dans toute sa splendeur d’homme riche et important socialement.
On arrive devais une porte banale, je me demande si ma sœur va voir le jour derrière cette porte. Ce n’est pas une porte qui reflète le plus beau jour de ma vie, je me promets de le signaler à l’infirmière. En effet c’est le plus beau jour de ma vie, parce que je ne serais enfin plus seul, je serais enfin compris. Parce que tout le monde dit que je suis un enfant pourri gâté quand je me plein de mes parents. Elle, elle comprendra. Elle comprendra ce que c’est de vivre avec eux, ou sans eux plutôt, j’en suis certain.

Quand on nous autorise enfin à entrer, mon père reste à l’écart derrière moi pendant que je cours dans les bras de ma mère. Enfin ce n’est pas ma mère que je vais voir, c’est le petit être qui semble tout fragile qui est posé sur sa poitrine. Elle paraît fatiguée, ma mère, elle me fait de la peine. Sauf que quand moi je suis fatigué elle me dit qu’il faut que j’arrête d’être trop fragile, que ce n’est rien. Alors je lui répète :

« Arrête d’être trop fragile Maman, c’est rien, ta juste expulsé un bébé de tes fesses.»

Elle fait une drôle de tête, et mon père me frappe la nuque derrière. Je vois les infirmières qui se retiennent de rire, et je suis fière de moi qu’elles se moquent d’eux comme ça. Je demande ensuite à la prendre, mais les elles refusent en disant qu’elle est trop petite encore. Ma mère paraît être déçue de cette nouvelle, à croire qu’elle aurait voulue en être déjà débarrassée.

***

« Prend ton manteau Heather, il fait froid dehors !»

La fillette de  huit ans me regarde avec un grand sourire malicieux sur les lèvres et se met à courir vers la porte sur ses deux jambes. Sa jolie petite tresse blonde fouette son dos tandis qu’elle bondit dehors dans la neige fraîche de cette matinée d’hiver. Je la poursuis en courant au ralenti, son manteau qu’elle n’a bien sûr pas mis entre les mains, et l’enroule dedans en l’emprisonnant avec mes bras avant de la soulever au-dessus de ma tête. Son rire cristallin résonne, entrecoupé de petit cris de frayeur lorsqu’elle a l’impression de tomber.
Soudain, la voix de ma mère se fait entendre, teinté à moitié de reproche et à moitié d’amusement.

« Ne tue pas ta sœur avant le dînez Aiden ! »

 Nous habitons toujours à New York, j’ai maintenant 21 ans depuis quelques mois. Il fait froid mais il neige. C’est le moment que je préfère de l’année. La neige est si belle, et en même temps si éphémère. C’est assurément la plus belle métaphore de la vie. La petite tête blonde que je tiens dans mes bras ? C’est l’être que j’aime le plus au monde, ma magnifique petite sœur. Je la protège contre tout, contre mes parents et leur cupidité, contre le monde extérieur peuplé de gens vicieux et tous criminels de quelque chose. Je veux qu’elle reste cet ange innocent, qui ne veut que du bien au monde. Mon amour pour elle est tout ce que j’ai, alors je suis resté chez mes parents pour ne pas la laissée seule avec eux.

« Venez à table maintenant. »

L’appel de ma mère vient du canapé, ou notre cuisinière vient de venir lui dire que le repas est près. Oh notre chère maman ne se salit pas les mains pour cuisiner, ça serait perdre son temps et sa manucure pour rien selon ses propres mots. Nous arrivons, Heather toujours dans mes bras jusqu’au moment où je la pose sur une chaise. Ma mère nous rejoint qu’au moment où le plat sort de la cuisine, surement l’appel de l’excellente senteur qui émane du plateau. Mon père ne viendra pas, il ne vient jamais. Il préfère passer sa vie à son bureau, où il passe la plupart du temps à baiser ses secrétaires, j’en suis certain. Ma mère aussi doit le savoir, mais elle fait comme si de rien était, et fait surement la même chose de son côté. Triste réalité des mariages riches, l’amour et la fidélité ne sont pas les valeurs primaires. Voilà pourquoi je veux protéger ma sœur, je ne veux pas qu’elle les ait pour exemple.

***

« Allo Aiden, vient tout de suite. Heather à disparut. »

La voie de notre domestique spécialement attribuée à Heather est affolée. Oui Heather a besoin d’une nounou, parce qu’a neuf ans elle a la même maturité qu’un gamin de trois ans. On l’a appris à ses cinq ans, mes parents n’ont même pas réagis.

Je quitte immédiatement les bancs de l’amphithéâtre ou j’étais et la rejoins aussi vite que je peux au parc qu’elle m’a indiqué. Ma sœur c’est déjà perdue, elle se perd ou plutôt s’échappe régulièrement d’ailleurs, mais ça me fais toujours le même effet. La peur de la perdre me glace le sang, me brouille la vue, m’accélère le cœur. J’arrive rapidement, d’habitude le temps que j’arrive elle la déjà retrouvée, et elle s’excuse platement pour m’avoir fait me déplacé. Sauf que cette fois-ci, pas d’excuse, je retrouve une Victoria en pleure et mon cœur s’arrête un instant. Je me persuade qu’on va la retrouver, je me mets à hurler son nom dans tout le parc.

***

Je n’arrive plus rien à faire. Mes gestes sont comme contrôlés par un autre. Je dois rejoindre mes parents au salon, ils sont en compagnie d’un inspecteur de police. Je descends les escaliers lentement, en scrutant les visages que j’aperçois. Sur le canapé ma mère et mon père sont confortablement installés, ma mère à l’expression froide des mauvais jours et mon père, mon père à son expression de lorsqu’il traite un dossier délicat pour son boulot. Ils me mettent hors de moi, leur fille à disparut et ça leur fait aucun effet spécial, telles deux belles moules accrochés à leur richesse. L’inspecteur me regarde fixement avant de m’annoncer.

« Les ravisseurs nous ont contactés. Ils désirent plusieurs millions ou ils tueront ta sœur. »

Je réponds spontanément, parce c’est ce qu’il faut faire, c’est évident.

« Eh bien, on est riches, payons. »

Mon père se lève et me fait face, visiblement en colère de ce que je viens de dire.

« Ce n’est pas toi qui décide. »

L’inspecteur se lève à son tour et repousse mon père d’une main pour s’adresser à moi.

« T’es parents ont décidés de ne pas céder au chantage, ils veulent qu’on la retrouve sans payer. »

J’ouvre de grand yeux ébahis, et la colère monte en moi comme une vague qui détruit tout sur son passage, tandis que je me répète les mots qu’il vient de prononcer. Et soudain je vrille, comme je ne l’ai jamais fait. Ils vont la laisser tomber pour de l’argent, elle, Heather si fragile et pure. Parce qu’on sait tous qu’ils ne vont jamais la retrouver, ou alors ils retrouveront son corps, mais personne n’est jamais retrouver sans rançon. Je saute sur mon père avant que le gars devant moi a pu faire quoique ce soit, et je le frappe. Je frappe, je frappe de toute mes forces sur son visage, je lâche toute la rage et la colère accumulée durant toute ces années. On me sépare de lui rapidement et on me menotte. Je lui hurle que je recommencerai dès que j’en aurais la possibilité, et tout en hurlant je pleure, je pleure parce que tout s’effondre, tout autour de moi tombe d’un seul coup.

***

Alors que je suis allongé sur le lit de mon hôtel,  de la même manière depuis deux mois, le téléphone sonne. Je n’ai pas bougé de ce lit sauf pour les choses du quotidien. Toilettes. Douche. Repas. Lit. J’ai l’impression d’avoir été vidé, comme si mon ombre était là devant moi et me regardais sombrer lentement. Comme je ne réponds pas, il continu de sonner. Enfaite je ne l’entends même pas. Je n’entends plus, je ne vois plus. Je ne vois qu’elle et sa petite couette blonde. Depuis deux mois je me demande sans cesse si je la révérais un jour. La porte de ma chambre s’ouvre, mais je ne jette même pas un regard à celui qui rentre. Je n’en ai rien à faire. Je reste allonger sur lit les yeux fermés pour mieux la voir. Il s’annonce. C’est un autre inspecteur.

« Nous avons retrouvé un corps, vos parents l’ont identifiés comme étant votre sœur, je suis désolé. »

Il continu en me disant qu’ils ne savent pas encore de qui il s’agit, mais je n’écoute déjà plus. Je le savais, et je sais aussi de qui tout ça est la faute. Je me lève d’un bon et je hurle en demandant où se trouve mes parents. Je veux les tuer, je veux les tuer tous les deux. C’est leur faute, tout est de leur faute. Ma Heather, ma toute petite Heather. Sauf qu’il ne me dit rien, à cause de l’éloignement que mon père à demander contre moi. Je ne dois pas l’approcher à moins de 500 mètres, sinon c’est direction la prison. Alors je me venge sur tout ce qui se trouve autour de moi. Le peu de meubles de la petite chambre de cet hôtel vole à travers la pièce avant que l’inspecteur parvienne à me calmer.

***

Alors me voilà dans ma nouvelle vie. Enfin, ma nouvelle existence. Je ne pourrais plus jamais parler de vie. Pas après avoir perdu ma principale raison de vivre. Je suis partit le jour de mes 27 ans précisément, sans prévenir personne. De toute façon, je n’ai plus personne. Qu’ai-je fait à New York durant ces dernières années ? J’ai sombré, lentement. Je me suis perdu dans le vide qui habitait désormais mon existence. J’ai changé, je suis devenu quelqu’un d’autre. J’ai recherché toutes sortent de sensation sans parvenir à n’être intéressé par aucune d’elle. Et j’ai découvert un nouveau moyen d’expression qui me faisait ressentir quelque chose, les tatouages. Je m’en suis fait presque partout, parce c’est définitif et douloureux, parce que c’est ce que ma vie est maintenant ; définitivement terminé et douloureuse. Mais un jour j’ai revus ma mère, après plusieurs années de distance. Et alors là j’ai décidé de quitter la ville, pour ne plus jamais la revoir, ni elle, ni personne qui me remémorait à chaque instant la perte de ma sœur et le creux que ça provoquait dans mon cœur. Je suis arrivé je ne sais trop comment dans la ville de huntington beach. Peuplé principalement de ce que je ne supporte plus, plus après qu’on l’ait fait passer avant la vie de ma sœur. L’argent. Sauf que désormais, je fais partit des moins riches. Mes parents m’ayant complètement coupé les vivres, et ayant de toute manière décidé de renoncer à la richesse, je préfère être ainsi, je préfère les voir se complaire dans leur richesse et n’être qu’un spectateur. C’est ce qu’elle me permet cette ville, observer sans jamais intéresser les hauts rangs de la société qui la peuple.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Noah ou tout simplement mon prénom, tandis que mon prénom est Nathan. Je suis âgé(e) de 17 ans et je vis actuellement du côté du Sud Ouest de la France. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum grâce à un partenariat, ma première impression en le voyant a été   . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est  très variable, je peux faire des longs comme des cours, et je pense que niveau écriture je suis dans la moyenne. Concernant mon personnage j'ai choisi Stephen James comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi MONEY DOESN'T MAKE HAPPINESS comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.