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 The best friends of men : the dog } Rhiannon

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MessageSujet: The best friends of men : the dog } Rhiannon   The best friends of men : the dog } Rhiannon EmptyMar 4 Aoû 2015 - 13:14


Rester enfermé n'était pas vraiment ce qui aidait Timéo à se changer les idées, Teddy ne pouvait pas non plus toujours rester avec lui, il avait une vie aussi. Tim laissa une note à son oncle pour le prévenir qu'il allait jouer au parc, il allait peut-être y rencontrer un enfant de son âge avec qui il pourrait jouer. Il avait mis une paire de shorts de foot noir et un t-shirt débardeur blanc avec un logo rouge d'une équipe de foot, oui, il était un grand amateur de foot. Il avait mis ses souliers Adidas noirs avec trois lignes blanches sur chaque côté. Il sortit dehors et prit la direction du parc, il marchait tranquillement dans la rue, perdu dans ses pensées, c'était nouveau pour lui cette ville, il cherchait à apprendre à la connaître, pour être capable de se repérer, il avait été voir où était l'école aussi son programme de sport étude allait lui manqué, il aimait le fait de faire du foot le matin et suivre ses cours l'après-midi. Il allait avoir des cours toute la journée maintenant, ça allait être pénible. Alors qu'il était perdu dans ses pensées, il vit un chien, enfin une femme qui promenait son chien, il était adorable ! Il ne peut s'empêcher d'aller dans leur direction afin de savoir s'il pouvait caresser le chien. Il prit la direction de celle-ci, il a toujours voulu un chien, il se demanda si Teddy aimait les chien et voudrait en avoir un, enfin, il pourrait lui en parler à un moment, un chien lui permettrait de se changer les idées, ça lui ferait quelqu'un dont il devait s'occuper ce qui lui ferait en sorte qu'il ne penserait pas trop à sa famille qu'il vient de perdre.

Une fois arrivé à la hauteur de celle-ci avant de se pencher pour caresser le chien, il demanda : « Bonjour ! Je peux le caresser ? S'il vous plaît ! » Il savait qu'il n'avait pas le droit de caresser le chien des étrangers sans leur permission, c'est pourquoi il attendait l'autorisation de celle-ci pour caresser le chien, il était trop mignon. Quand il eut l'autorisation, il s'accroupit afin de caresser le chien, il était trop mignon ce chien, il demanda : « C'est quelle race ? Il s'appelle comment ? Il a quel âge ? » C'était beaucoup de questions en une fois, mais bon, il en oubliait de se présenter, mais ça lui faisait du bien de caresser un chien, ça le faisait sourire chose qu'il n'avait pas vraiment fait depuis la mort de sa famille, c'est fou comment les animaux ça peut faire du bien, ces petites bêtes ça amène beaucoup d'action et de bonheur dans une vie.
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MessageSujet: Re: The best friends of men : the dog } Rhiannon   The best friends of men : the dog } Rhiannon EmptyMar 4 Aoû 2015 - 19:08

Rhiannon & Timéo






Best friends of men : Dogs !

Si il y avait bien quelque chose qui m’ennuyait plus qu’une autre, c’étaient mes jours de congé. Je n’en prenais habituellement jamais, faute de ne pas vouloir prendre de retard sur mes papiers administratifs, mais il y avait bien des moments où j’en étais obligée si je ne voulais pas que mon boss ne rouspète après moi. Elliot étant au lycée durant les jours de semaine, j’étais seule à la maison et sans dossiers à me mettre sous la paume. On m’avait carrément interdit de les prendre, sous prétexte qu’un jour de congé n’est pas fait pour travailler chez soi. « A ce compte là, installe ton bureau dans ton salon, ma poule. » qu’ils me disaient tous. Alors généralement, je me repliais sur la console et tentais de faire monter mon magicien de niveau. Histoire d’enfin parvenir à battre Elliot, pour une fois.

Aujourd’hui c’est un grand soleil qui s’élève au dessus de ma maison. Assise sur mon canapé, manette dans les mains, mes yeux sont rivés vers la télé et ne semblent pas près à s’en décrocher. J’ai peut-être passé l’âge de ce genre de chose, mais il n’empêche que je m’y amuse tout autant que lorsque la toute première Playstation avait fait son entrée dans ma maison. J’étais alors âgée de quinze ans, et mon frère et moi s’étions cotisés pour nous l’acheter. Je me souviens encore des soirées –que dis-je, des nuits- passées à y jouer.
Alors que je suis perdue dans ces pensées, je sens quelque chose tirer sur ma robe et surprend Navan en train de la mordiller. Ça, je savais ce que cela voulait dire : « On va faire une promenade ? » Pourquoi pas. Après tout, cela me ferait du bien de sortir un peu.
Je souris et sauvegarde avant d’éteindre la console, puis lève enfin mes fesses du canapé.  Après un bref passage devant le miroir pour lisser les plis de la robe blanche parsemée de quelques sequins noirs que je portais, je me recoiffe légèrement et fait un rapide tour de la maison, histoire de tout fermer, tandis que Navan trottine derrière moi, manifestant son impatience par des petits couinements.

« On y va ma belle, laisse moi seulement cinq petites secondes. »

Toute sourire quant à son enthousiasme après ces paroles, je chausse des escarpins blancs et ceci fait, m’empare de la laisse. Navan ne voit aucun inconvénient à ce que je la lui mette, et se laisse sagement faire, comme à son habitude. Je la lâcherai au parc, mais pour le moment, je préférais la tenir. Qui sait ce qui pouvait arriver, surtout avec la route à côté…
Après être sortie, je ferme la porte derrière moi, met mes lunettes de soleil et commence alors à marcher sur mon allée de pavés, jusqu’à déboucher sur la rue. Comme à mon habitude, je pars sur la droite, direction le parc, tout en tenant Navan en laisse qui trottine gaiment, langue pendant.

Alors que nous marchons toutes les deux tranquillement, j’aperçois au loin une petite silhouette qui se dessine jusqu’à devenir plus net à mes yeux : Un jeune garçon. Et visiblement, il semble regarder en notre direction, intéressé très certainement par Navan, du moins à ce que j’en pensais. Et visiblement, je ne me suis pas trompée !
Je souris à nouveau tandis qu’il s’approche, me salut et me demande alors l’autorisation de caresser mon chien. Désormais arrêtée, j’hoche gentiment la tête, fondant complètement face à mon interlocuteur. J’avais toujours eu un faible pour les enfants, ce qui m’avait d’ailleurs valu l’adoption d’Elliot, et le fait qu’un jeune garçon vienne ainsi me voir et m’adresser la parole me comblait de joie.

« Bonjour ! Oui, bien sûr que tu peux la caresser, elle n’est pas méchante. »

J’avais dit cela sur un ton doux et presque maternel tandis que mon accent écossais avait du s’entendre dès la première syllabe de mes paroles. Quant à Navan, elle semblait bien contente qu’on lui apporte de l’attention, et sa queue battait l’air avec vivacité. Echappant un petit couinement de joie, elle se laissa approcher et caresser par le jeune homme, essayant de lui laper le visage au passage.
Quant à moi, le sourire qui s’était précédemment imprimé sur mon visage ne faisait que s’agrandir face au comportement des deux. Attendrie, je restais immobile en regardant tout en écoutant attentivement la rafale de questions  provenant des lèvres du petit garçon, et y répondis alors tout aussi gentiment que mes premières paroles :

« Elle s’appelle Navan et c’est une Golden Retriever croisée Setter Irlandais. Elle a eu un an il y a trois semaines à peine. »

J’étais comblée de bonheur en cet instant précis. Ça faisait beaucoup de bien de voir sa journée, pourtant si ennuyante, se faire subitement illuminée par la simple présence d’un enfant. Certes j’avais bien le mien, que j’aimais plus que toute autre chose au monde, mais ça faisait aussi beaucoup de bien de rencontrer d’autres bambins. Après un petit instant, je gratouille gentiment la tête de Navan avant de demander :

« Comment est-ce que tu t’appelles mon grand ? Moi c’est Rhiannon. »

C’est toujours sur le même ton que je venais de me présenter, et lui avais demandé son prénom. J’étais curieuse de savoir, de plus si l’on pouvait sympathiser ça en serait encore plus génial. Il avait l’air d’être un jeune garçon adorable.
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MessageSujet: Re: The best friends of men : the dog } Rhiannon   The best friends of men : the dog } Rhiannon EmptyMar 4 Aoû 2015 - 20:30


Vivre avec Teddy n'était pas trop mal, enfin jusqu'à présent, Teddy n'était pas méchant, il n'était pas froid comme le reste de la famille, il était différent comme lui, Timéo se reconnaissait un peu en lui-même beaucoup. Il voyait en son oncle un héros, mais peut-être pas pour les mêmes raisons que sa famille, il le voyait comme un héros, parce qu'il était différent, qu'il n'était pas un "robot" sans émotion comme le reste de sa famille. Timéo ne s'entendait pas très bien avec ses cousins parce que justement, il était différent, quand il était avec eux, il devait faire semblant, être quelqu'un qu'il n'est pas, alors qu'avec Teddy, il n'avait pas besoin d'être différent, il pouvait être lui-même. C'est sûr qu'il s'ennuyait de ses oncles et tantes qui était dans sa ville natale, ses cousins aussi même s'il ne s'entendait pas toujours bien avec eux, ça restait sa famille et il aimait sa famille. Il aimait son père, même si celui-ci le frappait, comme il frappait aussi ses frères, que c'était comme ça depuis toujours, il trouvait ça normal, même s'il savait que frapper quelqu'un n'était pas bien, qu'un père ne devrait pas frapper son enfant, mais ses grands-parents, ses oncles et tantes ne disaient rien, pas en sa présence du moins, ils ne faisaient rien quand Robin le frappait pour le punir. Enfin bref, ce n'est pas ce qui nous intéresse pour l'instant, il était sorti pour se rendre au parc, mais en chemin pour le parc, il avait vu une femme qui promenait son chien et il n'avait pas pu s'empêcher d'aller la voir afin de lui demander s'il pouvait caresser son chien.

Il s'était accroupi quand il avait eu l'autorisation de caresser le chien de celle-ci, c'était donc une femelle, ce n'était pas évident de différencier une femelle d'un mâle, enfin sauf si on regarde entre leurs pattes arrière. Il caressait le chien tout en posant des questions à celle-ci, il était très curieux et pas vraiment le genre timide, en tout cas pas quand il y a un chien dans le coin.

« Elle est belle Navan ! Oh, elle est toute jeune encore ! C'est presqu'un bébé encore ! »

Il grattait derrière les oreilles de celle-ci, alors qu'elle tentait de lui lécher le visage ce qui fit sourire le garçon, ça ne le dérangeait pas vraiment, ce n'était pas vraiment quelque chose qui le dérangeait que de se faire lécher par un chien. Il aimerait beaucoup en avoir un, donc quand il voyait quelqu'un avec un chien, il en profitait pour aller le caresser. Il fit un sourire à celle-ci quand elle lui demanda son nom et se présenta du même coup.

« Enchanté Rhiannon, moi, c'est Timéo. »

Il se redressa un peu continuant de caresser un peu le chien et dit : « J'aimerais ça en avoir un moi aussi ! Je sais pas si mon oncle, il voudrait… Je peux la promener avec toi, vous alliez où ? Au parc, moi, c'est là que j'allais… Tu l'as depuis combien de temps ? » La femme avait l'air gentille, quand elle lui parlait ça lui faisait un peu pensé à sa mère, elle était douce, mais elle pouvait avoir son caractère, mais étant marié avec un Baker, elle n'avait pas le choix sinon elle aurait été malheureuse. Le jeune était poli, faut dire que chez lui, c'était très strict, enfin quand il était chez son père qui n'hésitait pas à le frapper ainsi que ses frères pour se faire écouter, il en a gardé des marques dans le dos, mais c'est normal pour lui, donc il ne les cache pas, il n'en a pas honte, dans sa famille ce n'était pas la méthode qui était mise de l'avant, mais c'était comme ça que son père Robin avait décidé d'élever ses enfants, même si lui n'avait jamais été battu. Ce n'est pas parce qu'on est battu qu'on bat ses enfants, l'inverse et totalement possible, c'était le cas avec son père !

Le jeune homme attendit de savoir s'il pouvait l'accompagner, il n'avait rien à faire d'autres. Il n'avait pas encore beaucoup d'amis comme il venait juste d'arriver en ville. Donc, il était content de faire de nouvelles rencontre, sortir, parler avec du monde, jouer avec d'autres enfants lui changeait des idées. II se doutait que sa famille ne serait pas content s'il restait à déprimé, il n'avait pas le droit d'être faible, il devait être fort, chez les Baker être faible ce n'était pas acceptable, ni d'être gay, d'aimer les sports de filles, de pleurer, de montrer ce qu'on ressent sauf peut-être la force, l'amour…
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