NOM : Caïn (se prononce Kane) PRÉNOMS : Adria Robyn SURNOMS : Ad', Adri', Kick-ass AGE : 25 ans DATE DE NAISSANCE : 24 juillet 1990 NATIONALITÉ : Américaine, même si elle a des origines espagnoles du côté de sa mère SEXUALITÉ : hétérosexuelle SITUATION AMOUREUSE : incompréhensible mais surtout célibataire EMPLOI/ETUDES : coach sportive, anciennement boxeuse professionnelle NOM DU QUARTIER : president drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : un chat noir qui s'appelle manoir (oui elle n'était pas très inspirée sur le moment) CHIFFRE PORTE BONHEUR : le 8

Adria, c’est le genre de filles qu’il ne faut pas emmerder. Grande gueule et fonceuse, elle n’a pas peur de dire ce qu’elle pense et n’a surtout pas froid aux yeux tout court. Plutôt garçon manqué dans l’attitude et le caractère, malgré une silhouette athlétique et féminine, elle est la bonne copine à garçons et est tout à fait capable de passer quelques heures devant un match de foot ou un jeu vidéo, une bière à la main. Néanmoins, derrière ses airs assez ronchon et un peu bordélique, que ce soit dans sa vie comme dans l’endroit où elle vit, Adria se doit de garder une bonne hygiène de vie pour exercer son métier de coach sportive. Elle parvient généralement à motiver les troupes et donner du peps à tout le monde. Ancienne boxeuse professionnelle aux rêves trop tôt brisés, elle s’est tout de même forgé une carapace et ne montre pas facilement ce qu’elle ressent. Adria est du genre forte-tête qui se protège émotionnellement parlant mais elle n’est pas foncièrement méchante sauf quand on la cherche. Souvent chieuse, elle n’en reste pas moins d’agréable compagnie lorsqu’il s’agit de rire et de déconner ou de passer des bons moments. Elle réussit vite à faire copain-copain mais pas ami-ami, car ceux-ci sont bien plus rares selon elle. Quand on creuse un peu plus sous sa carapace, Adria peut aussi se montrer attachante et plus ‘femme’, cependant ceux qui ont déjà vu ces côtés-là se comptent sur les doigts d’une main. Elle ne baisse pas facilement ses gardes. Elle reste donc à découvrir sous bien des coutures.

Une mère espagnole, un père américain, voilà le beau mélange duquel est issu Adria. La rencontre de ses parents a eu lieu en Espagne, lors d’un voyage de son paternel, riche homme d’affaires, au pays de la paella. Quelques mois plus tard, sa mère mannequin partit le rejoindre aux États-Unis pour l’épouser et vivre avec lui à Huntington. Rien de plus classique. Adria est fille unique. Le mariage des parents est solide mais entre un père souvent absent pour gérer son entreprise et ses affaires florissantes ainsi qu’une mère trop occupée à se pomponner et à se regarder dans la glace afin d’être la plus parfaite possible au lieu de s’occuper de sa fille, Adria se sentit de trop ou plutôt pas à sa place. Très tôt, elle voulut attirer l’attention de ses parents et, mal dans sa peau, elle essaya de s’habiller comme un garçon. La petite fille avait l’impression que si elle devinait un « fils » et non plus « une fille » aux yeux de son père, celui-ci l’aimerait peut-être davantage et serait plus souvent à la maison tandis que sa mère, qui ne supportait pas les manières masculines de sa fille, lui accordait enfin de l’attention même si c’était pour la rabrouer. Elvis Caïn n’aimait pas moins son enfant parce qu’elle était une fille mais son travail lui prenait trop de temps pour s’en occuper et la voir grandir quant à sa femme, elle ne savait pas trop s’y prendre avec Adria, encore moins depuis les changements de comportement bizarres survenus chez sa fille, alors que celle-ci ne cherchait qu’à attirer l’amour de ses deux parents. Très vite, les attitudes décalées d’Adria suscitèrent les moqueries de ses camarades à l’école qui l’embêtèrent de plus en plus. Adrian. Voilà comment on l’appelait. Certains, plus méchants et moqueurs, cherchèrent un jour à la molester, alors qu’elle n’avait qu’une dizaine d’années à l’époque. « Ah tu veux être considérée comme un garçon, tu vas voir… » Elle reçut plusieurs coups de la part de ce groupe, une histoire tellement choquante qu’elle conduisit les parents à porter plainte et à se retourner contre l’école avant de changer Adria d’établissement. De l’attention de la part de ses parents, elle en avait enfin eu puisqu’ils avaient fait le nécessaire pour l’entourer et la protéger après cette histoire mais la jeune fille n’avait pas oublié l’humiliation dont elle avait été victime et surtout la peur qu’elle avait ressentie devant ce groupe. Elle ne voulait plus jamais subir un tel affront et surtout être capable de se défendre. Adria exprima donc l’idée d’apprendre un sport de combat. Devant une telle proposition, sa mère refusa tout net malgré les explications de sa fille : elle ne voulait pas qu’Adria fasse un sport de garçons (à ses yeux) et qu’elle retombe dans ses travers passés qui amèneraient ce genre d’histoires à se renouveler. Pas plus haute que douze ans, la jeune adolescente avait néanmoins eu vent de combats de rues dans la ville par un prof adepte de ce genre de sports. À l’insu de ses parents, elle se faufila à l’extérieur un soir et trouva un de ces lieux. Elle assista à une sorte de tournoi, c’était assez violent et effrayant mais Adria voulut d’autant plus apprendre à se battre. Un vieux boxeur retraité devenu entraîneur à ses heures et qui assistait encore volontiers à ces joutes remarqua cette jeune fillette qui n’avait rien à faire ici. C’était dangereux et bien imprudent pour une pré-adolescente de se retrouver parmi tous ces hommes pour la plupart, jeunes ou moins. Son premier réflexe fut de la renvoyer chez elle ou de la ramener mais devant la détermination d’Adria à rester et les raisons qui l’avaient poussée à venir, il fut touché par son histoire et décida de la prendre sous son aile mais loin des combats de rue. Ce n’était pas la place d’une gamine. Il avait une salle de sport où s’entraînait des boxeurs d’un certain niveau et lui offrit de lui donner des cours et de lui apprendre toutes les ficelles des entrainements. Adria accepta, cependant elle ne pouvait pas le dire à ses parents et comme excuse elle inventa pendant longtemps à sa mère qu’elle allait apprendre la danse chez une « copine ». Les boxeurs adultes furent heureux de cette nouvelle recrue, jeune et rafraîchissante. Très vite, l’entraîneur se rendit compte qu’Adria avait un don pour la boxe, un talent rare, précoce, comme si elle avait toujours été prédestinée à faire ce sport ou comme si quelque chose en elle devait finir par trouver cette voie d’une façon ou d’une autre. Il visa néanmoins à calmer et évacuer la colère de l’adolescente qui ne devait pas taper pour de mauvaises raisons. À l’école, elle s’affirma et ne se laissa plus marcher sur les pieds. Pour ne pas que ses parents soupçonnent quoique ce soit, enfin surtout sa mère, Adria fit bonne figure et joua même la parfaite petite fille à la maison. Evannah Caïn était tellement plus préoccupée par son apparence de mannequin vieillissante, qu’elle ne vit que du feu dans les nouveaux changements chez sa fille. Pendant deux ans, Adria apprit la boxe sans que personne ne le sache vraiment. 2004. Elle avait quatorze ans. Année où le film de ses rêves sortit en salle. Million dollar baby ou la montée en puissance d’une femme boxeuse. Cette année-là, elle s’affirma encore un peu plus, si bien que lorsqu’un groupe de garçons cherchèrent des poux à une fille, dans son école, qui comme elle quatre ans plus tôt, était trop vulnérable pour se défendre, Adria se sentit obligée d’intervenir. Elle donna une sacrée raclée à deux des garçons de la bande qui battirent en retraire devant elle. Fière d’elle, la jeune adolescente aida l’autre fille à se relever qui la remercia. Sauf que cette histoire ne s’arrêta pas là… Adria avait cassé le nez d’un des deux garçons et ouvert l’arcade de l’autre. Elle fut convoquée dans le bureau du principal ainsi que ses parents. Autant dire qu’elle reçut un sacré savon en rentrant à la maison, enfin pas vraiment de la part de son père qui trouvait normal que sa fille se défende, mais plutôt de la part de sa mère qui trouvait louche la façon dont Adria s’en était sortie. « Mais enfin qu’est-ce qui t’a pris ? » « Je ne voulais pas que cette fille vive ce que moi j’ai vécu. Je n’allais quand même pas les laisser s’en prendre à elle. » « Et où as-tu appris à te battre comme ça ? » Silence. Evannah Caïn tenta de retrouver son calme et essaya une autre tactique. « Adria, montre-moi comment tu danses. » « Comment ça ? » « Montre-moi. » Sa mère avait enfin compris. Elle n’avait jamais été apprendre la danse chez une amie ces deux dernières années. Elle fut bien obligée de dire la vérité à sa mère qui s’emporta comme une furie mais qui fut calmée par le père. Elvis cherchait à temporiser la situation : au moins maintenant, sa fille savait se défendre, ce qui le rassurait. Néanmoins, lui aussi voulait savoir où elle avait appris à se battre et surtout il ne cautionnait pas les mensonges d’Adria qui serait punie pour ça. Il lui demanda de l’emmener le jeudi suivant à l’endroit où elle se rendait tous les jeudis après les cours. Une salle de sport où il y avait un ring de boxe… Elvis Caïn, accompagné de sa femme, s’entretint avec l’entraîneur, lui reprochant d’avoir couvert Adria mais celui-ci se défendit en expliquant le talent rare de leur fille dans ce sport et surtout qu’elle avait enfin trouvé quelque chose qui la canalisait. Elvis aurait-il préféré qu’il la laisse fréquenter les combats de rue sans intervenir ? Le moment de colère passé, le père d’Adria reconnut néanmoins que cette activité avait – semblait-il – apaisé sa fille et lui avait surtout permis de s’affirmer. Evannah s’effraya de ses propos, espérant qu’il ne songeait pas sérieusement à permettre à Adria de continuer cette lubie. Elvis ne répondit pas tout de suite et demanda à sa fille de leur faire une démonstration. Après avoir eu un aperçu des prouesses d’Adria, il accepta de la laisser continuer sa passion à condition qu’elle ne mente plus et qu’elle fasse attention à la façon de s’en servir en présence de ses camarades de classe, autrement dit en ne leur cassant plus le nez. Quelques années passèrent. Adria rêvait de plus en plus de devenir boxeuse professionnelle mais pour ce faire, il fallait participer à des tournois et avoir de l’argent. Ses parents acceptaient qu’elle pratique ce sport par passion mais ils refusaient de financer davantage pour voir leur fille exercer un jour un métier où elle se ferait défoncer la tête et finirait peut-être avec des parties de corps en moins, en retraite précoce à l’âge de quarante ans. Agée de dix-sept ans à l’époque, Adria trouva alors une autre alternative : participer à des combats de rue illégaux pour gagner assez d’argent afin de pouvoir s’offrir le matériel adéquat et les voyages pour les tournois qui se tenaient à l’étranger. Elle aurait pu obtenir un job étudiant mais ça n’aurait pas eu le même attrait, ni les mêmes rentrées. Adria aimait l’adrénaline que lui procuraient ces combats, le côté dangereux aussi. Ce n’était pas du tout la même chose que de la simple boxe. Il y avait beaucoup moins de règles et donc plus de place à la liberté. Lorsqu’elle en parla à son entraîneur pour la première fois cependant, il refusa tout net qu’elle participe à ce genre de combats, déjà parce qu’il s’était engagé auprès de ses parents mais aussi parce qu’il ne tolérerait pas que sa « protégée » y prenne part. Un mauvais coup dans les bras ou les jambes pourrait lui causer une fracture qui lui fermerait irrémédiablement les portes des rings de boxe, elle qui avait un avenir si prometteur dans le domaine… Il préférait même lui financer les voyages et les participations aux premiers tournois lui-même quitte à ce qu’elle lui rembourse plus tard. Toutefois, Adria était jeune et fière, elle voulait goûter à ça et surtout elle savait qu’elle apprendrait beaucoup de ces expériences qui lui serviraient afin de se forger sur les rings. Ce serait donc avec ou sans son consentement. Le vieux retraité en boxe dut bien reconnaître qu’il avait commencé de la même façon mais il savait justement de quoi il parlait ; plutôt que de lâcher Adria seule dans la nature, il préféra tout de même l’accompagner malgré sa désapprobation. Les débuts furent difficiles mais la jeune femme gagna rapidement en force et en maturité. Il ne fallait pas taper à vide mais être rapide et surtout réfléchi pour s’économiser, en particulier lorsqu’elle devait enchaîner plusieurs combats dans une même soirée. Durant deux ans, elle partagea son temps entre ses études, cette vie de nuit et la boxe. Adria était un espoir plus que prometteur et elle montait de plus en plus. Championne en rue et future championne en boxe. Elle était beaucoup plus musclée et endurante grâce à ses combats de rue et elle avait gagné suffisamment d’argent pour envisager de quitter ce monde-là et se consacrer uniquement à ses rêves. Malgré leurs occupations, ses parents avaient désapprouvé son envie de devenir boxeuse professionnelle mais ils l’aimaient et ne l’avaient pas reniée pour autant, sa mère s’était même habituée à sa passion au fil des années. Néanmoins, Adria avait quitté le cocon familial quelques mois auparavant afin qu’ils ne découvrent pas ses activités parallèles, déjà qu’ils acceptaient mal ce qu’elle faisait. Son entraineur voulait aussi qu’elle cesse ces combats externes désormais. Elle avait assez gagné et appris. Adria devait néanmoins « honorer » deux soirs encore. Alors que la jolie brune participait à son dernier tournoi en rue, sur lequel reposait un gros pari sur son dos pour la victoire, la police débarqua sur les lieux de ces combats illégaux et embarqua les organisateurs et ceux qui combattaient. La jeune femme fut emmenée au poste. Majeure heureusement, elle ne fut pas obligée de prévenir ses parents. Elle fit donc appel à son entraîneur et à une avocate en devenir qu’elle avait un jour aidé à se dépêtrer d’échauffourées dans un bar pour la sortir du commissariat. Elle ne fut pas poursuivie à condition de ne pas être revue dans des combats illégaux sous peine de problèmes plus sérieux. Toutefois, cette histoire s’ébruita. Adria était un jeune espoir en boxe et avait une petite notoriété locale en sport, les médias régionaux évoquèrent donc brièvement le fait. Si cette affaire ne choqua en rien ses collègues sportifs, elle révolta cette fois ses parents. Encore une fois, elle leur avait menti ! Disons surtout qu’Adria avait essayé de s’en sortir par ses propres moyens… Elle leur expliqua qu’ils auraient été déçu mais son père lui avoua qu’elle aurait dû avoir un peu plus confiance en eux, que la déception, il la ressentait avec sa mère parce qu’elle leur avait caché tout ça. En froid avec ses parents et dans le collimateur des recruteurs de jeunes talents sportifs qui menacèrent de la rayer des listes des jeunes espoirs suite à cette affaire de combats de rue, Adria manqua de péter complètement les plombs. Encore une fois, ce fut son entraîneur, comme un deuxième père pour elle, qui l’empêcha de sombrer. Il fit des pieds et des mains, et réussit à convaincre un ancien grand champion de boxe de croire en elle. Celui-ci la parraina et lui obtint une participation dans un grand tournoi à l’échelle nationale. Adria s’illustra et sa carrière de boxeuse professionnelle fut définitivement lancée avec succès, tout d’abord sur le plan national puis à l’échelle internationale… Quatre ans s’écoulèrent au cours desquels Adria sillonna le monde pour participer à des tournois. Son rêve prit subitement fin lorsqu’un soir, un camion faucha sa voiture sur l’autoroute, alors qu’elle rentrait chez elle, un accident qui faillit presque lui couter l’usage de ses jambes mais qui lui barra définitivement la route des rings. Elle ne pourrait jamais retrouver les sensations au niveau des mains ni même dans d’autres parties du corps. 23 ans et déjà les rêves brisés. Elle sombra dans une dépression de plusieurs semaines. Son ami entraineur veilla longuement sur elle et sa famille renoua aussi plus ou moins avec elle suite à ce « drame ». Adria avait néanmoins une rage de vivre brûlante et, bien entourée, retrouva assez vite une certaine force psychologique. Après plusieurs mois de rééducation acharnée, elle se déplaça à nouveau normalement. Elle pouvait marcher, courir et faire un peu de sport, mais la boxe à haut niveau, c’était terminé pour elle. La jeune femme décida de se poser à Huntington après toutes ces années à vadrouiller dans le monde et de construire quelque chose dans cette ville. Quelques mois plus tard, une fois complètement rétablie et refusant de rester chez elle à ne rien faire, Adria commença à donner quelques cours de boxe à des débutants à ses heures dans la salle de son entraîneur, gardant ainsi un pied dans le milieu et essayant d’inculquer sa passion à d’autres tout en exerçant en tant que coach sportive auprès de particuliers ainsi que dans une salle de sport. Ce n’était pas la vie dont elle rêvait mais Adria est une fille simple et elle a compris qu’il fallait parfois se contenter de ce qu’on avait et en profiter parce que tout peut basculer du jour au lendemain. Un an après, à 25 aujourd’hui, elle a gagné en maturité et n’a pas totalement perdu le secret espoir de pouvoir retrouver un jour sa véritable passion.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Boston, tandis que mon prénom est Justine. Je suis âgé(e) de vingt-trois ans et je vis actuellement du côté de Liège. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum par Alvira, ma première impression en le voyant a été incroyablement mauvaise, d'ailleurs c'est pour ça que je me suis inscrite, c'est mon côté sadique . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 3-4j/7 et que mon niveau rp est de plusieurs dizaines de lignes en général. Concernant mon personnage j'ai choisi Shanina Shaik comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi enjoy life comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement il a été validé par Andychou. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

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