NOM : Campbell PRÉNOMS : Tanye. Ca veut dire "tendre et douce" en Swahili donc le premier qui sort la blague Tanye West, j'le tue. Ah et ça veut aussi dire "big booty" dans un langage moins soutenu mais on va garder la première signification.  SURNOMS : Tany, tout simplement  AGE : 38 ans DATE DE NAISSANCE : 5 aout 1977 NATIONALITÉ : américaine SEXUALITÉ : Hétérosexuelle  SITUATION AMOUREUSE : Elle est mariée à son métier. Sinon elle est libre comme l'air et ne cherche pas spécialement l'amour.  EMPLOI/ETUDES : Productrice NOM DU QUARTIER : Palm avenue avec sa grande soeur qui a bien du courage de la supporter. Big up si jamais tu passes par-là sista girl.  ANIMAUX DE COMPAGNIE : Elle n'en a pas, elle n'est pas vraiment l'amie des animaux. Du moins elle arrive à les supporter mais de là à s'en occuper, hors de question, elle a déjà assez de mal à dresser sa chevelure de caniche tous les matins pour penser qu'elle puisse dresser un chien.   CHIFFRE PORTE BONHEUR : 4

Pleine de joie de vivre, la Campbell ne se laisse pas facilement atteindre et déteste se sentir mal. En temps normal, lorsqu’elle n’a pas le moral, elle se donne un jour pour se lamenter sur elle-même et ne rien, et le lendemain elle prend les choses en mains et se pose la question « Et maintenant quoi ? Je fais quoi maintenant ? » Persévérante, rare sont les fois où la métisse baisse les bras, quitte à se montrer parfois chante et envahissante. Elle n’aime pas qu’on lui dise non ou alors, qu’on le fasse mais avec un argumentaire en trois parties avec sous-parties et une ouverture, autrement vous pouvez être sûr qu’elle ne va pas vous lâcher. Curieuse de nature, elle est un peu touche à tout même si elle n’excelle pas dans tout ce qu’elle entreprend, elle aime bien se dire qu’au moins elle aura essayé. Ah oui, quand on parle de curiosité, ce n’est pas le genre de femme à vous harceler pour que vous lui racontiez une histoire – sauf si vous faites parti de ses proches avec qui elle est vraiment à l’aise – mais plutôt dans le sens où elle est prête à s’investir dans quelque chose le temps de quelques semaines juste pour tester. Créative, elle aime surtout tout ce qui touche à l’art. Lorsqu’elle était petite elle avait déjà développé un certain intérêt, mais à cause de cette curiosité un peu trop poussé, elle n’a jamais vraiment pu choisir l’instrument qu’elle voulait jouer. Si on regarde son parcours, la jeune femme a des bases de piano, de guitare et même de batterie, ce qui fait qu’elle pourrait éventuellement vous faire une cover de votre chanson préférée, mais pas au point d’être une virtuose non plus. Elle qui a des goûts assez éclectiques commence à s’intéresser de plus en plus à l’art de la rue, se rendant compte que les vrais artistes ne se trouvaient pas forcément à la télé ou dans les magazines, mais cachés au coin de la rue en train d’imiter un Basquiat avec une bombe de peinture bon marché. Elle ne supporte d'ailleurs pas qu'on lui dise qu'on établisse une différence quand on parle d'elle, en disant qu'elle n'est pas balck mais métisse. A croire que parce qu'elle est à moitié blanche, elle n'a pas le droit de donner son avis sur les Blacks ou se retrouver dans une manifestation à Ferguson. Bitch where ? Who gonna stop her ? I ain't gonna do it. You ain't gonna do it, so which bitch ? Féministe af, elle peut s'insurger sur la situation des femmes très vite, faire un 0 to 100 real quick. Elle sait que ce mot est mal vu et qu'il peut faire peur à certaines personnes, mais elle est fière de dire qu'elle fait partie de cette catégorie. Chimamanda Ngozi est son animal spirituel et lorsqu'elle vous sort une citation de l'écrivaine pour justifier ses propos, autant la fermer parce qu'elle peut vous balancer une table en pleine tête à cause de son impatience. Ah oui, voilà, impatiente. Elle n'aime pas attendre et aime bien tout avoir sans attendre, elle a apprit à ses dépends qu'il fallait faire preuve de patience dans la vie pour obtenir ce qu'on voulait. Alors elle use de stratagème pour ne pas avoir à attendre 10 ans. Très investie dans la communauté Black, elle se rend souvent dans les quartiers chaud de LA pour aider les gens, n'oubliant pas non plus ses racines et surtout, qu'il y a plus malheureux qu'elle. Elle profite d'ailleurs très souvent de son métier pour essayer de sortir des jeunes de ces quartiers difficiles, en lançant leur carrière. Rares sont ceux qui décrochent un Grammy - personne n'en a jamais eu d'ailleurs - mais elle sait que c'est toujours agréable d'avoir quelqu'un qui croit en vous.  Râleuse, elle aime bien passer son petit coup de gueule une fois de temps en temps, quitte à prendre la tête aux gens. Elle s’en fiche, elle aime bien que les choses soient faites à sa façon et tant pis si ça ne plait pas. Protectrice, même si elle est la dernière de la fratrie, la Campbell ferait tout et n’importe quoi pour ses sœurs, même si ce n’est pas le genre de chose qu’elle leur dirait forcément, préférant se moquer d’elles pour leur montrer l’amour qu’elle leur porte. Blagueuse, elle aime faire des blagues douteuses qui ne font rire qu’elle et se vexe même quand les gens ne rigolent pas à ses blagues. Sérieusement, les blagues carambars sont les meilleures, et si vous me dites que non, c’est que vous mentez. On a tous rigolé à au moins un jeu de mot pourri. Très sérieuse lorsqu'il s'agit de son métier, elle n'est cependant pas en reste lorsqu'il s'agit de faire la fête. Elle n'est pas fêtarde, mais il arrive qu'on la retrouve en train d'enflammer le dancefloor le temps d'une soirée.

Tout commence à partir de Tariq Campbell, ce chaud lapin qui après la mort de sa femme a dû élever sa fille, Tehani seul. Enfin, élever c’est un bien grand mot, d’après ce qu’on lui a dit, c’était à peine s’il se souciait vraiment de l’aînée Campbell, trop concentré à essayer de survivre avant de faire passer les besoins de sa fille en premier. Sa vie a prit un tournant lorsqu’il fit la rencontre de Cindy, la riche héritière de l’entreprise de construction de son père qui préférait dépenser l’argent de papa au lieu de lever le petit doigt. Voilà, c’est tout ce qu’il y a à savoir sur le « background » de Tanye au sujet de ses parents. Ah, vous êtes déçus hein ? Vous vous attendiez sûrement à du sang, de la misère, et même de la discrimination ? Ouais, normal. Quand on parle de métissage on a toujours tendance à s’imaginer une histoire de fou avec des descentes dans la rue où on manifeste pour avoir le droit d’être traité comme n’importe qui. Ouais. Mais pas pour Tanye. Cependant, il y a bien eu tout ça, mais c’était bien avant la naissance de la jeune femme et donc, au premier mariage de Tariq.

Ce qui nous amène à la véritable histoire de Tanye. Elle est la petite dernière d’une famille recomposée ; elle a deux grandes sœurs : Tehani issue du premier mariage de son père, avec qui elle a 12 ans d’écart, et Taleisha qui est sa sœur entière, avec qui elle a 4 ans d’écart. Elle est née à Los Angeles en Californie et comme vous l’aurez sûrement compris, elle est pratiquement née avec une cuillère en argent dans la bouche – merci maman. Ce qui fait qu’elle a hérité de l’argent de maman, et du beau métissage du côté de papa, quand on la voit aujourd’hui on peut dire que c’est un combo gagnant. Elle n’a donc jamais eu à se soucier de l’argent, ou encore si elle aurait à manger le lendemain matin, non, elle laissait ça aux autres. Les seuls soucis dont elle devait faire face en tant qu’enfant c’était de manger ses légumes et d’avoir de bonnes notes, et bien sûr, de rendre ses parents fiers. De ce côté-là elle n’avait pas vraiment de difficultés, elle avait l’impression que quoi qu’elle fasse, ils étaient toujours fiers d’elle. Comme quoi y a de bons côtés à être la dernière, on a l’impression que tout passe sous prétexte qu’on est le dernier bébé de la famille. Elle est d’ailleurs très proche de son père qui n’a pas arrêté de la gâter et de la protéger depuis qu’elle est toute petite, sûrement qu’il ne veut pas commettre les mêmes erreurs qu’il a pu faire avec la sœur aînée de Tanye, ce qu’elle peut comprendre. La métisse pense que c’est d’ailleurs une des choses qui crée un fossé entre elle et sa demi-sœur, elle l’a connu sous un certain jour que la benjamine des Campbell ne connait pas forcément. Elle a donc plus tendance à prendre la défense de son père lorsqu’elle balance une méchanceté à son sujet, quitte à ce qu’elles ne se parlent plus pendant quelques jours. En temps normal ça ne dure jamais bien longtemps car malgré tout, il n’y a que de l’amour entre les sœurs Campbell, au point qu’elles ne voient pas la différence entre sœur et demi-sœur. Du moins, c’est le cas pour Tanye qui ne peut pas s’empêcher de s’emporter à chaque fois qu’on établit une différence ; le sang c’est le sang, point.

Donc voilà, tout ça pour dire qu’elle n’a jamais vraiment connue de tensions familiales, toujours protégée par son père qui s’assurait qu’elle ne soit jamais exposée à ce genre de choses. La pauvreté, la famille déchirée, la peine, la tristesse… On peut dire qu’il a fait du bon boulot en la préservant comme il l’a fait. Tanye lui en est encore reconnaissante de tout ce qu’il a fait pour elle jusqu’à présent… mais elle a l’impression qu’il en a peut-être trop fait… A force d’être surprotégée et gâtée comme elle l’a été, la jeune femme a toujours eu l’impression que le monde extérieur n’existait presque pas et que sa vie ne se composait que de ce que ses parents voulaient bien lui donner. Qu’on comprenne bien ce qu’elle veut dire, elle est au courant qu’elle aurait pu être plus malchanceuse et ne se plaint absolument pas de   sa condition de vie, mais elle a tellement reçu qu’elle sent qu’elle a besoin de donner en retour. Ce sentiment n’avait pas cessé de grandir à mesure qu’elle grandissait, alors c’est en cachette qu’elle a commencé à se rebeller. Enfin, ouais, non. Elle est pas vraiment une rebelle dans l’âme et à chaque fois qu’elle essayait de lancer un mouvement, ses amis finissaient toujours par la faire redescendre sur terre, ne comprenant pas pourquoi est-ce qu’elle tenait tant à aider les autres. Ouais, ce sont des faux amis. Bitches. Quoi qu’il en soit, elle a commence à mentir à ses parents en leur disant qu’elle se rendait chez une amie ou qu’elle s’était inscrite à un atelier qui demandait à ce qu’elle y soit au moins deux fois par semaine, tout ça pour se rendre dans des quartiers assez chaud de LA. Elle ne faisait pas grand-chose quand elle s’y rendait, mis à part regarder les gens pendant un  long moment ne sachant pas quoi faire ; elle évitait de trop s’approcher de peur de ne se faire repérer, et surtout, elle évitait de se faire remarquer avec ses vêtements hors de prix que ses parents lui payaient. Con qu’elle est, ça ne dura pas très longtemps son petit manège, et ses parents finirent par apprendre ce qu’elle faisait. Sa mère qui ne savait plus quoi faire d’elle, laissa son père prendre la relève. Ce devait être la seule fois où elle l’avait vraiment eu hors de lui, lui criant dessus en lui interdisant de retourner dans ces quartiers où elle n’avait pas sa place, disait-il. Elle ne s’était pas laissée faire ce jour-là, lui disant qu’il reniait ce qu’il était et qu’il avait tendance à oublier d’où il venait. Le ton était vite monté entre eux, au point où ils ne se comprenaient plus. Elle laissa tomber et le laissa se calmer avant d’aller lui reparler, il lui expliqua le plus calmement possible pourquoi est-ce qu’il ne voulait pas qu’elle retourne dans ces endroits mais tout ce qu’il lui dit, elle le savait déjà. Elle se contenta de faire un petit sourire en promettant de ne plus jamais y aller et le tour était joué. Mais ouais, elle avait menti parce qu’elle y retournait toujours mais cette fois avec un plan de secours pour ne plus se faire prendre. Ouais, déjà à cet âge elle pouvait faire chier. Mais ça c’était l’époque de l’adolescence, son esprit commençait à se former et elle avait envie de se démarquer quoi qu’en dise les autres.

Après le lycée, elle intègre UCLA mais n’y trouva pas de grand intérêt au plus grand désespoir de ses parents. Elle ce qu’elle voulait c’était d’aller dans la rue et créer avec ces artistes que les gens semblaient oublier. N’ayant pas envie de se faire chier d’avantage, elle laissa tomber très rapidement l’université et commença à travailler dans des organisateurs événementiels – merci maman pour les contacts – dans le but de mettre en lumière ces personnes talentueuses. Cette idée fut accueillie par une critique assez mitigée quant au but de ce projet, mais elle dû surtout encore une fois effacer la colère de son père. Mais Tanye savait y faire et avait tout prévu. Elle réitéra l’expérience plusieurs fois dans le but de se créer un nom, diversifiant les domaines. Tantôt elle exposait des peintres de rues, tantôt elle organisait des petits concerts gratuits d’artistes qu’elle rencontrait dans les rues de LA. Peu à peu elle montait son business, mais trouva vite un réel intérêt pour la musique et en particulier le rap qui commençait à s’imposer comme un vrai style musical, alors qu’elle n’était qu’enfant. Elle se plongea très vite dans cet univers alors qu’elle n’était qu’une jeune adulte, trouvant intéressant comment est-ce que les gens pouvaient allier rythme et poésie, pour passer un message fort et souvent incompris de la société. Au même titre que les autres artistes qu’elle essayait de mettre en avant, elle en fit de même avec les jeunes rappeurs qui venaient délivrer leur message à un public pour la plupart curieux. Ce n’était peut-être pas grand-chose, mais elle savait que pour ces jeunes de quartier, être entendus n’avait pas de prix. C’est de cette façon que la métisse trouva sa voix, elle voulait aider et créer. Avec certains contacts qu’elle s’était créée à force d’organiser des petites scènes ouvertes comme elle le faisait, elle décida de se joindre à un petit label indépendant du nom de « Rythm and Poetry », tout simplement, où elle travaille encore aujourd’hui. Elle prit très vite son indépendance auprès de ses parents en se prenant un petit appartement qu’elle se paya avec son argent durement gagné, et même si elle se servait encore de l’argent de maman, elle était fière de se dire qu’elle gagnait honnêtement sa vie.

Aujourd’hui la jolie métisse travaille encore et toujours dans son petit label et lance toujours des artistes qu’elle va elle-même chercher, mais a décidé de déménager pour se rapprocher de ses sœurs qui vivent toutes les deux à Huntington Beach. Quoi que, elle a décidé de s’installer carrément chez Taleisha qui doit supporter la folie créative de cette dernière. A tout moment elle peut se mettre à créer un rythme avec des ustensiles de cuisine, au point de créer un brouhaha énorme, mais elle s’en fiche. Elle essaie de trouver des talents en restant un peu plus à HB, lui évitant des allers-retours entre chez elle et LA, mais ce n’est pas facile.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est wanderlust., tandis que mon prénom est Doriana. Je suis âgée de 20 ans et je vis actuellement du côté de Bordeaux city. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Bazzart, ma première impression en le voyant a été que j'ai bien kiffé + big up soso . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7j/7 et que mon niveau rp est de 600 minimumi. Concernant mon personnage j'ai choisi Kerry - grosses lèvres - Washington comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Money doesn't make happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
   mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
   

   

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
     
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
     
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
     
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
     
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
     
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
     
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
     
  

   n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

   en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.