NOM : calloway. comme mon paternel, autant dire que je suis loin d'en être fier, mais je crois que j'ai pas le choix. PRÉNOMS : nathéan louhàn. je sais que c'est ma mère qui a choisi mes prénoms, mais j'ai jamais pu lui demander d'où cela venait. au moins, il y a pas douze qui s'appelle comme moi. SURNOMS : nate. tout simplement, c'est souvent mes amis les plus proche qui ont le droit de m'appeler comme cela. AGE : 27 ans et toutes mes dents. j'approche de la trentaine, mais le premier qui me le dit je vais lui faire regretter (a) DATE DE NAISSANCE : 23 avril 1988. NATIONALITÉ : américain pur souche en plus. SEXUALITÉ : hétérosexuel et oui y a que les madames qui me plaisent. SITUATION AMOUREUSE : célibataire, mais... on va dire qu'il y a quelqu'un, mais... fin c'est compliqué quoi. EMPLOI/ETUDES : je suis propriétaire d'un bar en centre ville NOM DU QUARTIER : j'ai une petite maison sur orange avenue ANIMAUX DE COMPAGNIE : meow, le chat. oui j'ai appeler mon chat meow parce que je n'avais pas d'idée. CHIFFRE PORTE BONHEUR : 3. me demandez pas pourquoi, c'est juste comme ça.

Il paraît que j’ai un sale caractère, genre je serais colérique. Bon… Je vais pas le renier. Je suis du genre à partir au quart du tour et je ne sais pas me contrôler. Il ne faut pas me chercher et je suis sensible sur beaucoup de sujet malheureusement. Pourtant, je ne suis pas un monstre, loin de là. Je fais confiance qu’à très peu de monde, il va falloir que vous ramiez pour gagner ma confiance. Je suis comme cela parce que je suis un vrai solitaire, je n’ai pas de famille et j’ai appris à me construire tout seul. Alors voilà, je cache mes blessures derrière mon impulsivité et mon sarcasme, parce que oui je suis très doué pour le sarcasme. Malgré tout, j’ai un cœur tendre et je suis du genre à faire passer les autres avant moi lorsque j’aime. Je suis très protecteur avec les gens qui comptent réellement pour moi, demandez à Demyan il pourra que confirmer. J’ai constamment peur que l’on m’abandonne, mais j’essaye de travailler là-dessus ces derniers temps. Sinon, je suis assez tête en l’air et bordélique aussi. J’oublie toujours un truc et je suis généralement jamais à l’heure. J’aime avoir le dernier mot et contrairement aux autres je n’ai jamais trop. Emmerdeur vous avez dit ? Mais non… Je peux être un amour je vous jure, il paraît même que je sais être romantique quand je le veux, mais pour ça j’attends de trouver l’amour de ma vie. Oh et pour finir… Je sais très bien mentir !

« Monsieur Calloway, après concertation du jury vous êtes condamné à huit mois de prison ferme a titre d’exemple. » Le procureur abat son petit marteau sur son bureau en bois et le bruit résonne jusqu’au fin fond de mon crâne. Après des années de galères, de conneries, de fuite, me voilà condamner à passer huit mois de ma vie derrière les barreaux. J’ai tout fait depuis que mon père m’as jeté dehors. Au début, je vivais chez des amis. Je continuais à aller au Lycée parce que je ne voyais pas vraiment ce que je pouvais faire d’autre. Puis j’ai connu le monde de la rue. J’avais dix sept ans et ce monde était bien plus intéressant que ce que je pouvais connaître à l’école. J’ai commencé à traîner avec des gens peu recommandable. Je me suis mis à consommer des substances illicites et à revendre surtout. Parce que c’est comme cela que je gagnais ma vie. Je m’étais trouver un petit studio dans la banlieue de Huntington puis un jour tout à basculer. On m’a proposé d’aider pour un braquage, comme un idiot j’ai accepté et bien entendu les choses ne c’était pas dérouler comme nous l’avions prévu. J’ai réussi à prendre la fuite et comme un fugitif je suis parti de ma ville natale sans me retourner. Pourtant cela ne m’as pas calmé. J’ai fais des conneries ailleurs, je suis revenu à Huntington et j’ai repris mes conneries encore une fois. Je me pensais au-dessus des lois. Il faut croire que non. Pour la police de cette ville j’ai juste un casier bien rempli, sans grosses histoires non plus. Mais visiblement j’en ai trop fait. Il me condamne donc à la prison pour me calmer selon mon avocat. Je ne pensais pas en arriver là, mais je n’ai plus le choix. Le policier assis à côté de moi me fais signe de me lever, il me passe les menottes et moins d’une heure plus tard, on m’a retiré tout mes biens et placer dans une toute petite cellule. Je pensais que cela n’allait pas m’arrêter. Je pensais que huit mois cela passerait vite. Mais non… J’ai passé des heures sur ma petite couchette à réfléchir sur ma vie. Autant dire que j’ai tout remis en question. Je me suis mis à regretter mon départ de la maison, ma vie dans la rue, ma vie de rebelle. Je faisais cela pourquoi après tout ? J’avais besoin de me prouver quelque chose. De me prouver que j’étais vivant, que j’existais pour des gens. Ce n’était peut être pas le bon moyen, mais au moins j’ai vécu. La prison a finis par me changer. Peu à peu.

Huit mois plus tard, on m’a envoyé faire des travaux d’intérêts généraux, pour continuer à me surveiller. Je pensais devoir ramasser les ordures au bord de l’autoroute, au final, on m’a envoyé dans le bar d’un ancien gardien de prison, Léon. Il avait pour habitude de surveiller des jeunes comme moi, fraîchement sorti de prison après avoir fait trop de connerie. Au début, on ne cessait de se prendre la tête tous les deux. Il voulait trop jouer au paternel avec moi et ce n’est pas comme cela qu’il fallait s’y prendre. Après une dispute Léon a finis par me menacer : « Continue comme ça Nathéan et demain tu retourne en prison mais pas pour huit mois si tu vois ce que je veux dire ! » Le rebelle que je suis n’a pas voulu l’écouter. J’avais vingt-deux ans à l’époque, j’aurais dû arrêter mes conneries, mais non. Le soir je suis sorti et le lendemain je suis arrivé complètement défoncer au travail. Léon n’as pas attendu pour mettre ses menaces à exécution. Il m’a attrapé par le bras, m’as mis de force de sa voiture et a conduis jusqu’à la prison. Il était vraiment prêt à m’y remettre. « Tu arrête tes conneries maintenant ? » « Pourquoi tu te bat pour moi comme ça ? » « Parce que tu es quelqu’un de bien Nathéan. Tu n’as pas eu la vie facile je te l’accorde, mais il va falloir que tu te rendes compte que tu peux faire de grand chose mon garçon. » Son discours m’as touché. Personne ne m’avait jamais parlé de cette manière. Personne n’a jamais montré autant d’amour pour moi. Ce jour-là j’ai pris une sacré claque et j’ai finis par me calmer. Je suis rentré dans le rang comme on dit.

Un an plus tard, Léon est mort. Il avait un cancer. Il c’est battu jusqu’au bout, mais la maladie a finis par avoir raison de lui. Du jour au lendemain je me suis retrouvé seul à nouveau. J’ai perdu celui qui a été comme un père pour moi et j’ai eu peur de me retrouver à la rue. Personne ne me donnerait ma chance à part lui. Mais Léon en avait décidé autrement. Sentant la fin approcher il a modifié son testament et m’as légué son bar. Il m’a légué son bébé. Je n’y croyais pas au début et c’est finalement son fils, que je n’avais vu que deux/trois fois en près de trois ans, qui est venu me voir. « Je sais que mon père ne parlait pas beaucoup, mais il avait vraiment confiance en toi, il ne nous disait que du bien de toi. Mon frère et moi on est trop vieux pour reprendre le bar et puis ça ne nous intéresse pas vraiment, mais tu devrais le garder. Pour honorer la mémoire de mon père. » « Je le ferais t’inquiète pas. » Du jour au lendemain, je me suis retrouver seul certes, mais j’ai aussi gagné la plus belle chose qui soit. A cet époque, je pensais vraiment être sorti de mes années de galères et de conneries. Je pensais.

« Aller mec. Tu ferme ton bar et on y va. » Je regarde Noah. Je l’ai connu dans une soirée que j’avais organisée au bar. J’avais tout de suite remarqué son côté bad boy et pourtant j’ai très vite sympathisé avec lui. Au fur et à mesure, il m’a emmené dans ses conneries. Je me sentais heureux. Je tenais mon bar et je pouvais encore m’amuser dans un monde que je connais par cœur. J’ai repris mes petits trafics et tout le reste. Je faisais cela de temps en temps. Pour passer le temps. Pour appartenir à un groupe d’amis, pour me sentir moins seul. Je gérais vraiment. Malgré tout le bar passait avant tout. Pourtant j’ai ajouté un nom à mes conneries : Demyan. Ce jeune homme… Il a débarqué dans le bar un beau jour. Il n’était pas rasé depuis longtemps, il avait l’air claquer et surtout il avait dix-neuf ans a vu de nez. Je lui ai tout de suite fait comprendre que je ne le servirais pas et de but en blanc il m’a simplement répondu : « J’aimerais travailler ici. » Ma première pensée fut : il à complètement fumer le pauvre. Mais on c’est posé tous les deux, il m’a raconté ses galères et il m’a fallut une heure pour faire un simple constat. Ce gosse c’est moi il y a quelques années de cela. Il est paumé comme je l’étais et si lui offrir un job lui apporte une certaine stabilité… Pourquoi pas. Alors une fois encore je me crois au-dessus des lois et je l’engage alors qu’il n’as même pas vingt et un an.

« C’est toi qui paye les verres ? » « Non. » « Alors tu fait gaffe à ce que tu fais petite tête ! » Je vois bien le regard noir que Demyan me lance mais je m’en fiche. Cela fait désormais trois ans que l’on bosse ensemble. Il est assez vieux pour que l’on arrête de mentir et surtout on c’est beaucoup rapprocher tous les deux. Il est littéralement devenu mon petit frère. Je fais très attention à lui et je sais à quel point je l’énerve en faisant cela. On se chamaille tout le temps tous les deux, mais au final on sait tous les deux que l’on s’adore et que ça marche bien entre nous. Sauf quand je le vois partir avec ce brun. Ce n’est pas la première fois que je les vois ensemble et je commence à craindre le pire. Je le sens pas ce garçon. Il a une tête de mauvais gars, celui qui fait des conneries et qui entraîne les autres avec lui. Enfin… C’est une affaire à suivre.

Exceptionnellement je suis chez moi pour la journée. Je suis juste sorti m’acheter un bon café puisque ma machine est tombée en rade. En rentrant dans mon immeuble je tombe nez à nez avec une jeune femme qui a l’air en galère. Elle porte un bébé de quelques mois dans ses bras et visiblement son sac de course vient de craquer. « Je peux vous aider ? » lui demandais-je presque timidement. Je ne l’ai jamais vu auparavant. Je sais que quelqu’un à aménager dans l’appartement en face du mien. Sûrement elle. Elle à l’air jeune pour avoir un bébé. Enfin. Peut être mon âge. Le bébé pleurs et la jeune brune semble sur le point de craquer aussi. « Ca ne vous dérange pas ? » « Bien sûr que non ! » J’avais raison, elle est ma nouvelle voisine. Je lui porte ses courses jusqu’à sa cuisine tandis qu’elle va coucher son bébé qui a finis par s’endormir dans ses bras. Lorsqu’elle revient j’aperçois des larmes au coins de ses yeux. « Vous allez bien ? » « Oui… Enfin… Pas facile de vivre seule avec un bébé de trois mois. » Je n’ai jamais cru au coup de foudre ou a toutes ses conneries à propos de l’amour.  Je suis le gars qui drague des filles dans son bar, qui les ramène chez lui, fait des qualipettes au lit et ne rappelle jamais. Pourtant. Cette fille. Je sais pas. Elle me fait un effet fou. J’ai juste envie de la prendre dans mes bras et de la rassurer pourtant je reste planter là. « Je… Je pourrais peut être t’aider de temps en temps. Enfin. Si tu veux. » Un léger sourire se dessine sur ses lèvres et je me dis que j’ai au moins gagné cela. « C’est gentil… » « Nathéan. » « Joli prénom. Andréa. Enchanté et… Merci. Merci beaucoup. » Ce soir-là en rentrant chez moi, je ne cesse de penser au sourire de ma jolie voisine.

Finalement, je passe beaucoup de temps avec Andrea. Beaucoup, beaucoup de temps. En réalité, dès que je ne suis pas au bar ou avec Demyan, je suis avec elle et sa petite fille. Je n’ai jamais aimé les bébés. Jamais. Et pourtant je suis toujours en train de jouer avec la petite. Elle c’est mise à rire pour la première fois alors que je lui faisais une grimace et cela m’as rendu heureux pendant des jours. Pourtant… Autant j’aime beaucoup mes voisines, autant je continue à vivre une vie de célibataire et débâcle. Je continue à faire certaine de mes conneries. Je couche à droite et à gauche et depuis peu… Je me dispute avec Andréa. Elle me voit souvent avec des filles et depuis c’est devenu un sujet de dispute entre nous. Ca et sa fille. Parce qu’Andréa aurait presque tendance à me prendre pour le père de sa fille alors que je veux juste être le voisin sympa. Ou plus. En réalité je n’en sais trop rien. Je l’aime beaucoup, mais je ne sais pas si je suis prêt à faire le premier pas. Alors je continue à jouer au con.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est pain d'ep, tandis que mon prénom est estelle. Je suis âgée de vingt-deux ans et je vis actuellement du côté des USA. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur bazzart, ma première impression en le voyant a été c'est par où l'inscription. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 4j/7 et que mon niveau rp est de 700/900 mots. Concernant mon personnage j'ai choisi jack falahee comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi money doesn't make happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
   mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
   

   
• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
     
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
     
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
     
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
     
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
     
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
     
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
     
  

   n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

   en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.