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| Isaak | I'll be there for you | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 1:49 | |
| Isaak Antonovitch Tsariov « Take a look through my eyes. »
NOM : Tsariov PRÉNOMS : Isaak Antonovitch (son patronyme, merci papa) SURNOMS : Ike, 'saak, à l'époque Котёнок, maintenant Couillu AGE : 31 ans DATE DE NAISSANCE : 23 février 1984 NATIONALITÉ : Américaine et Russe, mais cette dernière ne lui sert pas à grand-chose, il hésite souvent à y renoncer SEXUALITÉ : Hétérosexuelle SITUATION AMOUREUSE : Célibataire à mi-temps, traîne de temps en temps avec une fille. EMPLOI/ETUDES : Bras droit/Substitut de femme d'Aleksey au Diamond's, menteur professionnel quoi. NOM DU QUARTIER : Palm Avenue ANIMAUX DE COMPAGNIE : il aurait bien aimé, mais il a un emploi du temps tellement irrégulier et chargé qu'il ne pourrait pas s'en occuper convenablement CHIFFRE PORTE BONHEUR : 87 ou 08/07 (U.S. style), c'est comme vous voulez
Lorsqu'on voit Isaak pour la première fois, on s'y prendrait à deux fois avant de venir l'embêter. Pas spécialement à cause de son gabarit : il est légèrement plus grand que la moyenne avec son mètre quatre-vingt cinq, mais il n'est pas vraiment très gonflé non plus. Pourtant, lorsqu'il n'est pas connecté avec le monde, il a cette expression sur son visage, à la limite de la froideur, qui ne semble pas accueillante. Sûrement son côté russe. Il ne peut pas le nier, il a la tête de ses origines, qu'il n'a jamais renié mais desquelles il ne s'est pourtant jamais vraiment senti proche, puisqu'il a toujours baigné dans la culture de l'oncle Sam. Pourant, Isaak a tellement à offrir. Dès que son regard reprend vie, un large sourire illumine son visage et ne le quitte que rarement. Dans ses yeux brille la pointe de malice d'une jeunesse qu'il ne veut pas encore laisser de côté. Il a une tête qui inspire la confiance, qui attire les gens à lui. Il en a besoin pour son métier. Il est d'un calme assez exceptionnel. Il en faut beaucoup pour l'énerver, sauf si cela touche aux personnes chères à son cœur – et aucun nom ne sera cité pour son bien. Il a appris, avec le temps à mentir. Vous me direz « Mais voyons, tout le monde ment, de temps en temps. » Peut-être. Certainement. Mais Isaak, c'est différent. Mentir est devenu, depuis quatre années maintenant, son métier. En-dehors, il n'en a jamais vraiment vu l'utilité, mais dans le cadre de son travail et tout ce qui peut y être lié, il n'hésite pas une seule seconde. Son cerveau est créatif, rempli d'idées lumineuses et ingénieuses pour tromper son monde. Il est bon dans ce qu'il fait. Il aime que les choses soient bien faites et il fait son maximum pour réussir. Loyal, il quitte tout quand on a besoin de lui, du moins quand son employeur a besoin de lui. Qu'il soit en grande conversation avec son père ou en moment intime avec une demoiselle, plus rien ne compte que le grand Aleksey qu'il respecte plus que tout. On pourrait dire qu'il est beau parleur. Non, en fait, il est plutôt bon orateur, captivant son auditoire avec sa voix à la fois posée et entraînante. Ça aussi, il en a besoin pour son métier. N'est pas remplaçant du patron qui veut. Il faut savoir gérer le business, les partenaires et les clients sans éveiller les soupçons et sans se faire marcher sur les pieds. Par chance, Isaak arrive souvent à se les mettre dans la poche. Il est très drôle. Enfin, c'est ce qu'il pense. Parce que souvent, il entend les gens rire quand il ouvre la bouche. Il ne fait juste pas vraiment attention de savoir si c'est un rire franc ou un rire de gêne ou de moquerie. En réalité, notre cher ami ne sera probablement jamais prêt pour du stand-up. Le IsaakShow devra attendre un petit peu. Par contre, il est multitâches. Non, je déconne. En réalité, il a beaucoup de mal à faire deux choses en même temps. Dès qu'il reçoit un coup de téléphone, il est obligé d'arrêter tout ce qu'il est en train de faire, sous peine d'accident malencontreux. Malgré son apparence de suiveur né – en même temps, cela fait longtemps qu'il est au service d'Aleksey, il fait presque partie des murs –, Isaak a de l'ambition. Probablement poussé par son père qui était devenu dépendant et redevable envers Amanda Sullivan, il se voit plutôt dirigeant que dirigé. Il le sait, il est encore un jeune loup et profite de son temps passé avec Aleksey l'expérimenté pour bénéficier d'une formation de choc.
Il est daltonien. Ce n'est pas vraiment un trait de caractère en soi, mais c'est important de le préciser. Il souffre plus exactement une deutéranomalie prononcée, sans dépasser le stade de la deutéranopie (ouep, j'ai réussi à vous placer deux mots intelligents dans la même phrase), c'est-à-dire qu'il a une lésion au niveau du récepteur de la couleur verte. En version française, ça veut dire qu'il a un peu du mal à faire la différence entre l'orange, le vert, le marron et le rouge clair. Dans sa vie de tous les jours, à part pour les paires de chaussettes et parfois les feux de circulation, ce n'est pas vraiment handicapant, mais il a déjà eu le malheur de se tromper dans la couleur des yeux de son ex dans un de ses compliments. Elle l'a assez mal pris. Depuis, il ne fait que hocher la tête lorsqu'on lui demande son avis. Vous allez dire « Mais c'est pas possible d'être agent du FBI en ayant une déficience visuelle !! ». Eh bien sachez, Messieurs Dames, que le daltonisme de notre cher ami Isaak est un daltonisme acquis il y a 4 ans (cf. l'histoire, c'est bête, il va falloir la lire) et qu'il voyait normalement lorsqu'il a passé les tests de vision. Aujourd'hui, s'il n'est plus sur le terrain, c'est pour cette unique raison, mais il le vit bien… enfin… Il lui arrive cependant de porter une lentille à l'œil droit pour corriger sa perception des couleurs, lui conférant un œil marron-vert. Nous avons tous un passé, un présent et un futur. Isaak est incapable de se souvenir de sa mère. Il avait pourtant essayé d'aller chercher au plus profond de sa mémoire. Il avait fait appel à des spécialistes, pour qu'il revoit sur sa rétine l'image qu'il aurait pu graver de celle qui lui avait donné la vie. Des charlatans. Aucun n'en avait été capable. Lui non plus d'ailleurs, alors qu'il lui arrivait de passer de longues minutes les yeux rivés sur la vieille photo en noir et blanc jaunie par les années. On pouvait y voir une jeune femme. Une très belle jeune femme. Elle n'était pas vieille. Peut-être vingt-quatre, vingt-cinq ans. Dans ses bras, il y avait ce petit être. Lui ne devait pas avoir plus de deux ans. Peut-être un et demi. Il fixait droit devant lui avec un air intrigué. La jeune femme, elle, n'avait d'yeux que pour le petit garçon qu'elle regardait avec tout l'amour dont était capable une mère pour son enfant. Isaak ne se rappelait de rien. Pourtant, c'était lui sur la photo, cela ne faisait aucun doute. Mais il ne pouvait revoir cet appareil qui le fixait. Il ne pouvait ressentir la chaleur des bras de sa mère contre son petit corps. Il ne se souvenait pas de cet amour inconditionnel qu'elle éprouvait pour lui, son fils. Non, il ne pouvait pas se souvenir. Yelena Tsariova était décédée des suites d'une maladie fulgurante à l'âge de vingt-six ans. Elle avait laissé derrière elle Anton Tsariov, son mari qu'elle avait rencontré dans les rangs du Komsomol – l'organisation de la jeunesse communiste en Union soviétique – et Isaak Tsariov, son fils alors âgé de trois ans. Les mois qui suivirent son décès furent difficiles pour Anton. Perdu, dévasté, il se battait pour résister au naufrage de sa vie. Mais il se fit rapidement submergé par le poids de la douleur. Il se retrouva licencier et, faute de pouvoir renflouer ses caisses, les factures commençaient à s'entasser et l'autorité n'était qu'à deux doigts de se saisir du peu de biens qu'il lui restait. Il ne devait son salut qu'à une seule personne : Amanda Sullivan. Grâce à elle, Anton se sentait à nouveau respirer. Non, elle n'était pas sa nouvelle amante, celle qui remplacerait Yelena dans son cœur. Elle n'était qu'une amie. Enfin… Elle était une amie. Probablement la plus grande de son existence. Elle l'invita chez elle, dans son immense maison. Non, elle fit bien plus que cela. Elle batailla contre l'administration et les ambassades pour lui procurer un visa de travail et l'embaucha chez elle. Anton quitta alors son pays natal pour s'installer dans son nouveau chez lui, emportant avec lui son fils et ses souvenirs. Ils seraient heureux, aux États-Unis. Il en était persuadé. Son enfance se passait plutôt normalement. Dans sa nouvelle famille, avec son père, Isaak grandissait dans un nouveau monde. Il n'avait pas vraiment vu la différence, bien trop jeune lorsqu'il avait quitté le pays communiste pour le pays libéral. Il n'avait même pas éprouvé de grandes difficultés à apprendre l'anglais, puisqu'il était à un âge où tout est plus facile pour l'apprentissage. L'anglais à la maison et à l'école, le russe avec Papa. Et rapidement, une grande surprise : un ventre rond qui grossit de jour en jour, une nouvelle chambre qui se construit, Papa qui aide à la peinture, Isaak qui porte les pinceaux. Quelques mois plus tard, une petite fille était née. Isaak eut même l'honneur de la rencontrer dans un hôpital ! Elle était minuscule ! Et pas vraiment très belle, en fait. Pourtant, quelque chose se produisit dans sa petite tête d'enfant de quatre ans. C'était comme s'ils étaient liés. Liés par un destin qu'ils ne maîtriseraient pas et dont ils seront esclaves. Leur enfance commune ne fut pas vraiment différente de celle des autres enfants. Elle était rythmée de ces petits plaisirs du quotidien qui restaient gravés dans leur mémoire. Les bonhommes de neige à Noël, les leçons de français, les cours particuliers de russe, les bêtises dans le dos des adultes, le partage du goûter. Et puis un jour, il disparut. Tonton. Avec un mot que les enfants ne comprennent pas. Il n'était simplement plus là. Isaak s'efforça alors de le remplacer. Il était le plus âgé. Il devait prendre soin d'elle. Anton n'était pas là pour ça, il avait beaucoup de choses à faire. Il prit alors le rôle de grand frère plus au sérieux, celui du grand frère, le confiant, l'ami, le meilleur ami. Tout, il était tout et il pouvait tout faire pour elle. Il se réveilla en sursaut quelques secondes avant d'entendre le cri, comme si son corps tout entier l'avait prédit. Il repoussa la couverture et sauta de son lit pour traversa sa pièce, enfin, celle qu'il avait occupé jusqu'à ce que son père déménage, mais qu'il squattait régulièrement, puis le couloir pour atterrir dans l'autre chambre. C'était presque toutes les nuits la même chose. Il se réveillait et il l'entendait crier. Cela lui déchirait le cœur, quand il pénétrait dans la pièce faiblement éclairée par les chiffres lumineux du réveil, de la voir ainsi. Il n'attendit pas qu'elle l'y invite pour se glisser sous le drap et la prendre entre ses bras. Il la berçait doucement contre lui, chantonnant une vieille chanson russe qu'Anton lui chantait quand il était petit. Avec précaution, il appuya ses lèvres contre le front moite. Qu'il détestait la voir ainsi, si fragile et si triste. Il ne comprenait pas ce qui pouvait se passer. Elle était comme ça depuis qu' il était entré dans leur vie. Depuis qu' il avait franchi le seuil de la porte, Isaak savait que ce type n'était pas net. C'était comme si un sixième sens, quand il l'avait vu, les poils sur ses bras s'étaient hérissés. Il n'avait pas confiance. Mais n'était-ce pas ce qu'on pensait toujours quand une nouvelle personne entre dans un cercle social très restreint ? « Promets-moi de ne jamais partir… », le suppliait-elle. « Je te le promets. », lui répondait-il avec la plus grande conviction dans la voix. C'était comme ça, avant. Avant… Plus les paroles sortaient de la bouche de Katherina, plus elles pénétraient dans le cœur d'Isaak, tels des couteaux venant le poignarder sans jamais lui faire l'honneur de le tuer. Les yeux du jeune homme étaient portées sur elle, et pourtant, il ne la voyait plus. Son esprit était parti loin, trop loin. Durant toutes ces années, il n'avait rien vu, il n'avait rien compris. Son instinct lui avait pourtant beuglé que quelque chose n'allait pas. Soudain, une vague de questions l'envahit. Pourquoi n'avait-elle rien dit dès le début ? Comment ce connard avait-il pu oser ? Pourquoi personne n'avait rien vu, malgré le fait que tout se passait au nez et à leur barbe ? Pourquoi n'avait-il pas été capable de la protéger quand il le fallait, des années plus tôt ? Isaak aurait voulu prendre sa tête entre ses mains, mais il n'y parvenait pas. La nouvelle l'avait vidée de son énergie. Il était secoué, cela se lisait sur son visage. Accompagnés de profonds cernes qui témoignaient d'une fatigue conséquente, la douleur et la rage qu'il ressentait à l'égard de cet enfoiré lui marquaient la peau. Il leva une dernière fois son regard vers celui de Katherina. Sa Katherina. Son tout. Il serra les dents, une fois de plus. « Je ne peux pas rester, pardonne-moi… », souffla-t-il. « Alors, tu te barres ? Comme ça ? Très bien, compte pas sur moi pour te retenir ! », s'énerva-t-elle. Ainsi avait-il rompu sa promesse, celle qui avait toujours résonné dans son esprit. Il sait pourquoi qu'il doit le faire. Pour son bien à elle, bien plus que pour le sien. Aujourd'hui, il la quitte, il préfère disparaître. Se donner le temps de réfléchir. De trouver des réponses à ses questions. D'oublier, qui sait. Mais jamais il n'oublia… Les premiers jours furent difficiles. Quand les jours devinrent des semaines, c'était comme s'il perdait peu à peu le sens de sa vie. Il ne quittait son lit que pour les besoins naturels vitaux de l'Homme. Le reste du temps, il le passait les yeux rivés sur le plafond. Il n'arrivait pas à dormir et le peu de fois où ses paupières se fermaient, il avait des flashs qui lui donnaient la nausée. Il n'y avait pas assisté, mais son imagination était fertile. Trop fertile. Un quelconque œil extérieur se serait interrogé. Pourquoi ce grand gaillard nous faisait-il un remake d'une rupture amoureuse, version féminine ? Isaak resta dans cet état d'isolation sociale pendant près d'un mois. Et puis, du jour au lendemain, sans vraiment comprendre pourquoi, il s'était levé et il avait enfilé un pantalon. Mieux, il avait même passé sa tête dans le trou d'un t-shirt. Encore mieux, il avait même passé la tête dehors pour aller s'acheter quelque chose à manger. Ce jour-là, il avait décidé qu'il était temps pour lui de partir. Quitter Huntington Beach pour de nouveaux horizons. Il avait beau avoir vécu en Californie pendant toutes ces années, parfois il ne se sentait pas chez lui, ou plutôt plus chez lui. Il fallait qu'il renoue avec ses racines. Alors il était allé voir son père. Ils avaient beaucoup discuté durant toute la nuit et Isaak décolla le matin-même. L'année qui suivit, il la passa sur la route, la plupart du temps. Il partit découvrir le monde, il se risqua même à pénétrer en Russie, à suivre les maigres traces de son père. C'était un nouvel Isaak qui passa à nouveau la douane américaine quelques mois plus tard. Ses traits étaient plus durs, une barbe hirsute noire lui mangeait une grande partie de son visage. Il avait perdu du poids mais pris de la masse. Il aurait pu retourner à Huntington pour retrouver son père, le serrer dans ses bras après une année complète sans nouvelle, mais il ne pouvait pas. Il avait autre chose à faire. Alors il se contenta d'un appel sur Skype, dans lequel il annonça qu'il allait passer le concours pour rentrer au FBI. Outre la petite larme de fierté qui roula sur sa joue une fois la communication coupée, Anton avait pu voir dans le regard de son fils que ce dernier avait changé. Il était un homme. Il avait passé les tests. Son cerveau avait chauffé. Il avait enduré. Et finalement, il avait réussi. Il allait devenir un agent du FBI. Enfin, pour le moment, il était entré à l'Academy pour y être entraîné. Finie la barbe, finie l'aventure tranquille. Ici, c'était à la dure. Il avait appris à tenir et à tirer avec une arme pour la première fois. Il avait compris le terme « souffrance physique ». Il en avait chié, mais il était arrivé jusqu'au bout, il avait réussi et à présent, il pouvait se présenter comme « agent Isaak Tsariov ». Le fait qu'il parle couramment russe l'aida beaucoup. Il fit plusieurs voyages vers la Russie, là où il n'éveillerait pas vraiment de soupçons, à part peut-être celui de souvent parler comme dans les années 80 – merci Papa, ça nous apprendra à déménager il y a 28 ans –, mais il travaillait tous les jours à actualiser sa langue. Les choses se passaient bien. Il revivait. Enfin. Tiraspol, Transnistrie, 7 août 2010. Les roulis du train sur les rails berçaient les voyageurs. Sur les sièges matelassés, on pouvait entendre des brides de conversation. Une femme qui se demande comment va Pupuce, son terrier ; un bambin qui interroge ses parents pour savoir quand on arrive ; deux amoureux qui se murmurent des mots doux – enfin… – à l'oreille. Les autres conversations n'étaient pas compréhensibles. Pas parce qu'elles n'étaient pas assez claires, mais parce qu'elles étaient en moldave ou en ukrainien. De toute façon, Isaak s'en fichait bien. Il avait perdu son regard sur la photo qu'il tenait entre ses doigts. Lentement, son esprit divaguait, se remémorant l'instant qui avait été immortalisé. C'était le soir de ses 21 ans. Il aurait pu aller faire la fête jusqu'au bout de la nuit, avec une folle nuit d'alcool, de vomi et de tentative de sexe. Mais cela ne l'avait jamais vraiment intéressé. À la place, il avait passé la soirée avec elle. Elle n'avait que 17 ans, et pourtant, elle ne faisait pas si jeune que ça. Ils avaient fait simple, ils avaient fait fou, à leur manière. Ils avaient passé la plus belle soirée de leur vie. Et en souvenir, ils avaient pris cette photo. C'était stupide, à l'époque. Elle s'était mise contre lui et il avait tendu l'appareil photo à bout de bras pour qu'ils logent tous les deux dans le cadre. Il avait passé sa main sur sa hanche, pour la garder près de lui, elle avait croisé les mains derrière sa nuque. Et puis ils avaient fait une grimace, comme à leur habitude. Mais cette fois, sans savoir pourquoi, Isaak appuya à nouveau sur le déclencheur. S'en était suivie une longue chamaillerie pour savoir s'il fallait ou non supprimer cette photo. Finalement, il gagna, tout simplement parce qu'il lui suffisait de tendre le bras vers le ciel pour que l'appareil soit hors de portée. Ce fameux soir, ils manquèrent de s'embrasser, retenus par une force inconnue. Maintenant qu'il savait la vérité, le jeune homme comprenait, peut-être même qu'il était reconnaissant que ce geste n'eut pas lieu. Il n'avait déjà pas supporté l'annonce de la nouvelle en qualité de meilleur ami, comment aurait-il pu survivre s'ils avaient été plus que cela ? Isaak caressa du doigt l'image figée de cet instant volé. Elle ne grimaçait pas. Elle souriait, et son sourire était la seule chose qui avait pu le garder entier. Il fut sorti de sa transe par un éclat de voix derrière lui. Il rangea la photo dans la poche secrète qui lui était réservée et laissa échapper un profond soupir. Il se leva alors, vérifiant que ses affaires étaient toutes là où elles devaient être, et quitta sa place pour se diriger vers les bruits. La suite des événements reste encore aujourd'hui très floue dans la tête d'Isaak. Il se souvient avoir vu deux hommes parler brusquement. Il se souvient avoir compris quelques brides avant de voir l'éclat d'un revolver à la ceinture du plus âgé des deux. Il se souvient d'une bagarre et puis plus rien. Plus rien à part un flash blanc. Et cette sensation d'être happé vers l'arrière, de se briser en mille morceaux et de ne plus pouvoir respirer. Il se réveilla deux jours plus tard, la tête lourde et la gorge desséchée. Il était complètement perdu et ne comprenait pas trop ce qui lui était arrivé. Une infirmière vint directement auprès de lui pour prendre ses constantes. Un médecin prit la relève pour lui expliquer sa situation. Il avait eu de la chance. Le souffle de l'explosion aurait pu le tuer, mais cela n'avait pas été le cas. Les trucs qu'on sort à tous les survivants d'un drame. Il avait été partiellement brûlé, mais les séquelles ne se verraient presque pas avec le temps. Il ne devait son salut qu'à une valise énorme en imprimé léopard contre laquelle bon nombre de voyageurs avaient râlé. Finalement, elle s'était avéré beaucoup plus utile que prévu. Il demanda ses effets personnels, on lui pointa du doigt la tablette à côté du lit. Il attendit qu'on refermât la porte avant de se précipiter, non sans mal, vers le lambeau que représentait à présent son blouson. Il fouilla fébrilement dans cette poche intérieure que personne ne soupçonnait et en sortit la photo. Elle avait été touchée, comme lui, par la déflagration. Elle était gondolée et les bords partaient en miettes. Au centre de l'image, une tâche noirâtre. La respiration d'Isaak se fit lourde et douloureuse et, contre toute attente, une larme coula sur sa joue. C'était bête, de pleurer pour une photo. Probablement que ses nerfs venaient de lâcher. Il la tenait délicatement entre ses doigts, de peur qu'elle ne se désagrège. Il avait sommeil. Terriblement sommeil. Il rangea son bien dans son blouson et sombra immédiatement. Il avait été rapatrié aux États-Unis trois jours après son réveil. On l'avait soumis à un interrogatoire éprouvant pour vérifier tout ce qui avait pu se passer. Durant ses trois jours en Europe, il avait appris que la catastrophe n'avait fait que peu de victimes, grâce à l'explosion précipitée de cette bombe destinée à la capitale. Cette idée d'avoir sauvé plus de gens qu'il n'en avait sacrifié ne le rendait pas plus heureux, mais il ne s'effondra pas. Il avait appris, malgré son peu d'années d'expérience, que les morts ne devaient pas être pleurer, mais honorés par le rire et la joie. Qu'il fallait vivre pour eux. Il fut mis en arrêt pendant près d'un mois, le temps que ses brûlures de cicatriser. Il eut donc du temps pour téléphoner à son père, pour profiter de la vie. Il dut aussi se soustraire à différents tests auprès du FBI, pour vérifier qu'il était apte à reprendre le travail. C'est finalement à son retour qu'on lui annonça sa sentence : il était mis sur la touche. La raison ? L'explosion ne l'avait pas seulement brûlé et brisé deux côtes, elle lui avait également endommagé la rétine. Il ne l'avait pas vraiment remarqué du premier coup d'œil, mais les couleurs de son monde n'était plus les mêmes. On lui donna le nom de sa pathologie, il ne la retint pas. C'était plus simple de dire qu'il était devenu daltonien dans la bataille. Bien entendu, on ne le laissa pas simplement partir. On ne licenciait pas un agent du FBI pour si peu. Non, on le transféra simplement. D'agent de terrain, il passa… assistant d'un certain Aleksey St James. Son statut par rapport à cet homme n'était pas vraiment défini. Il devait lui obéir, mais à propos de quoi… Une autre surprise l'attendait, puisque ce cher agent St James opérait dans un lieu qui n'était pas inconnu à notre jeune homme : Huntington Beach, Californie. Dans un premier temps, il fut tenté de refuser. De demander n'importe quel autre poste, même dans les pays les plus dangereux. Mais il ne dit rien. À la place, il prit le billet d'avion qu'on lui tendit et qu'il prépara ses maigres valises. Il appela ensuite son père pour lui demander s'il pouvait l'héberger le temps qu'il trouve un toit. Lorsque l'avion décolla, il avait les yeux rivés sur son écran. Il avait réussi à réunir quelques informations sur son futur employeur. Un retraité, pas si retraité que cela. Il fronça les sourcils. Il n'avait plus l'âge d'être sur le terrain. Des milliers de questions se posèrent dans son esprit. Des réponses, il en eut, bien entendu. Il apprit à connaître Aleksey, le travail qu'il faisait. Ses doutes des premiers jours avaient disparu. À présent, il formait ce duo improbable avec un partenaire/supérieur encore plus improbable. Et le pire, c'est qu'il aimait ça. Il avait les yeux grands ouverts, mais il n'avait pas bougé. Il fixait le plafond dans un silence quasi-complet. Seuls des bruits de respiration venaient perturber le calme de la chambre à coucher. Le trentaine réfléchissait, ses pensées se bousculaient, les vieux souvenirs ressassés, la douleur et la peine qui accourent au galop. » Il l'avait revue, pour la première fois depuis des années. Combien exactement ? Il ne savait plus trop. Il ne lui avait pas fallu longtemps pour la reconnaître dans la foule pourtant compacte de la boîte, la veille au soir. Elle n'avait pas vraiment changé. Ou alors peut-être en bien ? Quelle importance. Son cerveau avait cessé de fonctionner dès qu'il avait aperçu son visage. Quand il était revenu à Huntington, il s'était fait à l'idée qu'il y avait une probabilité de la recroiser un jour. Mais il se rendit compte qu'il n'était clairement pas préparé et qu'il n'aurait jamais pu l'être, quoi qu'il arriverait. Il avait encore plus perdu ses moyens lorsque son regard avait croisé le sien, pour la première fois depuis cinq ans. Une décharge électrique lui parcourut l'échine tandis que son visage se décomposait. Il aurait voulu s'avancer pour aller lui parler, mais il avait vu cette lueur dans les yeux de Katherina. Il n'y était pas autorisé. Pire que ça, il y était interdit. » Un mouvement contre lui le tira de son souvenir. Une main parfaitement manucurée vint glisser sur son torse nu tandis qu'un souffle vint se nicher dans le creux de son cou. Il passa son bras autour des épaules frêles, par mécanisme plus que par envie. Il la regarda du coin de l’œil et s'aperçut qu'elle était réveillée. Une flamme brûlait dans les prunelles de la jeune femme qui se redressa légèrement pour le surplomber. Une cascade de cheveux blonds vint lui chatouillait la peau. Il plongea son regard dans le sien. Il savait ce qu'elle attendait. Un sourire coquin se dessina sur les lèvres de la blonde et elle se laissa descendre pour happer les lèvres du Russe. Ce dernier se laissa faire et passa une main dans la chevelure d'or. Un coup de hanche et il la fit basculer sur le matelas pour se retrouver au-dessus d'elle. Le visage de Katherina s'estompa alors de son esprit. Mais le trentenaire le savait, il réapparaîtrait. Bien plus tôt qu'il ne le voudrait. Derrière l'écran : Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Mani, tandis que mon prénom est Marine. Je suis âgé(e) de 22 ans et je vis actuellement du côté de la villeuh rauseeuh, con. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Internet, ma première impression en le voyant a été un visiteur, venu d'ailleurs, oooooooh. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7/7 et que mon niveau rp est de quelques mots. Concernant mon personnage j'ai choisi Danila Kozlovsky comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Men with style comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥ |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 2:08 | |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 16:27 | |
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| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 19:55 | |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 20:03 | |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 20:29 | |
| Rebienvenue |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 23:24 | |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mar 24 Nov 2015 - 23:55 | |
| On a perdu Nee et Kitty dans la bataille Ravie de te voir je sens que je vais beaucoup m'amuser à lire vos rps à Kitty et toi En tout cas chouette histoire. Enfin chouette ... ta pigé quoi, t'écris super bien quoi pas qu'elle soit ... je m'enfonce ... ravie de te rencontrer enfin Eeeet j'vais aller me coucher ça vaudrait mieux xD Reew au passage . Que toutes ces conneries servent à quelque chose de concret au moins xD |
| | | Imran Johar MISTER MAYOR
› MESSAGES : 624 › EMMENAGEMENT LE : 01/12/2013 › AGE : 45 › STATUT CIVIL : VEUF, EN COUPLE AVEC NEELA MEYERS ; › QUARTIER : PALM AVENUE AVEC SA COUSINE ET SON NEVEU ; › PROFESSION/ETUDE : MAIRE D'HUNTINGTON BEACH, PIANISTE, ECRIVAIN, PSYCHIATRE, PSYCHOLOGUE ET CHEF DU DEPARTEMENT DE PSYCHIATRIE DE L'HOPITAL ST-JOHN ; › HB AWARDS : (2014) MEILLEUR PERSONNAGE MONEY DOESN'T MAKE HAPPINESS ; PERSONNAGE LE PLUS MÉCHANT ; COUPLE LE PLUS IMPROBABLE AVEC NEELA ; COUPLE QUI DEVRAIT SE FORMER AVEC NEELA ; SEX SYMBOL SENIOR (2015) MEILLEUR PERSONNAGE MONEY DOESN'T MAKE HAPPINESS ; MEILLEUR PERSONNAGE MASCULIN ; COUPLE DE L'ANNEE AVEC NEELA ; PERSONNAGE LE PLUS MECHANT ; SEX SYMBOL SENIOR ; HOMME PARFAIT ; MEILLEUR FACEBOOK ; SECRET LE PLUS INTÉRESSANTE . (2016) MEILLEUR PERSONNAGE MONEY DOESN'T MAKE HAPPINESS ; MEILLEUR PERSONNAGE MASCULIN ET ORIGINAL; COUPLE DE L'ANNEE AVEC NEELA ; PERSONNAGE A LA VIE LA PLUS COMPLIQUÉE ; SEX SYMBOL SENIOR ; MEILLEUR SECRET DÉVOILÉ › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : FARHAN AKHTAR, THE SPICY ONE. › COPYRIGHT : ELOW' + DELICIOUS-FARHAN (GIFS)
| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mer 25 Nov 2015 - 17:53 | |
| Enfin quelqu'un le joue ! Gosh, que j'ai hâte de voir la bouille de Danila partout sur le fo' ! (monsieur je chante dans les comédies musciales russe ) Bon, maintenant, je vais pouvoir faire chier Kath avec Isaak. A QUAND LE MARIAGE ? ps : Re-bienvenue quand même ! Fait pas trop de bêtise, hein ! |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mer 25 Nov 2015 - 20:38 | |
| - Isaak Tsariov a écrit:
- Il est très drôle. Enfin, c'est ce qu'il pense. Parce que souvent, il entend les gens rire quand il ouvre la bouche.
Alors là ! J'adore mdr Un très très grand RE-BIENVENUE ! Je sens que je vais bien m'entendre avec m'sieur Tsariov ... Il nous faudra un petit lien, et un RP |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Mer 25 Nov 2015 - 22:04 | |
| Chloé > Je pense avoir pigé... Ravi de te rencontrer aussi ! Elow > Il n'attendait que moi en fait !! (Chuuuuut c'est censé rester notre secret ) Merci !! Et n'hésite pas à l'embêter, elle adore ça PS : Tu sais comment je suis, toujours sage comme une image Adam > Ahah merci ! Je pense qu'effectivement, on peut bien s'entendre, toi et moi ! Un petit lien et un petit Rp sont notés dans ma petite tête |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Jeu 26 Nov 2015 - 19:20 | |
| - Imran Johar a écrit:
Bon, maintenant, je vais pouvoir faire chier Kath avec Isaak. A QUAND LE MARIAGE ?
JAMAIS *repart* |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Jeu 26 Nov 2015 - 23:54 | |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Jeu 26 Nov 2015 - 23:56 | |
| Bienvenue petit homme à peine musclé ! |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Ven 27 Nov 2015 - 5:44 | |
| Re-bienvenue Joli choix de scéna! |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Ven 27 Nov 2015 - 15:35 | |
| BIBI REBIENVENUUUUUUUE J'espère que tu t'amuseras bien avec ce monsieur et je compte bien suivre les aventures de Kathisa |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you Ven 27 Nov 2015 - 19:53 | |
| JE KIFF maintenant, je t'autorise, avec Kathou, de vous faire la misère éternellement, jusqu'à la fin des temps AMEN ! VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH « Soyez la bienvenue. » toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
- vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
- en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
- vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
- pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Neela) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: Isaak | I'll be there for you | |
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| | | | Isaak | I'll be there for you | |
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