NOM : Donroe il s'agit de mon nom de jeune fille, avant je portais le nom maudit de Kennedy PRÉNOMS : Arizona Riley, je dois ce prénom à ma mère qui n'arrivait pas à se décider et avait porté son attention sur la carte du pays affiché dans les toilettes. Riley est le prénom de mon père. SURNOMS : Je n'en aie pas, personne n'a prit le temps de m'en donnerAGE : 36 ans DATE DE NAISSANCE : le 7 octobre 1979 NATIONALITÉ : Américaine SEXUALITÉ : Hétérosexuelle SITUATION AMOUREUSE : Divorcée depuis deux ans, actuellement célibataire EMPLOI/ETUDES : Je n'ai pas d'emploi fixe, je n'ai jamais travaillé de ma vie. Je souhaite écrire un livre, mon premier livre. NOM DU QUARTIER : Pacific Lane, dans un petit appartement. ANIMAUX DE COMPAGNIE : Aucun, j'aimerais bien avoir un chien cependant.CHIFFRE PORTE BONHEUR : Le bonheur n'existe pas pourquoi lui attribuer un chiffre

Qui suis-je ? Je ne le sais pas moi même. Avant j'étais une jeune fille pleine de vie, je riais de bon cœur et j'aimais ça. J'étais une grande rêveuse, je voulais changer le monde, faire quelque chose pour les autres, marquer l'histoire. J'étais une étudiante brillante, je rêvais d'écrire et également de faire du cinéma. J'étais discrète, je n'avais pas réellement d'amis parce que je n'étais pas populaire et je m'en fichais car j'étais assez mature et intelligente pour comprendre que la popularité ne servait à rien dans la vie, la vraie vie. Puis je suis devenue une femme, j'ai cru en l'amour, j'ai rêvé en débarquant dans ce monde fait de paillette, j'ai profité, j'ai eu envie de plus encore et toujours avant de devenir une ombre, un objet que l'on plaçait à sa guise. Je n'étais plus bavarde, je ne rêvais plus, je ne voulais plus sauver personne. Un jour je suis devenue maman et c'est le rôle le plus important de toute ma vie, j'ai trouvé un sens à ma vie en tenant mon petit garçon dans mes bras. Je me suis battu, j'ai commencé à croire en quelque chose, j'avais envie de m'en sortir, je voulais avoir ma vie, lui offrir une vie surtout. Puis j'ai perdu, j'ai tout perdu, je n'avais plus de raison d'être. Je suis devenue un fantôme, une personne n'ayant plus d'espoir, plus de place dans ce monde. Mais si je suis là aujourd'hui c'est bel et bien parce que je suis en vie. Oui je le suis et je dois me battre, je dois construire quelque chose pour avancer, pour tenir et espérer un jour revoir mon petit garçon qui serait devenu un homme et qui je l'espère me voudra à ses côtés. J'ai pris un nouveau départ, je le dois. Qui suis-je ? Je ne le sais pas. A vous de me le dire, à vous de m'aider à devenir quelqu'un car aujourd'hui je suis seule.  

PART ONE. « I'm homeless »
Nous avons tous un moment marquant dans notre vie, nous en avons plusieurs mais il y en a forcement un qui se démarque des autres. Ce moment qui a marqué un tournant décisive dans votre vie. Je me souviendrais toujours de ce jour. Nous étions un mardi, je venais de quitter le lycée et chaque soir mon père m'attendait sur le parking de l'établissement. Nous avions un petit rituel, on s'arrêtait toujours chez Molly prendre une glace ou bien un chocolat chaud quand l'hiver pointant son nez. C'était notre moment à nous. Mon père n'était jamais en retard, c'était un homme ponctuel, pourtant ce jour là sa voiture n'était pas présente. J'avais pris place sur un banc, sortant un livre de mon sac commençant à le lire. Je n'étais pas inquiète, pourquoi le serais-je ? Nous vivions tous les trois dans une petite ville perdue à trois bonnes heures de New-York, mon père était le banquier de la ville tandis que ma mère s'occupait de la paroisse avec le révérant. J'étais leur seule fille, nous occupions une maison traditionnelle dans le seule lotissement que comptait notre ville. Pourquoi penser que quelque chose était arrivé à mon père ? En voyant qu'il n'était toujours pas là, j'avais prit la décision de marcher en direction de chez nous. Je pensais à la soirée qui aurait lieu ce week-end : la remise des diplômes, je n'avais pas de cavalier, j'étais plutôt discrète ou plutôt seule, je n'avais pas d'amis. Je ne suis jamais arrivé chez moi, mon chemin a croisé la voiture du Sheriff, John, le meilleur ami de mon père, c'est en voyant son regard que j'ai compris. Les mots ne servent à rien dans ces moments là. Ma mère avait eu besoin de mon père pour porter quelques courses pour la réception de dimanche midi après l'office. Ils s'étaient rendu chez Rendall, l'épicier du coin, et alors que mes parents se rendaient vers la seule et unique casser ils virent Willy, arme à la main. Willy c'était un gamin à problème, depuis toujours il causait du tord à ses parents, il sortait de prison et avait besoin d'argent, ses parents ne voulaient pas entendre parler de lui. Mon père connaissait bien Willy, alors il a voulu le calmer, mais ça n'a pas marché, un faux pas de mon père à inquiété Willy qui lui a tiré dessus, et en voyant ma mère hurler il a pointé son arme sur elle également avant d'abattre Rendall et fuir... J'étais seule. Je n'avais plus de famille.

PART TWO. « And it burns in my chest »
Savez-vous ce que ressent un objet ? La solitude, l'isolement, l'inutilité, l'incompréhension et un vide énorme. Ce sont des sentiments que je ressens chaque jour depuis de nombreuses années. Je suis seule, à l'écart de tous, je ne sers à rien, personne ne semble me comprendre et j'ai du m'inventer une sorte de bulle, un moyen de tenir. Je suis Arizona Riley Kennedy. Je ne suis plus rien. Je vis dans un immense appartement au cœur de New-York, je ne choisi pas mes vêtements le matin au réveil, je ne me prépare pas mon petit déjeuner, je ne remue pas ma cuillère dans mon café, je ne me coiffe pas ni ne me maquille pas seule, je reste assise dans le silence durant des heures, je souris lorsque l'on me le demande, je monte dans ma limousine lorsque je dois sortir parce qu'on me l'ordonne, je ne parle pas, sauf si j'en suis autorisé, je reste dans cet appartement, observant les grattes-ciels, la pluie et nos domestiques. Je ne suis rien, je pourrais hurler personne ne viendrait à moi, je pourrais me noyer personne ne me sauverait, je pourrais sauter du haut de l'immeuble que personne ne le remarquerait. Ma vie était ainsi faite, j'avais épousé un homme qui me paraissait être le meilleur du monde alors qu'il était la pire des espèces sur terre. Daniel appartenait au célèbre clan Kennedy, un cousin de cette famille tristement célèbre. J'étais jeune, innocente, je ne connaissais rien de la vie et j'ai cru en lui. Mariage grandiose, couverture du Times, gala en tout genre, une garde robe renouvelé chaque jour puis la descente. Daniel est un homme violent, lunatique, sans pitié. Il possède et ce pouvoir je l'ai payé cher. Je suis une poupée entre ses mains, je dois le laisser me posséder le soir quand bon lui chante, je dois supporter ses maîtresses pour soulager les envies que je lui refuse, je dois accepter ses cris sur mois, je dois subir sans bouger sa violence et accepter de recevoir de l'alcool en plein visage juste parce que ma réponse ne lui convient pas. L'enfer n'est rien comparé à cette vie. J'ai subis ainsi durant de nombreuses années.

PART THREE. « And it won't let me go »
Julian, l'amour de ma vie, mon fils. Lorsque j'ai appris ma grossesse je n'étais pas heureuse. Je ne voulais pas d'un enfant, pas un qui venait de mon monstre de mari, cette grossesse était horrible à mes yeux. Je ne pouvais m'empêcher de penser que j'étais enceinte parce qu'un soir il m'avait forcé, parce qu'un jour il m'avait frappé avant d'assouvir son envie subite... J'ai mal vécu cette grossesse jusqu'à ce que je ressente un coup de pied, le premier. J'avais posé ma main sur mon ventre arrondi prenant alors conscience que je portais mon enfant, c'était moi sa mère, peu importe le reste ce petit bout de chou à l'intérieur n'avait rien demandé, il était une victime de ce mariage. La venue au monde de Julian m'a sauvé, j'ai pris son arrivée comme un signe du destin, moi qui était prête à mettre fin à mes jours on m'offrait ce cadeau. J'ai également compris que je devais me battre, pour lui, pour nous deux. Julian n'intéressait pas réellement son père cependant j'avais vite compris qu'il était un héritier idéal. Durant plusieurs années j'ai préparé ma fuite, j'ai imaginé plusieurs choses, disparaître, changer d'identité mais les Kennedy avaient la main si longue que j'avais peur de vivre toute ma vie dans la peur de me faire prendre. J'ai opté pour la solution la plus légale. J'ai consulté un avocat, nous avons préparé un dossier durant des années puis un soir il a reçu ce courrier, lui annonçant la demande de divorce. Il était fou et il aurait tellement voulu me frapper, me tuer même mais son bras droit me sauva la vie, pas pour moi non pour eux, pour leurs affaires, pour que son image ne soit jamais sali et qu'il remporte ce procès. Je ne demandais qu'une seule chose, la garde de mon fils.


PART FOUR. « But peace will never find me»
Huntington Beach. Terre d'asile. Je suis Arizona Donroe, divorcée, mère d'un petit garçon de six ans que je n'ai pas revu depuis déjà deux longues années. Je suis détruite. Plus rien n'a de sens. Plus rien n'a de goût. Ma vie n'en est plus une. Deux longues années, pas une seule nouvelle, pas un appel, pas une photo, rien. Julian, mon bébé. Je me suis battu mais j'ai perdu, tout perdu. Je me suis même vu interdit de séjour à New-York, je n'ai plus le droit d'approcher mon petit garçon. J'ai tout tenté même l'enlèvement et j'ai eu le droit de passer par la case prison, par chance le juge a été clément, et l’association qui me défendait depuis l'ouverture de mon procès à payé ma caution. Aujourd'hui je dois reprendre une vie, je suis obligé d'avancer sinon je peux mourir dés maintenant. Ne croyez pas que cela est simple, bien au contraire c'est un combat chaque jour mais je suis sûr qu'un jour mon fils viendra à ma rencontre, il ne sera pas comme son père, je refuse de croire une telle chose. En attendant j'ai posé ma seule et unique valise à Huntington Beach, j'ai pris un appartement en location, un petit appartement mais je commence doucement. J'ai pris un petit boulot de serveuse dans un restaurant pour payer le loyer et j'ai commencé l'écriture d'un livre. Je refuse d'écrire quelque chose sur ma vie ou celle de Julian, je ne veux pas lui nuire. Je suis parti dans une histoire fantastique, oubliant ce monde si dur et en créant un autre. Je tente de me faire des amis, de laisser les gens m'approcher mais ce n'est pas facile, rien n'est gagné.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Frozen lips., tandis que mon prénom est christine. Je suis âgé(e) de 28 ans il paraît et je vis actuellement du côté de ma belle Normandie. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur dans mon cerveau, ma première impression en le voyant a été . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de plutôt bon. Concernant mon personnage j'ai choisi Reese Witherspoon comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi nom du groupe comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement Je le connais & il est validé par moi même . A bientôt sur le forum