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| Auteur | Message |
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| Sujet: Loud noises and silences Lun 15 Aoû 2016 - 21:12 | |
| Je suis un équilibriste ivrogne en croisade contre la facilité qui n’a jamais accepté qu’un principe aussi commun que la gravité dicte l’angle selon lequel je dois avancer pour ne pas m’écraser le visage au sol.
Néo, c’est mon petit frère handicapé.
Je réalise cependant que je dispose d’un filet de sécurité. Et ça, c’est malhonnête. Malhonnête envers tout à ceux à qui je fais accroire que je risque tout à chaque moment. Envers ceux dont le cœur palpite, de crainte ou d’anticipation, lorsque je chancèle. Envers moi, car je sais disposer d’une échappatoire.
Envers elle, également. Surtout. Car elle vaut mieux que ça.
Kath habite une partie de moi bien circonscrite qui détonne par sa sincérité de tous les mirages que je cultive, tout comme elle m’héberge dans un coin bien à l’abri de l’univers qu’elle projette. Nous ne sommes ni l’un ni l’autre ce que nous prétendons, au final ; moi, pas aussi fort, elle, pas aussi vulnérable. Et nous sommes probablement les deux seuls à le savoir.
Rien ne changera, bien sûr. Sauf que tout sera différent.
Du coup, je décide de m’inviter à l’improviste chez Kath, pour célébrer cet arbitraire moment à partir duquel mon esprit rejoindra l’occasionnelle initiative de ma queue et volera en mode commando en permanence. Aussi étrange que cela puisse sembler, je me sens extatique. Comme quoi la sécurité constitue véritablement une entrave à la liberté originelle.
Pour faire changement, je décide d’éviter la porte principale. Je fais rapidement le tour de la maison, en essayant de deviner dans quelle pièce elle se planque. Sans succès. Confiant en ma bonne étoile, l’idée qu’elle ne soit pas à la maison ne m’effleure même pas l’esprit. Il y a un bon moment que je ne l’ai vu, alors que nous étions mutuellement occupés par nos tentatives de conquérir le monde.
Je me demande si elle a changé la couleur de ses cheveux ?
Finalement, je décide d’opter pour la fenêtre à l’arrière de la cuisine. Il ne me faut guère plus qu’une petite minute pour retirer mes chaussures, forcer mon chemin et m’infiltrer comme un voleur. Sur la pointe des pieds, je parcours l’intérieur de la maison furtivement à la recherche de ma ‘sœur’. Méthodiquement, je finis par découvrir l’endroit où elle se terre. Avec un peu de chance, elle somnole. Ou mieux encore…
Sans un bruit, je me colle contre la porte à peine entrebâillée, derrière laquelle je soupçonne Kath de se trouver. Puis j’y fous un coup de pied aussi violent que possible, avant de beugler :
" Brigade des mœurs! Remontez immédiatement vos pantalons! "
Pas que je croyais qu’elle n’était pas seule, mais dans un cas comme dans l’autre, la plaisanterie se valait.
" Coucou, Kath. Je t’ai manqué ? "
J’ai bien entendu le sourire fendu jusqu’aux oreilles. Jusqu’à ce que…
" Oh... je suis désolé… est-ce que ça va …? " |
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| Sujet: Re: Loud noises and silences Jeu 1 Sep 2016 - 4:22 | |
| Katherina était de repos aujourd'hui, car oui, il existait de rares jours où elle ne travaillait pas et où elle pouvait faire ce dont elle avait envie : c'est à dire, dormir pour récupérer toutes ces fois où elle n'avait pas pu. Ce matin-là, la brunette avait décidé de flâner au lit et de n'en sortir que quand son estomac réclamerait à manger - c'est à dire assez rapidement -. Des heures passèrent avant qu'elle ne se décide à quitter ses draps et à enfiler autre chose que son pyjama jour de flemme. Rapidement elle récupéra un t-shirt et un jeans, toujours jour de flemme, et releva ses cheveux en un chignon négligé, parce que flemme.
Elle descendit les escaliers pour nourrir les animaux avant de se servir un petit déjeuner, des tartines et du chocolat chaud, petit déjeuner de roi ! Katherina s'installa devant la télé en zappant jusqu'à tomber sur un bon dessin animé devant lequel elle allait sûrement se tordre de rire. A nouveau, la brunette passa un long moment sans bouger, changeant plusieurs fois de position jusqu'à trouver la bonne. En regardant autour d'elle, elle se rendit rapidement compte que c'était l'heure de faire un peu de ménage, avant que quelqu'un d'autre ne se décide à balancer ses affaires par la fenêtre - sait-on jamais -. Katherina se leva, non sans soupirer, s'étira et se décida enfin à bouger ses fesses et rendre un peu de propreté à sa grotte. Elle ouvrit la porte de derrière pour faire sortir les chiens et les laisser s'amuser dans le jardin, prenant soin de bien refermer derrière eux.
Elle récupéra un panier dans lequel elle rangea toutes ses affaires, faisant le tour des pièces, retrouvant des habits qu'elle croyait perdus, et certains dont elle avait oublié l'existence. Katherina monta a l'étage pour continuer son ménage, chantonnant des chansons pour se motiver et ne pas s'arrêter en cours de route. C'est pour cette raison qu'elle n'entendit pas Tom se faufiler comme un voleur chez elle et faire son petit tour dans la maison pour la trouver.
La brunette avait fermé la porte derrière elle pour vérifier s'il n'y avait pas des affaires cachés derrière, si elle avait su... Katherina estimait avoir fait le tour des pièces, et donc qu'elle pouvait poser le panier quelque part, aller faire autre chose, et venir le récupérer après. Alors c'est ce qu'elle fit avant de s'approcher de la porte pour l'ouvrir.
Sauf que la porte s'ouvrit toute seule, et violemment puisqu'elle avait été ouverte à l'aide d'un coup de pied. Et malheureusement pour elle, la porte avait décidé qu'il était temps de faire connaissance avec son visage, ou plus exactement son nez. La douleur fut si intense qu'elle eut l'impression de la sentir monter jusqu'à son cerveau, étouffant un cri, Katherina porta sa main à son nez en marmonnant des insultes tandis que du sang commençait déjà à couler. Elle leva finalement les yeux pour apercevoir Tom, en réalité, c'est grâce à sa voix qu'elle le reconnu, parce que sa vision etait partiellement flou à cause du choc. "Brigade des quoi ? De quoi ?", marmonna-t-elle en tentant de reprendre ses esprits, parce que bordel le coup avait été violent ! La brunette prit finalement le temps d'observer sa main et de se rendre compte que ça craignait, oui, littéralement. "PUTAIN TOM ! Tu fais chier !!!!", parce qu'après la confusion venait la colère, la grosse colère, le genre de colère qu'il valait mieux éviter, "fais chier ! Je saigne !", comme si ce n'était pas visible et qu'il ne s'en était pas rendu compte par lui-même, "non ça va pas, ça fait un mal de chien !!!!", et après la colère vient la douleur, la vraie douleur. |
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| Sujet: Re: Loud noises and silences Mer 21 Sep 2016 - 22:20 | |
| La délicatesse possède plusieurs vertus, à ce qu’on dit. Elle contribue notamment à décroître les risques d’accidents, apparemment. Mais les accidents, c’est la vie. C’est la beauté du chaos direct dans ton visage. Littéralement.
" Des mœurs, Kath. La brigade des moeurs. J’viens pour une inspection surprise, pour évaluer la décence de ton mode de vie. "
Une mission sacro-sainte. Il est si facile de se laisser dériver vers de dangereuses habitudes, comme l’embourgeoisement ou le mimétisme avilissant.
Je fouille rapidement les alentours du regard, m’arrêtant sur une taie d’oreiller que je ramassai et tendis à Kath.
" Tiens, met ça sur ton nez. Fais pas ta victime- ta mère viendra pas te consoler. Et puis, c’était juste une petite porte. Tu vas t’en sortir. Tu veux un truc ? "
Je fouille rapidement dans mes poches et j’en sors deux petits sachets transparents contenant des comprimés blancs de forme différente.
" J’crois qu’il y en a un des deux qui a un lien avec la morphine. Tu te sens chanceuse ? "
Je la contourne, passant aussi loin d’elle que possible, au cas où elle trouverait suffisamment de hargne en elle pour me foutre son pied aux couilles, puis je vais m’assoir sur son lit. Putain que j’adore sa couette.
" Au risque de me répéter, qu’est-ce que t’attends pour foutre le feu à cette baraque ? Ça te ferait moins de choses à t’occuper. Ou bien tu pourras abattre tous les murs ? Ça serait chouette ça! En plus, t’aurais plus besoin de portes. C’est dangereux, les portes. Manifestement. "
En me penchant sur la gauche, j’arrive à récupérer un pyjama et des sous-vêtements. Que je détaille avec attention, avant de les balancer dans la direction du panier.
" Sérieux, tu veux que j’aille chercher de la glace ? "
J’ai un petit élan de remords, alors que je réalise qu’il existe probablement de meilleurs préambules à la raison de ma visite que de lui défoncer le nez. Après, elle n’est probablement pas dans les meilleures dispositions du monde pour apprécier la beauté de l’improbabilité de ce qui vient de se produire.
" Sinon, on m’a déjà dit que mes mains étaient divines. Si tu veux, on peut essayer de voir si elles peuvent arrêter les saignements ? Viens voir tonton Jesus, pécheresse. "
J’agite mes deux paluches comme un vieil oncle pervers qui rêve d’explorer la poitrine de sa nièce. |
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| Sujet: Re: Loud noises and silences Sam 29 Oct 2016 - 21:25 | |
| Katherina se tenait le nez en marmonnant plusieurs insultes. Bordel ce que ça faisait mal une porte dans le nez. La brunette leva les yeux pour porter son attention sur Tom et lui lancer un regard noir, le genre qui devait faire froid dans le dos, « tu vas voir ce qu’elle va te faire la brigade des mœurs, ça va te faire tout drôle ! ». Katherina fronça les sourcils en attrapant la taie d’oreiller et l’agita à plusieurs reprises devant lui, « t’étais à cours de mouchoir ? ». Elle aurait voulu lui coller son poing en pleine figure, premièrement parce qu’il venait de parler de sa mère, et que généralement c’était un réflexe qu’elle avait à chaque fois. Et deuxièmement parce qu’il osait lui demander de ne pas faire sa victime parce que ce n’était qu’une petite porte, « c’était juste une petite porte ? Viens que je te montre si c’est juste une petite porte ! ».
La brunette fronça les sourcils en voyant Tom sortir deux petits sachets contenant des comprimés, « tu te drogues toi ? », finalement elle haussa les épaules, estimant qu’elle n’avait pas envie de lui faire la morale, « je me sens vraiment pas chanceuse aujourd’hui, mais tu sais quoi ? Je suis prête à prendre le risque », lança-t-elle avant d’attraper un des sachets pour prendre le comprimé, priant pour que ce ne soit rien de méchant. Et puis au pire, tant pis ! Katherina l’observa la contourner et fronça les sourcils, elle s’approcha finalement de la table de chevet pour récupérer un mouchoir et tenter d’arrêter son saignement, elle s’installa ensuite à côté de lui sur le lit, « juste pour savoir…. C’était quoi l’autre comprimé ? ». Non, parce que dans le fond elle voulait quand même savoir ce qui l’attendait. La brunette balaya la pièce des yeux en étirant un petit sourire, c’est vrai qu’ils avaient déjà parlé de mettre le feu à la maison, mais elle n’en avait jamais vraiment eu l’intention…. Ou le courage. « J’en sais rien, je crois que j’y suis attachée à cette maison ! Et tu sais, les portes sont pas dangereuses, par contre toi…. », Katherina se pinça la lèvre avant de rire.
La jeune femme secoua la tête en souriant, elle était quasiment sûr que le saignement allait s’arrêter et la douleur s’en aller, ou qu’elle finirait suffisamment défoncée pour oublier tout ça. Elle laissa échapper un petit rire en haussant les épaules, « je suis certaine que tes mains sont divines, mais j’ai pas envie de prendre le risque que tu me casses autre chose ! ». Katherina éclata de rire en voyant Tom agiter ses mains, elle recula rapidement en tapant à plusieurs reprises ses mains pour le repousser, « AH ! Non ! Me touche pas avec tes grosses mains ! » |
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| Sujet: Re: Loud noises and silences Ven 16 Déc 2016 - 22:32 | |
| " Ah tah boy, girl. Tu fais honneur à ta profession! Se droguer, c’est un concept tellement flou… mais pour répondre à ce que je crois être question, le contenu de mes poches ne dépend que très rarement de ma volonté. "
Elle était belle à voir, avec sa taie d’oreiller qui virait au rouge, à avaler sans broncher des pilules non identifiées. Mais il fallait voir son visage, lorsqu’elle fulminait… Un cadeau venu directement du ciel, dans ce siècle manquant cruellement d’ange vindicatif. Si je savais peindre, ce moment piétinerait sauvagement la discrète beauté de la Joconde. Avant de lui cracher dessus.
Je me contente d’un sourire satisfait lorsqu’elle me demande ce que contenaient les seconds comprimés.
" De la bête extasy. Pas de quoi écrire à sa mère. Le Salvia divinorium, par contre…"
J’lui avais pas menti – ça agit via un des trois récepteurs à la morphine. Sauf que ça n’a rien à voir avec aucune forme d’analgésie. Je me demandais si ça allait faire flipper sa jolie tête de médecin.
" Arrête, j’suis doux comme un agneau. C’est toi qui faisait des trucs pas nets planquée au milieu de nulle part. T’es seule, d’ailleurs ?"
Nous n’étions pas exactement du genre à se rencontrer une fois par mois autour d’une table pour discuter des tribulations de nos existences respectives. Nah, notre relation dépassait ces p’tites conventions classiques du quotidien familial tel que décrit dans le guide de la bonne petite famille. Nous, on ne faisait pas dans le flah flah – on était uniquement nous-mêmes. Le reste, ce n’était que des distractions.
Je m’intéressais néanmoins discrètement à la distraction que j’avais vu au bras de Kath il y avait quelques temps, lors de la célébration de l’anniversaire de notre cher maire adoré.
" T’es toujours seule quand je viens te rendre visite. Faut que je m’inquiète ? Tu veux que je te présente des punks ? Des banquiers ? Des cordonniers ? Des retraités ?"
Plus que quelques minutes avant d’être fixé sur le contenu de son cachet.
"`Hey, en fait, je venais surtout voir si ça te branchait d’aller à une manif anti-Trump, à L-A, aujourd’hui. Mais compte-tenu de ce petit incident entre toi et cette porte, et le fait que t’es à un pile ou face près de vivre ce qui sera probablement ta plus grande expérience hallucinatoire, on serait peut-être mieux de reconsidérer…"
Je jetai un regard sur le sac dans lequel elle avait plongé sa main précédemment, avant d’hausser les épaules. Peu importe ce que ça contenait, c’était moche de l’y envoyer toute seule… Non ?
"`Fuck it."
J’en avalai un également.
Finalement, c’était peut-être aujourd’hui qu’elle passerait au feu, cette satanée baraque…. |
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| Sujet: Re: Loud noises and silences Dim 19 Fév 2017 - 22:56 | |
| « Si tu savais tout ce que j’ai pris pendant mes années de fac… On appelait ça les crash-test. » Et c’était surtout l’unique moyen de tenir plusieurs jours sans dormir – entre les révisions, le travail, les soirées, fallait bien trouver quelque chose. « Mais je dois t’avouer que me droguer à l’aveugle, c’est une première », et peut-être même une dernière selon les effets qu’elle allait ressentir dans quelques minutes.
Katherina haussa les épaules en entendant Tom lui indiquait le contenu de ses sachets. De l’ecstasy, bon… Dans le pire des cas, elle risquait de subir un épisode de délires intenses, peut-être même d’actions qu’elle finirait par regretter, mais rien de très horrible. La brunette fronça finalement les sourcils en entendant ce que contenait le deuxième sachet, « de la…. Putain Tom ! Dis moi que c’est une blague… ». En fait, le connaissant, elle se rendit compte par elle-même qu’il ne rigolait pas, et qu’elle avait sans doute pris une drogue hallucinogène. Premièrement, Katherina n’avait jamais pris ce type de drogue, et deuxièmement elle risquait probablement de passer par la fenêtre en pensant avoir des ailes. Bon, fallait l’avouer, la brunette commençait à paniquer un peu, juste un tout petit peu… Non, parce qu’avec la chance qu’elle avait, elle était sans aucun doute tombé sur la drogue hallucinogène hein. « Juste comme ça hein… Tu te balade souvent avec ce genre de trucs dans les poches ? », c’était pas pour lui faire la morale hein, il peut venir la voir avec ça quand il veut.
Katherina leva les yeux au ciel en étirant un petit sourire en coin. Tom, doux comme un agneau, mais bien sûr… Tellement doux qu’elle se retrouvait avec un nez à moitié cassé. « Faire le ménage c’est des trucs pas nets pour toi ? », elle marqua une petite pause en haussant les épaules, « remarque… Je le fais tellement pas souvent que ça doit te faire bizarre ». Effectivement, Katherina n’était pas le genre de nana à faire le ménage toutes les semaines, mais là c’était clairement devenu une nécessité. « Oui, je suis toute seule… Enfin si tu comptes pas les animaux », qui devaient sans doute dormir tranquillement quelque part puisqu’ils n’avaient pas empêché Tom de monter dans la chambre pour casser le nez à Katherina. Adopter des chiens ils vous défendront qu’ils disaient…
C’est vrai qu’à chaque fois que Tom débarque chez elle, la brunette est toute seule… Mais faut dire qu’avec le métier d’Isaak, enfin surtout son emploi du temps, c’est pas facile de le croiser. Katherina haussa les épaules en riant un peu, « non, t’as pas besoin de t’inquiéter… Ni de me présenter qui que ce soit, je suis déjà avec quelqu’un ». Elle fronça ensuite légèrement les sourcils, surtout parce qu’elle avait l’impression de déjà commencer à ressentir quelques effets. La brunette soupira discrètement en tentant de rester le plus calme possible, dans très peu de temps elle aurait la réponse à sa question : sur laquelle des deux drogues elle est tombée ?
Katherina l’écouta parler avec beaucoup d’attention, plissant légèrement les yeux. « Ma plus grande quoi ? », souffla-t-elle en tentant de rester concentrée, « Trump ! Non, mais oui, mais oui ! On peut y aller si tu veux, va juste falloir que je me change… Parce que sinon on risque de me confondre avec un sac de patate… Ouais, un sac de patate avec le nez en sang ». Elle observa ensuite Tom avala le contenu du sachet, la brunette fronça légèrement les sourcils en soupirant, « ouaaaais, non, finalement on va reconsidérer, ouais on va faire ça », et c’était peut-être mieux hein… Parce qu’ils risquaient de finir en prison ces deux-là en se rendant complètement drogués à une manifestation anti-Trump.
« Tom ? C’est dingue… J’avais jamais remarqué que t’avais des cheveux aussi beaux… », elle marqua une petite pause le temps de passer ses mains dans ses cheveux et les frotter doucement en étirant un grand sourire, « woaw… ils brillent, genre… des paillettes, t’as des paillettes dans les cheveux ». Katherina recula finalement, observant cette fois-ci ses mains avec un air émerveillé. « Je vous déteste, toi et tes cheveux pailletés ». |
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| Sujet: Re: Loud noises and silences | |
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