NOM : Bhatt PRÉNOMS : Devika SURNOMS : Devi, Didou, Kaka AGE : 29 ans DATE DE NAISSANCE : 09/11/1988  NATIONALITÉ : Américaine d’origine indienne SEXUALITÉ : Hétéro SITUATION AMOUREUSE : Mariée mais c’est compliqué EMPLOI : sans-emploie NOM DU QUARTIER : President Drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : aucun CHIFFRE PORTE BONHEUR : 9.

Devika c’est une ado rebelle qui a grandi un peu trop vite. Elle a toujours été de ceux qui s’attire des ennuis, mais jamais seule. C’est une amie plutôt fidèle mais qu’on a souvent du mal à cerner. On la dit franche, sure d’elle, parfois limite arrogante, mais difficile de s’avoir si c’est véritablement elle, ou une simple façade. Parce que Devika n’aime pas trop parler d’elle, ou de ce qui la tracasse. Elle garde tout à l’intérieur, tout pour elle, jusqu’à ce que ça explose. C’est le genre de fille qui disparait sans raison, du jour au lendemain, qui ne répond plus au téléphone, avant de refaire surface, comme si de rien n’était. Pourtant sous cette carapace se cache un cœur tendre. Un petit bout de femme qui demande simplement un peu d’attention. Seulement Devi, elle n’est pas très douée quand il s’agit de sentiment, elle met les pieds dans le plat, ne sachant jamais quand il faut les partager ou les garder pour elle. Elle a tendance à tout dire ou rien et bien souvent c’est cette dernière option qu’elle choisit.

« Tu me fait honte Devika. Tu te comportes comme ces gamines américaines qu’on voit à la télévision. On ne t’a pas élevé comme ça ! » Râla sa mère en Hindi, alors qu’elle traînait sans ménagement sa fille par le bras pour l’entrainer vers l’imposant monospace garé en double file. Madame Bhatt avait abandonné son pays et sa carrière pour son mari et sa famille. Elle qui était une actrice très appréciée en Inde, avait suivi son époux ici. Laissant strass et paillette pour une belle maison à l’américaine et une vie de femme au foyer comme on en voyait dans les films. Et au début elle en était ravie. Elle n’avait qu’une fille, parfaite, sage, intelligente... Bref c’était un vrai bonheur de s’occuper d’elle et toute les voisines l’enviaient. Mais ça c’était avant l’arrivée de son second enfant. Devika. Petite tornade brune qui contrairement au reste de sa famille était née sur le sol américain. Un léger accent indien à force de côtoyé ses parents, une mère qui tenait à l’habiller en sari pour le bal de l’école et qui lui préparait des petits plats fait maison qui ne ressemblaient en rien au sandwich au beurre de cacahuète de ses camarades. Bref, Madame Bhatt pensait bien faire mais ne facilitait pas vraiment l’intégration de sa fille. Alors Devika avait rapidement dû trouver un moyen de se faire accepter parmi les autres enfants. Quitte à se démarquer autant que ce soit pour impressionner la galerie. Alors elle enchainait les bêtises : toilettes des filles inondés, colle sur la chaise du professeur, vente de cigarette à la pièce sur le parking du lycée... Les années passaient mais Devika ne manquait visiblement j’aimais d’inspiration. Elle était la fille cool dont on avait un peu peur, celle dont on parlait dans les couloirs, qu’on admirait ou qu’on détestait, mais dont on n’osait pas se moquer. Et aujourd’hui encore la tornade avait frappé et le directeur avait, comme trop souvent, appelé madame Bhatt pour qu’elle vienne chercher sa fille.

Malgré toute ces frasques, Devika termina le lycée. Rien de brillant, à vrai dire, c’était tout juste ce qu’il fallait pour passer à l’étape suivante : l’université. Pour monsieur Bhatt, ingénieur financier de profession, fièrement diplômé d’Oxford, il était impensable que sa fille ne fasse pas d’étude supérieur. Seulement avec ses notes tout juste passables et son manque très net de motivation, Devika n’était acceptée que dans des universités de bas étages. Alors oui, elles lui fourniraient un diplôme mais à quel prix ? Le nom Bhatt serait trainé dans la boue et il n’en était pas question. Evidemment la première solution était d’envoyer Devika à l’étranger. Le plus loin le mieux. Etudier à l’étranger semblait toujours positif et prestigieux, cela même si l’université en question ne l’était pas vraiment. Alors on l’envoya en France, à Paris, et on lui paya un appartement dans le centre-ville. Seulement à cette distance, difficile pour Madame et Monsieur Bhatt de surveiller l’électron libre qui leur servait de fille. À Paris Devika faisait tout sauf aller en cours. Son père avait de toute façon choisit une filière pour elle, elle n’avait pas eu son mot à dire et clairement les cours de droit des affaires, et autre lecture sur les politiques de négociation ne l’intéressaient pas. Elle préférait sortir en ville, faire la fête, dormir jusqu’à point d’heure et dépenser l’argent de ses parents sans compter. Ça dura un an, puis ils la firent rapatrier, forcé de constater que ça ne marchait pas et qu’il fallait passer au plan B : le mariage. Une femme au foyer ne pouvait pas ternir la réputation de la famille et n’avait pas besoin de diplôme. Et Devika, belle comme tout, ferait certainement un heureux. C’est son père qui trouva le chanceux. Rien de romantique évidemment. Des parts de marchés revendus, des conseils financiers gratuits… Bref Monsieur Bhatt vendait sa fille au plus offrant. Et c’est le fils d’un tradeur qui avait fait fortune après la crise financière de 2008 qui remportait la mise. Fils qui avait réussi professionnellement mais qui, visiblement, et sans raison apparente, ne parvenait pas à garder une petite amie plus de trois mois. On lui offrait Devika sur un plateau d’argent. Elle n’était pas la plus sympa, pas la plus brillante, mais quand on la forçait un peu elle présentait bien. Il ferait des jaloux avec elle à son bras et puis une fois la bague au doigt, elle n’irait nul part. Et c’était tout ce qui comptait.

Une boite de cachet presque vide sur le carrelage, une autre déjà bien entamée qui trainait à côté. Devika attendait que ça passe. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle venait d’avaler, ni même du nombre de cachet qu’elle avait pris, la seule chose dont elle était certaine c’est qu’elle avait largement dépassé les doses indiquées. Et tant mieux. Dans un premier temps elle avait pensé faire glisser ce mélange de comprimé avec de l’eau de javel, histoire d’être sûr de son coup ; mais l’odeur lui avait donné un haut-le-cœur, et elle avait renoncé, ne voulant pas se retrouver la tête au-dessus de la cuvette, à vomir tous ces médicaments. Le regard dans le vide, assise par terre, le dos appuyé contre la baignoire elle avait profité de l’absence du monstre qui lui servait d’époux pour passer à l’acte. Ce n’était pas véritablement prémédité, mais disons qu’elle y pensait depuis un certain temps déjà. Chaque fois qu’il posait une main sur elle, qu’il la forçait, qu’il la frappait et même lorsqu’il se voulait plus tendre et qu’il la prenait dans ses bras, elle y songeait. La mort comme seule échappatoire, ça semblait ridicule, égoïste et injustifié. Mais elle y avait bien réfléchi. Ses parents seraient certainement plus heureux comme ça. Son départ soudain serait probablement un soulagement et son décès leur attirerait la sympathie de bon nombre de personne dans le quartier ; ce qui était certainement un bon point pour sa mère qui aimait tant être au centre de toutes les attentions. Puis ils garderaient l’image d’une Devika heureuse, marié à un homme riche, un homme bien. Oui parce que si dans leur bel appartement de President Drive ils ne s’aimaient pas, à l’extérieur c’était une autre histoire. Une perpétuelle pièce de théâtre, une représentation qui n’en finissait pas dans laquelle Devika avait le rôle de l’épouse parfaite. Souriante, embrassant son mari, lui prenant la main le tous avec les yeux pétillants de bonheur. Un seul regard de travers et elle savait ce qui l’attendait en rentrant. Alors oui, sa famille et ses amis n’en savait rien, mais elle vivait dans la peur. Elle n’était plus en sécurité sous son propre toit, prise en otage d’un homme qui lui faisait vivre un enfer. Elle préférait s’ôter la vie plutôt que de laisser ce monstre la lui prendre.
Elle sentait son rythme cardiaque s’accélérer petit à petit, elle tremblait, alors que des larmes venaient rouler sur ses joues. Elle ne pouvait plus faire demi-tour. Elle se laissait lentement glisser sur le sol froid, oubliant un détail, et pas des moindres : Sa meilleure amie. Elle devait venir la chercher pour sortir faire une viré shopping. Si elle avait véritablement prémédité son acte, elle aurait pris soin d’annuler cette stupide sortie. Mais elle n’en avait rien fait. Car se suicider ça demandait tout de même du courage et une certaine détermination, et ça, ça ne se planifiait pas. Alors forcément, son amie finit par sonner à la porte, puis en l’absence de réponse, rentra dans l’appartement. Encore consciente, Devika pouvait l’entendre l’appeler, alors qu’elle se sentait lentement sombrer, s’étalant de tout son long sur le sol de la salle de bain, renversant une de ces foutus boites de cachets sur son passage.

Le médecin avait été sans appel : Devika portait toutes les marques d’une femme battue et violée. Monsieur et Madame Bhatt n’en revenaient pas et pourtant ils étaient tous les deux fautifs. Lui, qui avait voulu caser sa fille avec cet inconnu. Elle, qui avait fait de ce petit couple le sujet phare de toutes ses conversations avec les voisins, forçant ainsi sa fille à conserver les apparences.
La police avait été contacté, des confessions laborieuses avaient été récupéré et moins de deux semaines après l’incident, Devika était retournée chez ses parents. Même quartier, à quelques pâtés de maison de l’appartement qui lui avait servi de prison pendant près de cinq ans, elle retrouvait la liberté en retrouvant sa chambre d’ado et la grande maison où elle avait grandi. Dans le voisinage les rumeurs allaient de bon train : dépression, toxicomanie, alcoolisme, tentative de meurtre ou de suicide… En l’attente d’un procès, l’affaire restait de l’ordre du privé ; mais tout le monde savait que Devika était de retour chez ses parents et qu’elle n’était plus aussi souriante qu’avant.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est smmg, tandis que mon prénom est Marie. Je suis âgée de 23 ans et je vis actuellement du côté de Cardiff, Pays de Galles, mais c’est que pour cette année, normalement je suis vers Montpellier. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Bazzart, ma première impression en le voyant a été « Y’a plein d’indien ici !! » . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de je n’sais pas, disons que ça dépend des périodes mais sinon 5/7j et que mon niveau rp est de disons 500 mots en moyenne, give or take. Concernant mon personnage j'ai choisi Anushka Sharma comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Money doesn’t make happiness ou U can’t buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement Piku. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier temps préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un flood des novices est à votre disposition.  Ce flood permet de se sentir plus à l'aise pour ceux qui  en ont besoin.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.