| Sujet: Take me to heaven ♣ Take me to extasy Jeu 22 Aoû 2013 - 21:52 | |
| « I will not stay and blindly obey » FICHE D'IDENTITE
✿ NOM : Stonewall ✿ PRÉNOMS : Gabrielle✿ SURNOMS : / ✿ AGE : 18 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : 2 mars 1995 ✿ NATIONALITÉ : Mexicaine ✿ SEXUALITÉ : Pas très sûre ✿ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire ✿ EMPLOI/ETUDES : Etudiante ✿ NOM DU QUARTIER : Pacific Lane ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Non ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : 21
| LE CARACTÈRE
Malade, Gabrielle ? Noooon ! Personne n’arrivera jamais à y croire. Et pourtant, elle est malade, elle va mourir, on sait pas trop quand – comme tout le monde direz-vous – mais bientôt. En plus, tout le monde le sait. Elle aurait pu le garder secret et tout… Les nouvelles de ce genre, ça va vite. Mais pas grave, comme le disait Socrate, philosophie, c’est déjà être mort… et elle aime la philosophie ! C’est pour ça qu’elle étudie les langues étrangères à l’université, pour pouvoir tout lire… tant qu’elle en a le temps. D’ailleurs, son seul regret sera de mourir sans avoir tout lu. Parce qu’il faut le dire, Gabrielle est fan de la Platon, Nietzsche, la Bible, Disney, ABBA et Johnny Hallyday. Ouais, tout ça pour une même personne, c’est possible. ABBA et Johnny Hallyday, c’est possible… mais si, vous savez de qui je parle ! Le chanteur français, là, le vieux… De toute façon, vous l’avez tous forcément entendu – surtout si vous habitez dans le même immeuble que Gabrielle) puisqu’elle passe son temps à chanter ses chansons à tue-tête. Pas étonnant, son but, dans la vie, c’est d’être chanteuse. Les études de langues ? Elle s’en fiche, c’est juste pour pouvoir lire les philosophes. En plus, elle sera morte dans dix ans, à quoi bon ? Et tout ça fait que c’est une jeune fille plutôt sympathique, qui se fait vite des amis, une fois qu’on a pris la peine de discuter avec elle. Parce que tant qu’on la regarde de loin… on voit une espèce de folle qui chante toute la journée, même quand elle fait ses devoirs où lit des livres. Tout le monde la prend pour une fille surdouée : elle est capable de lire et de retenir ce qu’elle lit en chantant en français ! Mais non, en fait c’est tellement habituel de chanter qu’elle ne s’en rend même plus compte. Ce qui a de quoi être un peu agaçant, parfois. Et l’autre truc agaçant, c’est qu’elle s’énerve un peu vite. Et que le respect des règles… quelles règles ? Heureusement, elle ne fait pas trop d’infraction. C’est sa conscience morale qui lui dicte toujours quoi faire. Et elle a tendance à être un peu têtue, cette conscience morale !
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NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR. Mes parents se sont rencontrés… Pff, comme si je le savais ! Et mes parents ne sont pas importants dans la faire. Je n’ai besoin de personne d’autre que moi, moi, moi ! Et surtout pas eux. La seule chose qu’ils ont fait de bien dans leur vie, c’est de me transmettre un joli nom. Ouais, j’aime bien mon nom, ça impose, pas vrai ? Et mon prénom aussi. Ça fait rock. Quand on le dit avec le ton qui faut… Bref, ce n’est pas le plus important. Je vais tout raconter ici. La vérité. Parce que j’ai lu dans un livre de Sartre que, une fois qu’on est mort, il ne reste plus que les autres pour décider et fixer à tout jamais ce qu’on a été. Et les autres, pour le moment, ce sont mes parents. Je ne veux pas qu’ils fixent leur image de moi. Je veux laisser la mienne. Alors voilà mon testament et mes dernières volontés : je veux simplement que l’on croie tout ce que j’ai écrit ici. C’est toute ma vie, c’est la vérité. Certain vous diront : c’est la vérité qu’elle veut qu’on retienne. Et alors ? Je vous l’ai dit, Sartre a dit que tant qu’on est pas mort on choisit qui on veut être. Voilà qui je suis. Ou déjà… non, commençons par mes parents, comme vous avez l’air d’avoir envie d’en entendre parler. En plus, c’est quand même un peu intéressant : tout le monde se demande sûrement pourquoi, avec un nom comme ça, je suis mexicaine. Et ce que je fais ici, à Huntington Beach ! Eh bien c’est là que mon père est né et qu’il a habité pendant très longtemps. Et ensuite, voyage au Mexique, coup de foudre, et il reste là-bas, il se marie, il vit heureux avec beaucoup d’enfants… Du moins avec deux enfants, puisque le troisième est mort. D’une maladie. Il faut croire que c’est de famille. Moi, je suis la plus vieille. J’ai un petit frère que je ne reverrai jamais, parce que je ne veux plus revoir personne dans cette famille. Il va me manquer, c’est vrai… Il a 12 ans. Si je voulais le revoir, il faudrait que je retourne là-bas. C’est hors de question. Alors je vais raconter l’histoire à partir du moment où je suis née. Parce que dès ce moment-là, ma vie a commencé à être une longue comédie… tragédie ? Je n’en sais rien. Toute cruche, comme dit le sage, a deux anses. Toujours affligeant si l’on veut… et toujours… et zut, j’ai perdu le mot ! Ca arrive trop souvent. Trou de mémoire. On ne peut pas se souvenir de tout, hein ! Sauf de sa vie. Sa vie, on s’en souvient. Surtout quand elle ressemble à la mienne. Alors, comment j’en suis arrivée là, moi l’intello du matin, la folle de l’aprem et la reine du disco du soir ? Je vais vous le dire. Ça a commencé il y a dix-huit ans.
Le deux mars. Pas très original d’être né en mars. D’ailleurs, j’ai toujours dit que la plupart des enfants naissaient en mars ou avril parce que les parents faisaient des galipettes pendant l’été, quand ils sont en vacances. Rien de plus logique, n’est-ce pas ? Donc je suis née en mars, avec un mois d’avance, ce qui prouve que mes parents, bien que de deux pays différents et ne parlant même pas la même langue, n’étaient pas très originaux. Evidemment, ce qui suit, on me l’a raconté. Je sais bien que je suis d’une intelligence supérieure (hum ! je plaisante !) mais je venais de naître, il faut pas trop m’en demander. Alors : ma mère a poussé un hurlement d’horreur et s’est mise à pleurer parce que je ressemblais sauvagement à mon grand-père le jour où il était tombé dans les orties. Mon père est certainement entré en criant « ben chérie qu’est-ce qui t’arrive ? Pourquoi tu pleures comme ça ? » Ben voilà pourquoi elle pleure, moi… Et ils m’ont appelé Gabrielle. C’est mon père qui a choisi, pour la chanson de Johnny Hallyday (ben oui, fallait bien que je tienne ma passion de quelque part !) parce qu’il avait fait son service militaire en France, et un jour qu’il était de garde il s’est échappé par-dessus le mur pour aller voir son concert, et il s’est pris six mois de prison. Ça aussi, c’est de famille, la prison… mais je vous en parlerai après. Donc il m’a appelée Gabrielle, il m’a fait écouter sa musique, il m’a parlé anglais. Je crois que j’ai toujours préféré mon père, en fait. Sauf quand j’étais toute petite et que je croyais que ma mère était la perfection. Mais ma mère préférait mon frère. C’est parce qu’il est né avec une malformation, et on l’a opéré, et maintenant il va bien. Ma mère n’aime pas le malheur, elle le fuit, elle se cache. Tout le temps. Et elle n’aime pas tout ce qui la rend triste. Alors moi, avec ma maladie, je la rends triste, évidemment… Et justement, parlons-en, de cette maladie. Je ne vais pas pouvoir vous dire ce que c’est… je n’en sais rien. Personne n’en sait rien, personne ne sait ce que c’est. Mais ça me bouffe toute mon énergie et ça me vieillit beaucoup plus vite que je ne le devrais. Pas au sens où ça me fait devenir un vieux croûton alors que je suis encore jeune, Dieu merci ! Au sens où je suis fatiguée. Epuisée. Tout le temps. Je ne peux plus faire de sport depuis longtemps… et pourtant ! Ah, Dieu, j’adorais ça ! Courir, jouer au ballon, escalader… Oui, j’adorais. C’est ça, d’être vieux. On ne fait plus ce qu’on aime !
Ça a commencé quand j’avais quatre ans. Eh non, je n’ai jamais pu profiter de la vie correctement. Et non, je ne crois pas à ceux qui expliquent à tout le monde que la maladie permet de se rendre compte que la santé est une chose fabuleuse. C’est peut-être vrai… mais c’est une erreur. La santé n’est pas une chose fabuleuse, c’est l’état normal. C’est paralysant d’être malade. Parce qu’on souffre tellement que, dès qu’on ne l’est plus, on croit avoir atteint la plénitude du plaisir. Au point que certains s’inventent leur maladie eux-mêmes pour avoir le loisir de la combattre… Pourtant ce n’est que la santé. Le vrai bonheur, la joie, la passion de vire, c’est ailleurs. Comment je suis sortie de là ? Pourquoi je ne pense pas comme tous les autres malades ? Je crois que c’est à cause des livres et de la musique. Je lisais, je pleurais quand la fin était triste, je riais, et c’était ça le vrai bonheur. Et quand je chantais… quand je dansais… même quand j’étais malade. Oui, là j’avais l’impression que c’était la plénitude du plaisir. Celle dont parle Platon. Mais je ne connaissais pas encore Platon, à cette époque. Je lisais Harry Potter, et c’était déjà bien. Et il y avait le cinéma aussi ! Ma mère était fan de Disney. Voilà, en gros : la musique, c’était mon père ; le cinéma, c’était ma mère. J’ai quand même gardé des trucs de mes parents. Et le reste… ce n’est pas très important. J’allais à l’école mais j’étais une tache alors ils m’ont mise à l’école privée. On allait à la messe tous les dimanches, mais je n’ai jamais réussi à croire en Dieu, et c’est pas faute d’avoir essayé. Mais on ne croit pas en Dieu quand on est malade. Même si j’avais une amie… ah, ça fait longtemps, je ne me souviens même plus de son prénom… je la voyais à la messe. Bref, elle me disait que Dieu avait un quota de mauvaises choses qu’il n’avait données à personnes, et ils les a toutes mises à moi parce que j’étais la personne la plus forte de celles qui s’apprêtaient à naître. C’est mignon, mais maintenant, ma vie c’est de la merde, et je suis plus faible que tous les autres. En gros, j’ai qu’une seule chose à dire : Dieu, t’as foiré ! Cela étant… c’était mignon de m’avoir dit ça, et je l’ai retenu. D’ailleurs, si je ne crois pas en Dieu, comme vous l’avez compris depuis le temps, je crois en Platon, et au mythe d’Er : il parait qu’après la mort les âmes choisissent librement leur prochaine vie. Est-ce que c’est moi qui ai choisi cette vie ?
En école privée, je m’endormais, je volais le goûter de mon voisin, et un jour la maîtresse m’a envoyée dans la classe des maternelles parce que je coloriais au lieu de suivre. Du coup, je suis repassée en école publique. Et là, je ne sais pas trop pourquoi, je me suis mise à être l’intello. Peut-être parce que ma mère était toujours derrière moi à vérifier que je faisais bien mes devoirs. Et mon père, pendant ce temps ? Ben… il était là. Tout allait bien. Tout a bien été jusqu’à ce que je veuille partir. Je voulais étudier aux Etats-Unis, et mon père m’a envoyée dans sa ville natale. Je les ai laissés… de toute façon, ils étaient bien mieux sans moi. Il y avait mon petit frère… et à partir de là, FIESTA ! J’étais toute seule, dans un appart’ que m’avait acheter mon père à Pacific Lane, j’ai fini le lycée, j’ai eu mon diplôme, et surtout, j’ai arrêté d’aller à l’église le dimanche. Même si ma mère me demandait toutes les semaines au téléphone si la messe était bien. Je lui disais oui, bien sûr. Pour ne pas la décevoir. Je m’inventais des amis de la messe. Mais après ils ont commencé à dire qu’ils allaient tous venir me rendre visite et comme ça je pourrais leur présenter mes amis. Je n’avais pas d’amis. En tout cas pas à l’église. Alors j’y suis allée quand même, histoire d’au moins savoir où elle se trouvait et à quoi elle ressemblait. Et franchement… j’avais oublié à quel point c’était chiant ! En plus il y avait des bonnes sœurs qui chantaient des trucs immondes, et qui ne savaient même pas chanter. Mes parents sont venus, avec mon frère, ils sont repartis. C’est la dernière fois que j’ai vu mon frère. C’était il y a deux mois. J’aurais peut-être dû en profiter plus. Ou arrêter mes conneries ! Et encore, est-ce que je regrette ? Non. Ça valait le coup. Pour être libre. Oui, oui, j’y arrive, au moment où j’ai quitté mes parents à tout jamais. A moins que ce ne soit eux qui m’aient quittée ? Je ne saurais vraiment le dire. Toujours est-il que j’avais supporté cette messe immonde pendant presque un mois, maintenant je voulais me venger, ou faire quelque chose pour l’arranger, je ne sais même plus ce qui m’est passé par la tête. Je me suis déguisée en bonne sœur et j’ai sauté au milieu du chœur, en plein office, pour chanter ma chanson. Eh bah franchement, les gens ont adoré ! J’en suis sûre ! Ils ont applaudi et tout ! C’est là que j’ai eu l’idée d’être chanteuse… mais le curé, lui, il a pas applaudi : il a appelé la police et ils m’ont mis en prison. Trois jours. En punition. Juste pour l’exemple : dans le fond, j’ai bien vu que ça les faisait marrer, cette histoire.
D’ailleurs, la vraie punition, ça n’a pas été ça : c’était quand mes parents m’ont dit : « Assez rigolé. Maintenant, tu rentres. » Voilà qui ne m’a pas fait rire du tout… et j’ai dit non. Je n’avais jamais dit non. Jamais répondu, toujours été sage. Je ne m’étais jamais levée tard, jamais assise quand ils me disaient de rester debout, mais là c’était la fin, c’en était trop. C’était toute ma vie qu’ils allaient mettre en l’air si je rentrais… et ma vie, elle serait trop courte. Ils ont dit soit je rentre, soit je ne reviens plus jamais. J’ai choisi… et voilà : je suis toujours ici, à Huntington Beach ! Je suis même allée m’excuser auprès du curé. J’ai trouvé un boulot, dans un restau. Je chante. J’ai déjà mon appart’, je n’ai pas bougé, et j’arrive à me payer des études à la fac. Je suis nouvelle, mais j’y arrive. Et… maintenant que j’ai lâché mes parents et que je vis seule, je suis devenue « cool. » C’est ce que disent certains. Encore plus cool : je suis malade et je vais mourir. Enfin… non, c’est pas cool, c’est juste que ça attire les curieux comme un aimant. J’ai fait trois jours de prison, ça aussi ça attire, et j’ai poussé des bonnes sœurs à la rébellion (… ben quoi ? Les bonnes sœurs tapaient dans les mains, elles aussi ! Y’avait que le curé qui ‘était pas content…) Et voilà. C’est mon histoire, jusqu’à maintenant. La partie que j’avais besoin de vous raconter. La suite, vous la verrez bien vous-même, et il y aura plein de gens prêts à témoigner ! Ce n’était que cette partie de ma vie de laquelle je ne connais plus personne. Je ne connaissais que mes parents, mais même eux sont partis, et ils mentiraient, si vous leur posiez la question. Ils diraient que je suis folle et que je cherche toujours à faire mon intéressante… bon, pour le coup de l’église, ce n’est pas faux. Je me suis bien fait remarquer, et maintenant certaines personnes me reconnaissent même, au restaurant, et reviennent me voir. C’est ça, le début de la célébrité !
DERRIÈRE L’ÉCRAN
✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Tara, tandis que mon prénom est Caroline. Je suis âgé(e) de 21 ans et je vis actuellement du côté de Paris. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur peut-être PRD mais je sais même plus^^, ma première impression en le voyant a été Oh un corbeau ! Trop cool xD. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 6/7 et que mon niveau rp est de 50 lignes sauf quand j'ai la flemme grave plutôt 30. Concernant mon personnage j'ai choisi Kaya Scodelario comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Enjoy while u're young comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement Je le sais & il est validé par Marissa. A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Gabrielle Stonewall le Jeu 22 Aoû 2013 - 23:41, édité 3 fois |
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Marissa I. Stewart THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 3736 › EMMENAGEMENT LE : 25/08/2012 › AGE : 40 › STATUT CIVIL : Deuxième fille d'Andrew & Isobel Stewart. Divorcée d'Eden Jefferson avec qui j'ai eu une fille prénommait Faith, nous avons perdu notre deuxième enfant. Soeur d'Emma et de Leah, les brunes les plus sexy de la ville après moi ! Je suis également la tante de la petite Lilou et du petit Mason. En couple depuis peu avec le très sexy Simon rencontré lors d'une mission humanitaire ♥ › QUARTIER : Actuellement à la recherche d'un nid douillé › PROFESSION/ETUDE : Je dirige le service obstétrique de l'hopital, j'ai mis mon métier de côté depuis quelques mois. Je suis en pleine remise en question. › DOUBLE COMPTE : Mischa S. Miller - Noah S. Harper - Sawyer E. CLarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Erin R. Preston & Zola Rosebury › CELEBRITE : Sophia Bush (aa) › COPYRIGHT : Cranberry.
| Sujet: Re: Take me to heaven ♣ Take me to extasy Ven 23 Aoû 2013 - 18:20 | |
| Fiche intéressante, tout comme le personnage ça promet VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH bienvenue parmi noustoutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
- vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
- en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
- vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
- pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Naya) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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