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| Alicia - You've got something I need {Terminée. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Alicia - You've got something I need {Terminée. Dim 2 Fév 2014 - 23:21 | |
| « In this world full of people there's one killing me » FICHE D'IDENTITE
✿ NOM : Horowitz ✿ PRÉNOMS : Alicia Camille ✿ SURNOMS : Al', principalement ✿ AGE : 28 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : Un 27 janvier ✿ NATIONALITÉ : Américaine ✿ SEXUALITÉ : Hétérosexuelle ✿ SITUATION AMOUREUSE : C'est ... compliqué et confus ✿ EMPLOI/ETUDES : Ancienne hôtesse de l'air, professeur d'anglais ✿ NOM DU QUARTIER : Pacific Lane ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Hécate, un labrador noir qu'elle a recueilli il y a quelques semaines ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : Six
| LE CARACTÈRE
Douce □ Volontaire □ Lumineuse □ Fragile □ Déterminée □ Sentimentale □ Attentionnée □ Désenchantée □ Terre à terre - En croisant Alicia, on pense avoir affaire à cette jeune fille à qui tout réussi : jolie comme un coeur au naturel, le sourire facile, avec un rire à vous illuminer votre journée, elle semble rayonner en continu. Sa gentillesse ne semble pas connaître de limites, si les gens e face d'elle font preuve de respect et de politesse. C'est quelqu'un d'extrêmement facile à vivre, qui aura toujours une parole agréable, un geste attentionné, sans rien attendre en retour. Au travail, elle est profondément pédagogue, intéressée par sa matière et avec une volonté de transmettre cette passion à ses élèves, même si ce n'est pas toujours gagné. Ses colères sont inexistantes, elle n'a jamais levé la voix contre qui que ce soit, et pour cause : son tempérament bien trempé s'exprime plutôt au travers d'une totale inflexibilité quand elle est en désaccord avec la personne en face d'elle. Elle fait preuve d'une patience d'ange, avec tout et tous. Sauf peut-être les hommes. Car si on la côtoie d'assez près, il existe un moment où son sourire se fendille : celui où un homme se montre un peu trop pressant ou irrévérencieux. Si elle a l'air de réagir avec calme, montrant quelques signes de nervosité, son regard, lui, ne ment pas. Une teinte plus sombre apparaît au fond de ses yeux, vestige de ce passé qu'elle s'efforce d'oublier. Elle peut perdre tous ses moyens face à la violence, surtout quand elle est dirigée contre elle, ou encore frémir en entendant certaines chansons. Ses amitiés sont toutefois profondes et sincères : a barrière qu'elle a érigée autour d'elle ne sert de repoussoir qu'aux seules liaisons romantiques, qui lui donnent la chair de poule. Il est à rajouter que, malgré le fait que sa guérison soit complète et qu'elle ne boive, ni ne fume, ni ne se drogue plus, ses fantômes lui mènent parfois la vie dure en soirée ou lorsqu'elle surprend quelqu'un en train de s'adonner à l'un de ses anciens vices.
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NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.
Bonjour, je m’appelle Alicia, et je suis sobre depuis maintenant cinq ans. Un léger sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme alors que les personnes assises sur cinq rangs en face d’elle lui retournaient ses salutations. Il lui semblait loin, ce jour où elle avait assisté à sa première réunion. A cette époque elle était dévastée, seule, brisée, et faible. Mais aujourd’hui, elle était devenue une toute autre personne. Lumineuse, elle se pencha légèrement pour mieux parler dans le micro : Cela n’a pas été facile. Je me droguais, je buvais et il y avait cet homme, dans ma vie, dont je n’arrivais pas à me passer. Autant d’addictions auxquelles j’ai appris à résister et ceci grâce à mon parrain, Elijah. Elle lui lança un regard reconnaissant alors qu’il levait les mains, comme pour dire qu’il n’y était pour rien mais elle tint à l’applaudir, reprise par les autres. Sans le soutien inconditionnel de cet homme, elle n’y serait jamais parvenue. Il en a d’autant plus de mérite que je n’ai pas voulu de lui au début … mais tous les parrains savent ce que c’est. Son rire cristallin, se mêla à ceux de l’assistance alors que pas mal d’entre eux échangeaient des bourrades au sein de leurs tandems formés. Les yeux d’Alicia ne lâchaient pas le regard profond d’Elijah. Elle se souvenait très bien de la première fois qu’il l’avait abordée …
You don't know what it's been like, meeting someone like you
Alicia ? Cela faisait quelques semaines que la jeune femme avait rejoint ce groupe de soutien et pourtant, elle était toujours aussi sauvage. Elle sursauta d’ailleurs avec violence quand la main d’Elijah effleura son épaule, se retournant et prenant immédiatement ses distances. L’homme ne soupira pas mais détailla ce visage ravagé par la tristesse qui le bouleversait à chaque rencontre. Elle n’arrivait pas à parler de son histoire. Elle exposait ses dépendances mais elle n’avait pas mis le doigt sur le plus gros du problème et tout le monde le savait. Elle ne parlait qu’aux femmes et semblait fuir les hommes comme la peste, le calcul était facile à faire. Elle sembla pourtant tenter de se reprendre et déchiffra son badge pour lui répondre. Elijah. Bonsoir. Cette fille avait du être magnifique, pleine de vie. Mais elle ne semblait plus être qu’une coquille vide. Son regard, vide de toute étincelle, lui faisait mal. Il en avait croisé, des personnes en souffrance, depuis qu’il s’était lui-même sorti de la drogue et qu’il participait à ce programme aidant comme il le pouvait. Mais quelqu’un de détruit à ce point-là, il n’en avait jamais vu. Elle se détourna pour se servir un café, se désintéressant de lui et l’encourageant clairement à partir. Mais ses mains, trop tremblantes, laissèrent échapper la tasse qu’il réceptionna avant de la tendre. Il la regarda longuement alors qu’elle hésitait à frôler ses doigts pour la lui reprendre. Il finit par dire, simplement : Tu devrais en parler. L’estomac soudain noué, elle lui tourna le dos, abandonnant le café. Il la retint avec beaucoup de douceur : Personne ne te fera de mal, ici. Elle se retourna vers lui et le griffa à la main, avant de quitter la salle en courant.
Teach me wrong from right And I'll show you what I can be
Elle eut un léger rire dans le micro à ce souvenir et se reprit en voyant que tout le monde avait fini son petit intermède parrain-filleul. Elle hocha doucement la tête avant de se reprendre. Quand il m’a demandé de venir témoigner, je n’ai pas pu refuser. Et, pour vous prouver qu’un jour, vous aussi vous pourrez en parler de façon totalement libre, je vais tout vous raconter. Elle posa les mains sur le pupitre pour trouver le courage de le faire sans trembler. Elle avait refait sa vie et était passée à autre chose mais cela restait douloureux et il ne fallait surtout pas qu’elle flanche, sous aucun prétexte. Elle devait leur apporter de l’espoir. Un sourire de plus à Elijah et elle se lançait : J’avais seize ans quand tout a commencé. Je menais une vie normale, aisée sans l’être trop. Je sortais d’une boîte de nuit avec mes amis, elle s’interrompit pour rire, Mon seul crime de l’époque, avoir une fausse carte d’identité. Mais je ne buvais que du jus d’orange ! L’hilarité générale lui donna le coup de fouet nécessaire pour continuer : Je sortais donc, et une amie m’a pointé la ruelle en face …
If I never knew you …
Oh mon Dieu ! Cynthia, qui la taquinait quelques secondes auparavant sur le barman qui avait voulu son numéro venait de se cacher derrière elle, mains crispées sur la petite veste qu’elle venait d’enfiler. Etonnée par son manège, la jeune fille tourna son regard vers ce que la belle rousse lui désignait. Il s’agissait d’un passage entre deux immeubles juste de l’autre côté de la rue, dans lequel un jeune homme contemplait un couteau. Elle eut un mouvement de recul, à l’instar de son amie, commençant à battre en retraite vers l’intérieur de la boîte où le reste de leurs amis attendaient leurs vestiaires. Soudain, il leva la lame et l’approcha de son poignet. Les yeux d’Alicia s’écarquillèrent et elle échappa à Cynthia qui se mit à hurler. Elle traversa la rue, manquant de se faire percuter par une voiture pour débouler devant lui : ARRÊTE ! Elle n’aurait pas su dire ce qui lui avait pris. Peut-être simplement le fait qu’elle ne pouvait pas regarder quelqu’un se suicider sous ses yeux. Les joues rendues roses par la course, elle posa les mains sur ses cuisses un bref instant avant de se redresser. Elle n’osait pas s’approcher de lui. Grand, blond, avec ce regard … troublé qu’il lui jeta, il la laissa sans voix et démunie. Quoi? Il semblait ne pas l’avoir entendue, comme si elle était transparente et continuait d’avancer la lame qui s’approchait dangereusement de sa peau diaphane. Mais … non ! Elle tendit la main pour appuyer sur la sienne et éloigner l’objet mortel de lui. Je ne vais pas vous enfin te enfin ... J'peux pas te laisser faire ça !
Elle était déboussolée mais, non, elle ne voulait pas avoir à appeler les urgences pour qu’ils viennent arrêter l’hémorragie. C'est pas la solution Qu'est ce que t'en sais? Il n’avait pas tort. Ça n‘empêchait pas que se tuer n’était pas une option dans sa vision de la vie. Personne ne t’a demandé d’aide, Mère Teresa ! Son agressivité la fit reculer. Il était devenu agressif et la regardait avec un mélange d’arrogance et de tristesse qui était inhabituel chez un fils de riche comme lui. La marque de sa chemise l’avait renseignée sur la question. Cependant, elle n’était pas prête à partir parce qu’il le demandait. Sinon, il allait le faire. Et elle savait que c’était le genre de scènes que l’on ne pouvait oublier. Elle ne se le pardonnerait jamais s’il continuait. Peut-être. Mais je suis là. Et je n’ai pas l’intention de te laisser continuer. Donne-moi une bonne raison de le faire … Elle resta interdite, deux secondes. Une autre qu’elle l’aurait sans doute envoyé se faire foutre, l’aurait insulté avant de partir. Mais elle hésitait. Il ne devait pas avoir fait ça juste pour se faire remarquer. Il devait y avoir plus …
Il la coupa dans ses pensées en l’attrapant. Il amena son genou entre ses jambes lui arrachant un frisson de surprise. Ce genre de raison ? Tremblante, elle eut un murmure étranglé : Oui ... par exemple mais je ... c'était pas ce que je voulais dire .. Il sourit avant de se refermer soudain, s’excusant, se rendant sans doute compte de la situation : Pardonne moi. Je suis vraiment perturbé ce soir. Mais... J'ai très envie de toi... tu sais! Je ... suis vierge, s’entendit-elle murmurer. Horrifiée par sa stupidité et en même temps par la situation, surtout après qu’il se soit mis à rire, elle avait capté le regard et le mouvement en avant d’Henry, de l’autre côté de la rue, qui était déjà en train de traverser : Et si tu ne recules pas rapidement, mes amis pourraient penser que tu veux me violer ... Il la lâcha rapidement. Je ne te violerai pas. C'est pas mon genre. Le regard qu’il posa sur elle, de nouveau voilé de tristesse, la fit trembler. Henry avait pris pied sur le trottoir et elle lui fit signe que tout allait bien. Va rejoindre tes amis chérie... Complètement paniquée et déboussolée, elle prit la peine de ramasser l’arme et de la mettre dans son sac avant de s’enfuir littéralement, se réfugiant dans les bras d’Henry.
Un sentiment qui trouble et qui surprend. Je ferme les yeux et tout est si différent …
Je ne le savais pas encore, mais c’est à ce moment-là que tout a basculé, quand je l’ai rencontré. Elle baissa les yeux avec une moue gênée : Je sais, c’est affreusement cliché, la jeune fille innocente qui craque pour le beau gosse riche qui semble perdu et dépassé par un lourd secret. Et pourtant c’est mon histoire. Elle se passa la main dans les cheveux, essayant de ne pas perdre son aura rayonnante, mais penser à Demian était toujours aussi difficile. Elle l’avait nommé Dylan quand elle avait fini par parler de lui, juste au cas où. Elle ne voulait pas qu’on remonte à lui, et si dans un premier temps, cela avait été par instinct de protection, c’était aujourd’hui parce qu’elle ne voulait plus jamais le revoir. Il l’aurait fallu, pour une guérison complète, lui avait-on dit, mais elle ne le désirait pas. Elle reprit le fil de son histoire : Il est venu à ce café où je travaillais pour payer mes études. Une idée de ses parents qui voulaient que leurs enfants aient une idée de la valeur de l’argent, chose qu’elle avait très bien vécue. Il avait commencé par m’observer simplement, prenant un café en faisant mine de ne pas me reconnaître. Elle se souvenait de leurs jeux de regards, de la manière dont elle guettait son apparition, sachant qu’il connaissait son emploi du temps, la façon dont ses mains devenaient moites quand elle l’apercevait finalement … Et au bout d’un moment, il s’est décidé. Elle eut un mouvement de la main : Je vous passerai la manière dont tout ceci s’est produit, mais j’étais évidemment déjà folle de lui. Je lui ai offert ma virginité, mon cœur, mon temps. Elle se sentait responsable de lui et en même temps redevable, comme si un garçon comme lui ne pouvait rien trouver à une fille comme elle. Il ne parlait que rarement de la fois où on s’était rencontrés. Il m’a dit qu’il s’en voulait, que c’était parfois difficile avec ses parents, qu’il venait de se faire larguer ce qui expliquait son geste. Ce qui était vrai. Demian avait eu tellement de moments où son humeur changeait, où il voyait tout en noir et où elle devait le supplier de ne pas se faire ça. Et elle y parvenait, la plupart du temps. Tout semblait donc aller pour le mieux. Il a commencé à me faire rencontrer ses « amis ». Les garçons étaient tous incroyablement beaux, riches et parlaient fort, les filles étaient sexys et insolentes, tout en étant habillées par de grands couturiers. Je ne me sentais pas à ma place, pas à la hauteur, alors quand il m’a proposé un rail de coke devant tout le monde … j’ai accepté. Evidemment. Et ça n’avait pas été le dernier.
Elle prit son verre d’eau, heureuse de constater que sa main tremblait à peine. S’éclaircissant la gorge en le reposant, elle reprit le fil de son discours. J’avais mis le doigt dans l’engrenage. J’assurais la moyenne au lycée pour qu’on me laisse tranquille et que je puisse rentrer à l’université et, le reste du temps, j’étais avec lui. Je me droguais de plus en plus, en soirée tout d’abord, puis de façon plus régulière. J’étais devenue accro. Elle ne s’en était pas rendu compte immédiatement, bien évidemment, mais sa descente aux enfers avaient été puissante. Tout s’est accéléré quand je suis entrée à l’université. Je pensais avoir gagné assez pour couvrir mes frais de scolarité et un logement, mais je me trompais. La majorité de l’argent, j’avais acheté de la drogue avec. Alors il m’a proposé de m’aider. Il avait paru si soucieux du fait qu’elle doive abandonner ses études, il l’avait rassurée, il lui avait dit de ne pas décrocher, qu’il allait lui trouver de quoi gagner de l’argent … et c’était ce qu’il avait fait. Il disait ne rien vouloir en échange. Mais me demandait de le retrouver, à n’importe quelle heure. D’accompagner un ami à une soirée. Ami qui laissait ses mains courir un peu partout sur moi. Elle avait été Escort Girl. En quelque sorte, si on y réfléchissait bien. Mais elle prenait cela comme des marques d’attention, des compliments. Qu’elle avait pu être stupide. J’étais bien, dans ce monde, entre la drogue et les soirées mondaines. Il m’aimait, alors ça me suffisait. Elle secoua la tête, étouffant un rire amer : En vous le racontant, j’ai l’impression de parler d’un mauvais film. Tout ceci n’est qu’un cliché, c‘est trop gros, comment ai-je fait pour en arriver là ?
Elle était en train de perdre pied et cherchant du réconfort dans le regard d’Elijah qui hocha doucement la tête pour l’encourager. Elle inspira doucement avant de se tourner vers le reste des personnes présentes : Ca a duré cinq ans, après mon entrée à l’université. Sept ans en tout. Je ne parlais plus à mes parents j’échouais dans mes études, je servais d’escorte à des gosses de riches et je me droguais. Et j’étais amoureuse. Bien entendu qu’elle l’était. Elle pianota doucement sur le pupitre avant d’aplatir lentement sa main pour faire diminuer son stress : Mais je me rendais compte que quelque chose clochait. Que ce n’était pas aussi rose que je voulais bien le croire. J’étais dans un univers nouveau, que je ne maîtrisais pas mais je l’aurais suivi au bout du monde. Ce léger malaise, je le faisais taire en me blottissant dans ses bras. Elle s’humecta les lèvres, se rendant compte que sa gorge était de nouveau sèche. J’aurais pu continuer comme cela indéfiniment. En sachant que ça n’allait pas et en continuant à me mentir. Mais … C’était toujours douloureux. Malgré le fait que c’était ce qui l’avait sauvée. Savoir qu’il lui avait menti, qu’il l’avait trahie à ce point pendant tout ce temps avait été une blessure profonde qui mettait du temps à cicatriser : Je l’ai surpris avec une autre.
I tried so hard and got so far. But in the end it doesn't even matter
Cela faisait déjà quelques semaines que cela la travaillait. C’était Marly qui lui avait dit qu’une des filles travaillant dans ce club très sélect et très masculin s’était vanté de s’être fait baiser par un fils de riche qui y avait ses quartiers. Il lui était arrivé de le rejoindre de temps en temps là-bas et elle n’appréciait pas l’ambiance. Mais après un rail ou deux, elle regardait les filles se déhancher lascivement en regrettant de ne pas être aussi sexy. Mais ce n’était pas son style, et il était avec elle. Et puis il y avait eu cette Helena, grande blonde taille mannequin qui connaissait Demian depuis l’enfance et n’arrêtait pas de faire des sous-entendus sur leur passé commun. Elle l’avait surprise avec sa main sur sa cuisse, en train de lui murmurer quelque chose à l’oreille avant de se reculer précipitamment. Peut-être était-elle complètement paranoïaque, mais elle n’en pouvait plus, de ça et de ses réflexions incessantes. Alors, à cette soirée dans le club que possédait le père d’un énième ami de Demian, elle avait pris son courage à deux mains et avait décidé de faire ce qu’elle n’avait jamais eu le courage d’entreprendre avant : dire ses quatre vérités à cette fille et en finir une bonne fois pour toutes. Se levant du canapé où elle laissa son sachet de poudre sans y toucher, elle fit rapidement le tour de la salle basse avant de monter. Pas de trace d’elle. Elle était sans doute passée aux toilettes se remaquiller, comme d’habitude, pensa-t-elle avec amertume, et remonter son soutien-gorge rembourré. Ses pas l’y menèrent rapidement et elle poussa la porte, ses yeux tombant sur la trousse de la bimbo. Bingo. Le cœur battant, elle scanna les cabines. Et un seul coup d’œil lui avait permis de comprendre à quel point elle était stupide et ridicule, si les bruits provenant de la cabine ne l’en avaient pas encore convaincue. Mains plaquées sur la bouche, elle recula, contemplant l’homme de sa vie, qu’elle aurait suivi au bout du monde les yeux fermés en train d’en baiser une autre, elle se sentit se décomposer. Et ce fut comme une gifle. Que faisait-elle là ? A trembler parce que son dernier rail de coke remontait, dans un ensemble dans une robe dévoilant bien plus qu’il n’en fallait, à rire à toutes les plaisanteries de ces cons, à se laisser peloter par n’importe qui et à aimer un homme qui ne le lui rendait même pas ? Elle finit par se détourner, alors que sa vue se brouillait. Elle ravala rapidement ses larmes. Elle allait … se tirer. Ou … ou faire une c… Alicia ? Elle se figea en plein vol alors que le visage de la personne se dessinait, au travers de ses larmes. J…Julian. Son grand frère.
I had to fall, to lose it all. But in the end it doesn't even matter.
J’ai eu beaucoup de chance. Si je n’étais pas tombée sur Julian … je ne serais sans doute pas là vous parler. Je serais sans doute allée descendre ce sachet de coke dans mon coin. Voire utiliser ce couteau qui ne l’avait jamais quittée. Elle hocha doucement la tête avant de continuer Je suis partie en prétextant une migraine, comme si de rien n’était pour ne pas alerter Dylan. Il était possessif à défaut d’être exclusif et n’aurait pas apprécié que ma famille remette la main sur moi. Elle parvint à produire un léger rire, comme si c’était drôle. Je suis retournée chez moi le soir-même. Je ne savais plus quoi faire et savais que Demian risquait de se montrer violent si je ne revenais pas. Il l’avait déjà été, à de nombreuses reprises, ce qu’elle lui avait toujours pardonné sans sourciller, tant il s’en voulait après. Mais cette fois était différente. Les premiers temps ont été difficiles. Ce qui n’était pas peu dire. Elle avait jeté son téléphone, arrêté officiellement la fac et se terrait chez ses parents. Demian avait fini par comprendre. Il avait commencé par tenter de charmer ses parents, avant de réaliser que cela ne l’amènerait nulle part. Ils avaient du faire intervenir la police. Mais cela ne m’avançait pas. Alors j’ai décidé de changer d’air. De m’installer ailleurs. De prendre des cours par correspondance. De me sevrer. Et de recommencer. Ses yeux étaient revenus sur Elijah et elle eut un léger sourire : Ca n’a pas été évident au début …
And then a hero comes along with the strength to carry on and you cast your fears aside
Elle n’arrivait pas à dormir, et elle avait terriblement envie d’un rail. Elle s’était rongé tous les ongles, elle avait mangé toutes les crèmes glacées de son congélateur et elle devenait folle. Alors elle avait attrapé son manteau qu’elle avait passé par-dessus son pyjama et s’était retrouvée sur le pas de sa porte. Nerveuse, elle se mangeait les petites peaux tout autour de l’ongle, piétinant sur son paillasson avant de se décider à sonner. Il avait dit « à n’importe quelle heure du jour et de la nuit »… Et là, si elle restait seule, elle savait qu’elle allait craquer et aller s’acheter au moins une dose. Elle voulait juste s’asseoir sur son canapé pour n’importe quoi, savoir qu’il était là l’aiderait juste à ne pas y aller. Ce furent ses lèvres qui eurent droit à la visite de ses dents alors qu’elle entendait finalement du bruit de l’autre côté de la porte. Son cœur battait la chamade et elle tremblait, arrachant des morceaux de peau. Quand il apparut dans l’embrasure de la porte, une vague de soulagement la submergea alors que le goût ferreux du sang titillait sa langue. Entre, Alicia. Elijah… Elle frémit en voyant son air encore endormi et la culpabilité commença à la ronger doucement. Elle secoua la tête, portant de nouveau ses doigts à sa bouche : Je suis désolée, j’ai pas pensé à appeler avant et … Elle finit par reculer. C’était une connerie, de venir, elle l’embêtait et en plus elle avait vraiment envie d’y regoûter. Elle parlait à toute vitesse. Excuse-moi, j’aurais jamais du venir. Je vais y aller. Elle repartait déjà vers l’escalier quand elle sentit sa main se refermer sur son poignet, comme la dernière fois. La gorge nouée, elle se tourna vers lui. Non, elle n’allait pas le griffer, pas ce soir. Comme si j'allais te laisser t'en aller maintenant que tu es là... Voyons, Al'. Sa voix la fit trembler parce qu’il n’avait pas vraiment l’air content, en même temps qui le serait, dérangé en plein milieu de la nuit par quelqu’un qui s’en allait deux secondes après. Elle se passa nerveusement la langue sur les lèvres alors que ses yeux rencontraient les siens.
Son cœur rata un battement alors qu’elle se raccrochait à ses prunelles bleues qui avaient le don de l’apaiser. C’était sans doute d’ailleurs pour cela qu’elle l’avait choisi comme parrain, malgré le très mauvais départ qu’ils avaient pris. Quand sa main se desserra, elle faillit lui demander de la retenir plus fort. Je t'avais dit quoi ? Toute heure du jour et de la nuit, si tu en ressens le besoin, tu viens frapper à ma porte, et je serais là. Je suis là. Tu es là. Tu as fait le plus dur. Il serait dommage que tu t'en ailles maintenant, tu crois pas ? Elle resta immobile deux secondes. Oui, c’était pour ça qu’elle était venue, parce qu’il lui avait dit de ne surtout pas hésiter. Et si elle partait … elle mettrait trois mois de travail en l’air. Elle finit par hocher la tête : Oui … bien sûr, tu as raison. Elle entra donc avant de changer d’avis une nouvelle fois. Mais son rythme cardiaque avait déjà grandement décru et ses mains tremblaient un peu moins, même si elle porta de nouveau ce qu’il restait de ses ongles à la bouche. Elle n’était jamais venue chez lui. Merci. C’est … joli, chez toi. Ou comment meubler le silence qui lui semblerait effrayant. Elle était terrifiée, fatiguée et sur les nerfs. Sentir ses doigts contre les siens aida un peu mais quand il s’écarta … elle avait horreur de ça, entre aussi faible, être aussi fébrile, être aussi nerveuse. Le salon est là, met toi à l'aise, fais comme chez toi. Je vais à la cuisine, t'apporter un verre d'eau. Tu veux aussi quelque chose à manger peut être ? Non … non, ne t’embête pas, ça va. Enfin pas tellement mais elle se sentait mal qu’il se mette en quatre pour elle. Tu … peux retourner dormir, je vais juste … me poser et … En fait elle ne savait pas. Etre chez lui la dissuaderait peut-être de partir sans prévenir à la recherche de drogue mais elle ne savait pas quoi faire. Il faudrait qu’elle dorme, mais elle doutait d’y arriver. Bien sûr, oui. Je vais retourner me coucher et te laisser là, perdue dans ce grand appartement tellement bien rangé qu'on dirait la photo dans un catalogue de meuble... Bonne idée. Elle eut un sourire tendu et un petit rire lui échappa finalement. Avant de se calmer. Il fallait qu’elle arrive à se poser.
Tu … faisais comment, toi ? S’il avait une recette magique, elle la prenait immédiatement. Elle se laissa faire quand il s’avança, la poussant vers le canapé, s’y installant. Le plaid, ses bras sur ses cuisses alors qu’il s’accroupissait pour la regarder. Elle frissonna et plaça ses mains sous ses cuisses. Elle était complètement à l’ouest et avait peur de faire quelque chose de stupide. Mais elle se raccrochait à lui, parce qu’elle était trop faible pour faire quoi que ce soit d’autre. Ça dépendait du contexte. Mais la plupart du temps, je me remémorais la descente, ces longues heures de tourment, quand les opiacés avaient cessé d'agir, où je ne savais juste plus quoi faire avec moi-même et comment vivre dans ce monde là... Pour me rappeler combien c'était intolérable de revenir à la réalité après y avoir goûté, et finalement comprendre que ma vie ne serait donc qu'une suite de moments artificiels entrecoupés de longues chutes dans le noir. Et puis, le reste, c'est la volonté qui la fait, je crois. Elle buvait ses paroles, essayant de s’en gorger, de les aspirer comme si elles pouvaient combler la sensation de manque qu’elle ressentait. Le problème était que dans ces cas-là, oui, tout lui semblait plus noir, mais Demian lui faisait tout oublier d’un coup d’un seul. Et ce souvenir fit se nouer sa gorge et monter d’amères larmes dans ses yeux. Il fallait qu’elle l’oublie, mais elle se souvenait de tout. Son odeur, sa peau, ses lèvres … Je voulais autre chose pour moi. Et toi, que veux-tu ? Elle sursauta et revint à lui. Elle serra ses mains un peu plus fort sous elle pour ne pas qu’elles lui échappent et finit par produire : Je veux l’oublier … Est-ce que cela ne se résumait qu’à ça ? Elle était agitée de tremblements de plus en plus violents et serra les mâchoires en fermant les yeux. Elle murmura : Je suis pitoyable … et pas assez forte. Tu ne seras pas là si tu n'étais pas forte. Elle trembla un peu moins fort en sentant ses mains sur ses bras et rouvrit les yeux. Elle allait perdre le contrôle malgré toute la patience qu’il avait, malgré son attention, malgré ses paroles raisonnables. C’était frénétique, ce besoin de drogue et elle n’arrivait pas à se concentrer sur ce qu’il disait.
Tu n'aurais pas déménagé, tu n'aurais pas décider d'arrêter tout ça, de changer, et d'aller à un meeting des AA... et tu n'aurais pas fait ma connaissance. Clairement, donc, tu ne serais pas là. Et je sais pas où tu serais. Mais tu en as peut être une meilleure idée que moi. Essayer de se raccrocher au fil de ses paroles. Elle serait dans ce club, et dans d’autres, à se droguer en sachant que Demian s’envoyait toutes les nanas à disposition. Une larme finit par couler le long de son nez, puis de sa joue. Ou au fond d’une ruelle, là où elle n’aurait jamais du le rencontrer, à s’ouvrir les veines. Ses soupirs lui faisaient peur, elle craignait qu’il ne perdre patience et s’enfuit. Bordel, Alicia, regarde tout le chemin que tu as parcouru ! Souviens toi où tu étais y'a trois mois, et puis y'a deux mois, quand tu m'adressais pas encore plus de deux mots à la suite, puis un mois plus tard, où tu as enfin préféré me bouder quand mes réponses n'allaient pas dans ton sens plutôt que de te tirer sans me laisser la moindre chance... Et maintenant, ce soir, t'es là, dans mon appartement... Tu ne vas pas bien, et tu demandes mon aide. C'est normal. C'est même génial, en fait ! Ça veut dire que je peux enfin vraiment t'aider. Si c'est bien ce pourquoi tu es là... Ses mot s’emmêlaient dans son crâne et elle sortit ses mains pour enfouir son visage dedans. Sa voix était déformée et elle était sur le point de craquer. Elle gémit doucement, se retrouvant à poser son front contre son torse. Elle n’y arrivait pas, vraiment. Elle glissa à bas du canapé pour se blottir contre lui, ses larmes mouillant son t-shirt. Elle lui griffait sans doute le dos mais elle n’arrivait plus à parler. Elle était juste bien, là, dans ses bras. Et quad il murmura finalement : Je suis fier de toi, tu sais. J'aurais dû le dire depuis le début. Elle tressaillit et se décala juste pour pouvoir voir son visage. Quelque chose lui avait transpercé le cœur. Peut-être parce que c’était la première fois qu’on lui disait ce genre de choses. Elle ouvrit la bouche pour répondre, sous le coup de l’émotion mais se trouva bloquée par ses lèvres, qui se trouvaient dans son champ de vision. L’espace d’une seconde son esprit s’égara … avant qu’elle ne se gifle mentalement : M…merci. Elle se détacha de lui et remonta sur le canapé sur lequel elle se pelotonna en tirant le plaid sur elle. Je vais essayer de dormir …. Il valait sans doute mieux. C’était le manque qui parlait. Elle se droguait ou se gorgeait d’amour destructeur. Mais il n’était pas question qu’elle fasse n’importe quoi. Il était son parrain. Je peux rester, si tu veux. Je veux bien, oui, s’il te plaît. Malgré tout, elle ne voulait pas rester seule. Et quand l’effet de manque se serait atténué, tout irait mieux. Elle se décala pour lui faire de la place et ferma les yeux. Ereintée, elle s’endormit relativement rapidement.
So when you feel like hope is gone look inside you and be strong. And you'll finally see the truth : that a hero lies in you
Elle chassa le souvenir dans un sourire. Ce n’avait pas été la dernière fois qu’elle avait sonné à sa porte en plein milieu de la nuit. Et puis elle avait appris à voler de ses propres ailes. Mais je m’en suis sortie. Je n’ai plus touché à l’alcool, la cigarette ou la drogue. J’ai trouvé un emploi d’hôtesse de l’air et j’ai fini par me refaire une santé en parcourant le monde. J’avais besoin de prendre du recul. Et aujourd’hui, je vais bien. Elle avait décidé de se poser un peu, avait achevé sa formation par correspondance et était devenue professeur d’anglais, en attendant de retourner voler un jour peut-être. Mais elle avait enfin envie de stabilité et n’avait plus peur de se poser pour recommencer sa vie. Il lui aurait fallu du temps. Mais elle y était prête aujourd’hui. Ce que je voulais vous faire passer aujourd’hui c’est : n’abandonnez pas. Ne vous dévalorisez pas en vous disant que vous avez plongé, que vous n’êtes pas aussi forts que vous le pensiez. Nous sommes humains et nous avons droit à l’erreur. Ce n’est pas évident mais il faut commencer par se pardonner à soi-même. Accepter d’avoir flanché pour repartir. Et tirer les leçons de nos erreurs. Savoir ce que l’on veut et ce que l’on n’acceptera surtout pas. Elle acheva sur un sourire et baissa doucement la tête : Bon courage à vous tous.DERRIÈRE L’ÉCRAN ✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Buefeathers, tandis que mon prénom est Anaïs. Je suis âgé(e) de 23 ans et je vis actuellement du côté de Paris. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Skype, SMS et autres, par l'intermédiaire d'un certain Nolan, ma première impression en le voyant a été OHMYLAMAGOD. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de plutôt bonne qualité ? (Demandez à Nolan) et de 700 mots environ. Concernant mon personnage j'ai choisi Keira "so gorgeous" Knightley comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi U CAN'T BUY HAPINESS comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela.. A bientôt sur le forum ♥
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Dernière édition par Alicia C. Horowitz le Jeu 6 Fév 2014 - 21:35, édité 20 fois |
| | | Benjamin L. Cohen BAD COP
› MESSAGES : 642 › EMMENAGEMENT LE : 08/06/2013 › AGE : 41 › STATUT CIVIL : DIVORCÉ, DE RETOUR DANS LE LIT DE SES DAMES APRES AVOIR BRISER LE COEUR D'ALLY (ET LE SIEN). › QUARTIER : UN APPARTEMENT DE LUXE SUR PRESIDENTE DRIVE. OUI, AU 69. › PROFESSION/ETUDE : PDG DU GROUPE HÔTELIER INTERNATIONAL "COHEN DELUXE", ANCIEN FLIC DANS LA BRIGADE DES MŒURS ; › HB AWARDS : (2015) MEILLEUR TRIANGLE AMOUREUX AVEC ALLY ET NAYA ; SEX SYMBOL JUNIOR ; MEILLEUR SECRET DEVOILE ; › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : RYAN GOSLING ; › COPYRIGHT : ELOW ;
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Dim 2 Fév 2014 - 23:27 | |
| Keira c'est ma déesse. Je la vénère. Depuis le temps que j'attendais que quelqu'un la prenne ! Ah MES PRIÈRES SE SONT EXHAUSSÉE. Bienvenue (Ceci signifie un futur harcèlement certain pour quête de lieu de la mort qui tue.) |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Dim 2 Fév 2014 - 23:31 | |
| bienvenue ichiiiiiiiiiiiiiiiii les amis de nono sont nous amis ! |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 1:29 | |
| A MOI A MOI A MOI (ceci était une intervention inutile)
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 3:39 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 3:46 | |
| Bienv'nuuuue ! Bon, moi j'aime pas Keira mais je sais que tu me feras changer d'avis |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 6:47 | |
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| | | Snow T. Wames BAD COP
› MESSAGES : 504 › EMMENAGEMENT LE : 02/06/2013 › AGE : 49 › STATUT CIVIL : Divorcée 2 fois. Elle est la mère de Shawn à qui elle consacre tous son temps. N'est pas indifférente à un certain Cowboy. › QUARTIER : Orange Avenue avec Shawn. › PROFESSION/ETUDE : Professeur de Musique › DOUBLE COMPTE : Adam & Emma & Teddy & Kyle & Andrew & Kira & Sophia & Judy › CELEBRITE : Noomi Rapace › COPYRIGHT : Bazzart
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 7:44 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche :) |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 9:26 | |
| Keira est un excellent choix Bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche |
| | | Wesley Mills petit lama en quête du bon chemin
› MESSAGES : 99 › EMMENAGEMENT LE : 01/09/2013 › AGE : 52 › STATUT CIVIL : Marié › QUARTIER : President Drive › DOUBLE COMPTE : Jo / Meyers / Drix / Shawn / Sasha & Nora :P › CELEBRITE : David Boreanaz › COPYRIGHT : Shiya / Tumblr
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 10:14 | |
| Keira Bienvenue en tout cas & bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Lun 3 Fév 2014 - 18:08 | |
| ! Huhu tu sais, ici dans ce forum c'est un harem de choix de fou des avatars Nous faudra un lien aussi |
| | | Suraj H. Hudson BAD COP
› MESSAGES : 400 › EMMENAGEMENT LE : 12/05/2013 › AGE : 36 › STATUT CIVIL : FOREVER ALONE ; › QUARTIER : PACIFIC LANE ; › PROFESSION/ETUDE : ANCIEN JOURNALISTE AU NEW YORK TIMES ; PROF D'HISTOIRE AU LYCÉE ; TENTE DE RETROUVER UN JOB AU HUNTINGTON DAILY ; › HB AWARDS : (2013) FAMILLE EN OR ; MEILLEUR TRIANGLE AMOUREUX AVEC LAILA ET AILYNN ; (2014) FAMILLE EN OR (2015) MEILLEUR PERSONNAGE U CAN'T BUY HAPPINESS ; FAMILLE EN OR ; (2016) FAMILLE EN OR ;
› DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : ADITYA ROY KAPUR ; › COPYRIGHT : ELOW'
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Mer 5 Fév 2014 - 20:29 | |
| PROF. Dit moi que c'est en lycée, que j'ai enfin une collègue avec qui me plaindre des gamins. |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Mer 5 Fév 2014 - 20:30 | |
| Merci à touuuuuuuuus ! Et Henri, lycée tout à fait ! (Trop peur de tous ces étudiants déviants *pan*) |
| | | Suraj H. Hudson BAD COP
› MESSAGES : 400 › EMMENAGEMENT LE : 12/05/2013 › AGE : 36 › STATUT CIVIL : FOREVER ALONE ; › QUARTIER : PACIFIC LANE ; › PROFESSION/ETUDE : ANCIEN JOURNALISTE AU NEW YORK TIMES ; PROF D'HISTOIRE AU LYCÉE ; TENTE DE RETROUVER UN JOB AU HUNTINGTON DAILY ; › HB AWARDS : (2013) FAMILLE EN OR ; MEILLEUR TRIANGLE AMOUREUX AVEC LAILA ET AILYNN ; (2014) FAMILLE EN OR (2015) MEILLEUR PERSONNAGE U CAN'T BUY HAPPINESS ; FAMILLE EN OR ; (2016) FAMILLE EN OR ;
› DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : ADITYA ROY KAPUR ; › COPYRIGHT : ELOW'
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Mer 5 Fév 2014 - 20:34 | |
| héhé ! :D Génial ! |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Jeu 6 Fév 2014 - 21:36 | |
| Ca me va parfaitement :#22:
Et j'ai normalement fini ma fiche, superbe bande de lamas tous doux :43: |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Ven 7 Fév 2014 - 6:58 | |
| Comment j'ai adoré ton histoire |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Ven 7 Fév 2014 - 16:53 | |
| J'ai adoré ton Histoire Et un lien avec mon Teddy sera obligatoire il est prof au lycée aussi |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Ven 7 Fév 2014 - 20:03 | |
| c'te fiche ... VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH bienvenue parmi noustoutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
- vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
- en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
- vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
- pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Naya) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. Sam 8 Fév 2014 - 16:40 | |
| Merci à touuuuus :#21: Heureuse que ma fiche vous plaise, avec plaisir pour les liens évoqués et à bientôt en RPPPP !! *s'en va de ce pas faire le nécessaire partout* |
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| Sujet: Re: Alicia - You've got something I need {Terminée. | |
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| | | | Alicia - You've got something I need {Terminée. | |
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