Tout n'est question de pouvoirs (Pv avec Dylan J. Echolls) (terminé)

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On m'avait prévenu qu'un groupe de personnes pourrait provoquer certains dégâts au coeur même de la ville. Des casseurs avaient l'habitude de piller les magasins dans les environs et je n'aimais pas du tout ça. Mon patron me faisait confiance. J'avais pris mon arme et je me dirigeais direct vers ma voiture, en direction de cet endroit. Je ne voyais personne, enfin, grave erreur, car déjà on me frappait à l'arrière, mais aie, ça faisait mal. Je frappais cet homme de toutes mes forces et je m'éloignais. Bien sûr, je sommais les paroles d'usage mais non, il me menaçait d'un couteau. C'était bien sûr très délicat comme situation. Je n'allais pas crier comme une petite fille en faisant au secours, car ce n'était pas mon genre. Je n'hésitais pas à aller vers le danger mais malheureusement, j'avais reçu un coup de couteau au niveau de l'estomac. Il m'avait fait mal ce con ! Alors je ne me gênais pas pour prendre mon arme et je lui tirais dessus en plein coeur, sans aucun état d'âme. Je m'écroulais pendant un instant, le temps de récupérer mais je ne devais pas. Il me fallait me soigner, mais j'entendais du bruit. Je n'étais pas seule et j'avais peur. J'étais paniquée.

J'essayais de voir s'il y avait quelqu'un et c'était le cas, quelqu'un que j'appréciais énormément. Je voulais le protéger. Une rencontre dû au hasard, finalement, je ne pensais pas me retrouver devant une telle situation. C'était Dylan. Je devais cacher cette panique dans mes yeux. Je n'avais même pas regardé mon état, car tout ce qui m'importait c'était lui. Je le voyais et je ne pouvais m'empêcher d'être heureuse d'être auprès de lui. Je me rapprochais, essayant de cacher le corps et les dégâts. Je le regardais dans les yeux alors que je caressais sa joue. J'étais dingue, je bravais le danger.

- C'est une heureuse surprise que de te voir mon chou, alors que je faisais une petite ronde. Tu sais que tu m'as manqué, énormément manqué. Je vais profiter de ce moment pour abandonner le boulot, enfin mon service et me consacrer entièrement à toi. Allons dans un endroit plus tranquille qu'ici. Tu ferais de moi, une femme comblée.

Je continuais de lui caresser lentement la joue. Il était vrai que je ne l'avais pas vu depuis un certain temps. Je jouais avec le feu, je jouais drôlement, dangereusement avec le feu, au point de me rapprocher de lui, le titillant du bout des lèvres, alors que j'étais près de lui, me retrouvant en sécurité après ce que je venais de faire et je cachais ce que j'avais fait de telle sorte à ne pas revivre le soucis de New York. Peu importe la douleur, peu importe les souffrances, ce qui m'importait était la personne qui comptait énormément à mes yeux et je l'avais devant moi.

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J'avais terminé assez tard au travail, j'avais été tenu occupé par ce dossier de victime de viol et je n'avais pas vu les heures passer ce n'est que lorsque je finis par remarquer l'heure tardive , alors que tout le monde semblait avoir quitté depuis un bon moment, que je finis par me décider à quitter le bureau mon tour. Affamé comme pas un je m'arrêtai à ma pizzeria préférée et je me fis préparer deux pizza que je m'empressai d'apporter et de déposer sur la banquette arrière de ma voiture. Je m'installai donc à nouveau derrière le volant et je repris la route afin de rentrer chez moi lorsque je m'arrêtai en chemin alors que je voyais une silhouette se tenant au travers de la route, ralentissant je finis par m'immobiliser et c'est alors que je reconnu Melody. La voyant s'approcher je lui ouvrit la portière afin de lui permettre de venir me rejoindre et je ne pus que constater l'état dans lequel elle se trouvait.

Melody était une dure mais il était hors de question que je la laisse dans cet état, sa blessure risquait de s'infecter et jamais je ne pourrais me résoudre à la perdre. Je ne pus que lui sourire lorsqu'elle me proposa de nous rendre ailleurs afin de passer un agréable moment, ce que je pouvais aimer l'entendre m'appeler son chou, mais la réalité finit rapidement par me rattraper afin de me rappeler qu'il fallait la soigner et vite.

Je suis heureux de te retrouver ma puce, c'est une surprise des plus agréable. Lui dis-je tout en lui caressant la joue avant de baisser mon regard en direction de sa blessure. Mais avant il va falloir soigner ça ma belle, tu risquerais de t'infecter. Je sais que tu crains que les médecins remplissent un rapport et qu'il l'achemine au bureau de ton chef mais il appert que je connais un médecin qui me doit un service alors il va te soigner sans poser de question sinon … et bien sinon je le menacerai de dévoiler ce lourd secret qui risquerait d'anéantir sa carrière.

Je ne pu que lui sourire au gré de sa caresse contre ma joue et je finis par déposer ma main sur sa cuisse, venant lui voler un baiser alors que mes lèvres effleurèrent les siennes.

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Vraiment ce con, il m'avait fait mal et je le minimisais, comme une sale habitude pour le fait de ne penser qu'aux autres, minimisant mes propres envies mais je devrais arrêter, surtout que j'étais auprès de Dylan. Ce n'était pas dans mes habitudes de me montrer faible, vulnérable, mais il arrivait à percer cette carapace que je m'étais fabriquée, surtout depuis la mort de celui qui à l'époque, comptait le plus dans ma vie. Il avait ouvert la portière de sa voiture et je m'y installais. J'essayais de ne pas trop montrer cette douleur qui était quand même assez grande. Heureusement que cet enfoiré était bel et bien mort sinon, je l'aurais achevé à ma manière. Son sourire me permettait de me concentrer entièrement qu'à lui. Je voulais le préserver mais là, du coup, la réalité de mon métier avait pris le pas sur le reste. Je me sentais coupable de lui faire subir cela.

Il était mon chou, l'homme que je désirais, et cette douleur me dérangeait plus qu'autre chose. Il était même heureux de me revoir, c'était même une surprise des plus agréables. Je sentais sa douce caresse tout contre ma joue. Je frissonnais de désir et là, j'avais peur, je voyais qu'il baissait son regard et il ne pouvait pas rater ma blessure. J'étais cuite. J'avais peur de sa réaction. Il gardait quand même son sang-froid. Il précisait qu'il fallait soigner ma blessure sinon, cela risquerait de s'infecter. Il connaissait même mes peurs les plus profondes. En effet, je craignais que le médecin ne remplisse un rapport, que mon chef n'apprenne la vérité et qu'il puisse ensuite m'envoyer chez moi, rester une belle flemmarde devant la télé à regarder ses héros préférés en train de chasser les méchants. Il était hors de question que je m'arrête en si bon chemin de traquer les méchants et de les envoyer en prison. Il connaissait un médecin qui lui devait un service alors il allait me soigner sans poser de questions sinon, il le menacerait de dévoiler ce lourd secret qui risquerait d'anéantir sa carrière. Il me protégeait, prenait soin de moi mais on ne pouvait que craquer devant un chou pareil.

Je caressais sa joue, montrant quand même que j'étais là, près de lui et qu'il était hors de question que je fléchisse. Ce qui me touchait réellement, c'était qu'il prenne soin de moi, comme finalement, je prenais soin de lui et ce n'était pas négligeable. Son sourire ne pouvait que me faire craquer. Je sentais sa main tout contre ma cuisse. Je frissonnais de désir, le voulant absolument tout près de moi et là, je sentais ses lèvres tout contre les miennes, me volant un baiser. J'étais heureuse, comblée, que je le regardais avec envie et désir, venant vers lui, l'embrassant fougueusement.

- Je compte bien profiter de chaque moment auprès de toi, mon chou. Je suis désolée de me présenter dans cet état. Tu prends soin de moi au point de bien me connaître. Tu sais que je suis une casse-cou de service mais je me calmerais, promis. Je ne supporterais pas de voir ce visage si sexy triste à cause de moi. J'accepte de le voir. Tu peux m'emmener le voir, et je serais en échange des plus reconnaissantes, te montrant à quel point tu m'as manqué.

Je lui donnais un tendre et langoureux baiser, laissant mes mains caresser le long de son torse, les glissant sous sa chemise. Je rêvais de cet instant, où je me retrouverais avec lui. Je lui mordillais le lobe de l'oreille, lui murmurant que l'on pouvait y aller, alors que lentement, je caressais le bas de son corps avec ma main, arrivant même vers ce que je désirais. La voiture démarrait.

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J'étais en état de panique lorsque je vis Melody dans un tel état, je craignais tellement de la perdre, mais je me devais de ne pas le laisser paraître. J'avais déjà perdu un être cher, je ne me voyais pas la perdre, d'autant plus que grâce à elle j'avais l'impression d'avoir , à nouveau, droit au bonheur bien que nous ne formions pas en couple. J'étais si attaché à celle que je considérais comme étant ma meilleure amie que j'avais entrepris de lui proposer d'aller voir ce médecin qui me devait une fière chandelle et je fus soulager qu'elle accepte ma demande. Je lui souris, glissant lentement ma main contre sa cuisse, alors que mon regard ne pouvait que trahir ces forts sentiments que j'entretenais à son endroit. Démarrant au quart de tour je me mis à conduire dans les rues de la ville, un peu comme si une vie en dépendait, accélérant je me retrouvai à accumuler les infractions de la route mais en toute honnêteté je m'en moquais. Arrivé devant la clinique je téléphonai à cette personne qui me devait un service et bien qu'il prétextait l'heure tardive – il était près de 3 heures – je lui fis comprendre qu'il ne suffisait d'un seul appel de ma part afin que le juge ouvre à nouveau son dossier et cette fois ci il ne s'en sortirait pas avec un faux fuyant. Acceptant donc d'honorer sa dette il décida d'ouvrir la clinique et j'y entrai avec Melody.

Je la savais entre bonnes mains mais pourtant je ne pouvais m'empêcher de me faire du mauvais sang, je craignais le pire, et puis je décidai de me servir un café et de m'installer dans un des fauteuils de la salle d'attente. Je me mis alors à ressasser cette folle histoire ayant donnée naissance à notre amitié, à ce moment je fréquentais sa meilleure amie et celle-ci avait demandé à Melody de veiller sur moi, Melody savait parfaitement que son amie n'était pas la plus fidèle des femmes et elle mit tout en œuvre afin de me le faire comprendre et puis à force de la serrer contre moi et de me laisser bercer par la douceur de sa voix j'en vins à tomber sous le charme de celle qui allait devenir ma meilleure amie … ce qui allait entraîner une longue série de débordements, débordements que je ne regrettais aucunement.

Je finis donc par m'endormir et puis je me fis réveiller lorsque Melody revint avec le médecin, il avait réussi à la remettre sur pieds bien qu'elle ne me semblait pas au meilleur de sa forme. Me levant je me dirigeai vers elle afin de l'embrasser et remerciant le médecin je quittai avec ma belle blonde afin de se diriger chez moi.

Rapidement je l'aidai à prendre place dans ma voiture et j'entrepris de nous diriger chez moi, bien sur je ne pu m'empêcher de lui adresser quelques regards et puis arrivé devant chez moi je me stationnai et ensuite nous rentrâmes chez moi. Je lui retirai sa veste et puis , ne pouvant que difficilement y résister, je me mis à l'embrasser sur l'épaule alors que je me retrouvais derrière elle et que j'avais passé mes bras autour de sa taille.

J'ai eu si peur de te perdre ma belle.

Lui murmurais-je dans le creux de son oreille et collant mon nez dans le creux de son cou, j'avais peur de m'engager dans une relation – cette peur remontait à un bon moment déjà – mais pourtant Melody me donnait cette force qui me permettait d'y croire.

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Je n'aimais pas que des personnes les plus proches de moi se trouvent en face de mes soucis et s'inquiètent pour moi. Savoir que Dylan m'avait vu alors que j'étais dans un sale état, cela lui montrait à quel point je faisais un métier des plus dangereux. Je souhaitais tant le protéger, lui montrer à quel point je savais me protéger, mais j'étais plutôt casse-cou sur les bords. Je devrais faire plus attention à moi. J'allais chouchouter mon tendre chou, dès que l'on m'aura soigné cette vilaine blessure. Il était vrai que pour quelqu'un d'autre, j'aurais joué les vilaines têtues voulant me soigner seule mais avec Dylan, je craquais littéralement. Sentir sa main tout contre ma cuisse était un délice. Je craquais pour son sourire des plus charmants, irrésistibles. Il tenait à moi et cela me rendait heureuse. Je ne faisais pas attention à ce qui se passe autour de moi, car ce n'était pas ça l'important. Je me foutais quelque peu de mon état. Le plus important, c'était Dylan et j'éprouvais de forts sentiments pour lui.

On arrivait devant le lieu où j'allais être soignée. Cette clinique était connue. Dylan s'occupait de tout, vu l'heure tardive. Il était pour moi, mon héros. Je le désirais encore plus. J'arrivais devant le docteur. On entrait dans la clinique et le médecin m'emmenait afin de me soigner. Je faisais ce qu'il fallait pour tenir face à la douleur mais devant le médecin, lorsqu'il me soignait, je pouvais laisser éclater ma douleur. En me soignant, il me faisait mal ce con, c'était horrible. Je pensais de nouveau à celui qui m'attendait en salle d'attente. Ma plus grande peur était de le laisser. Le savoir malheureux m'anéantissait, au point même que cela me déchirait le coeur. Je veillais sur Dylan depuis tellement longtemps, depuis que ma meilleure amie me l'avait demandé. Le plus souvent, ce que je préférais, c'était de me retrouver dans ses bras. Je voulais enfin pouvoir passer un moment avec lui après de nombreuses enquêtes toutes bien mouvementées. Il finissait par bien me soigner alors que je ne rêvais que d'une chose : retrouver mon tendre chou.

J'allais enfin pouvoir le retrouver. J'arrivais tranquillement avec le médecin alors qu'il me disait de faire attention à mon état. Je voyais mon chou dans la salle d'attente et toutes les choses auxquelles je pouvais penser s'effacèrent en un instant. Il s'approchait de moi et m'embrassait. Il me rendait heureuse, alors que je pensais que ce n'était plus possible. Je restais auprès de lui, alors qu'il remerciait celui qui m'avait grandement aidé. On quittait ensemble la clinique. J'allais prendre place dans sa voiture mais il m'aidait. On partait chez lui. On échangeait des regards. J'étais si heureuse d'être près de lui.

Arrivant chez lui, je restais près de lui, me remettant un peu de ce qui s'était passé il y a peu. Il retirait ma veste. Je frissonnais rien que de le sentir tout près de moi. Il m'embrassait sur l'épaule. Il était juste tout contre moi. Je sentais ses bras autour de ma taille. Il me murmurait qu'il avait eu vraiment peur de me perdre. Il pensait à moi, me protégeait comme aucune autre personne ne l'avait fait jusqu'ici. J'avais besoin de lui. Je sentais son nez dans le creux de mon cou. Je frissonnais, je le désirais tellement. Je rêvais d'y succomber.

- Je suis tellement désolée de t'avoir fait peur mon coeur. J'avoue, j'ai eu peur, cette peur de ne plus te revoir, celle de ne pas te sentir tout contre moi, de ne plus pouvoir t'embrasser comme j'en ai envie là tout de suite. J'ai eu tellement peur de te laisser, que rien que d'être séparé de toi me déchire le coeur littéralement. Je rêvais de cet instant de te retrouver. J'ai envie de rester près de toi, de ne plus te quitter.

C'était une déclaration, il est vrai que j'ai de suite pensé à Dylan lorsque j'ai reçu ce mauvais coup. Je ressentais des sentiments tellement forts, que finalement cette aventure m'a bien fait comprendre qu'il fallait avancer. Je levais mon bras, bien sûr, là, où je n'avais pas été soigné vers celui que je voulais, caressant ses cheveux, avant de descendre tout le long. Je me retournais, regardant son visage des plus émues. La dure ne pouvait pas à un moment donné tout caché. Je n'étais pas aussi forte que je le laissais transparaître. Avec ce qui était arrivé, j'étais un peu plus vulnérable. Je le désirais, je le voulais plus que tout et ça, rien ne pouvait m'y empêcher. Je lui caressais la joue, étant émue. Je ne pouvais empêcher cette larme de couler le long de ma joue. Je m'approchais de lui, le titillant du bout des lèvres, même à faire penser que je me sentais coupable de la situation, alors que ce n'était pas le cas pour ce qui arrivait maintenant. Je l'approchais tout contre moi, l'embrassant fougueusement, passionnément. Je ne pouvais résister à cette envie, à ce désir des plus ardents. Je le caressais au niveau de son cou, descendant au niveau de son dos. Je la faisais revenir lentement caressant ensuit son torse à l'aide de mes deux mains. Je lui mordillais le creux de l'oreille, lui murmurant que je voulais me retrouver dans ses bras. Je profitais d'être à ses côtés. J'étais heureuse.

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Rien n'est simple dans la vie, du moins dans la mienne, et bien que je semblais tout mettre en œuvre afin de m'éviter à nouveau les souffrances et les tortures découlant des affres de l'amour voilà que les aléas du destins semblèrent se liguer contre moi afin de me torturer en décidant de tout mettre en œuvre afin de pimenter ma relation amicale avec Melody … comme si j'avais besoin de tomber amoureux à nouveau. Comprenez-moi bien ce n'est pas que Melody ne me plait pas, bien au contraire, c'est plutôt que je crains de souffrir à nouveau … il faut avoir connu la souffrance que nous cause la perte d'un être aimé pour comprendre et je me refusais de revivre cet enfer. Évidemment la logique la plus élémentaire aurait voulu que je prenne mes distances avec Melody mais pourtant la logique avait finit par lever les voiles tellement mes sentiments pour Melody avait prit le dessus … j'étais fou d'elle, bien que la peur de voir la vie me la retirer semblait vouloir m'empêcher d'aller de l'avant.Lorsque je retrouvai Melody blessée, voyant qu'elle perdait une énorme quantité de sang, je me suis vu confronté à une vision cauchemardesque de ce que serais ma vie sans elle et je réalisai que je ne pourrais pas supporter de perdre encore une fois une personne à qui je tenais plus que tout c'est donc ce qui me poussa à prendre les choses en main afin de m'assurer que cela ne se produise pas. J'avais donc décidé de l'emmener voir ce médecin qui me devait un service et je ne lui avais guère laissé le choix … il devait s'occuper de Melody, du moins si il tenait à la vie.

Arrivé à la clinique je laissai le médecin s'éloigner avec Melody, bien que je ne pouvais que continuer à me faire du mauvais sang pour elle, et acceptant le fait que je ne pouvais rien faire d'autre afin de lui venir en aide j'acceptai de ronger mon frein et de patienter. Après tout que pouvais-je bien faire d'autre? Au bout d'un bon moment je la vis revenir, accompagnée du médecin, de par sa démarche je savais qu'elle souffrait encore mais au moins j'étais rassuré en me disant qu'elle avait reçu les soins que son état nécessitait.

Après avoir quitté la clinique je m'empressai de conduire jusqu'à chez moi et c'est un coup entré dans mon appartement en sa compagnie que je vis rapidement que la soirée allait me réserver bien des surprises. J'étais loin de m'attendre à ce qu'elle me fasse ce genre d'aveux, moi qui croyait ne pas avoir la moindre chance avec elle voilà qu'elle m'ouvrait son cœur comme personne ne me l'avait jamais fait et je me refusais à laisser une telle chance me glisser entre les doigts.

Tout ça est maintenant derrière nous mon ange, il ne sert à rien de continuer d'alimenter tes peurs puisque maintenant tu ne risques plus rien. L'idée de te perdre m'est insupportable , je compte bien tout mettre en œuvre afin de te voir heureuse ma belle, savourons le moment présent ma chérie … viens vers moi. Tu es simplement tout ce que je désire.

Je lui avais tenu ces mots alors que je m'adressais à elle à cœur ouvert, me livrant entièrement à elle, je finis par glisser ma main contre sa joue, frissonnant sous ses caresses alors que nous nous embrassions, tantôt avec douceur et tendresse tantôt avec fougue et passion, je me sentais si bien avec elle que je me refusais de me réveiller si jamais le tout ne devait s'avérer qu'être un rêve.

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J'avais bien conscience de ce que je pouvais perdre si je ne faisais pas attention, et ça, rien que de penser qu'il pouvait y avoir vite un problème, cela me faisait prendre conscience de la vérité. En effet, je repensais au moment où j'avais perdu celui que j'aimais à l'époque. Je n'avais pas compris, mais maintenant, la vérité m'était claire, car je me devais d'être auprès de lui. Je ressentais de forts sentiments pour Dylan me permettant de voir l'avenir d'une toute autre manière que celle d'être triste et n'ayant pas le droit au bonheur. Dylan me donnait un sourire et chaque jour en étant à ses côtés, je me sentais vivante. Je n'étais plus un pantin de foire que le destin pouvait manipuler comme jamais. J'étais amoureuse de Dylan, c'était même un bonheur incommensurable. Je pensais à son bonheur et même s'il le fallait, je me sacrifierais pour qu'il soit heureux. J'avais offert tout ce qu'il y avait de plus cauchemardesque, et je m'en voulais. Voir Dylan souffrir à cause de moi était insupportable. Jamais personne ne s'était occupé, pris soin de moi comme ça. Il était vrai que je ne laissais plus personne être si près de moi, mais Dylan était tout pour moi.

J'avais été au moins pris en charge par un médecin très compétent. Dylan m'avait aidé. Je lui en serais des plus reconnaissantes et je comptais bien lui montrer. Nous nous trouvions chez lui, là où au moins, je pouvais laisser toutes mes craintes et mes souffrances derrière moi, pour ne vivre qu'un sacré moment, celui dont je me souviendrais très longtemps. J'avais le courage enfin de tout avouer, de montrer qu'il représentait tellement à mes yeux. Je l'aimais, je l'aimais profondément. J'étais plus qu'émue. Dylan me disait que tout était derrière nous et que cela ne servait à rien de continuer d'alimenter mes peurs puisque je ne risquais plus rien maintenant. J'avais toujours peur, mais me retrouvait près de lui m'enlevait tous les soucis. L'idée de me perdre lui était insupportable. Je ne voulais pas le perdre non plus. Je tenais de plus en plus à lui. Il allait tout mettre en oeuvre pour me rendre heureuse, il commençait déjà à le faire. A ses côtés, rien ne pouvait m'atteindre, c'était comme si j'étais plus forte qu'avant, même si je devais le dire, j'avais des côtés bien suicidaires avec mon métier. Je devais véritablement me calmer et savourer chaque instant, enfin goûter au bonheur qui m'était dû. Il m'invitait à venir vers lui et je ne pouvais refuser. J'étais ce qu'il désirait, oh, j'aimais encore plus. Je me rapprochais encore plus de lui. Jamais un homme comme ça ne s'était ouvert à moi. J'étais tellement heureuse. Je frissonnais rien qu'en sentant sa main glisser le long de ma joue. Je continuais intensément de caresser son torse des plus sexy. On s'embrassait tendrement, puis intensément, fougueusement. Je ne pouvais pas être loin de lui. Rester le plus longtemps possible près de lui serait mon souhait le plus cher. Je laissais mes mains glisser sous sa chemise, alors que je l'embrassais passionnément. Je le caressais intensément, alors que je lui mordillais le lobe de l'oreille lui murmurant à quel point je le désirais, à quel point je tenais à lui et que je rêvais depuis toujours de cet instant, que je l'aimais plus que tout. Je lui enlevais lentement cette chemise, retirant un à un les boutons.

- Tu as entièrement raison. Rien qu'en étant près de toi, je me sens comblée et plus forte que jamais. Je me sens protégée mon coeur, rien ne peut m'atteindre quand je suis tout près de toi. Je serais toujours à tes côtés c'est promis. Je ne supporterais pas non plus de te perdre. Je tiens tellement à toi, plus qu'à n'importe quel autre personne. Je reste tout contre toi, embrasse-moi, je veux profiter de chaque instant à tes côtés mon chou. Je te désire plus que tout mon chéri, mon tendre amour.

Peu importe ce qui m'était arrivé auparavant, l'important était de me retrouver auprès de l'homme qui faisait battre mon coeur, lui qui au départ ne battait plus pour quelqu'un, ne m'apportait pas une joie immense et merveilleuse. Je voulais le protéger de ce monde, être là pour lui, et c'est ainsi que j'ai appris à regarder ses qualités, à voir que je n'étais rien sans lui, perdue et désemparée. Il me permettait d'avoir les pieds sur Terre. Je continuais de l'embrasser et c'est là que je pouvais admirer son torse des plus sexy. Je le titillais du bout des lèvres, alors que je descendais mes baisers le long de son torse, le regardant d'une manière des plus coquines, et c'est ainsi que je le guidais pour qu'il vienne jusqu'à moi, alors que nous nous dirigions dans un endroit nous permettant enfin de sceller nos retrouvailles, d'exprimer ce que l'on ressentait depuis tellement longtemps. Je l'embrassais de nouveau fougueusement, alors que je continuais de m'avancer vers le lit. Arrivant près de celui-ci, je me baissais, l'attirant tout à moi, voulant profiter enfin de l'homme qui me faisait vibrer, que je désirais de tout mon être.

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Moi et Melody c'était une histoire compliquée, c'est le moins que l'on puisse dire. Il était vrai qu'aux yeux de plusieurs nous semblions être les meilleurs amis du monde mais au dela de notre belle amitié il y avait plus, beaucoup plus, en effet nous étions en proie à un désir intense, une attirance des plus dingue à laquelle nous avions fini par nous abandonner. À force de se blottir dans les bras l'un de l'autre, de se sourire, de s'offrir de douces caresses, nous en sommes venus à nourrir mutuellement de forts sentiments et le plus beau dans cette histoire c'était que le tout était plus que réciproque. Évidemment de voir la personne la plus importante et la plus chère à mon cœur dans un si triste état m'avait poussé à remuer ciel et terre afin qu'elle obtienne les soins nécessaire à son état. Bien sur je n'étais pas fier de la façon dont je m'y avais pris, après tout je n'avais jamais été un tenant de l'intimidation et des menaces mais dans ce cas la fin justifiait les moyens. J'étais heureux de voir qu'elle s'en sortait indemne , d'ailleurs j'avais promis au médecin de m'occuper personnellement de la convalescence de ma belle blonde. La prenant dans mes bras, nous quittâmes la clinique afin de se diriger vers ma voiture pour ensuite se rendre directement chez moi. Les regards que nous nous échangions et la douceur de sa main se glissant contre ma cuisse ne pouvait que m'emmener à réaliser à quel point elle comptait pour moi et je savais parfaitement que le moment qui nous attendait allait tout simplement être magique.

Arrivé devant chez moi je me stationnai et je pris la belle par la main afin de la faire entrer chez moi et puis rapidement je me retrouvai captif de son regard, frissonnant sous ses caresses et je ne pus que savourer la douceur de ses lèvres venant effleurer ma peau pour ensuite prolonger ce fougueux baiser lorsqu'elle entreprit de s'emparer de mes lèvres, elle savait parfaitement comment faire en sorte que le désir me submerge. L'embrassant dans le creux du cou, alors qu'elle me retirait ma chemise toute en douceur, j'entrepris lentement de soulever son chandail tout en me mordillant la lèvre tellement elle me faisait envie.

Te perdre serait pour moi la plus triste des fins, j'aurais l'impression de mourir à petit feu si je devais affronter la vie sans toi à mes côtés. Je t'aime tellement ma princesse. Tes désirs sont pour moi des ordres ma toute belle.

J'étais si heureux en sa compagnie, grâce à elle je parvenais à croire en la pertinence de jours meilleurs, plus que jamais je me permettais de savourer notre bonheur. Je lui souris tout en lui caressant la joue, alors qu'elle se rapprochait de moi, et puis je prolongeai ce baiser des plus langoureux qu'elle avait initié lui prenant la main afin de l'attirer contre moi alors que je venais de me laisser tomber sur le sofa.

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On me disait souvent que j'avais l'habitude de garder ce que je ressentais, il y avait de quoi surtout après l'épreuve que j'avais traversée. Seulement, avec Dylan, je voulais enfin passer à autre chose, je pensais à mon bonheur. Je ne pensais pas que ce que je ressentais allait être si fort, si intense et me transportait littéralement de bonheur, mais pourtant c'est arrivé. Cette relation était si merveilleuse que je me refusais à perdre tout ça. Je me sentais si bien, en sécurité, et tout mon monde de suicidaire s'envolait pour ne laisser place qu'à mon chou. Je le désirais tellement. Je ne rêvais que d'être dans ses bras, de pouvoir enfin sentir cette douce chaleur me permettant de m'échapper de ce monde plein de danger permanent. On s'abandonnait littéralement l'un à l'autre. Je ne rêvais que de passer plus de temps à ses côtés. Je l'aimais plus que tout et je continuais de l'aimer chaque jour un peu plus. Nos sentiments étaient réciproques et cela me plaisait, je voulais partager tellement avec lui. Rien que d’y penser, je pouvais afficher mon bonheur. Ce qui me touchait le plus, c'était la manière dont il me protégeait. Bien sûr, j'avais toujours voulu me protéger seule, prendre toutes les souffrances pour moi mais là, l'occasion d'être heureuse enfin se présentait devant moi.

La douleur s'estompait. Cette vilaine blessure se cicatrisait, comme toutes celles qui m'avaient atteinte au fil des années. Ce que j'avais de plus important était devant moi, ce dont j'avais toujours rêvé, même si je ne le disais pas au début, mais il était temps que je pense à moi, à mon bonheur. Dylan était mon bonheur. Rien que de le toucher, de le caresser intensément au niveau de la cuisse, continuant par la suite. Il m'était impossible de lui résister. Son regard était si captivant. Je ne pouvais m'en détacher. Je me laissais guider par mon chou et je le caressais intensément, donnant de tendres baisers contre sa peau, le couvrant partout et je kidnappais littéralement ses lèvres, affichant un sourire des plus coquins. Ses baisers dans le creux de mon cou étaient un tel délice, une sensation si intense que j'en retirais sa chemise lentement et il enlevait mon haut des plus sexy. Je me focalisais sur ses lèvres des plus sexy, ne désirant qu'encore plus le savoir tout contre moi. Pour lui, me perdre serait la plus triste des fins. Je ne souhaiterais en aucun cas qu'il souffre à cause de moi. Je ferais absolument tout pour rester auprès de lui et que mon travail ne prenne plus autant de place qu'avant. Il aurait l'impression de mourir à petit feu sans moi et c'était la même chose si je ne l'avais pas à mes côtés. Il allait combler tous mes désirs. J'affichais un beau sourire, signifiant que ce que je désirais depuis toujours était juste devant moi. Le sien était des plus craquants, oh comment dire non au fait de pouvoir être si proche de lui. Cette caresse le long de ma joue était un délice, une sensation indescriptible et si magique que je ne pourrais pas résister longtemps. Je me rapprochais encore plus de lui, l'embrassant et il prolongeait langoureusement. Je faisais durer ce moment le plus longtemps possible. Je sentais sa main tout contre la mienne. J'étais irrémédiablement attirée tout contre lui, alors qu'il se laissait tomber sur le sofa. Je l'embrassais fougueusement, laissant mes mains se balader sur son torse, arrivant au niveau de sa taille. Je mordillais ses lèvres légèrement, léchant la petite goutte qui dépassait. Je le guidais vers mes hanches. Je frissonnais de désir, je le désirais si intensément.

- Jamais tu ne me perdras, je te le promets. On sera tous les deux. Je ne peux m'imaginer être loin de toi ne serait-ce qu'une seconde. Je t'aime aussi mon amour, tellement fort. Comment ne pas craquer pour un bel homme tel que toi mon chou, tellement que je me sens si exceptionnelle auprès de toi. Mon désir le plus fort, c'est enfin ce moment, embrasse-moi, prends-moi dans tes bras, je ne veux qu'une chose mon coeur : toi et tout ce qui fait à quel point tu comptes tellement à mes yeux.

Je basculais mes cheveux de gauche à droite, alors que je l'embrassais langoureusement, descendant au creux de son cou. La convalescence, je n'y pensais même pas, car ce qui m'importait, c'était de montrer à Dylan à quel point je rêvais de cet instant. Ses sentiments si forts et si intenses, je ne pensais ne plus jamais les ressentir, croyant que le bonheur était interdit pour quelqu'un comme moi t pourtant me voilà dans les bras de l'homme le plus merveilleux que je connaisse. Je le griffais légèrement alors que j'appliquais de tendres baisers le long de son torse, alors que je commençais délicatement à enlever la ceinture. J'avais bel et bien l'intention d'en profiter, laissant mes mains aller encore plus loin. Je me rapprochais de son oreille lui murmurant des choses oh bien coquine. Je n'avais envie que d'une seule chose : son bonheur et que ce soit avec moi, c'est un bonus inestimable.

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Si un jour quelqu'un avait osé me dire que je finirais par tomber amoureux de celle que je considérais comme étant ma meilleure amie je l'aurais probablement envoyer paître dans les règles tellement je me fermais à cette idée . Pourtant je ne pouvais nier que j'éprouvais de forts sentiments envers Melody, en tentant de nier la vérité je ne pouvais que véhiculer le plus grand de mensonges et le pire dans toute cette histoire c'est que je semblais m'efforcer de me mentir à moi-même. Nous étions devenus de plus en plus proches, même qu'ils nous étaient arrivés de finir dans le même lit mais jamais je n'avais osé franchir le pas afin de lui exprimer tout ce que je pouvais ressentir à son endroit … du moins jusqu'à ce soir. Je me croyais immunisé contre ce genre de choses mais il ne fallu que je la vois dans une situation pour le moins fâcheuse afin que je me fasse à l'idée que je ne pouvais concevoir ma vie sans elle car après tout … je l'aimais plus que tout. Il aura donc fallu que je la vois en proie à d'atroces souffrances afin que je revoie mes priorité et le rôle que je voulais la voir jouer dans ma vie.

Après avoir quitté la clinique nous nous rendîmes chez moi , dès que nous fûmes en route je réalisai que cette soirée allait revêtir un cachet spécial, après tout les doux regards que nous nous lancions ne pouvaient pas mentir. Arrivé chez moi nous nous retrouvâmes rapidement l'un contre l'autre, s'embrassant avec passion tout en se caressant, mais cette fois je sentais que c'était différent je pouvais percevoir cette lueur dans son regard … le genre de lueur qui ne pouvait que me faire comprendre que ce soir allait être LE MOMENT. Continuant de nous embrasser avec cette fougue et cette passion qui nous caractérisaient si bien, je m'abandonnai à elle alors qu'elle tenta de défaire ma chemise et lentement je laissai mes mains glisser contre elle afin de lui retirer son haut tout en prenant soin de ne pas éveiller sa blessure. C'est en frissonnant au contact de ses douces mains contre mon torse que je continuai de l'embrasser tout en laissant mes mains glisser le long de ses hanches et me retrouvant sur le sofa j’attrapai une de ses mains afin de l'attirer contre moi. Mon regard plongé dans le sien alors qu'elle se retrouvait en position dominante je me laissai aller à prolonger ce baiser des plus sensuel tout en lui caressant le bas du dos alors qu'elle glissait ses mains contre mon torse … voyant qu'elle désirait s'attaquer à ma ceinture j'entrepris , tout en douceur, de lui retirer son soutien tout en l'embrassant dans le creux du cou.

Tout ce que je désire en ce bas monde se résume en un seul mot : toi. Allez viens contre moi ma princesse, que je te montre à quel point tu me rends fou.

Je ne pouvais que la regarder d'un œil admiratif lorsqu'elle balançait les cheveux tel qu'elle le faisait en ce moment, mon désir à son endroit était sans fin tellement elle pouvait m'envouter. Je finis par me rapprocher d'elle, lui caressant le bas ventre pour ensuite l'embrasser avec fougue. Rien ne comptait d'avantage que la belle blonde, à mes yeux elle était et sera toujours la femme de ma vie. J'adorais cette façon qu'elle avait de me griffer le torse, si bien que je ne pouvais qu'y répondre en lui mordillant la peau du cou … laissant même par moment quelques marques ici et là, c'est qu'elle me faisait tellement perdre la tête.

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J'étais si heureuse en cet instant et jamais, je n'aurais cru pouvoir accès à un tel bonheur. J'aurais pu me dire, que c'était si irréel mais pourtant je l'avais devant moi. Ce que je ressentais était si fort, si puissant. Cela me faisait un bien fou, je ressentais un tel bonheur qui me semblait tellement inaccessible jusqu'ici. Je n'aurais jamais dû laisser en sommeil ce que je ressentais. C'était la plus belle chose qu'il ne me soit jamais arrivé. Je ne pouvais qu'être davantage proche de lui et de profiter de chaque instant. Il était bien sûr arrivé que l'on se retrouve tous les deux dans le même lit. Je me sentais si bien auprès de lui, je l'aimais de tout mon être et je désire vivre intensément à ses côtés. Je ne désirais plus passer à côté du bonheur. J'étais anéantie que l'on me l'avait arraché la dernière fois que j'étais prête à tout pour le protéger. Je ne pouvais vivre sans lui et savoir que je m'étais trouvée dans une telle situation me brisait le coeur, car ce n'était pas ma propre vie qui m'importait, mais c'était la sienne et ce que je pourrais infliger en disparaissant. Son bonheur comptait beaucoup plus que le mien.

La clinique n'était plus qu'un mauvais souvenir et je ne souhaitais en aucune façon faire revivre une situation de ce genre. Je préférais me retrouver à ses côtés. Plus rien n'avait d'importance. Je le regardais si intensément. Je n'avais envie que de me retrouver dans ses bras, j'avais envie de ressentir cette douce chaleur tout contre la mienne. Nous étions l'un tout contre l'autre, s'embrassant avec une passion des plus dévorantes. On se caressait et cela me procurait une sensation si intense, si délicieuse. J'en voulais tellement plus. Il me faisait tellement craquer, que tout ne laissait transparaître que mes désirs. On continuait de nous embrasser fougueusement, passionnément, seulement, j'avais envie de passer aux choses sérieuses. Je défaisais sa chemise, c'était que j'avais une telle envie de sentir sa peau tout contre la mienne. Je sentais cette douce caresse tout contre moi, me laissant faire. Je savourais chaque instant, si merveilleux, si exquis. J'intensifiais mes caresses contre son torse en faisant de lui ce que je voulais que je sentais ses mains glisser le long de mes hanches, alors que nous prolongions ce baiser des plus fougueux. Dylan m'attirait vers le sofa, je ne pouvais pas résister à un appel des plus tentants alors que je sentais sa main attrapant l'une de miennes. Etant si proche de lui, je ne pouvais résister à son regard des plus pénétrants. Je ne pouvais que craquer devant un bel homme si irrésistible, merveilleux et parfait à mes yeux. J'étais littéralement au-dessus de lui alors qu'il prolongeait mon baiser. Je savourais le moment, gravant chaque seconde dans ma mémoire. Ses caresses dans le bas de mon dos, ne pouvaient que m'inciter à le désirer si intensément que je passais à la vitesse supérieure. Je continuais ma manoeuvre, voulant m'attaquer à sa ceinture, réussissant à l'enlever alors que je le regardais d'une manière des plus coquines. Il enlevait mon soutien-gorge en douceur qu'à chaque instant, je me laissais envahir par un désir des plus intenses que je ne demanderais qu'à y succomber. Ses baisers dans le creux de mon cou me donnaient l'envie littéralement de l'avoir tout à moi. Je ne pouvais résister à Dylan. Il me faisait tant craquer et je tiens encore plus à lui. J'étais si émue d'entendre que tout ce qu'il désirait en ce bas monde se résumait en un seul mot et c'était moi. J'aimais encore plus cette belle invitation. Il voulait que je vienne et il allait me montrer à quel point je le rendais fou. Refuser une invitation pareille, c'était un crime suprême.

Je ne pouvais que venir vers lui, balançant mes cheveux de gauche à droite pour lui apporter de douces sensations, ne pouvant que le rendre encore plus fou de moi. Rien que de la manière dont il me regardait, je fondais sur place. J'étais si comblée. Il venait tout contre moi. J'affichais un sourire des plus coquins alors que je sentais ses douces caresses sur mon bas ventre me faisant vibrer comme jamais. Il m'embrassait fougueusement, je prolongeais avec une envie des plus ardentes. Je caressais son torse des plus sexy, le griffant par endroit, léchant le surplus puis il me mordillait la peau du cou. Je vibrais de plus en plus, j le voulais si fort. Je ne pouvais y résister. Il me rendait dingue. J'étais follement amoureuse de cet homme lui enlevant son pantalon, admirant ce très beau cadeau, alors que je lui mordillais le lobe de l'oreille, le couvrant de baisers et le mordillant par endroit, alors que je caressais intensément ce que je voulais avec ma jambe.

- Je ne refuse pas une telle invitation d'un homme qui me fait plus que vibrer. Ce que je désire c'est toi et rien d'autre. Je te veux, j'ai tellement envie d'être auprès de toi, j'ai envie de te sentir tout contre moi, de sentir tes caresses, tes baisers.

Je continuais de l'embrasser, me blottissant tout contre lui, alors que je procurais une danse des plus privées. J'avais tellement envie de dire ses mots qui montreraient à quel point je tenais à lui. Je l'aimais plus que tout. Je donnais un cadeau qu'il ne pourra qu'apprécier et faire en sorte qu'il me procure tout le bonheur que j'ai tant rêvé. Je lui mordillais le lobe de l'oreille, murmurant que je le voulais là, tout de suite, j'en avais tellement envie alors que je baissais lentement ce qu'il me restait et le guidant vers le bas de mon corps.

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Je dois admettre que le simple fait de poser mon regard sur elle était de nature à éveiller en moi un désir des plus intense, elle me faisait envie à un point tel que j'en perdais la raison. Je me trouvais confronté à un lourd dilemme, d'un côté je tenais mordicus à son amitié mais de l'autre j'étais devenu si amoureux d'elle que la simple idée de la voir avec un autre mec me rendait malade. Bien entendu le risque que je courais en prenant sur moi de lui déclarer ma flamme était grand, après tout il était possible que ce que je ressentais à son endroit ne soit pas réciproque mais néanmoins je me refusais d'envisager une vie sans elle à mes côtés c'est donc pourquoi je puisai au plus profond de mon être afin de trouver la force de lui dire combien je pouvais l'aimer. Au final je me félicitais d'avoir fait preuve de tant d'audace, car maintenant c'est main dans la main que nous comptions avancer.

J'étais si heureux en sa compagnie, bien sur mon cœur avait stoppé net lorsque je la croisai dans ce sale état, mais notre visite à la clinique avait tôt fait de la remettre sur pieds. Arrivé chez moi nous nous abandonnâmes l'un à l'autre , s'embrassant et se caressant … laissant notre passion mutuelle s'exprimer. Nous étions si attiré l'un par l'autre qu'il nous était insoutenable de ne pas s'abandonner mutuellement l'un à l'autre, je lui appartenais corps et âmes tout comme elle m'appartenait de la même façon. Nous embrassant avec fougue et passion , nous semblions vouloir s'offrir à l'autre comme si notre vie en dépendait … j'adorais frissonner sous ses caresses et je ne pouvais que lui montrer à quel point elle me rendait fou. J'étais si accroc à ses baisers déposés ici et là dans le creux de mon cou, si dépendant de ses caresses que je ne résistai pas longtemps à l'envie de lui demander de venir me rejoindre.

J'ai tellement envie de toi, de sentir l'effet de tes caresses, de me laisser enivrer par la douceur de tes baisers.

Je me sentais si bien tout contre elle, gémissant de bonheur au gré de ses caresses tout en prolongeant ses baisers alors que je ne pouvais que me laisser envoûter par ce parfum auquel je ne résistais jamais bien longtemps. Je l'attirai donc tout contre moi , alors que nous nous trouvions sur le lit, profitant de ce moment privilégié.

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J'avais ressenti un sentiment si intense dès le moment où j'avais posé mes yeux sur lui, et je me voilais la face, ayant peur d'être heureuse, c'est paradoxal de fuir le bonheur, mais pourtant, je l'avais fait. Aujourd'hui, j'avais pu enfin avouer ce que je ressentais. Ce désir si intense que je ressentais pour lui, était beaucoup plus : de l'amour. J'aimais cet homme de tout mon être et je me sentais si triste, si perdue sans lui. Il me manquait quelque chose, un vide que je n'avais jamais réussi à combler jusqu'ici avant de le rencontrer. J'étais amoureuse de mon meilleur ami et je ne pouvais que craquer encore plus rien qu'en voyant son regard, la manière dont il s'occupait de moi. Je me sentais prête enfin à construire quelque chose à ses côtés et rien que d'y penser, j'étais déjà aux anges. Je ne voulais plus lui faire peur, l'inquiéter. Le voir ainsi m'avait fait prendre conscience que je devais faire attention à moi et je lui montrais à quel point je tenais à lui, grâce à mes baisers et mes caresses. Je le désirais plus que tout au monde. On ne pouvait résister à cette envie mutuelle de se retrouver l'un tout contre l'autre. On était animés par une passion si dévorante que nos caresses et baisers étaient tellement intenses. J'avais encore plus envie d'être tout contre lui. Je le voulais, je le désirais et je ne pouvais lutter contre ça. Je voulais profiter de chaque instant auprès de lui. On s'embrassait avec une telle fougue, une passion qui nous dévorait de l'intérieur. J'étais folle de lui. Je l'embrassais dans le creux de son cou, intensifiant mes caresses. Il avait finalement craqué et je le rejoignais immédiatement.

J'affichais un sourire des plus coquins. Il était des plus irrésistibles. Je me mordillais les lèvres, n'exprimant avec une telle envie que ce dont j'avais toujours rêvé c'était lui continuant un spectacle des plus privés. Je ne pouvais plus me retenir, gémissant de bonheur sur le plaisir qu'il me procurait en cet instant. Il me disait qu'il avait tellement envie de moi, de sentir l'effet de mes caresses, de se laisser enivrer par la douceur de mes baisers. J'allais lui donner tout ce qu'il rêvait et bien plus encore. Il méritait le bonheur et auprès de moi. Ce qui me rendait folle de bonheur c'était de pouvoir l'entendre, savoir que je procurais un plaisir si intense, et c'était qu'il me faisait tellement envie. Je continuais de le caresser, d'embraser sauvagement et il prolongeait d'autant plus. Je faisais durer ce moment des plus intenses. Il m'attirait tout contre lui, alors que l'on se trouvait sur le lit. Je ne pouvais m'empêcher d'être captivé par son regard alors que je l'embrassais avec une envie des plus folles, le couvrant de baisers et le mordillant par endroit.

- Oh moi aussi mon amour, j'ai tellement envie de toi et tu auras tout ce dont tu as toujours rêvé, même plus. Je te désire si intensément, je veux te montrer à quel point je tiens à toi, combien je t'aime. Je suis si heureuse auprès de toi que je voudrais en profiter le plus possible. Tu me fais craquer, tu es si irrésistible. Ton corps tout entier, ta peau, tes lèvres sont pour moi une invitation et j'y réponds oui sans hésiter. Avec ce sourire, je craque c'est obligé. Je te veux mon coeur, je te veux là, tout de suite.

Je venais tout contre lui, le titillant du bout des lèvres, avant de l'embrasser, laissant tout mon corps exprimer ce que je ressentais pour lui, un tel désir que je ne pouvais contrôler. Je léchai les endroits où j'y étais allée un peu fort, faisant durer cet instant. Je tenais tellement à lui. Ce que je ressentais était encore plus important. Si je ne l'avais plus auprès de moi, je serai si anéantie.

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Longtemps j'avais enfermé mon cœur à double tour afin de le préserver des douleurs et des vils tourments que peut engendrer l'amour, j'étais si résolu à me protéger contre ce genre de souffrance que la serrure pouvant libérer mon cœur avait été encodée un peu à l'image d'une carte sim. J'étais loin de m'attendre à ce qu'un jour une personne finisse par trouver le code afin de court circuiter mon plan des plus ingénieux et je ne m'attendais encore moins à ce que ce soit ma meilleure amie qui réussisse ce tour de force mais comme vous le savez aussi bien que moi, il y a de ces choses que l'humain ne contrôle pas. Il était évident qu'entre nous c'était beaucoup plus que de l'amitié mais je crois qu'au plus profond de mon être je prenais plaisir à me voiler la face, un peu comme si le fait de fuir la réalité était de nature à m'arranger.

Le fait de l'avoir recueilli dans un tel état n'avait fait que me pousser à réaliser à quel point elle pouvait compter à mes yeux, bien que je continuais à me vautrer dans l'aveuglement volontaire, et c'est lorsque nous nous retrouvâmes chez moi que je finis par perdre le contrôle. C'est en la serrant contre moi, frissonnant sous ses caresses, et m'abreuvant de l'exquise douceur de ses paroles – tout en l'embrassant avec fougue et passion – que je réalisai toute l'ampleur de l’ambiguïté de notre relation. Depuis un certain temps déjà je composais avec une folle attirance pour ma meilleure amie , bien que je n'avais pas encore réussi à passer le cap mais voilà que la crainte de la perdre m'avait incité à m'abandonner à elle. Je ne pus que la serrer contre moi, frissonnant au gré de ses caresses contre mon torse et je ne pus que fermer les yeux sous la douceur de ses baisers qu'elle déposait dans le creux de mon cou. Inspiré par le moment je lui mordillai le lobe de l'oreille et nous finîmes par nous embrasser … c'était doux et magique et je réalisai que nous ne pouvions plus revenir en arrière, nous étions plus que de simples amis, c'était devenu une évidence.

Le moment devenait de plus en plus intense, de plus en plus torride, et les vêtements semblaient vouloir s'envoler au gré de nos inhibitions. Nous avions pris place sur le lit et au nom de cette folle attirance mutuelle nous étions toujours entrain de nous abandonner l'un à l'autre. Je l'avais attiré contre moi afin d'accentuer l'ivresse du moment, la douceur de ses lèvres contre ma peau contribuait à me rendre complètement dingue … il m'était donc impossible de résister à la folle envie de laisser mes mains glisser contre son corps tout en déposant mes lèvres contre le creux de son cou, remontant mes baisers jusqu'à son oreille. J'aimais entendre sa voix et les mots qu'elle m'adressait étaient de nature à m'attendrir mais au plus profond de mon être je trouvais que c'était rapide, je ne me sentais pas prêt à m'engager en ce sens. Comprenez moi bien Melody est une personne qui compte énormément à mes yeux, et si je devais choisir une femme avec qui faire ma vie probablement que je la choisirais sans la moindre hésitation, mais pour le moment je me sentais investi d'une peur que je peinais à contrôler, comme si je craignais de souffrir à nouveau … je m'en voulais à l'avance de la décevoir, alors qu'au plus profond de mon être je l'adorais plus que tout.

Je me sens si bien en ta compagnie Melody, tu n'as pas idée à quel point tu peux me rendre heureux et j'aimerais tant pouvoir te donner ce que tu es en droit de t'attendre de ma part mais pour le moment je ne me sens pas prêt. Tu sais aussi bien que moi par quelles épreuves j'ai passé et je me refuse à souffrir de nouveau. J'ai besoin d'un peu de temps afin de voir plus clair dans ma vie, tu comptes énormément à mes yeux et rien ne comptes plus pour moi que de te voir heureuse alors si jamais tu en avais marre de m'attendre je pourrais comprendre parfaitement.

Lui dis-je tout en la serrant contre moi, lui caressant les cheveux et collant mon front contre le sien … j'avais une telle envie de l'embrasser qu'il m'était difficile d'y résister … j'aurais pu rester ainsi pendant des heures tellement j'aimais contempler son regard.

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J'avais cru pendant si longtemps que jamais je ne serais plus heureuse, que ma punition avait eu lieu au moment où j'avais perdu celui qui normalement m'était destiné dans cette horrible tragédie et qui m'avait valu d'être ici. Je n'avais cru qu'être une jeune femme solitaire et je ne laissais rien transparaître de qui j'étais réellement. Prendre tous les risques était ma raison de vivre, comme si j'avais besoin de ressentir quelque chose. J'avais l'impression d'être vide de l'intérieur et ce depuis tellement de temps. Pourtant cette chaleur qui me manquait, je l'avais enfin trouvée. Bien sûr, il fallait que j'ouvre grand les yeux mais stupide comme j'étais, trop fière et têtue, je décidais de passer mon chemin, me concentrant sur ce que je possédais déjà et non une éventuelle utopie qui m'allait être de nouveau arraché. Dylan était celui qui m'avait apporté tant de joie, le bonheur qui me manquait. Je reprenais goût à la vie et je pensais même à croire qu'enfin on m'avait remis sur la bonne route. Il m'était impossible de ne pas craquer pour lui. Jamais personne avant lui ne m'avait porté autant d'attention, m'avait aidé comme personne et je me sentais si vivante, si heureuse et épanouie. Nous étions les meilleurs amis du monde et c'était généralement même avec eux que l'on pouvait construire ce qu'il y avait de plus beau.

Je reconnaissais avoir eu la trouille de ma vie quand j'ai été blessée, et quand j'ai pu voir la peur de Dylan, j'avais conscience que je n'étais pas loin de passer un mauvais quart d'heure même pire encore. Ce qui me rendait triste, cela n'aurait pas été qu'il m'arrive quelque chose, ce serait de voir la tristesse et la peine sur son visage. Tout ce qui m'importait c'était son bonheur même si pour cela, je devais mettre le mien de côté. J'étais si bien dans ses bras et je comptais profiter de chaque instant auprès de lui. Je voudrais tant que le temps s'arrête, mais cela bien sûr, c'était un conte de fées. J'intensifiais mes caresses, lui montrant à quel point il comptait pour moi, alors que l'on s'embrassait fougueusement, passionnément, comme je n'en avais jamais rêvé. Il était certain que nous nous étions rapprochés et j'étais attirée par lui, que je n'avais que fait en sorte qu'il se retrouve auprès de moi, mais finalement, le temps, enfin ce qui peut arriver nous incite à voir les choses d'une autre manière. Je le désirais si fort, si intensément, que j'augmentais mes caresses sur son torse, l'achevant au gré de mes baisers dans les creux de son cou. C'était un doux rêve qui se réalisait alors qu'il me mordillait le lobe de l'oreille. Notre baiser ? Impossible de l'oublier, tout ce dont je souhaitais. Il était si intense, si passionné, un moment magique en somme. Je comptais profiter de chaque moment dans ses bras. Ce que je ressentais pour lui était clair et limpide, il plaisait, il m'attirait, occupant mes pensées. J'étais amoureuse de lui. Ce que j'aimais être auprès de lui. Je ne pouvais plus me contrôler. Tout ce dont j'avais envie, c'était de le sentir tout contre moi, que ses caresses et ses baisers, m'amènent sur un nuage, un bonheur inégalable. Les vêtements étaient gênants et hop, on les avait enlevés, cédant à nos envies. Sur le lit, nous étions encore plus attachés l'un à l'autre. Cette attirance était juste intense, torride et en même temps magnifique. Lorsqu'il m'amenait encore plus tout à lui, j'étais la plus heureuse qui soit, au point de vouloir le rendre fou de moi et de mon corps tout entier, le couvrant de tendres baisers. Il me rendait dingue. Je vibrais au gré de ses caresses tout contre mon corps. J'étais aux anges, sentant ses baisers au creux de mon cou, remontant jusqu'à mon oreille. Je frissonnais d'un désir tellement ardent que j'en sortais quelques gémissements.

Cependant ce que j'allais entendre était certes dur à encaisser, mais je m'étais promis de penser à son bonheur quitte à sacrifier le mien. Oui, je savais bien que l'on me dirait que j'étais encore dingue mais je tenais à lui plus que tout. J'étais si heureuse de savoir que je le comblais tellement, qu'il se sentait si bien auprès de moi. Cependant il se confiait à moi. Je l'écoutais, restant auprès de lui. Il aimerait tant pouvoir me donner ce que j'étais en droit de m'attendre de sa part, mais il ne se sentait pas prêt pour l'instant. En effet, je savais aussi bien que lui les épreuves qu'il avait traversées et il se refusait à souffrir de nouveau. Je le comprenais et à sa place, je penserais pareil. Il avait besoin de temps pour y voir plus clair dans sa vie. On pourrait croire que je me faisais jeter comme une vieille chaussette, que j'avais ouvert mon coeur et que l'on me l'avait immédiatement retourné pour en faire des miettes de pain afin qu'il ne se reconstruise jamais mais il n'en était rien. Je comptais énormément à ses yeux et rien ne comptait plus pour lui que de me voir heureuse. J'étais sur un nuage. Par contre, je retombais vite quand il me disait que si j'en avais marre d'attendre, il pourrait comprendre parfaitement. S'il croyait que je pourrais le laisser, s'il croyait que j'allais l'abandonner et passer à autre chose, c'était mal me connaître. Jamais je ne pourrais me permettre de faire ça sachant que je tenais trop à lui. Le perdre serait une déchirure, une souffrance de tous les instants, pire encore que lors de l'assassinat de celui que j'avais aimé. Je tentais de contrôler quand même ce que je ressentais ne voulant pas montrer quand même un peu de tristesse. Je tentai de me montrer forte comme à mon habitude, ce qui m'avait permis de tenir le coup après le drame vécu. Je me sentais quelque peu rassurée en étant tout contre lui alors que je sentais ses douces caresses dans mes cheveux. Je me sentais vibrer lorsque je sentais son front contre le mien. J'étais irrémédiablement tentée. Je voulais l'embrasser, l'avoir tout contre moi. J'avais tellement envie de lui. Je caressais sa joue tendrement, le regardant avec un tel désir. Je ne résistais pas, l'embrassant fougueusement et me blottissant encore plus tout contre lui.

- Tu me rends heureuse comme jamais je ne l'avais été Dylan. Je ne pouvais rêver mieux et je me sens si bien auprès de toi, dans tes bras. Je comprends mon coeur, je comprends que tu ais besoin de réfléchir. Je sais ce que tu as vécu et il est difficile de s'accorder une deuxième vie, de prendre des risques. Je suis passée par de nombreuses épreuves et je n'étais animée que par la colère après ce que j'avais perdu. J'étais si froide et coupée de tout. Je ne peux qu'espérer que tu puisses trouver les réponses que tu cherches, que tu puisses y voir plus clair. Tu comptes énormément pour moi, plus que tout au monde, mais ne compte pas sur moi pour passer à autre chose. Je ne peux me résoudre une seule seconde à me retrouver loin de toi, à ne plus te voir. Je serais encore plus malheureuse qu'avant de t'avoir rencontré. Je ne pensais plus que le bonheur puisse m'être accessible, alors je saurais attendre le temps qu'il faudra. L'important, c'est toi et profitons du moment présent. J'ai envie de rester tout contre toi. Je te veux là tout de suite, embrasse-moi. J'ai envie de toi, j'en ai tellement envie.

Je l'embrassais sauvagement, guidée par cette envie si intense, ce désir si ardent, caressant son torse des plus sexy, le griffant par endroit et léchant le surplus, donnant un spectacle qu'il n'avait jusqu'ici jamais vu. J'avais réussi à être compréhensive, et à cacher ce qu'il fallait tout en profitant du bonheur et de l'instant présent, lui procurant tout ce qu'il n'avait osé rêver jusqu'ici.

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La vie et sa façon d'interagir avec les relations humaines n'avait rien de simple en soi et de mon côté je semblais avoir le chic afin de les compliquer plus qu'elles ne l'étaient initialement. À la base tout semblait vouloir être simple, Melody était une amie … c'était limpide dans mon esprit et puis il fallu que tout se complique au nom de ces pulsions qu'elle éveillait en moi. Plus je passais de temps en sa compagnie, plus j'avais envie de la serrer tout contre moi et plus je me sentais submergé par cette folle envie de l'embrasser. Lentement je sentais que cette amitié que j'entretenais avec elle semblait être en voie de se muter en autre chose et l'ampleur que tout ceci prenait était de nature à m'effrayer … je ne me sentais pas prêt pour ce genre d'histoire, l'amour m'avait trop fait souffrir, mais il m'était impossible de refouler un désir aussi puissant.

Malgré le fait que j'avais enfermé mon cœur à double tour, afin de me protégé, je n'avais pas su résister devant une telle tentation et je finis par me laisser dévorer par l'évolution de notre relation, d'ami et confident je devins son amant. Cette façon qu'elle avait de m'embrasser et de me caresser m'avait rapidement embrouillé l'esprit … j'en devenais complètement fou et mon désir à son endroit semblait vouloir prendre de l'ampleur de plus en plus chaque jour … il ne se passait pas un seul instant ou je ne pensais pas à elle, bref elle devenait mon obsession.

Je ne savais plus trop ou j'en étais sentimentalement, je tenais à son amitié et j'aimais bien m'abandonner à cette douceur qu'elle m'offrait … je m'en voulais de ne pas pouvoir lui donner ce qu'elle désirait obtenir en retour, je m'en voulais de lui causer tant de chagrin … j'aurais tant aimé pouvoir lui dire que je l'aimais comme un fou et qu'elle est celle avec qui j'aimais tout reconstruire de ma vie mais pour le moment c'était trop me demander , j'avais été meurtri par l'amour et j'avais l'impression qu'il était prématuré pour ma part de m'y abandonner à nouveau. Je savais que je risquais gros, la belle pouvait finir par se lasser d'attendre et se tourner vers un autre mec mais c'était un risque que je me devais de prendre, je me refusais de lui mentir.

Je me sentais déchiré au plus profond de mon être, je me sentais si bien près d'elle alors que je profitais de sa douceur tout en la serrant contre moi et prolongeant son tendre baiser tout en laissant mes mains glisser contre elle. Je m'en voulais de ne pas pouvoir lui offrir ce bonheur qu'elle méritait tant, j'avais l'impression de me comporter tel le dernier des égoïstes mais pourtant il le fallait, je me devais de me montrer sincère à son endroit. Frissonnant sous ses caresses tout en me laissant envouter par la douceur de ses baisers je me laissais bercer par sa voix, elle savait tant se montrer rassurante à mon endroit.

Ta compréhension me touche au plus haut point, si tu savais à quel point je ressens – au plus profond de mon être – l'envie de t'offrir ce que tu désires … rien ne me rendrait plus heureux mais malheureusement pour l'instant c'est au dessus de mes forces … je m'en veux de t'imposer tout ça. Rien ne compte plus que toi à mes yeux mais j'ai encore besoin de temps, je me considère chanceux que tu acceptes de rester avec moi et je te promets de tout tenter pour régler mes soucis le plus rapidement possible. Tu mérites un homme qui saura te rendre heureuse mais tant que je ne me serai pas affranchi de ce qui me dévore du plus profond de mes entrailles je ne pourrai pas être cet homme.

Je ne savais pas lui résister alors je m'étais rapproché d'elle , l'embrassant avec passion … laissant mes sentiments à son endroit s'exprimer. Je laissais mes mains glisser contre son corps, l'embrassant dans le creux du cou … me mordillant la lèvre alors qu'elle me griffait le torse telle une tigresse désireuse de marquer sa possession. Je fermai les yeux, savourant la douceur de sa langue contre mon torse et je me collai ensuite tout contre elle, noyant mon regard dans le sien.

**Invité** Invité

Jamais dans ma vie je n'avais été aussi heureuse surtout en compagnie de Dylan. Depuis le premier jour, il m'avait donné le goût de penser à autre chose, de me laisser penser qu'il y avait de si belles choses à vivre, à découvrir et plus j'étais en sa compagnie, plus je voulais qu'il soit heureux. Je n'avais plus de raison de cacher mes émotions même si je m'étais cachée encore afin d'éviter de souffrir. Je pouvais encore fuir, aller loin des complications car avant tout Dylan était mon meilleur ami, celui en qui j'avais le plus confiance, mais je me disais que cela pouvait être dépassé, car les belles histoires commençaient par une belle entente. Je profitais de chaque instant auprès de lui et j'avais résisté jusqu'ici à l'envie de montrer ce que je ressentais. Je ne pouvais plus reculer. Plus je l'embrassais, plus je voulais me rapprocher davantage de mon chou, de celui qui m'avait redonné envie de sourire, de penser à une vie privée en dehors de cette vie de flic qui me permettait d'arrêter les criminels. Je pouvais m'en éloigner quelque peu pour faire place au bonheur que j'avais tant attendu depuis si longtemps.

Je me sentais si bien dans ses bras, que je voulais que le temps s'arrête pour en profiter davantage. J'avais l'impression de guérir, de pouvoir enfin profiter des jours meilleurs et ne jamais plus me retrouver en face de la mort, en face du danger inutilement pour me sentir vivre. Dylan me permettait de vivre et ça, personne ne pouvait me faire un si beau cadeau. Notre relation avait évolué et disons-le, nous étions devenus amants. Je craquais littéralement pour lui. Je l'embrassais fougueusement, passionnément, et le caressant d'une manière tellement vigoureuse. Je ne pouvais résister à être si près de lui, à me retrouver dans ses bras. La première pensée à chaque fois, c'était pour lui. Me retrouver loin de lui était cependant une torture de tous les instants. Je connaissais ses sentiments, enfin ses craintes, et je ferais tout afin de pouvoir les dissiper. Je saurais me montrer patiente. Je savais garder la tête haute. Ce qui serait réellement une déchirure, ce serait de le perdre et je ne pourrais jamais le supporter. Je serais catégorique si je disais là, tout de suite, que j'en mourrais. Il me serrait tout contre lui, alors qu'il prolongeait mon baiser comme je n'en avais jamais rêvé. Je sentais ses caresses tout contre mon corps. C'était sensuel, tellement intense. J'en frissonnais d'un désir tellement ardent.

J'augmentais encore plus mes caresses tout contre son corps qui me faisaient un effet d'enfer, un effet que je ne pouvais contrôler tellement il me faisait envie. Ma compréhension le touchait tellement. Ainsi, il voulait que je sache à quel point il ressentait au plus profond de son être l'envie de m'offrir ce que je désirais, rien ne le rendrait plus heureux mais malheureusement, pour l'instant, c'était au-dessus de ses forces. Il s'en voulait de m'imposer tout ça. Je devais le rassurer, lui montrer à quel point je resterais à ses côtés peu importe ce qui pourra arriver par la suite. Il m'expliquait que rien ne comptait plus que moi à ses yeux, mais il avait encore besoin de temps. Il se considérait même chanceux que j'accepte de rester avec lui et il me promettait de tout tenter pour régler ses soucis le plus rapidement possible. Selon lui, je méritais un homme qui saura me rendre heureuse mais tant qu'il ne se serait pas affranchi de ce qui le dévorait du plus profond de ses entrailles, il ne pourrait être cet homme. Je savais me montrer aussi compréhensive, même si au fond, je ressentais une certaine tristesse, mais je ne pouvais laisser l'occasion de pouvoir vivre un bonheur que j'avais droit et auprès de celui qui me faisait tant vibrer.

Il se rapprochait de moi, m'embrassant avec une telle passion, que je prolongeais d'une manière si sauvage, c'était même à couper le souffle. Ses caresses sur mon corps étaient un tel délice, une merveille de tous les instants, un bonheur incomparable. Je ne résistais pas à ses baisers dans le creux de mon cou que j'en poussais à force des gémissements de bonheur. J'intensifiais mes caresses sur son torse, le griffant et alors que je le voyais en train de se mordiller la lèvre, je craquais littéralement et je le griffais par endroit. Je ne désirais qu'une chose au monde : qu'il soit tout à moi. J'appliquais des coups de langue si sensuelles, si torrides, que notre moment en devenait chaud bouillant. Il se collait tout contre moi. Son regard était si captivant, si intense. Je lui murmurais au creux de l'oreille à quel point il me faisait envie, à quel point je le désirais. Je lui mordillais le lobe de l'oreille, commençant à descendre dans le creux de son cou de baisers si fougueux.

- Mon bel ange, ne t'en fais pas, je comprends. Tu sais que tu comptes énormément pour moi, tu es ce que j'ai de plus précieux au monde. Je ne veux que ton bonheur et tu le sais bien. Tu mérites ce qu'il y a de mieux. J'ai déjà ce qu'il faut, je ne peux qu'être heureuse. Tu ne dois pas t'en vouloir. Tu as été honnête, c'est une qualité que j'ai toujours admirée chez toi. Voir ce visage si irrésistible et me faisant tellement craquer triste, me rendrait triste aussi. Tu es un amour, tu sais et prends tout le temps dont tu as besoin. Je saurais bien attendre et je serais toujours là pour t'apporter toute l'aide et le soutien dont tu as besoin. J'ai tellement gagné avec toi, avec tout ce que tu m'as apporté, la lumière que tu as apporté dans ma vie et l'espoir que je pouvais remonter que c'est à mon tour maintenant d'apporter mon soutien. Peut-être que je mérite un homme qui saura me rendre heureuse mais les autres seront tous mis à terre car je ne les laisserais même pas s'approcher. Je regarde le présent et ce que j'ai en face de moi, de celui qui me fait tant vibrer là, tout de suite. J'ai envie de profiter de me retrouver dans tes bras, embrasse-moi, tu sais ce qui me ferait le plus plaisir et me comblerait d'un bonheur sans précédent.

Je l'embrassais à pleine bouche. C'était littéralement à couper le souffle alors que je commençais lentement à faire des mouvements si sensuels, si torrides, au gré de son corps tout contre le mien en lui murmurant au creux de l'oreille qu'il en avait envie tout autant que moi. Je resterais toujours une personne si compréhensive, et patiente, même si la tristesse était cachée sous une multitude de bonheurs. Je savais être un bloc de glace qui ne pouvait être infranchissable quand je le pouvais. Son bonheur était beaucoup plus important et je ferais n'importe quoi pour lui. Entre nous, cela devenait plus que chaud et je ne me contrôlais plus du tout.

**Invité** Invité

Je m'en voulais de lui imposer une telle attente, j'aurais tant aimé lui dire que je l'aimais d'un amour fou mais pour le moment je ne m'en sentais incapable. Ne vous méprenez pas j'éprouvais de forts sentiments pour la belle blonde mais j'étais paralysé par la peur de souffrir à nouveau, de voir mon cœur brisé encore une fois, je crois que je ne parvenais pas à combattre ce mécanisme d'auto-protection pourtant je n'étais pas sans éprouver de forts sentiments à son endroit, même que j'étais animé d'un fort désir qu'elle seule parvenait à éveiller.

Malgré le fait que je lui ai fait part de mes appréhension elle demeurait près de moi se montrant douce et aimante, je ne pouvais que me laisser aller à un tel traitement. M'abandonnant à la douceur de ses lèvres et à la tendresses de ses voluptueuses caresses je finis par prolonger avec douceur et passion tout en laissant mes mains glisser contre ses courbes plus que généreuses. Nos corps se pressant l'un contre l'autre je ne pouvais que m'abandonner à cet ardent désir qui m'incitait à combler mon appétit car plus que jamais j'avais faim de la belle blonde.

Je m'étais donc permis de céder à la douce et divine tentation qu'exerçait sur moi ma meilleure amie, et ma maitresse, alors que mon corps frétillait de désir à son endroit. Laissant mes mains parcourir son corps je glissai mes lèvres contre sa peau, l'embrassant dans le creux du cou et lui mordillant le lobe de l'oreille … lui susurrant au passage des mots qui ne pouvait qu'accentuer son désir à mon endroit. Continuant de l'embrasser dans le creux de son cou je l'entendis pousser de légers gémissements alors qu'elle me griffa le torse, laissant ensuite sa langue glisser contre ma peau … elle savait comment me faire perdre la tête. Troublé par la douceur de ses murmures je frissonnai au contact de ses lèvres dans le creux de mon cou et, me collant davantage contre elle, je l'embrassai avec passion.

J'ai tellement envie de te dire à quel point je t'aime mais à la minute ou je me sens prêt à t'avouer l'ampleur de mes sentiments je me sens dévoré par un obscur sentiment de retenue. Pourtant tu es celle qui me donne la force d'avancer et d'envisager la vie avec optimisme, je m'en veux d'être aussi tiraillé au plus profond de mon être. Tu es ma source de bonheur. Viens par ici ma princesse.

Prolongeant son baiser des plus langoureux, je me laissai aller à savourer le moment, je lui caressai les hanches alors qu'elle continuait de se frotter contre moi alors que notre moment devenait de plus en plus chaud, torride à souhait. Elle avait raison lorsqu'elle me murmurait que je la désirais tout autant que je la désirais … elle me connaissait mieux que quiconque. Elle avait beau être une femme séduisante et posséder une bouille d'ange elle savait aussi se montrer aussi froide que garce et manipulatrice et c'est alors qu'elle m'embrassa tout en me mordillant la lèvre avec vigueur alors qu'elle me murmura, tout en m'agrippant par la gorge et la serrant alors que ses ongles perforaient ma peau, qu'elle n'hésiterait pas à s'en prendre physiquement à quiconque oserait me tourner autour, même qu'elle préférerait me tuer que de me voir avec une autre … concluant en me disant qu'il était dans mon intérêt d'enregistrer tout ça dans ma petite tête. Je ne l'avais jamais vu aussi dominatrice, j'étais sans voix.

**Invité** Invité

Plus j'étais en sa présence, plus je savais que je l'aimais de tout mon être, que mon corps ne cessait de le réclamer. Il avait réussi à combler un vide si immense dans ma vie, que mes blessures se refermaient en sa présence me procurant un bonheur sans précédent. Je pouvais comprendre qu'il ait besoin de temps, c'était normal pour passer une nouvelle étape, mais en même temps, c'était plus difficile pour moi, car l'attente sera une lourde épreuve, ne voulant être qu'à ses côtés et de lui tout ce que je ressentais recevant en retour les mots doux de mon tendre amour, ses caresses et ses baisers. A force, je réussirais à le faire changer d'avis, surtout que je sentais qu'il me désirait de tout son être. J'allais continuer sur cette manoeuvre. Me montrer aussi douce et aimante, étant vulnérable, c'était la meilleure des choses à faire pour réussir enfin à l'avoir auprès de moi, qui sait, même de vivre avec lui et d'être enfin heureuse. Je savais que j'étais cette femme qui pourrait lui réaliser tous ses rêves, reste à le lui montrer. Je continuais de lui apporter des baisers des plus fougueux tout en le caressant si vigoureusement. Il me faisait un tel effet, jamais aucun homme n'avait réussi jusqu'ici. Il prolongeait comme il se doit, tout en douceur et passion. Je sentais ses mains caressant mon corps d'une si belle manière que j'en frissonnais d'un désir si ardent, si sensuel, que c'était un plaisir de tous les instants. Nos corps au fur et à mesure se rapprochaient l'un contre l'autre que mon désir pour lui ne cessait de grandir et de s'intensifier. Je voulais mon bel ange, mon sauveur, celui qui me faisait tant chavirer. J'avais tellement faim de lui. Il me faisait tellement craquer. J'étais sous son charme.

Je voulais tant qu'il puisse me désirer et ce, comme un fou. Je ne pouvais qu'afficher un sourire des plus ravageurs et j'obtenais ce que je désirais si fort. Ses caresses le long de mon corps étaient un pure délice, un plaisir si intense que mes sens étaient en éveil, qu'il réveillait encore plus la passion qui était en moi, ne réclamant que davantage ce chou devant mes yeux. Je sentais doucement ses lèvres glissant contre ma peau. J'en frissonnais rien qu'à son contact, savourant le moment en fermant les yeux. Il réveillait en moi un désir si ardent que je peinais à me contrôler. Là, il m'achevait en atteignant le creux de mon cou, moi qui suis si sensible. Il me mordillait le lobe de l'oreille, me murmurant des mots que je ne rêvais d'entendre et qui me charmait. Il continuait de m'embrasser dans le creux de mon cou. C'était si torride, si magique que là, le contrôle n'était plus permis tellement qu'il réussissait à me combler. Je poussais de légers gémissements. J'étais animée d'une telle passion dévorante que j'en griffais son torse des plus sexy en ayant au préalable apporté de douces puis de vigoureuses caresses. Voyant que j'avais montré qu'il était tout à moi, je donnais des coups de langue si sensuels et torrides sur son torse pour le rendre vraiment dingue de moi et de mon corps si sexy. Je lui murmurais de tendres choses si coquines qu'il ne pourra me résister. Je lui donnais de tendres et fougueux baisers dans le creux de son cou. J'avais une telle faim de lui, c'était dingue. Il venait davantage contre moi m'embrassant passionnément, que je prolongeais avec d'autant plus de plaisir et d'envie. Je le désirais si fort, de tout mon être. Jamais je n'avais ressenti un sentiment aussi fort que maintenant. Ainsi il avait tellement envie de me dire à quel point il m'aimait mais à la minute où il se sentait prêt à m'avouer l'ampleur de ses sentiments, il se sentait dévorer par un obscur sentiment de retenue. Je savais ce qu'il ressentait pour moi ce qui pouvait me combler d'un bonheur sans précédent mais savoir qu'il était bloqué par un obscur sentiment me rendait si triste. J'étais finalement prête à utiliser tous les moyens nécessaires pour y arriver et peu importe l'opinion que l'on aurait sur moi. J'avais l'habitude des critiques et cela me passait au-dessus de la tête. Je serais donc celle qui lui donnerait la force d'avancer et d'envisager la vie avec optimisme. J'étais touchée, plus que touchée et je me voyais vivre avec lui, être à ses côtés jusqu'à ce que la mort nous sépare. Et oui, je pensais à très loin. Il s'en voulait d'être aussi tiraillé au plus profond de son être. Je savais qu'en même temps, en agissant ainsi, je le rendais coupable, mais je le désirais si fort. Tout mon être ne réclamait que lui, et ce, de plus en plus. J'étais follement amoureuse de cet homme. J'étais sa source de bonheur et il m'invitait vers lui, Déjà, je ne pouvais qu'accepter cette invitation, et j'allais le combler comme il n'en avait jamais rêvé.

Je l'embrassais comme jamais il n'en avait jamais rêvé et il prolongeait d'une manière des plus langoureuses qui soit. J'étais séduite, complètement. Je faisais durer cet instant le plus longtemps possible. Ses caresses tout contre mes hanches étaient juste divines, des plus exquises et sensuelles que j'en réclamais bien davantage, me frottant si intensément contre son corps qui ne voulait que moi. Je le désirais plus que tout. Je mourrais littéralement de désir pour lui. Il me le fallait auprès de moi, maintenant et de suite. Alors il était temps que je mette tout en place. J'avais réussi à lui montrer qu'il me désirait tout autant que moi je pouvais ressentir pour lui. Je l'embrassais tout en lui mordillant la lèvre avec une telle vigueur qu'un peu de sang s'en dégageait et que je léchais avec une telle intense qu'il sera en mon pouvoir pour fort longtemps. Je lui murmurais au creux de l'oreille tout en l'agrippant par la gorge et la serrant très fort au point d'en faire sortir quelques gouttes de son sang. Je lui murmurais clairement que je n'hésiterais pas à m'en prendre physiquement à quiconque oserait tourner autour de lui, même que je préfèrerais le tuer que de le voir avec une autre. Bref, il avait intérêt à enregistrer cela, sinon, je mettrais en application tout ce que j'avais dit. Je tenais si fort à lui, que j'étais prête à tout pour être à ses côtés, pour vivre à ses côtés, et j'éliminerais la moindre obstacle. J'appliquais des coups de langue si torrides sur son cou puis je l'embrassais sauvagement alors que je kidnappais ses mains les mettant à l'arrière, me frottant encore plus tout contre son corps le rendant encore plus fou. Je me sentais envahi d'un tel sentiment, d'une telle passion qu'il m'est impossible de résister à un homme pareil, à un si beau prince. Je me libérais de tout, d'absolument de tout et j'avais mis ma manoeuvre en marche. C'était qu'il m'avait titillé et jamais on ne devait le faire, sinon, je me montrais telle une tigresse voulant dévorer sa proie. Je le regardais, prête littéralement à bondir sur lui tellement qu'il était irrésistible.

- Je sais que tu pourras me le dire quand tu seras prêt mon coeur. Je suis si comblée, si heureuse auprès de toi, que j'ai envie d'avancer, que je pense à un avenir et que l'image qui se présente pour ça n'est autre que toi. Tu n'as pas besoin de te retenir avec moi. Tu sais que tout ce que j'ai envie de dévorer, c'est simplement ton corps qui me fait trop envie. Je me retenais de te montrer à quel point je tenais à toi, à quel point mes sentiments étaient si grands et si intenses. Dans mes rêves les plus fous, j'arrivais enfin à te dire que je t'aimais. Je rêve que l'on puisse se le dire mutuellement, mais ce que je ne supporterais pas c'est de te perdre, que l'on te tourne autour pour te voler et t'arracher à moi. Je serais obligée de me sentir méchante et tu ne le voudrais en aucune façon, alors sois sage mon chéri. Dorénavant tu es à tout à moi, et je te ferais vivre tout ce dont tu n'osais imaginer. Si je suis ta source de bonheur mon chou, tu l'es aussi pour moi et j'ai bien l'intention d'augmenter cette sensation, de répondre à cette douce invitation. Laisse-toi faire. J'ai si faim de toi mon chéri, j'ai si faim de ton corps. Oh, je te veux tellement.

Gardant ses mains, je l'embrassais sauvagement, descendant lentement le long de son torse, le mordillant par endroit, basculant mes cheveux de gauche à droite, accentuant de douces caresses. J'enlevais une de mes mains pour la laisser aller vers ce que je désirais alors que je me frottais encore plus tout contre son corps tellement que c'était torride. J'avais bien l'impression que mon corps et le sien ne faisaient plus qu'un. Il faisait chaud tout d'un coup alors que je kidnappais ce que je voulais, effectuant des caresses si torrides, le rendant complètement dingue. Avec ceci, je ne pouvais qu'y arriver, espérant qu'il puisse m'apporter tout ce dont je désire. Je lui murmurais au creux de l'oreille, que j'étais tout à lui, qu'il pouvait me combler comme jamais vu comment je sentais qu'il me désirait.

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Dylan & Melody
Tout n'est question de pouvoirs
Je m'en voulais cruellement de lui imposer une telle torture je savais que la tendresse que je lui témoignais avait fini par créer en elle certaine attente, son attitude me l'avait fait réaliser. Je savais parfaitement qu'elle désirait que l'on passe à la prochaine étape de notre relation il était évident qu'être ma meilleure amie et mon amante ne lui suffisait plus, je savais parfaitement qu'elle aurait voulu éventuellement devenir la prochaine Madame Echolls et bien que j'éprouvais de profonds et sincères sentiments à son endroit je ne me sentais pas en mesure de lui offrir ce qu'elle était pourtant en droit de s'attendre de ma part, j'aurais tant aimé pouvoir la combler de bonheur en lui disant que je ne désirais que la combler de bonheur mais pour le moment je n'en avais pas la force. Appelez ça comme vous voulez que ce soit la peur de l'engagement, la crainte de souffrir pour moi tout ce qui compte était que je ne m'étais pas encore remis à 100 % de ma dernière rupture et que je ne semblais pas avoir la force de tout recommencer.

Bien que je ne semblais pas en mesure de lui accorder ce qu'elle était, pourtant , en droit de s'attendre la belle blonde ne semblait pas m'en tenir rigueur et la douceur de ses gestes à mon endroit eu tôt fait de m'en persuader. Je ne pouvais que m'abandonner à la fougue de ses baisers, à un point tel qu'il était un pur supplice pour moi de ne pas les prolonger. Que dire de ses douces caresses qu'elle effectuait contre mon torse? Elle avait le chic pour me faire perdre la raison, je sombrais dans les méandres de la plus obscure des démence avec comme ultime résultat que je devenais complètement fou d'elle. Ses lèvres les miennes, la douceur de ses caresses, je n'avais pas su faire autrement que de lui céder. Rapidement nous nous retrouvâmes sur le lit et en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire je me retrouvai torse nu et la belle en tenue plus que légère. J'avais cédé à ce désir qu'elle avait réussi à faire naître en moi mais j'étais loin de m'attendre à ce qu'elle planifiait par la suite.

Effectivement j'étais loin de m'attendre à ce qu'elle tente de jouer la carte de la dominatrice, après tout c'est un aspect de sa personnalité qui m'était jusqu'à ce jour totalement inconnu. Nous passions un moment des plus tendre, des plus agréable et c'est alors qu'elle me prit subitement par la gorge, m'embrassant à pleine bouche et me mordant la lèvre pour ensuite lécher le sang qui s'en écoulait. Approchant ses lèvres de mon oreille elle n'hésita pas à me faire comprendre qu'elle ne reculerait devant rien afin que je sois tout à elle même à supprimer toute personne pouvant faire obstacle à ce que je sois à elle, ajoutant même qu'elle préférerait me tuer que de me voir avec une autre. Je dois bien l'admettre elle me terrorisait et cette lueur qu'elle avait dans le regard me permettait de croire qu'elle ne blaguait pas. Je ne pouvais que ressentir un incroyable frisson au gré de ces coups de langue qu'elle déposa dans le creux de mon cou et je finis par me laisser aller, prolongeant avec désir lorsqu'elle m'embrassa sauvagement … je dois avouer que bien qu'elle m'effrayait son changement subit d'attitude n'était pas sans attiser mon désir à son endroit. Je la regardai alors qu'elle n'hésita pas à tout retirer et je sentis ses mains glisser tout contre moi afin de me retirer ce qui pouvait la gêner. De par son regard de tigresse qu'elle me faisait je pouvais aisément comprendre qu'elle comptait passer aux choses sérieuses et que ce soit elle comptait bien être la prédatrice et que j'allais être sa proie.

La douceur de tes paroles à mon égard ne peuvent que me réchauffer le cœur je te promets de ne pas te faire attendre indéfiniment. Je sais ma belle que je peux être moi-même en ta compagnie et c'est ce que j'apprécie le plus, j'ai une folle envie de toi et ton corps qu'il m'est difficile de te résister. Je suis si fou de toi et je suis conscients de l'ampleur de mes sentiments à ton endroit, si au moins j'avais la force de m'y abandonner. Je serais le plus heureux des hommes de pouvoir te le dire ma belle , crois-moi jamais personne ne pourra venir se mettre entre nous deux car si un jour je réussi à dire à une femme que je l'aime cela ne pourra être que toi. Tu sais que tu me fais peur lorsque tu parles ainsi, d'autant plus que tu n'as pas la moindre raison de craindre quoi ce soit … je serai sage si cela peut t'empêcher de commettre l'irréparable. Je suis tout à toi ma princesse, je ne t'opposerai pas la moindre résistance. Fait de moi ce que tu désires mais de grâce ne fait de mal à personne. Tu sais que je ne peux te résister alors tu n'as pas besoin de te montrer aussi cruelle.

Je la regardai alors qu'elle m'immobilisa les mains tout en se rapprochant dans le but de m'embrasser, je ne la connaissais pas aussi dominante mais je dois avouer que cela n'était pas sans me plaire, je prolongeai son baiser avec une fougue hors du commun et je me mis à frissonner – tout en fermant les yeux pendant un bref instant – alors qu'elle parcourait mon torse de ses lèvres aussi douces que sensuelles le mordillant même par endroits. Je la regardai me libérer une main sans trop me douter de ce qu'elle me réservait, je ne pu que me mordiller la lèvre lorsqu'elle passa à l'action. Je compris rapidement qu'elle comptait passer aux choses sérieuses et je ne pus qu'échapper quelques doux gémissements au gré de cette manœuvre des plus coquine dont elle seule connaissait le secret. Elle me rendait complètement fou de désir et je dois avouer qu'elle avait fini par réussir à faire exploser le thermomètre tellement l'ambiance était devenue torride. Je continuai de m'abandonner à la douceur de ses caresses et glissant ma main contre sa joue je l'embrassai avec une folle envie tout en soupirant de désir tellement ce qu'elle me faisait ne me laissait pas indifférent. Je ne pus que sourire à l'écho de ce doux murmure qu'elle venait de me faire et l'embrassant dans le creux du cou je lui fis comprendre que je comptais rendre cette nuit inoubliable.

BY .TITANIUMWAY

**Invité** Invité

Je n'avais attendu que cet instant, celui de me retrouver dans ses bras. J'avais enfin osé franchir le pas, d'être auprès de lui et le fait d'avoir eu peur qu'il m'arrive quelque chose n'accentue que ce besoin de me retrouver tout contre celui qui faisait battre mon coeur. Je saurais lui montrer qu'il n'avait besoin que de moi, même si j'étais compréhensive sur ses raisons. J'avais perdu quelqu'un dans des conditions plutôt tragiques et je m'étais enfermée dans une vengeance sans faille jusqu'à ce qu'il me sauve, alors je comptais bien sauver Dylan à ma manière. Etre celle qui le rendrait heureux me comblerait d'un immense bonheur et me sortirait définitivement de l'enfer dont j'étais prisonnière. Je ne cédais qu'à cette envie de le combler de par mes caresses et mes baisers les plus fougueux. J'avais bien conscience de jouer les vilaines tentatrices, mais je n'y pouvais rien, il me faisait un tel effet. Je le caressais si intensément, qu'il sera tout à moi. Je l'embrassais de nouveau, intensifiant encore plus ma manoeuvre sur son torse.

On s'était retrouvés au lit tous les deux. On cédait mutuellement à un désir si ardent qu'il était impossible de se contrôler. J'étais sûre qu'avec ma tenue, il succomberait. Voir son corps des plus sexy me donnait encore plus envie de me retrouver dans ses bras et de céder à ce désir qui envahissait tout mon être. Je sentais qu'il était en mon pouvoir, mais je ne lui avais pas tout montré. Je voulais me retrouver à ses côtés et l'idée de me retrouver loin de lui était insupportable tellement que je l'aimais. C'était un sacré moment, si mémorable et tendre que je voulais que le temps s'arrête afin de profiter de mon chou mais je passais à la vitesse supérieure. Je le prenais par la gorge, l'embrassant à pleine bouche et lui mordant la lèvre, léchant le sang qui en découlait. Je lui murmurais au creux de l'oreille que je ne reculerais devant rien afin qu'il soit tout à moi même à supprimer tout personne pouvant faire obstacle à mes projets même que je préférais le tuer plutôt que de le voir avec une autre. J'étais possessive et surtout vraiment jalouse. Je me souvenais à quel point par le passé je faisais tout pour garder l'attention de mon homme et aujourd'hui, je le faisais à même plus grande échelle, car jamais je n'avais tenu autant à quelqu'un que Dylan aujourd'hui.

Je le regardais avec une telle perversité, avec l'envie folle de me retrouver auprès de lui. Malheureusement, il saura à quel point j'étais sérieuse et je ne voulais pas qu'il me fuit. Je lui donnais des coups de langue dans le creux de son cou et lorsque je l'embrassais sauvagement, il prolongeait comme je n'en avais jamais rêvé. Je retirais absolument tout, et j'enlevais ce qui serait de nature à faire de ce moment un inoubliable. Sentir cette douce chaleur contre la mienne était un délice, un moment de pur bonheur.Je le regardais avec une telle envie que je ne pouvais que le dévorer tout cru. Ainsi la douceur de mes paroles à son égard, ne pouvaient que lui réchauffer le coeur. Il me promettait de ne pas me faire attendre indéfiniment. Il avait conscience qu'il pouvait être lui-même en ma compagnie et c'était ce qu'il appréciait le plus. Il avait même une folle envie de moi et de mon corps qu'il lui était difficile de me résister. Oh, là, j'étais même plus qu'aux anges. J'avais gagné et je devais continuer pour obtenir le jackpot. Il était tellement fou de moi. Il avait conscience de l'ampleur de ses sentiments pour moi. Je l'écoutais avec une grande attention. J'étais aux anges, enfin, jusqu'à ce qu'il me dise si au moins il avait la force de s'y abandonner, il serait le plus heureux des hommes de pouvoir me le dire. Je reprenais de l'espoir. Il me disait que jamais personne ne pourrait venir se mettre entre nous deux, car si un jour, il réussissait à dire à une femme qu'il l'aimait, cela ne pourrait être que moi. Je souriais face à de si belles paroles, que mêle j'en rougissais. C'était un homme comme on n'en faisait plus. Ainsi, je lui faisais peur lorsque je parlais ainsi, d'autant plus que je n'avais selon lui pas la moindre raison de craindre quoi que ce soit. Donc si cela pouvait m'empêcher de commettre l'irréparable, il serait sage. Oh, comme j'aimais entendre ses mots, cela me donnait bien des idées même des plus coquines. Il était donc tout à moi, génial même. J'étais si comblée, surtout qu'il ne m'opposerait pas la moindre résistance. Je pouvais même faire de lui ce que je désirais mais en retour, je ne devais faire de mal à personne. Je savais bien qu'il ne pouvait me résister, donc je n'avais pas besoin de me montrer si cruelle, oh, si je ne l'avais pas fait, je ne l'aurais pas eu en mon pouvoir. Je n'avais de cesse de regarder cette belle vue, m'estimant si chanceuse, et réfléchissant à ce que j'allais faire.

Son regard me captivait littéralement que je lui immobilisais les mains me rapprochant et l'embrassant à pleine bouche. Il prolongeait mon baiser avec une telle fougue que tout mon être ne réclamait que davantage son beau corps irrésistible. Je le couvrais littéralement de baisers, le mordillant par endroit afin de lui procurer davantage du plaisir. Je lui libérais une main, mais c'était pour mieux le surprendre. Je frottais mon corps tout contre le sien et de plus en plus intensément, alors que je l'achevais en kidnappant et effectuant des vas et viens intenses. Entendre ses doux gémissements me comblait au-delà de toutes mes espérances. J'intensifiais mes caresses pour lui procurer un tel plaisir qu'il ne réclamera que moi. Cette douce caresse contre ma joue avait le don de me faire chavirer. Il m'embrassait avec une telle envie que je prolongeais faisant durer cet instant si magique. Ces soupirs d'un tel désir ne pouvaient que m'encourager. Je lui avais murmuré au creux de l'oreille que je m'offrais à lui. Son sourire me faisait tant craquer et il m'achevait alors qu'il m'embrassait dans le creux de mon cou. Je baissais ma tête vers l'arrière savourant cet instant. J'avais compris ce qu'il allait me procurer : une nuit magique, intense, et que je m'en souviendrais encore et encore. Je le titillais du bout des lèvres, affichant un sourire des plus coquins.

- Tu sais me combler comme jamais mon chéri. J'ai confiance en toi comme jamais. Tu me combles au-delà de toutes mes espérances. Jamais je n'aurais pu ressentir cela et pourtant, c'est arrivé et auprès de toi. Je te veux tel que tu es mon coeur. J'ai aussi une folle envie de toi, de ton corps, de ressentir tes caresses et tes baisers. J'ai envie de passer un si bon moment à tes côtés. Je suis des plus touchées, rien que de savoir tout ce dont tu ressens pour moi. Au moment où tu le diras, tu feras de moi une femme tellement comblée. Tu me promets que rien ne se mettra en travers de notre chemin ? J'ai si peur de te perdre que j'en perds la raison. Je tiens trop à toi. Te savoir aussi sage me rend heureuse. Oh, je compte faire de ce corps mien, de te combler comme tu me combles en ce moment. Je ne me montrerais pas cruelle. Tu sais me rassurer, et j'ai envie de dévorer ce si bel ange qui me fait craquer. Sans toi, je meurs à petit feu. Oh, viens beau brun, tu ne vas pas le regretter.

Je relevais mes cheveux en arrière. J'intensifiais mes mouvements le regardant, et prenant ses mains pour les mettre sur mon corps alors que je me cambrais, lui offrant un moment encore plus torride et poussant des gémissements que je ne pouvais contrôler tellement je me sentais heureuse. Ce moment de plaisir était tel que j'arrêterais le temps pour en avoir d'autres. De par un tour de passe-passe, je me retrouvais sur le dos, le voyant, je lui mordillais le lobe de l'oreille, lui disant que j'avais envie encore plus de lui. Je le griffais jusqu'au sang au niveau de son torse, alors que je donnais des coups de langue si sensuels pour le tenter bien davantage.

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J'avais toujours pensé que rien ne pouvait me surprendre dans la vie, tellement je me réconfortais en tentant de me vendre cette idée , plus qu'illusoire, que j'avais tout vu de mon vivant mais pourtant la soirée , ainsi que la nuit qui allait lui succéder, était destinée à prouver le contraire. Tout commença lorsque , rentrant paisiblement chez moi, je vis Melody mal en point … ne pouvant pas demeurer les bras croisés alors qu'elle était dans un piteux état j'entrepris de la sortir de ce mauvais pas, l'embarquant dans ma voiture et l'emmenant à une clinique médicale. Ayant tiré le médecin de son pieu je lui ordonnai de s'occuper de mon ami, lui faisant comprendre qu'il me devait un service et qu'il était le temps pour lui de s'acquitter de sa dette. Bien que j'étais fou d'inquiétude je tentai de demeurer calme, après tout cela ne m'avançait à rien de me faire des films et de me mettre dans tout mes états. Je respirai d'aise en la voyant sortir du bureau du médecin, au moins elle me semblait tiré d'affaire.

Nous quittâmes donc la clinique médicale afin de prendre place à bord de mon véhicule en direction de chez moi. Pendant le trajet nous discutâmes et puis nous commençâmes à laisser nos mains se toucher, s'échangeant de douces et tendres paroles … ce qui ne pouvait qu'être un prélude à ce qui nous attendait. Arrivé chez moi je me garai et nous entrâmes, je lui retirai sa veste et après avoir brièvement discuter je sentis qu'elle désirait un peu plus que des câlins de ma part. S'installant sur mon lit et s'échangeant de doux baiser tout en frissonnant mutuellement sous les caresses de l'autre je l'entendis m'avouer ce qu'elle ressentait à mon endroit au plus profond de son être. Cet aveu de sa part m'avait, à tout le moins, prix par surprise. Je dois avouer que j'ai toujours ressentis une folle attirance à son endroit et que cette attirance reposait sur de forts sentiments à son endroit mais tout de même l'entendre me le dire aussi clairement ne pouvait que provoquer chez moi un fort sentiment de surprise. Bien que j'étais touché et flatté je ne voulais pas lui mentir et je finis par lui dire que j'avais encore besoin de temps afin de me remettre de mon ancienne histoire. Elle semblait se montrer compréhensive, se montrant douce et affectueuse à mon endroit lorsque soudainement elle changea d'attitude – du tout au tout – se montrant soudainement vicieuse et dominatrice … je ne la connaissais pas sous cet aspect et je dois admettre que ce qu'elle me racontait était de nature à me faire réaliser que jamais elle ne me laisserait lui filer entre les doigts. Finalement en faisant preuve de psychologie je compris que son tempérament agressif était motivé par la jalousie et la peur de me voir la délaisser au profit d'une autre.

Tu sais bien que je t'ai toujours fait passer en premier ma puce, jamais je ne vais laisser qui que ce soit te faire du mal et se mettre entre nous. Tu es ma meilleure amie, la femme la plus importante en ce moment dans ma vie. Je ne veux pas te faire de fausse promesse et te dire que bientôt j'aurai réglé tout mes problèmes mais je vais tout faire pour m'assurer que tu n'en souffres pas. Sinon tu as pensé à mon offre de venir habiter avec moi?

Évidemment je me doutais que pour elle ce n'était pas comme si je lui proposais que nous formions un couple officiel mais pour moi c'était un pas important, nous allions pouvoir partager le même quotidien et voir comment le tout allait pouvoir tourner par la suite. Je ne pouvais que la regarder alors qu'elle bougeait ses cheveux, à la manière d'un mannequin hypnotisant l'objectif de son regard le plus sulfureux, je me ne pus résister à la folle tentation de m'abandonner à elle. Je passais un si bon moment que l'intensité des mouvements me laissais le souffle coupé. L'embrassant à pleine bouche j'inversai les positions l'embrassant dans le creux du cou alors qu'elle me mordillait le lobe de l'oreille tout en me murmurant qu'elle en voulait encore plus.

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On ne s'attendait jamais à de si belles surprises et pourtant, elles avaient le don d'arriver au moment où on s'attendait le moins. J'étais plus qu'heureuse, vivant sur un petit nuage, mais c'était dans des moments difficiles ou même extrêmes que l'on se rendait bien compte de la chance que l'on avait dans la vie. Il a fallu que Dylan me sorte de ce mauvais pas pour me rendre compte à quel point il était important à mes yeux et que je désirais plus que jamais être à ses côtés. Jamais une personne n'avait autant été présente pour moi et ça, j'étais touchée. Le perdre serait pour moi une déchirure de tous les instants, la fin de tout et je n'allais pas laisser passer ça, surtout que je me trouvais à ses côtés et en plus chez lui. On ne pouvait résister au fait que l'on se voulait tous les deux, que l'on se désirait plus que tout. Tout était arrivé doucement de par de simples échanges de paroles, jusqu'à ce que l'on ne puisse plus être éloigné l'un de l'autre.

Il était vrai que j'avais fait fort ne pouvant plus retenir ce que je ressentais. Pour moi, c'était un grand pas. Jamais je ne pensais que je me serais remise de la mort de celui qui partageait autrefois de ma vie et que ma vengeance viendrait bouffer le peu d'humanité qui me restait au coeur de mon âme mais pourtant je voyais une porte de sortie à cet enfer. Il était vrai que de ressentir ses doux baisers et caresses sur mon corps n'avaient de cesse de me faire comprendre qu'enfin il fallait que je cède à ce que je ressentais, que d'arrêter de les retenir ne pouvait que compliquer les choses et surtout que cela allait me bouffer de l'intérieur, même me détruire. Etre heureux finalement il n'y avait rien de mal à ça. J'avais pu surprendre, j'avais conscience de cela, mais au fond de moi, je savais qu'il fallait passer à l'étape supérieure. Nous ne pourrions qu'être heureux. Ca ne me déplairait pas non plus d'être Mme Echolls, ah, mais qu'est-ce que vous croyez.

J'avais conscience que sa réponse avait eu l'effet en deux temps sur moi. Je pouvais me montrer compréhensive, et je serais là pour lui, sachant ce que j'avais traversé à l'époque, mais en même temps le perdre serait la fin de tout pour moi. J'avais finalement tenté le tout pour le tout ne désirant que garder son attention sur mon corps. Je n'allais pas le laisser partir. Au moins, j'avais eu le cran de demander qu'il soit sage. Il était vrai, sous le coup de la colère et de la jalousie, j'étais capable de mille folies, donc mes menaces n'étaient pas des paroles en l'air. Il savait me rassurer et surtout montrer que j'étais comme une princesse. J'avais conscience dès maintenant qu'il me faisait passer en premier, toujours. Je me sentais même protégée, et la preuve encore aujourd'hui, sur le fait qu'il ferait tout pour moi, qu'il ne laisserait personne me faire du mal. Je me montrais possessive mais même sur ce point, personne ne pourrait se mettre entre nous. Il me le garantissait. J'étais plus que touchée, car je savais au fond de moi, que j'avais trouvé la perle rare et qu'elle ne devait pas me filer entre les doigts. Sa meilleure amie ? La femme la plus importante dans sa vie à l'heure actuelle ? Oh, il avait clairement le don de me faire craquer, que je pouvais sortir un sourire. C'était un véritable gentleman. Je sentais que je pouvais avoir confiance, que les fausses promesses n'étaient pas son genre. J'avais véritablement un ange devant moi. Il comptait prendre soin de moi, faire tout afin que je ne souffre pas. En sa présence, je ne pouvais pas, j'étais au contraire comblée. Soudain, il me rappelait son offre de venir habiter chez lui. Je m'en souvenais très bien, la plus belle des offres qui soit et je ne pouvais refuser une si belle opportunité d'être aux côtés de celui qui avait le don de me faire craquer. Je ne pouvais que sourire, montrant que j'y avais bien réfléchi et que la réponse était favorable, quelle question. J'allais en finir avec ce rôle d'être solitaire. J'allais me réhabituer à un environnement où je partagerais mon quotidien avec quelqu'un d'autre et qui sait, à force, on deviendrait un véritable couple. Je bougeais encore plus mes cheveux, voulant littéralement l'hypnotiser de par mon regard et de mon corps, qu'il s'abandonne à moi et ça marchait. Nos mouvements étaient si intenses. Je n'avais jamais rêvé pareil moment tellement que le désir que je ressentais pour lui m'envahissait. Il me faisait un tel effet que je ne pouvais rien contrôler. Il m'embrassait à pleine bouche et je prolongeais comme il se doit. Alors que les positions étaient inversées, il m'embrassait dans le creux de mon cou. Je lui mordillais le lobe de l'oreille, lui murmurant que j'en voulais encore plus. Oui, j'avais faim de mon bel ange et je ne comptais pas m'arrêter là. Je donnais des coups de langue si sensuels. J'y allais avec de ma main vers ce que je désirais tant pour le rendre encore plus fou.

- Je sais mon coeur que tu me fais toujours passer en premier. Tu me protèges comme je n'en avais jamais rêvé. Je me sens en confiance et plus heureuse que jamais à tes côtés. Je serais si perdue sans toi si tu savais. Tu es aussi mon meilleur ami, l'homme le plus important dans ma vie. Tu es un ange, c'est que tu penses à mon bien-être. Je te soutiendrais comme jamais mon chou. J'ai pensé à ta proposition et oui je veux venir habiter avec toi, j'en serais même plus qu'heureuse. Oh, viens auprès de moi que je te montre à quel point je suis des plus reconnaissantes, car un homme tel que toi, j'en ai toujours rêvé. J'ai tellement envie de toi.

Je le regardais d'une manière si coquine alors qu'avec ma jambe, je rapprochais encore plus son corps tout contre le mien. Je caressais le bas de son corps, tout en l'embrassant dans le creux de son cou y laissant une belle trace. J'intensifiais mes mouvements encore plus. J'étais comblée, que j'en poussais des gémissements. Je l'embrassais à pleine bouche, rien que pour les étouffer. C'était si intense. J'étais la femme la plus comblée qui soit allant vers le lobe de son oreille lui murmurant que j'avais envie de lui, de dévorer littéralement chaque parcelle de son corps.

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La vie n'a jamais été une chose simple en soi et vous pouvez vous fier sur moi, elle ne le sera jamais si j'avais été à même d'acquérir une certitude sur les grandes vérités et sur les questions d'ordre existentielles c'était bien celle-là. Certains vous diront que tout est défini dès le départ, que notre bagage génétique portant l'empreinte de notre destin nous pouvions que suivre la voie qui nous avait été toute tracée dès le jour de notre naissance mais pour ma part je m'inscrivais en faux contre cette croyance des plus simpliste … j'étais plutôt d'avis que nous étions les seuls maitres de nos faits et gestes, ce qui ne pouvait que signifier que notre destin ne pouvait qu'être constitué de moment présent et de la suite que nous voulions bien lui donner. Combien de fois ai-je vu certaines de mes relations changer de caractère au fil des ans? Donc d'avancer que tout es joué d'avance et que les dés étaient pipés par le destin me semblait tout aussi stupide et risible que réducteur et impertinent.

L'état de ma relation avec Melody, ainsi que son évolution, ne pouvait que s'avérer le plus bel exemple de ce que j'avançais. En effet rien ne semblait vouloir indiquer qu'un jour nous deviendrions aussi proche l'un de l'autre, il faut dire que nous sommes vachement différent … moi d'un calme déconcertant et elle d'une extrême émotivité ce qui faisait de nous un duo pour le moins explosif. Il ne fallu que bien peu de temps afin que je ne m'attache à elle et qu'elle ne devienne cette personne pour qui je n'hésiterais pas à tout mettre dans la balance. Elle ne cessait jamais de me surprendre, d'ailleurs je ne l'avais jamais vu aussi violente et possessive … ce qui n'avait pas été sans me faire peur et m'exciter d'une certaine façon. Je dois avouer que le fait qu'elle m'avoue être prête à toutes les bassesses afin de m'avoir n'avait pu que me faire réaliser à quel point elle pouvait me désirer et d'une certaine façon j'étais touché de voir que je comptais autant à ses yeux.

La tendresse et l'aspect violent de son attitude à mon endroit n'avait pu faire en sorte que de me faire craquer, je me rendais bien compte que je l'aimais .. bien que pour le moment je ne semblais pas encore être près à lui avouer. L'embrassant tout en frissonnant sous la douceur de ses caresses et gémissant sous la perversité de ses manœuvre je ne pus que continuer de prendre du bon temps avec elle, l'embrassant à pleine bouche et laissant mes lèvres glisser tout contre son cou lui mordillant le lobe de l'oreille afin d'y gémir avec douceurs des mots dont le caractère des plus coquins ne pouvait que la combler.

Tu fais de moi le plus heureux des hommes ma chérie, je craignais tant que tu ne me répondes par la négative … je suis plus que comblé. Plus que jamais tu seras ma priorité ma princesse et je compte bien te le prouver des maintenant.

Je frissonnais sous ses caresses, sentant sa jambe glisser tout contre moi. Laissant mes mains glisser tout contre ses hanches je frissonnai au contact de sa langue glissant tout contre mon torse et l'aidant à remonter tout contre moi je l'embrassai avec une envie des plus folle afin qu'elle puisse comprendre à quel point elle me rendait fou.

**Invité** Invité

J'aimais tant les imprévus, les inattendus, surtout les plus agréables et jamais je n'aurais pensé que je me serais sortie d'un enfer comme la vengeance, la tristesse et le fait que je ne devais plus être heureuse, mais rien qu'avec la présence de Dylan, le fait de sentir ses baisers, ses caresses et de l'avoir auprès de moi me prouvait que je faisais fausse route jusqu'à présent, à croire que l'on me donnait une chance d'obtenir enfin ce que je voulais. Dylan représentait tout à mes yeux. Il était un homme que l'on ne trouvait pas dans tous les coins. Il était des plus charmants, attentionnés, honnêtes et droits. Je me sentais en confiance et surtout comblée. Etre auprès de lui le plus possible, je comptais bien atteindre cet objectif et ce en utilisant mon charme naturel, mes atouts. Bien sûr, tout aurait très bien pu être différent mais il était hors de question que je laisse qui que ce soit m'arracher mon tendre chou. Il me complétait. Je tenais à lui plus qu'en n'importe qui. Mon côté froide et distante que je tentais de laisser transparaître après la perte de celui que j'avais aimé disparaissait à son contact. Je me retrouvais et à force j'étais explosive mais son côté calme réussissait à me calmer. J'exprimais toutes mes émotions y compris même ce côté tigresse en moi. J'avouais pleinement que j'aurais dû utiliser ce côté tigresse plus souvent. Je le sentais en mon pouvoir et ça me plaisait tellement que j'étais inspirée. J'étais capable de tout pour lui. Je le désirais si intensément.

Je l'aimais et plus les jours défilaient, plus je l'aimais davantage. Je le caressais encore plus intensément alors qu'il m'embrassait comme je n'en avais jamais rêvé. Je prolongeais cet instant. C'était si intense, que j'entendais ses gémissements et cela me rendait encore plus dingue de lui. On se procurait un bien fou. C'était un plaisir vraiment incomparable. Son baiser dans le creux de mon cou me faisait littéralement chavirer. Je ne me contrôlais plus du tout. Ce que j'entendais était juste une pure merveille que j'en venais à sourire. J'étais aux anges. S'il y avait une chose que je ne supporterais pas, c'était de voir mon chou si triste. Voir un sourire c'était déjà une preuve de bonheur et si en plus je pouvais y contribuer, je gagnais le gros lot. Et j'avais gagné. Oh, il allait presque me faire rougir, quoi que, j'aimais énormément être au centre des attentions. Il avait réussi, alors que j'affichais un sourire des plus coquins, caressant sa joue, effleurant ses lèvres du bout des doigts alors que je me mordillais les lèvres, puis je mettais mon index dans ma bouche, lui montrant que ce qui arrivera ensuite sera aussi torride qu'il en redemandera encore. Je caressais sa joue, lentement, regardant la belle vue puis l'embrassant sauvagement, laissant ma langue faire une danse des plus torrides, plaçant ma main sur sa nuque, le griffonnant, puis avec mes mains, j'intensifiais encore plus mes caresses, glissant lentement ma jambe contre le bas de son corps, l'amenant encore plus tout contre moi. Ses caresses tout contre mon corps étaient divins, d'un pur plaisir. Il m'amenait tout contre lui. Il m'embrassait avec une telle fougue que je prolongeais d'une manière plus que bestiale. J'allais combler le moindre de ses désirs, cela va de soit, alors que je lui murmurais que le voulais encore plus.

- Je compte te combler encore davantage mon coeur, et tu n'as pas à te sentir craintif pour ma réaction. Je veux te savoir heureux tel est mon désir le plus cher. Tu comptes tellement pour moi si tu savais. Je suis au mieux dans tes bras, tout contre toi. Je suis si heureuse, et oh me combler, tu sais le faire déjà mon chou mais je te mets au défi de le faire davantage mon bel ange. J'ai tellement envie de toi. Je suis raide dingue d'un bel homme plus que canon.

Je le titillais du bout des lèvres le mordillant jusqu'au sang, puis l'embrassant à pleine bouche, remontant ma jambe. Je le kidnappais par la taille, voulant vraiment le sentir au plus profond de mon être alors que j'effectuais des mouvements plus que torrides. Le regardant droit dans les yeux, me mordillant la lèvre, je sentais le plaisir littéralement m'envahir. Je ne pouvais plus me contrôler, que j'en poussais un gémissement de plaisir, ondulant mon corps encore bien plus davantage lui murmurant à l'oreille qu'il me comblait, que je voulais tellement plus, qu'il ne s'arrête pas. Je voulais le voir complètement hors de contrôle.

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