 Aditya Raichand
› MESSAGES : 265
› EMMENAGEMENT LE : 27/02/2014
› AGE : 32
› STATUT CIVIL : FRAÎCHEMENT CÉLIBATAIRE (IL VIENT DE QUITTER SA MEUF QUI EST ENCEINTE) ;
› QUARTIER : OFFICIELLEMENT SDF, OFFICIEUSEMENT POSSESSEUR D'UNE CARTE GOLD ;
› PROFESSION/ETUDE : SANS EMPLOI, GUITARISTE POUR SON KIFF PERSO.
› HB AWARDS : (2016) MEILLEUR PERSONNAGE ENJOY WHILE U'RE YOUNG ;
› DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ;
› CELEBRITE : VARUN DHAWAN ;
› COPYRIGHT : ELOW ;
 |  Sujet: (terminée) HARRIS • "A name full of history." Jeu 27 Fév 2014 - 20:52 | |
| « Tel père, telle file. » FICHE D'IDENTITE
✿ NOM : Harris, comme mon père. C'est un peu tout ce que j'ai de lui. Je sais pas si je dois compter mon frère jumeau comme étant aussi un lien entre moi et mon père... C'est compliqué. Longue histoire quoi. Mais en gros, quand ma mère à accouché, elle portait encore le nom de mon père. Nous en avons donc hérité avec mon frère et si à l'âge de 9 ans ont s'est fait adopté par notre marraine - l'ancienne meilleure amie de ma mère - nous avons gardé nos noms. Je crois que ma mère voulait qu'un jour, on retrouve notre père avec ça. Même si, dans toute l’Amérique, y'a quoi... un millier de mec qui porte ce nom ? ✿ PRÉNOMS :« Mais tout le monde m’appelle Mae » est devenue ma phrase fétiche. Il n'y a que ma mère pour m'appeler Conny ou Constance quand elle était en colère. J'avais un petit frère aussi, c'était lui qui disait Mae parce qu'il riait quand mon père m'appelait et qu'il n'arrivait pas à dire Maéva. Je déteste chacun de ses prénoms parce qu'ils n'ont rien. Pas d'histoire, pas d'origine. Juste un prénom choisi au hasard dans un calendrier. Les mères enceintes peuvent en faire des choses stupides, mais choisir le prénom de leurs filles comme ça... sérieusement ? ✿ SURNOMS : Mae. Conny. Coco. Ma'. Le champ est large, faites-vous plaisir ! ✿ AGE / DATE DE NAISSANCE : Je viens de faire 18 ans. Je suis née à Hartford au beau milieu du mois de février, dans le Connecticut. C'est tout frais comme on dit. Ma fête d'anniversaire, c'était genre l’événement du siècle, dans ma tête. On se fiche pas mal de mon âge dans la ville où je vis. Enfin où je vivais. On se fichait bien de moi, à vrai dire. Parce que le jour où je devais souffler sur les bougies, j'ai plutôt laissée un camion me foncer dessus. Et pendant un long mois, j'étais la folle du coin. Celle qui avait tué son petit frère dans une putain d'accident de voiture. Et merde, j'ai que 18 ans... ✿ NATIONALITÉ : Américaine, Porto-ricaine du côté de ma mère. Après, je sais pas. Ma mère est morte tôt et ceux qui nous ont adopté avec mon frère bah... ils avaient beau dire que j'étais leurs filles, que moi et mon frère ont faisaient partis d'eux... j'ai envie de dire : GROS FOUTAGE DE GUEULE. ✿ SEXUALITÉ : écrire ici ✿ SITUATION AMOUREUSE : Mon mec m'a largué le mois dernier. La classe, hein ? On était limite en couple depuis la maternelle... Donc je suis célibataire et libre comme l'air. Le premier crétin qui viens me demander de sortir, il va se prendre une bonne claque. Parce que personne ne mérite ma compagnie, oh non. Ils méritent mieux. Non... j'ai pas du tout perdu confiance en moi ! Pas du tout ! ✿ EMPLOI/ETUDES : Lycéenne. C'est le mot. J'ai que 18 ans après tout et il faut bien que je fasse ma dernière année quelque part, alors pourquoi pas ici ? Je ne peux pas éviter ce genre de choses, c'est tout. Et les études, j'y tiens. Je ne fais pas partie de ses connes qui se trimbalent en petite jupe juste pour s'imposer. J'ai une cervelle, moi. Mais entre-temps, je dois travailler. Et c'est Richard l'ancien gardien qui m'a confié le cimetière de la ville. Chouette non ? Heureusement que je n'ai pas peur des fantômes ou des zombies. Au pire, je ferais un remake de thriller avec eux !✿ NOM DU QUARTIER : Au cimetière, mais j'ai décidé d'aller débarquer chez mon père à Palm Avenue. ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Aucun. ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : Aucun.
| LE CARACTÈRE
Je ne suis pas très gentille. J'ai un caractère assez fort. Bon, en vrai, je suis gentille, je suis juste blazée h24/24 et du coup je suis sarcastique la plupart du temps. Je parle beaucoup, trop peut-être, mais c'est parce que je ne sais rien faire de plus, en dehors de la musique (le piano). Je sais me montrer très douce, très aimable, très poli, sinon je jure et je me plains. Je ne suis pas très difficile. Avec moi, il n'y a pas de gris. Je ne me prends pas la tête, c'est aussi simple que ça. Il m'arrive de rester dans mon coin, parce que je juge qu'on mérite mieux que ma compagnie. Sinon, j'ai un petit souci d'ordre médical dû à mon accident de voiture : Je ne peux plus monter en voiture, il m'arrive d'hurler sans raison, de vouloir me défouler sur n'importe qui. Oui, je suis violente. Non, je ne suis pas bipolaire. Juste traumatisée. Y'a une nuance quand même.
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NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.
 J'ÉTAIS AVEUGLE, JE CROYAIS QUE TOUT ÉTAIS SIMPLE DANS LA VIE ET QU'UN SOURIRE ÉTAIT SUFFISANT POUR ATTEINDRE LE BONHEUR. J'AURAIS AIMÉ COMPRENDRE PLUS TÔT A QUEL POINT TOUT EST PLUS DIFFICILE QUE CE QU'ON CROIS.▲ « - Tu m’entends Tommy. Tout vas bien se passer, d’accord… tout vas... bien se passer. »Je n'entends plus rien. Mon souffle une dernière fois se dépose dans l'air, des morceaux de verre dans ma chair me dise que rien ne va. Tommy est sur l'autre siège, je lui tiens la main. Je ne veux pas le laisser, je ne veux pas le quitter. J'ai encore la lumière du camion dans les yeux, j'entends encore le bruit de la voiture de ma mère partir, se retourner à l'autre bout de la route. Le bruit des vitres qui se brisent et Tommy, qui regarde et qui n'a pas la moindre idée de ce qui arrive. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs. J'ai toujours partagé ma vie avec mon frère jumeau, Matthew. Et un jour maman est morte et c'est Lilla, ma marraine, qui nous a adopté avec Matty. On était jeune, mais on a toujours su qu'on a été adopté, pourtant ça ne nous dérangeait pas. Tom et Lilla nous ont vues grandir. On avait des parents, oui, mais on avait avant tout Tommy. J'ai des brides de mon enfance, des moments uniques avec mon petit-frère ou on jouaient ensemble et maintenant, j'ai ce souvenir-là. J'ai dans ma tête, avec une précision horrible, chaque seconde de cette nuit ou Tommy voulait m'accompagner à une soirée entre copine, parce qu'il ne voulait pas rester seul à la maison. C'est beau d'avoir des parents médecins, ils voient leurs enfants mourir sur le lit d'urgence, comme s'ils étaient tout aussi fautifs que moi. L'idée ne leur aient même pas venu qu'ils auraient peut-être pu le sauver, eux. Que ce n'était pas ma faute à moi, si le feu était rouge et que je suis resté là, à attendre qu'il passe au vert. J'aurais aimé que Matthew soit là, mais lui et son équipe de foot était parti pour une semaine... J'aurais tellement aimé qu'il soit là. J’ai aussi une image dans l’ambulance. Je me réveille d’un coup et je vois Tommy sur le côté. Je veux attraper à sa main, le prendre dans mes bras. Si c’était facile pour mes parents de commencer à m’ignorer après ça, je savais que lui ne m’aurait jamais dit : « Tu n’es pas notre fille, tu le sais. » Peu importe mon sang, j’étais celle qui allait le chercher après les cours, l’aider à faire ses devoirs, jouer au jeu vidéo avec et faisait la cuisine avec lui. On faisait souvent du piano ensemble. Et Matthew c'était pareil. A nous trois, nous étions les trois mousquetaires. On l'avait plus élevé que ses propres parents. Pour moi, c’était la chose la plus importante de ma vie. Quand Tommy était là, ma vie était parfaite.
[…]
Ils disent qu'ils essayent de me pardonner, mais que c'est trop dur. Aujourd'hui c'est l'enterrement de Tommy. Dans une robe noire, je regarde la tombe, sa peluche préférée entre les bras. J'essaye de ne pas pleurer, mais c'est dur. Les larmes partent, elles font la course sur ma joue et quand on me demande de dire quelque chose je pars en courant. Matthew était rentré en urgence, il court après moi, mais fini par laisser tomber. Je suis faible. Je n'arrive pas à faire face à sa mort. Je n'arrive même plus à rentrer dans une voiture. Mes mains trembles devant la porte de sa chambre et devant tous ses souvenirs posés un peu partout dans la maison. A table ce soir, Tom a balancé son assiette vers moi. Il voulait me blesser. Physiquement, mais Matthew l'en a empêché. Quand j'étais par terre, entendant le bruit de l'assiette contre le mur derrière moi, je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer une seconde fois. L'un des camions de Tommy traînait là, sous la table. On aurait dit le camion du conducteur qui nous a foncés dedans. Le conducteur qui s'était endormi sur le volant. J'aurais tellement préféré qu'il soit soul. Que ça soit même un tueur en série, mais pas un maladroit père de famille qui essayait de faire des heures supplémentaires pour pouvoir payer une opération coûteuse à sa petite fille chérie.
[…]
Ce ne sont plus mes amis. Je suis la petite conne qui a tué son petit frère, voilà comment on m'appelle. La petite conne. Avant, j'étais Mae, La fille des Jenkins, la fille au premier rang, doué, adorable. Celle avec qui on voulait être parce qu'elle était parfaite. Maintenant, on m'envoie des tomates quand je marche dans la rue. On me dit que je devrais être en prison... Les gens sont cons, non ? Matthew en prend aussi pour son grade. Il s'est battu la semaine dernière, il s'est fait exclure en tentant de me protéger. Ils l'ont même viré de l'équipe de foot. Ils croient peut-être que j'étais l'homme dans le camion, c'est ça ? Il y a tellement de rumeurs sur moi, tellement de choses horribles et dégoûtante qui sont fausses, mais que tout le monde prend pour la vérité, pure et simple. Tom et Lilla prennent plus de services, il passe leurs vies à l'hôpital, ils m'évitent. Ils nous évitent. Comme si Mat' avait à se justifier de quoi que ce soit. Je suis tellement désolé pour lui... Ma vie ne se résume plus à rien. Elle est vide, sans bruit et je m'étouffe dans ce silence. Alors un soir, Je décide de fuir. Pour moi, c'est la solution. Matthew et moi nous avons un père quelque part, c'est lui qui aurait dû nous élever après la mort de maman, pas les Jenkins. Si Matthew est contre, persuadé que tout ceci n'est qu'une phase, moi je suis prête à quitter le nord des état-unis pour retrouver mon vrai père. Je prends mon sac, mes vêtements et la peluche de Tommy. Je veux partir et aller quelque part où on ne parlera pas de moi. Je veux recommencer. L'ambulancier qui m'a sauvé m'a dit que j'étais une miraculé. Que j'aurais dû mourir, comme Tommy, mais qu'il devait surement y avoir une raison pour que je sois vivante. Pour Tommy, je veux trouver cette raison, alors en bus je pars d'Hartford. Je n'ai pas assez d'argent pour me prendre un billet d'avion. Je n'irais donc pas très loin, mais j'irais. Peu importe. Matthew m'en veut. Il m'en veut de ne pas lui laisser le choix. Lui et moi sommes inséparable. Il est tout ce qui me reste. Alors il part avec moi. Il ne veut pas me laisser seule. Je traverserais toute l'Amérique s'il le faut. Je trouverais notre père. Et nous vivrons dans un endroit où je serais tout simplement Mae. Où on pourra vivre avec mon frère sans avoir l'impression que quelque chose ne vas pas chez nous. J'ai avec moi une photo, celle du mariage de Maman. Pour m'aider à retrouver Jack, mon père. (Son prénom était écrit au dos de la photo.) Matthew m'accompagne, mais il ne m'aide pas. Il n'a pas envie de retrouver quelqu'un qui ignore tout de nous. Comme d'habitude, il me suit. Lui et moi avons 15 minutes d'écart, je suis la plus grande. Déjà tout petit, il s'accrochait à moi, il ne me lâchait jamais.
[…]
On l'a trouvé. A Huntington. (merci internet) A l'autre bout du pays. On est devant sa maison, quand on le voit sortir avec une femme. On se rend compte qu'il s'est remarié, qu'il a une nouvelle vie. Je le fixe un moment. Matthew lui ressemblait tellement... Je m'apprêtais à aller vers lui, quand mon frère me retient. Plus que jamais, il me dit que c'est une mauvaise idée. Je suis à ce moment-là fatigué, épuisé par le voyage, on termine par retourner dans notre chambre de motel, réfléchissant à une approche...
[…]
Ça fait deux semaines. Richard, le gardien du cimetière nous à croiser sur la route, devant le motel. Je m'étais endormi, fatiguée, plus rien à manger et j'étais visiblement en train de mourir petit à petit sans m'en rendre compte. Matthew était dans le même état... à part voler, on ne savait plus quoi faire. Richard a décidé de nous offrir un toit et un peu d'argent si on l'aidé. Parce qu'il est vieux et qu'il a besoin d'aide pour gérer le cimetière - assez grand quand même - Mais surtout, il m'a confondu avec sa fille, morte il y a 30 ans. Sur le coup, c'est devenu notre tonton et notre ange gardien. Je m'y suis vite fait. A traîner entre les tombes tous les soirs. A vérifier que personne ne laisse des détritus dans le coin, à arranger et à faire du jardinage par ci par là. Matthew est doué en bricolage, du coup, il est beaucoup plus efficace que moi. C'était dur au début, je ne travaille pas dans la vie. En réalité, je n'ai jamais travaillé de ma vie. Et puis Huntington me faisait peur, alors je restais dans la cabane/maison que Richard nous avait offert. Richard a aussi promis de nous aider à approcher Jack. Matthew pense qu'on n'a pas besoin de lui, que maintenant on est tranquille, mais moi je ne suis pas d'accord. J'étais venu pour lui. Ce qui est cool, c'est Richard nous a pris sous son aile. Comme ses propres petits-enfant.s On a d'ailleurs rencontré le reste de sa famille, son fils, ses trois petits-enfants... On se sent chez nous dans ce cimetière. Mais je veux me sentir chez moi chez Jack. Chez papa.
[..]
Matthew m'a convaincu que je devrais attendre, attendre de ne pas débarquer comme une clocharde chez notre père. Attendre de ne pas avoir "besoin" de lui. En attendant, Richard nous a inscrit au lycée de la ville. Le directeur étant un vieil ami... ce type avait beaucoup de relation pour un papy ! Matthew avait repris le foot et redevez sans problème le mec ultra cool du coin. Moi j'étais plus discrète, plus insociable. Voilà un mois que je suis là, si Matthew ne veut toujours pas aller parler à Jack, moi, je l'espionne de loin de temps en temps. J'essaye de savoir qui il est là et puis... un soir... j'ai craqué. J'ai frappé à sa porte.
DERRIÈRE L’ÉCRAN
✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Elow, tandis que mon prénom est Elodie. Je suis âgé(e) de 21 ans et je vis actuellement du côté de Toulouseuh. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur mon cul, ma première impression en le voyant a été amazing. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7j/7 et que mon niveau rp est de 500/1300 mots (4000 quand ça pète).
Concernant mon personnage j'ai choisi Victoria Justice comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Enjoy while you're young comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela.
A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Maéva C. Harris le Dim 2 Mar 2014 - 19:58, édité 9 fois |
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:98 Quel choix de fifou mais bon je te l'ai déjà dis 
Bon courage pour la rédaction de ta fiche, j'ai hâte de la lire 
Hâte de voir ce perso en jeu 
Victorious 
m'en fou, j'ai la classe quand même 
Balance sa zik que j'écoute ça !
