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| si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 1:43 | |
| Charlotte Kennedy-Preston « Maman dis-moi pourquoi les oiseaux au fond d’mon cœur, à toutes les minutes pleurent même si t’es là pour les consoler. Maman dis-moi pourquoi tout c’qui bouge autour de moi me donne juste envie d’pleurer comme le jour où j’suis sorti d’toi. Si c’est ça avoir vingt ans j’aime mieux être un enfant, si c’est ça avoir vingt ans j’aime mieux mourir maintenant. Maman dis-moi pourquoi j’me sens vieux de l’intérieur, même si les minutes et les heures sont encore trop jeunes pour m’assommer. Maman dis-moi pourquoi le bonheur entre mes mains, comme la porcelaine se casse. C’est p’tête parce que j’suis trop maladroit. Ou c’est la vie qui m’aime pu. Si c’est ça avoir vingt ans, j’aime mieux être un enfant. Si c’est ça avoir vingt ans, j’aime mieux mourir maintenant. Je sais que j’le verrais jamais, le jour oû comme toi j’serais vieux et puis qu’les rides sur mon visage seront arrivés pour y rester. Mais faudrait pas trop t’en vouloir si t’arrives plus à m’consoler, c’est qu’les oiseaux au fond d’mon cœur sont trop pressés de s’envoler. »
NOM : Kennedy-Preston PRÉNOMS : Charlotte Isabelle Tessie SURNOMS : Cha. AGE : 26 ans DATE DE NAISSANCE : 31 janvier 1988 NATIONALITÉ : Américaine SEXUALITÉ : Asexuée SITUATION AMOUREUSE : En couple EMPLOI/ETUDES : Photographe NOM DU QUARTIER : Sans domicile fixe ANIMAUX DE COMPAGNIE : Un gros Berger Allemand ; Kieffer. CHIFFRE PORTE BONHEUR : 31
Assise au coin du feu, le bruit de l’océan venait lui murmurer de belles paroles au creux de son oreille. Elle aimait voir les flammes, elle aimait voir les vagues s’approcher dangereusement du feu de camps. Elle avait l’impression d’assisté à son propre combat, mais comme toujours l’eau n’est pas assez forte pour éteindre le feu. Charlotte ajusta son bonnet sur sa tête, elle aimait ce donner un petit style, même lorsqu’elle était seule. Cette demoiselle au tempérament colérique glissa ses mains dans le sable froid. Charlotte vivait toujours à cent milles à l’heure, elle n’arrêtait jamais, lorsqu’elle le faisait elle se posait toujours trop de questions. Qui était-elle ? Était-elle seulement cette fille colérique qui répondait au quart de tour ? Était-elle seulement cette fille qui avait du chien dans le nez, cette fille qu’on évite parce qu’il s’agit d’une mauvaise fréquentation ? Charlotte savait qu’elle n’était pas forcément une fille gentille, ni forcément une fille chaleureuse ou accueillante. Elle disait toujours aux autres sa façon de penser, elle n’était pas ce genre de filles à se taire lorsqu’elle voyait quelque chose lui déplaire. Charlotte se sentait toujours en guerre contre l’humanité, elle avait toujours l’impression qu’elle devait combattre des ennemies, de toute sa vie elle ne s’était jamais senti réellement en sécurité dans un endroit. Charlotte avait ce petit quelque chose de triste, elle dégageait beaucoup d’agressivité. Elle avait besoin de chercher la bagarre, elle repoussait toutes les affections possibles, mais elle la recherchait partout et dans n’importe quoi. Denis, son amoureux, en savait quelques choses. Pauvre garçon, Charlotte n’était pas facile. Cha savait communiquer sa colère sans ouvrir la bouche. Denis se disait toujours combien il avait de la chance que les sons ne sortent pas de cette petite bouche furieuse. La jeune fille est comme ça au quotidien, toujours en colère. Elle se voyait comme une petite rebelle, elle se voyait comme cette fille qui ne respectait pas les bases établies par la société. Cha se disait que de toute façon, à la base, elle ne rentrait pas dans le moule du bon p’tit citoyen. Charlotte aimait la solitude devant le feu, elle se sentait bien. Son rêve le plus profond serait de partir loin, sur une île déserte, là où personne au monde ne pourrait lui parler, ni l’obliger à parler. Elle voulait être seule. Les rares moments où elle s’accordait ce petit luxe lui donnait un bon aperçu de la vie qu’elle pourrait mener si elle partait sans se retourner. Charlotte ne rêvait pas du grand amour, elle n’y croit pas de toute façon. Au fond Charlotte savait qu’elle était une fille assez pessimiste, n’est jamais satisfaite de rien. Elle se savait aussi profondément jalouse, elle envie absolument tout. Cette fille qui semble pourtant si sûre d’elle lorsqu’on la regarde faire un TAG sur les murs d’une maison de riche, derrière ce mur bien épais se cache une petite fille de douze ans abandonnée et effrayée. Elle envie tout le monde, pour tout ce qu’ils ont. Charlotte à l’impression d’être seule, même lorsqu’elle est entourée de gens. Elle aime sa solitude et la déteste en même temps. C’est probablement pour ça que les gens ont l’impression d’être dans un terrain de mine avec elle ; elle est tellement imprévisible et à la mèche courte sur absolument tout ce qui existe dans l’univers. Charlotte soupira un bon coup, elle se leva et quitta la plage en trainant des pieds. Son fidèle sac était rempli de cannes de peintures, elle irait peindre les fenêtres d’une fourrière pour animaux. En quittant les lieux l’eau fini par atteindre le brassier et doucement l’eau calma l’ardeur du feu. Un jour, peut-être, quelqu’un réussira à éteindre les flammes qui empêche Charlotte de vivre. Nous avons tous un passé, un présent et un futur. La fin du monde pour une adolescente c’est souvent lorsque son petit ami la plaque sans donner d’explication et que soudainement elle réalise qu’il s’envoi en l’air avec sa meilleure amie. C’était aussi couler son examen de géométrie qui vaut pour 20% de la note du semestre. C’était ça à l’adolescence la fin du monde. C’était ça que c’était supposée être et rien d’autre. Pour d’autre, le sens de la fin du monde à un tout autre sens. Charlotte faisait partie de la dernière catégorie. Née sourde, cette jeune fille avait travaillée toute son enfance pour pouvoir communiquer autrement qu’avec le langage des signes. Pourtant, malgré tous ses efforts elle n’était toujours pas acceptée par les Entendant. Toute sa vie elle avait essayé d’être comme les autres filles de sa classe, de son quartier, mais chaque fois ça échouait. Elle n’était pas comme les autres, elle ne serait jamais comme les autres. Son père était parti lorsqu’elle avait douze ans, semblerait-il qu’il soit tombé amoureux d’une autre femme, dans un autre pays, et qu’il souhaitait vivre auprès d’elle. Quatre ans plus tard, l’adolescente se trouvait assise dans le salon d’un foyer d’accueil pour jeunes. Elle se trouvait dans un foyer dont aucun des parents n’arrivaient à communiqué avec elle par les signes, de son côté Charlotte faisait semblant de ne pas savoir lire sur les lèvres. Elle trouvait que c’était juste, elle était avec eux depuis qu’elle avait quatorze ans et en deux ans ni l’un ni l’autre n’avait pris la peine d’apprendre le langage des sourds. « Charlotte. » quelqu’un lui toucha l’épaule, elle sursauta et tourna la tête vers l’homme de la maison, derrière lui se tenait le fils de la maison ; Denis John-Smith. Charlotte échangea un petit sourire coquin avec celui qui avait dix ans de plus qu’elle. Le garçon rougit face à l’attitude provocatrice que la jeune fille avait. Boris, le père de famille, secoua sa main devant les yeux de Charlotte, elle détestait ça. « JE… » Denis commença à faire le langage des signes, il était le seul à l’avoir appris. « DOIS. » Charlotte leva les yeux au ciel. « Est-ce que cet abruti vas comprendre que je ne suis pas une débile ? » Denis laissa paraître un petit sourire en coin. « TE. » Denis soupira également, cela devenait un peu long comme phrase. « DIRE. » Charlotte fit mine de s’endormir pour faire comprendre au gros paresseux qu’il devait s’activé un peu dans ses mots. « QUE. » Boris tourna la tête vers Denis qui commençait à rire en voyant les grimaces de la jeune fille. « Dit lui donc que sa mère est morte. » Le visage de Denis se décomposa. « Quoi ? » Il tourna la tête vers Charlotte. Il refusait de lui dire. Boris insista. « Allez, fait un homme de toi. » « Ta mère est morte. » « Suicide, dis-lui bien. Sa mère à sauter par la fenêtre d’un asile psychiatrique. » Denis se tourna vivement vers son père. « Non, voyons… t’es fou ! Je ne dirais pas ça ! » Denis chercha le regard absent de Charlotte. « Désolée, vraiment pour toi. » L’adolescente leva les yeux vers Boris. « Comment. Comment est-elle morte ?! » Son père d’accueil haussa simplement les épaules et se gratta sa grosse bédaine couverte de gras et de poils disgracieux. « Je ne sais pas ce que tu dis pauvre fille. » Il lui tourna le dos, Denis et Charlotte restèrent un moment en silence. La jeune rebelle ouvrit la bouche, complètement perturbée. « Ma mère est morte ? » Denis lui tourna également le dos, que pouvait-il bien faire de toute façon ? Il s’arrêta en chemin et pivota légèrement. « J’espère que ça ira. » Charlotte avait été prendre son sac et s’était enfuit. Ce qui la choquait le plus dans cet annonce n’était pas la douleur, ce n’était pas la tristesse. Non. C’était l’absence totale de tous ses sentiments dans son être. Quel genre d’être humain était-elle pour ne pas pleurer la mort de sa mère, tout simplement pleuré la mort d’un être humain ? Charlotte revoyait encore le visage de mère lorsqu’elle était allée lui rendre visite le mois dernier, elle semblait si heureuse, si paisible et elle était souriante. Elle parlait qu’elles seraient bientôt réunies, Charlotte avait mis tellement d’espoir dans la réhabilitation sociale de sa mère. Elle y avait cru jusqu’à la fin, même maintenant que tout espoir était mort, elle voulait encore y croire. Elle voulait y croire plus fort qu’elle avait cru au Père-Noël lorsqu’elle était gamine. Charlotte aurait aimée souffrir et avoir l’impression que son cœur s’arrachait de sa poitrine, pourtant ce n’était pas le cas. Était-elle normale ? La jeune sourde commença à courir dans les rues de Chicago, son cœur, elle voulait le sentir. Elle voulait le sentir battre plus fort, elle voulait savoir qu’il était là et qu’il n’était pas dans un état végétatif. Peut-être qu’en courant la peine arrivait d’elle-même. Peut-être, oui peut-être. La rebelle couru de longues minutes, son esprit se vida plutôt que de se remplir des émotions qu’elle souhaitait avoir. Ce n’était pas la première fois qu’elle vivait l’absence d’émotion ; lorsque son père avait choisi une autre femme et une autre famille, oui la petite fille avait eu de la peine, mais elle n’avait pas souffert. Charlotte finit par se laisser tomber, complètement exténuée. Elle ferma les yeux, quelques secondes. Juste quelques secondes. Charlotte se réveilla en sursaut lorsqu’une main lourde se posa sur son avant-bras. En ouvrant les yeux elle constata que c’était toujours la nuit dehors. L’adolescente pris quelques secondes avant de prendre conscience de son environnement, elle était toujours dans les poubelles dans lesquelles elle s’était endormie. Devant elle se tenait Denis, il souriait. « Tu es difficile à trouver, Charlotte. » La jeune fille pencha la tête et leva les yeux, l’air mielleux. Elle le trouvait si séduisant, il avait les yeux bleus perçants et une tignasse noire complètement rebelle. « Tu me cherchais pourquoi ? » L’homme de vingt-six ans haussa les épaules, lui-même ne savait pas exactement pourquoi il la cherchait, mais il savait que dès l’instant où elle s’était enfuit de la maison… il savait que son cœur avait cru se séparé en deux. « Je crois que mon cœur à besoin du tiens pour battre. » Charlotte éclata de rire, un grand rire franc et sonore. Elle haussa timidement les épaules. « Non, sans blague, pourquoi ? » Denis la regarda, un petit air amoureux lui traversa les yeux. Charlotte le remarqua aussi, elle sentit son cœur battre bien fort dans sa poitrine. Depuis qu’elle était arrivée dans cette famille d’accueil qu’elle était sous le charme de Denis, depuis qu’elle avait l’âge de faire l’amour qu’elle rêvait la nuit qu’il la faisait grimper au septième ciel. « Je envie d’être avec toi. » lui dit-elle, courageusement. Charlotte n’était pas le genre de fille qui ne voulait faire les premiers pas, elle savait depuis longtemps que l’égalité des sexes s’était que les deux genres pouvaient faire ce qu’ils voulaient. Denis la regarda, un sourire se pointa sur son visage. « J’ai aussi envie d’être avec toi. » Il approcha son visage du sien, lorsque leurs lèvres entrèrent en contact un tourbillon de feux d’artifices explosa autour d’elle. Un sentiment de libération l’envahis, le baiser s’approfondit entre les deux individus. Charlotte soupira bruyamment, Denis glissa ses mains sous la veste de cuir qu’elle portait toujours. Alors que l’adolescente se sentait prête à pousser plus loin, c’est l’homme qui la repoussa doucement. « Non, pas maintenant et surtout pas ici, Charlotte. » Il laissa échappé un petit rire gêné, il lui montra alors deux grosses valises. « Tu viens, on vas partir. » La jeune fille qui avait l’habitude de se faire abandonner le regarda avec intensité. « Ensemble ? » Denis lui pris la main, amoureusement. « Toujours. » Denis avait fait beaucoup plus qu’honoré sa promesse, il l’avait accompli avec brio. Le couple était débarqué en Californie, Huntington Beach plus précisément, en ne sachant pas du tout ce qu’ils allaient faire. Denis avait laissé son boulot à Chicago, il devait s’en retrouvé un rapidement. Heureusement la construction était un domaine en demande partout au monde. Pour l’adolescente qu’était Charlotte, c’était une autre histoire. La jeune fille n’avait pas de scolarité, elle avait abandonné le lycée alors qu’elle avait quinze ans. Denis, dès qu’ils étaient arrivés, l’avait obligé à retourner en cours et c’est ce qu’elle fit. Elle fût surprise de découvrir une école spécialement pour les sourds comme elle. C’était quelque chose qu’elle n’avait pas connue à Chicago, pourtant probablement en avait-il là-bas aussi. Charlotte, même si elle vivait un deuil, se sentait heureuse pour la première fois de sa vie. Denis l’aimait, il savait lui démontré de toutes les façons possibles. Elle commençait également à s’aimer, la petite rebelle qui aimait faire des graffitis fit place à une talentueuse artiste. Charlotte se considérait comme tel ; une artiste. Au début elle s’imaginait comme la relève d’un artiste célèbre, elle était encore une adolescente lorsqu’elle s’imaginait être l’élève d’un grand peintre. Lorsqu’elle obtint son diplôme de terminale, Charlotte réalisa qu’elle voulait refaire le monde avec son art. Elle ne voulait pas être la copie de quelqu’un, elle voulait être originale, elle voulait être la mère de quelque chose. Charlotte décida de foncer dans quelque chose qui la touchait ; l’art de rue. Contre toute attente, Charlotte décrocha une bourse d’étude pour Berkeley, une grande Université de la Californie. Elle y alla et étudia l’art sous toutes ses formes. Elle sortit diplômée avec mention, elle avait fini par se spécialisée dans la recherche de l’art. La jeune rebelle avait fait place à une femme d’envergure. Son caractère était restée le même, elle avait réussie, mais elle était toujours celle d’autrefois. Derrière l'écran : Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est écrire ici, tandis que mon prénom est Daphne. Je suis âgé(e) de 21 abs et je vis actuellement du côté de la froidure Québecoise.. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur PRD je suppose, ma première impression en le voyant a été fantastique. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7j/7 et que mon niveau rp est de à vous d'en jugez. Concernant mon personnage j'ai choisi Willa Holland comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi ENJOY LIFE comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Charlotte Kennedy-Preston le Jeu 11 Déc 2014 - 23:01, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 3:44 | |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 5:54 | |
| REBIENVENUUUUUUUE Bon courage pour cette nouvelle fiche |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 10:29 | |
| Re-bienvenue ! J'adore le caractère de Cha ! Comme tu l'avais prévu ! Vivement la suite ! |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 13:46 | |
| hâte de découvrir ce nouveau personnage |
| | | Lalita A. Johar GOOD COP
› MESSAGES : 129 › EMMENAGEMENT LE : 30/09/2014 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : MERE CÉLIBATAIRE D'UN PETIT AARON DE 7 ANS. VIENS DE SE FAIRE LARGUER PAR UN SEXY POMPIER. › QUARTIER : CHEZ SON COUSIN, A PALM AVENUE ; › PROFESSION/ETUDE : ANCIENNE ARCHÉOLOGUE ET DÉTECTIVE PRIVÉE. CO-GERANTE ET RÉCEPTIONNISTE DU HOPE'S COVE ; › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : SONAM KAPOOR ; › COPYRIGHT : ELOW ;
| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 14:39 | |
| WILLA HOLLAND JE L'AIME TELLEMENT ! Re-bienvenue ! :D |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 7 Déc 2014 - 16:35 | |
| Thank you beaucoup tout le monde ! |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Mer 10 Déc 2014 - 21:09 | |
| Je feel paresseuse.
Fiche fini |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Mer 10 Déc 2014 - 21:12 | |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 21 Déc 2014 - 18:12 | |
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| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) Dim 21 Déc 2014 - 18:17 | |
| oh je n'avais pas remarqué, désolée chou je lis ça dans la soirée ! edit : et voilà qui est fait, et je te valide VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH « Soyez la bienvenue. » toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
- vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
- en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
- vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
- pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Neela) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) | |
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| | | | si c'est ça avoir vingt ans, j'aime mieux mourir maintenant. ( TERMINÉ ) | |
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