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| JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:14 | |
| « And if we could float away, Fly up to the surface and just start again.. »
NOM : Grey-Jones, Les noms de famille de mes parents, Grey vient du coté de mon père, je l’ai jamais connu, il est mort quand j’étais bébé. Mes parents n’étaient pas mariés alors, ma mère a opté pour les deux noms ensemble. PRÉNOMS : Jazmine, c’est mon paternel qui a fait ce choix juste avant de partir en mission. Quant à Isis, cela vient de ma mère, c’est pour honorer les origines de sa maman.SURNOMS : Jaz ou Jazie AGE : J’ai trente deux ans, je sais on dirait pas. DATE DE NAISSANCE : Le neuf mai 1982. NATIONALITÉ : Anglaise, Grecque avec une petite touche Égyptienne. En soit, un petit cocktail sympa, qui me donne un joli teint halé en été. SEXUALITÉ : Hétéro, j’ai toujours eu besoin d’un homme, de me serrer dans ses bras et de me sentir protégée. SITUATION AMOUREUSE : Je suis fiancée avec Enzo, nous nous connaissons depuis l’université, soit des années. Il m’aime, je l’aime, c’est fantastique ! Bien entendu on a des hauts et des bas, surtout en ce moment, mais ça ira. EMPLOI/ETUDES : Je suis diplômée en anthropologie avec une spécialisation en anthrozoologie, l’étude entre la relation hommes/animaux, mais surtout avec les primates. J’ai toujours voulu faire ce metier, c’est une voie qui s’est ouverte à moi, quand j’étais adolescente. Je travaille à présent au musée d’histoires naturelles de la ville. NOM DU QUARTIER : Dans le jolie quartier de Palm Avenue. ANIMAUX DE COMPAGNIE : Un chien âgé de huit mois, c’est une grosse boulle de poil offert par Enzo pour mon anniversaire. Je l’ai nommée Zooey, c’est une vrai fripouille qui adore gambader, les câlins et faire la folle ! C’est aussi une grande peureuse et une gourmande. CHIFFRE PORTE BONHEUR : 17, C’était un lundi 17 quand j’ai rencontré Enzo pour la première fois.
Les gens disent que je suis aussi doux et sucrée qu'un bonbon et même parfois, j'ai le droit d'être comparée à un ange, mais c'est qu'une impression et le restera toujours. Jamais, pendant un instant, j'ai pensé dans la même direction qu'eux, jamais je me suis dit, que j'étais une sainte. C'est juste que je suis...qui je suis. Je suis Jazmine, cette petite brunette amicale et toujours souriante. La voisine qui dit bonjour à ses voisins le matin et qui prend des nouvelles en parlant derrière la haie de roses. Je vais toujours chercher mon journal avec un café en main, je donne toujours un extra au gamin qui m'apporte ma revue, afin qu'il ne la balance pas dans mes lilas. Je ne fais pas du bruit en plein milieu de la nuit, ma chienne n'aboie pas au beau matin, en somme, je suis une bonne voisine. Si j'ai appris une chose, c'est qu'il ne faut jamais s'arrêter de rire, car c'est la seule chose qui nous garde la tête hors de l'eau et qui nous donne un peu de bonheur. J'aime donc rire, raconter des choses idiotes qui me sont arrivées à mes amis, provoquer une petite guerre de chocolat fondu, attaquant Enzo en lui barbouillant le visage de chocolat. Enfin cela arrive seulement quand je cuisine, chose que je fais assez régulièrement et pour laquelle, il semblerait que je sois douée. Ces moments-là, vous voyez, ce sont mes préférés, surtout ceux avec mon fiancé, car cela finit toujours en câlins et tendres baisers, vous voyez de quoi je parle. Je pense que je suis sur terre pour aimer, c'est une chose merveilleuse à faire et pour laquelle, je me dis que je ne suis pas si nulle. C'est aussi un besoin, c'est surement pour ça qu'avant Enzo, je n'étais pas souvent célibataire. Je déteste être seule aussi, vraiment. Vous devriez voir mon bureau de travail au boulot, tout y est rangé avec beaucoup de soin, oui je suis méticuleuse. Les fichiers, rangés par importance, puis par couleurs puis par ordre alphabétique, tous mes stylos ont encore leurs bouchons et reposent sagement dans un pot, bon d'accord certain sont passés sous mes dents, mais ils restent tout de même à l'heure place. Le seul petit chaos que je m'accorde, c'est tous les mémos sur mes post-its, il y en a de toutes les tailles et bien entendu chaque importance à sa couleur. Il y en a partout sur mes panneaux d'affichage, dans mes classeurs et même sur le frigo à la maison. Encore une preuve quand je dis que je ne suis pas un ange, il n'y a pas plus rancunière que moi. L'importance de la vie m'a fait comprendre que je n'ai pas à perdre mon temps avec ceux qui ne mérite pas que je leur accorde de l'attention. Oui, je ne crois pas aux secondes chances, je n'espère pas que les choses peuvent redevenir comme elles étaient auparavant, je vais de l'avant. Je me suis toujours demandée pourquoi, j'étais comme cela et à chaque fois, l'image de mon père me revient en tête. Je n'ai jamais eu la chance de le connaitre, comme il n'a jamais eu la chance de me porter dans ses bras. Ca vient de là je crois, du fait que la vie est trop courte pour rester dans la même galère et ne pas avancer. Et puis, généralement, quand je suis en colère contre quelqu'un, la personne est du genre à ne pas vouloir rester dans les parages, parce que quand je suis furieuse, j'ai tendance à l'avoir mauvaise, à jeter des choses contre les murs et à sortir les quatre vérités. Vous avez déjà passé un flocon de neige sous un microscope ? Vous avez déjà essayé de compter les étoiles, celles que vous pouvez voir depuis votre fenêtre ? Moi si et le truc des étoiles, il m'arrive encore de le faire. J'observe, je m'émerveille de voir qu'il y a encore de magnifiques trésors dans la vie d'aujourd'hui. Je suis nulle pour tout ce qui est carapace, bulle de protection, mur, barricade et barrière. Je n'ai jamais été apte à me protéger des sentiments forts et douloureux, des coups bas qu'on peut me faire. J'ai essayé une fois, parce qu'après tout, faut bien se protéger, mais mon barrage n'était pas haut et pas assez fort pour faire son devoir. Nous avons tous un passé, un présent et un futur. • chapter one « Il était un héros » Cette phrase, cette simple et courte petite phrase était la première chose qu'on me disait, quand le sujet de mon père venait dans une discussion. Ma mère m'avait raconté à plusieurs reprises, pourquoi il avait mérité un tel titre, pourquoi tout le monde était fier de lui. « Ton père était un héros, Jazmine, il a sauvé des membres de son unité » Me disait ma mère alors qu'elle me bordait dans mes couvertures. À six ans, je pensais que ce genre de personnes restaient en vie, qu'ils rentraient glorieux à la maison sous les acclamations d'une foule de gens. Je croyais que c'était les vilains qui mourraient, pas l'inverse. Et puis plus tard, j'ai compris, les vrais héros meurent en donnant leurs vies pour sauver celles des autres. On ne les acclame pas, on les pleure. On ne leur lance pas des fleurs, on dépose des couronnes florales sur leurs tombes. Il restait donc que ma mère et moi, vivant dans une petite maison assez grande pour deux dans un quartier tranquille de la ville. Elle m'avait élevée seule, étudiant ses cours alors qu'elle me tenait tout contre elle. Oui comme vous avez pu le comprendre, ma mère m'a eu assez jeune, elle était seulement âgée de 19 ans quand j'avais pointé le bout de mon nez. Elle se voyait éditrice dans une maison de livres, et même si je la ralentissais un peu sur son chemin, elle gardait le rythme et le sourire, du moins en face de moi. Je me souviens encore m'endormir alors qu'elle récitait ses leçons, mettre la pagaille dans ses fiches techniques ou encore barbouiller la couverture de ses cours au feutre. Pas une fois avait-elle été furieuse contre sa gaffeuse de fille. Elle disait toujours que cela lui rappelait mon père et les bêtises qu'il était capable de faire. À chaque fois que j'entendais le mot père, la curiosité s'éveillait en moi, apportant avec elle des tas de questions dont je n'aurais sûrement jamais les réponses, mais avec le temps, j'avais accepté cette idée, le fait que je ne saurais jamais le son de sa voix, sa façon de rire ou encore de parler. Ma mère me disait qu'il avait l'accent du sud, un son chaleureux et doux aux oreilles. Alors parfois, je fermais mes yeux très forts et dans un grand silence, je l'imaginais me parler et je pourrais vous jurer l'avoir entendu une fois. Je passais aussi des heures devant son portrait, un miroir en main pour chercher les similarités. J'avais son nez, ainsi que ses pommettes, son menton et le même sourire, le reste, je le tenais du côté maternel. La vie petite n'était pas si mal, mais elle aurait pu être mille fois mieux avec mon père à nos côtés. À l'école, j'étais une élève assidue, rapportant de bonnes notes à ma petite maman, espérant que mon paternel soit fier de moi là-haut. Ma maman finit par voir son rêve devenir réalité, alors que j'allais sur mes dix ans, vous auriez dû voir le sourire qu'elle avait sur les lèvres ce jour-là, j'ai cru qu'il allait rester sur son visage pour toujours. Petit à petit, nous avions pris un nouveau train de vie, elle qui rentrait plus tard le soir à la maison, moi qui devais apprendre à me débrouiller. Je crois que c'est à cause de cela que je suis devenue si méticuleuse, si ordonnée, le fait de devoir m'occuper de la maison pendant son absence. Je trouvais cela vraiment nul au départ, certes, j'étais heureuse pour elle, mais me retrouver seule à la maison était une chose dont je n'étais pas habituée. Oui, je détestais ça, mais je faisais en sorte que toute ce passe bien. • chapter twoToutes petites filles à un rêve, certaines veulent devenir des princesses, d'autres de grandes artistes, mais moi mon souhait était de devenir une grande anthropologue, une qui découvre des tonnes de choses importantes sur la race humaine et les primates. Cela avait commencé quand j'avais douze ans, ma mère et moi, nous passions souvent des soirées à regarder des films à la télévision. C'était une façon de se poser un instant pour passer du temps entre mère et fille. Les films pouvaient être vieux ou récents, en monochrome ou en technicolor, nous regardions vraiment de tout. Ce n'était pas ce qui se passait à la télévision qui comptait le plus, mais le fait que nous étions l'une à côté de l'autre. Et pourtant, c'est un film qui a changé ma vie, tout comme ma vision des choses. C'était un chef d'oeuvre retraçant un passage de la vie d'une Anthropologue célèbre, Dian Fossey qui s'était battue pour la sauvegarde des gorilles, étudiant ces spécimens au point de vivre avec eux. Sigourney Weaver était juste époustouflante et la femme qu'elle incarnait encore plus. Durant tout le long du film, mes yeux étaient scotchés à l'écran de télévision, je n'avais même pas touché au pop corn et à peine bu mon verre d'Ice tea. D'un certain point de vue, je voyais le niveau d'atrocité des hommes, mais aussi leur générosité. Je pleurais à chaque fois qu'un de ces gros primates étaient mis à mal, ne comprenant pas pourquoi on osait leur faire ça. J'admirais cette femme qui se battait tel une lionne pour ce qu'elle croyait. J'avais bien entendu encore plus verser de larme alors qu'elle se faisait sauvagement assassinée à la fin du film. Deux heures auparavant, je ne savais pas de quoi, l'homme était capable et maintenant que je connaissais le vrai poids de ses actes, le besoin de faire quelque chose naquit en moi. Je passais souvent par le zoo de la ville durant mes après-midis de libre. Je restais là, assise sur un banc juste en face des cages dans lesquelles se trouvaient les singes. Les voir dans ces petits abris sans air frais, photographier à tout bout de champ me faisait mal au coeur. Ils méritaient la liberté et non pas d'être enfermé. Un bloc de dessin en main, je faisais de mon mieux pour les croquer un par un. Certes, je n'étais pas si douée que cela en art plastique, mais je savais donner de bons coups de crayon et à force, j'étais devenue meilleure. Dans la zone des primates, il y en avait un que j'aimais tout particulièrement, un gorille né en captivité et qui répondait au nom de Zuko. L'animal restait des heures perché dans un coin de son habitat, regardant le reste de sa famille, comme s'il gardait un oeil sur eux. Rare étaient les fois où je l'avais surpris en train de se déplacer ou encore de manger, mais à chaque fois que ce genre de petit miracle arrivait, je me dépêchais de graver ce moment sur papier. Je crois qu'au fur et à mesure, il avait appris à me reconnaitre, car à chaque fois que je pointais le bout de mon nez dans sa zone, il me regardait pendant de longues minutes. Mes moments préférés, c'était quand l'endroit était presque libre de tout visiteur, j'osais alors m'installer juste devant la vitre, observant chacun des gorilles. J'imaginais que cette grande vitrine n'existait pas et que je vivais parmi eux tout comme Dian avait fait durant ses semaines de recherche avec les gorilles de montagne. Des petits curieux s'approchaient à force, c'était toujours les mêmes, des petits jeunes qui faisaient les fous devant moi. Et puis un jour, alors que j'étais installée à nouveau devant eux, l'impensable se réalisa. Il était bien plus grand qu'il n'y paraissait depuis le fond de la cage, oh oui, il était tellement imposant. Les deux petits qui jouaient alors devant moi avaient filé en voyant qu'il s'approchait de nous. Zuko me regardait sans cligner des yeux, comme s'il cherchait à s'imposer ou à chercher ce que j'étais. Il s'était mis sur ses deux pâtes et avait tambouriné sa poitrine tout en poussant des cris. Cet instant me rappela une scène d'un Gorille dans la brume et je fis alors la même chose que dans le film, penchant ma tête tout en me faisant encore plus petite que je ne l'étais. Il était question de respect, de montrer qui était le plus fort et le roi entre nous. Mon cœur battait tellement fort que je pouvais l'entendre dans mes oreilles. J'étais surprise, heureuse et émerveillée devant ce contact. Cela avait été bien trop court à mes yeux, j'aurais voulu que ça dure plus longtemps afin d'avoir le temps de le voir sous toutes les coutures. Je voyais des traits que je n'avais jamais remarqués auparavant, alors je les gardais bien en mémoire afin de les dessiner sur mon calepin. Certes, je dilapidais l'argent gagné en faisant du baby-sitting, mais cela valait tellement le coup. Ma mère commençait à se pauser des questions, alors que je rentrais avec une odeur de fauve incrusté dans mes habits, mais elle avait ri plus qu'autre chose, quand je lui avais expliqué pourquoi il y avait cette odeur sur mes vêtements. Elle n'avait jamais pris au sérieux mon histoire d'anthropologue, pour elle, c'était une idée venue d'un film qui partirait, une fois que je m'en serais lassé, mais en voyant ma ténacité et le fait que je passais tout mon temps libre au parc zoologique, ma mère avait compris que ce n'était pas une idée passagère. Elle me surprit encore plus, en me suivant durant l'une de mes excursions. J'étais tellement fière ce jour-là, pouvoir lui raconter tout ce que je savais sur ses primates, même si mes connaissances étaient bien plus grandes sur le sujet des gorilles. « Tu vois celui du fond ? Il s'appelle Zuko. Il est né ici, il n'a donc jamais connu la vie sauvage. Ce gorille passe ses journées installées dans ce coin, il est le patriarche en quelque sorte, celui qui fait la loi. Les seules fois où il s'accorde du temps pour bouger, c'est quand il a faim, mais la plupart du temps, c'est sa compagne Nala qui lui apporte de la nourriture. Tu peux la voir, elle est la seule sur le hamac. » Ma mère me regardait bouche bée, n'en revenant pas de me voir déblatérer autant de choses sur un seul animal. J'en avais remis une couche en lui montrant mes dessins de Zuko et les autres petits croquis qui témoignaient de la façon dont les petits étaient attachés à leur mère ou encore des mouvements que les gorilles faisaient, en général. Oui, ce jour-là, je lui en avais mis plein la vue. À ma grande surprise, ma mère m'abonna au zoo, à mon plus grand bonheur, je n'avais plus besoin de me ruiner pour venir ici. « C'est vraiment du sérieux tout cela, Jazie. » Lança-t-elle d'un ton mi-confiant et mi-interrogateur. J'avais hoché de la tête, soutenant son regard. Oui, j'aimais cela et je voyais mal cette passion flétrir comme un ballon. « Si on m'avait dit qu'un jour, ma fille deviendrait anthropologue... » Souffla-t-elle avant de passer son bras autour de mes épaules. « Oh mon dieu Jazzie, tes cheveux sentent le fauve ! C'est dingue ! » S'exclama-t-elle, tout en s'écartant de moi. J'avais ri aux éclats avant de la poursuivre en tenant dans une de mes mains une mèche de mes cheveux. Ce jour-là, était gravé dans ma mémoire pour toujours. • chapter threeLa seule chose qui reste constante dans la vie, c'est le changement, car peut importe ce qui vous arrive, rien ne reste fixer, comme une photo accrochées sur un mur. Enfin, même celle-ci ne restera pas indemne, elle jaunira à cause du soleil, fripera au point de se décrocher toute seule, même le clou dans le mur ne restera pas intact, il prendra la rouille. Toute une métaphore pour dire qu'au bout de dix-huit ans, il était temps pour moi de prendre mes valises pour l'université. Cleveland n'était pas mon premier choix à vrai dire, je voulais rester plus proche de ma mère et étudier à Los Angeles dans une faculté assez connue pour avoir un bon programme d'anthropologie et de primatologie, mais hélas, je n'avais pas été prise et même si j'étais sur la liste d'attente, je ne voulais pas rester sans rien faire. Je me retrouvais donc dans la ville Cleveland et le fait d'être aussi loin et de ne plus fréquenter le zoo m'était assez pénible, ma mère me manquait tout comme Zuko et sa bande. J'avais même eu la chance de pouvoir l'approcher d'encore plus prêt, alors que je faisais mon premier stage chez eux. Il était endormi sur la table d'opération, mais j'avais pu passer ma main dans sa fourrure et prendre sa main dans la mienne. J'avais eu du mal à y croire. Les employés m'appelaient la fille aux gorilles, à force de passer du temps dans la zone des primates. Cleveland m'apporta tout de même de bonne chose, même si je n'y étais pas resté très longtemps. D'abord, c'était là-bas que j'avais pu faire la rencontre d'Enzo et quelle rencontre... Je m'étais donnée à lui le premier soir, non pas parce que je me sentais obligée, mais parce que cela, c'était déroulé au bon moment, grâce à tout ce qui avait fait de cette nuit un moment mémorable et magique. Enfin, l'alcool avait quand même bien aidé... Une fête complètement nase, avec une musique trop forte pour comprendre les paroles et des jeunes trop excités et idiots, rasant tout sur leurs passages. Je plaignais les locataires de l'appartement en voyant le boulot qu'ils allaient devoir faire le lendemain. J'avais décidé de boire un verre ou deux, histoire de rendre cette fête plus attrayante à mes yeux. Et alors que je levais mon verre à mes lèvres, j'ai croisé son regard. Je ne sais pas si j'étais la première à remarquer l'autre, mais cela n'importait pas, nous nous étions trouvés. Il s'ennuyait à mourir tout comme moi, il s'en remettait à l'alcool pour remédier à ce petit problème encore une fois, tout comme moi. Alors, on a tenu compagnie à l'autre, buvant ensemble tout en discutant, on a découvert que nous étions tous les deux fana des primates et que nos études étaient presque similaires. On parlait tout en buvant bière sur bière, passant parfois par des shoots de vodka pour changer un peu. A force, l'alcool avait atteint notre conscience des choses et nous n'étions plus deux jeunes en train de s'ennuyer ferme à une fête censée être géniale, mais deux idiots tellement soûls qui pensaient qu'entrer en douce dans un zoo en plein milieu de la nuit, c'était trop l'idée du siècle. C'est comme ça que nous nous sommes retrouvés dans un petit carré d'herbe entre les gorilles et les chimpanzés à déblatérer sur les primates, avant que les choses deviennent sérieuses. Il m'a embrassé en premier déposant doucement ses lèvres tout contre les miennes. C'était un baiser court, le genre que l'on fait avant de continuer, juste pour être sûr que l'autre aime et n'est pas contre de passer aux choses sérieuses. C'est un peu comme quand on met un orteil dans une piscine pour goûter l'eau avant de juger si plonger est une bonne idée ou pas. J'étais restée silencieuse, alors qu'il semblait attendre ma réaction, mais il ne m'avait pas fallu longtemps avant de prendre ma décision, l'embrassant à mon tour tout en collant mon corps contre le sien. Ses mains glissaient sur mon corps découvrant mes courbes, tout en me serrant un peu plus contre son torse. Et puis, les choses prirent une autre dimension. Sauf que je ne pensais pas aux conséquences, au lendemain, à l'idée de ce que j'étais sur le point de faire, alors que j'étais allongée sur l'herbe et qu'il déboutonnait ma robe. Je voulais que cela arrive, je voulais profiter de l'instant présent, de l'enivrement qui s'était pris de nous et en profiter comme si demain ne viendrait jamais. Le fait que nous étions au grand air et en plein milieu d'un zoo juste en face de l'enclos des gorilles me passait au-dessus de la tête et la possibilité qu'on se fasse choper rendait le moment encore plus excitant et délicieux à mes yeux. Nous l'avions fait une fois et puis une deuxième alors que l'alcool descendait doucement et que nous reprenions petit à petit le contrôle de nos actes et de notre conscience. Je n'ai jamais été du genre à coucher avec un parfait inconnu et encore moins dès le premier soir, mais il y avait un tout qui avait rendu cela possible cette nuit-là. Le fait qu'il était beau, intéressant, en pleine étude de primatologie, qu'il me faisait rire et que j'étais soule, comme quoi, il ne m'en fallait pas beaucoup. Nous avions quitté le zoo au petit matin, alors que le soleil commençait à se lever dans le ciel. On ne se parlait pas vraiment, mais nous restions en contact, son bras autour de ma taille, alors que ma tête reposait sur son épaule. Il m'avait déposé devant mon dortoir, m'embrassant une dernière fois avant de partir. Ce matin-là, on m'informait qu'une place à l'université de Los Angeles s'était libérée et qu'elle était mienne si je le souhaitais. Bien entendu, je n'avais pas mis longtemps avant de leur dire oui, après tout, c'était l'un de mes voeux le plus cher. • chapter fourJe pensais toujours à lui, même si je ne l'avais plus revu depuis Cleveland. D'un côté, je me disais que de cette façon, nous n'avions rien gâché de l'instant passé ensemble cette nuit-là. Oui, cela rendait cet évènement encore plus magique et mémorable. J'avais alors débarqué à Los Angeles, continuant mes études dans cette faculté qui avait toujours été mon premier choix. Je rentrais les week-ends à la maison, retrouvant ainsi ma tendre maman, qui entre temps avait retrouvé l'amour auprès d'un de ses associés aux bureaux. Ils étaient heureux tous les deux, mais je connaissais bien assez ma mère pour savoir que cela ne durait pas très longtemps. Mon gorille préféré me reconnaissait même si mes visites étaient, de plus, en plus, espacées. J'étais toujours heureuse de le retrouver, de m'installer devant la vitre de l'enclos, retrouvant les deux clowns qui était toujours partant pour m'offrir un petit spectacle. Les quatre années passèrent doucement, mais sûrement. Je croulais sous mes cours, nageant dans une mer de bouquins, d'exposés et de devoirs à rendre. Ce n'était pas facile, mais je m'accrochais fortement, car après tout, c'était de mon rêve dont il était question. J'avais eu du mal à croire en regardant les résultats affichés sur l'un des panneaux d'information de l’université. J'étais restée figée sur place, mes yeux ancrés sur mon nom et le résultat qui se trouvait juste à côté. Jazmine Grey-Jones, B+, résultat : admise. Bien entendu, j'avais appelé ma mère en pleurant toutes les larmes de mon corps, celle que j'avais retenue pendant de longues semaines. J'avais laissé la pression en moi redescendre, me vidant de tout ce stress et cette nervosité que j'avais pu accumulée. J'avais eu beaucoup de mal à trouver un laboratoire qui voulait bien de moi. Au point de douter de mes motivations et de remettre en question le métier que j'avais étudié, mais heureusement avec pas mal de persévérance, j'avais réussi à trouver mon bonheur. C'était un petit labo, basé au musée d'histoire naturelle de la ville. On m'offrait la place d'un professeur partit en retraite. Comme quoi, je leur avais envoyé ma lettre au bon moment. Il était quelque peu impressionné de voir ma motivation et la spécialisation (l'anthrozoologie) dans laquelle je mettais poser. Je devais tout de même faire mes preuves, montrer de quoi j'étais capable et que j'étais importante pour le laboratoire. L'année dernière, je fis mon premier voyage en Afrique, déposant mes bagages en Ouganda avec tout un groupe de chercheurs, primatologues, zoologistes et anthropologistes tous réunis pour une seule chose : suivre une colonie de gorilles de montagne. J'étais tellement excité d'être sur le terrain, de me rapprocher un peu plus du travail de Dian Fossey. Mais, je ne m'attendais pas à le voir lui et même si des années s'étaient écoulées, je n'avais pas pour autant oublié son visage et ce que nous avions partagé. J'avais complètement bugée en le voyant, restant figée sur place avant qu'il ne pose ses yeux sur moi. « Bonjour. » Voilà tout ce que j'avais été capable de dire. C'était dur de le quitter du regard et je crois que je n'étais pas la seule à avoir eu du mal. Pendant ces trois semaines, nous avions appris à nous connaitre, passant notre temps ensemble, découvrant pour la première fois des gorilles sauvages, l'un à côté de l'autre. Nous les regardions vivre leur vie, émerveillés de les voir. Et puis, les choses devinrent petit à petit ambiguës entre Enzo et moi. Nous retrouvions les émotions du passé que l'on revisitait à nouveau, les mélangeant à d'autres toutes nouvelles. Je ne pouvais plus me passer de lui et de l'effet qu'il avait sur moi. J'avais l'impression de vivre un rêve éveillé, qui me semblait tellement surréaliste. Je faisais mon métier le jour et retrouvais les bras d'Enzo la nuit et tout cela dans une jungle paradisiaque. Bon, c'est vrai que se faire bouffer par des moustiques et dormir sous des tentes n'était pas si top que ça, mais ce que je vivais valait le coup d'avoir des boutons et le dos en compote. Aimer est vraiment le plus beau sentiment au monde, qu'on le donne ou qu'on le reçoit. J'étais arrivé célibataire, pour repartir en couple avec cet homme magnifique. Comme quoi le hasard fait souvent très bien les choses. • chapter fiveC'est fou comme la vie passe vite une fois que vous avez les pieds posés, votre propre toit au-dessus de votre tête, un boulot dans lequel vous vous épanouissez et une personne à vos côtés. C'était comme si j'étais passée de la vingtaine à la trentaine dans un claquement de doigt. Mais c'était tout de même dix bonnes années de ma vie et pour l'instant, les plus prometteuses et inoubliables. J'avais été capable de tellement de choses, me surprenant moi-même de cette confiance que j'avais en moi et qui m'aidait à être une femme active qui croquait la vie à pleine dent, en faisant face aux barrières sur la route. Je passais souvent du temps assise sur le sol de mon salon, mes albums souvenirs éparpillés autour de moi alors que je les regardais inlassablement encore et encore. Riant devant certaines photos, pleurant devant d'autre. Zuko y avait même sa place, ce grand et fort gorille qui avait changé en partie ma vie avait même le droit à son propre album, remplit des images que j'avais prises durant mon stage. Il y avait celle de son opération, durant laquelle, j'étais restée à ses côtés et ma préférée, où il regardait droit dans l'objectif avec ses petits yeux noirs et scintillant. Je lui rendais souvent visite, maintenant que je travaillais au labo, je venais souvent au zoo pour voir un peu ce qu'il se passait et comment allait cette grande famille de primate. J'avais été là, le jour de sa mort. Cela avait été horrible, mais Zuko n'était plus si jeune, hélas. Je l'imaginais à présent libre, dans une grande forêt tropicale, appréciant le goût enivrant de la liberté tout en veillant sur d'autres gorilles comme à sa grande habitude. Enzo et moi étions toujours ensemble dépassant les un an de notre couple. Au bout d'un certain temps, j'eus l'agréable surprise de le voir s'agenouiller devant moi pour me demander de l'épouser. C'était durant une de nos escapades pour nos recherches et je crois qu'il n'y avait pas meilleur lieu pour cette demande, qu'une jungle, un tas de singes et une nuit étoilée. J'ornais fièrement cette bague, la preuve de son amour et de son envie de fonder une famille avec moi. À cet instant précis, je ne pouvais pas être plus heureuse ! Nous étions sur un petit nuage et c'était tout simplement parfait. Maintenant que j'avais passé le cap de la trentaine, j'avais envie de passer aux choses sérieuses, de me marier, de m'installer avec Enzo et pourquoi pas, commencer à agrandir notre famille ? Je commençais à faire des allusions à mon fiancé, montrant un bébé par-ci, une église par-là. J'avais même débuté à semer des magazines de mariage chez lui tout comme chez moi. Mais j'avais peur de le pousser, peur de gâcher les choses. Derrière l'écran : Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est WILD BIRD, tandis que mon prénom est Elodie. Je suis âgé(e) de 26 ans et je vis actuellement du côté de Belfort. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur mes amies, Robyn & Enzo, ma première impression en le voyant a été ouhhhh beauuu!. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 4/7 et que mon niveau rp est de 400 mots minimums, plus si je suis inspirée!. Concernant mon personnage j'ai choisi Emilia Clarke comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi you can't buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais & il a été validé par Heath. A bientôt sur le forum Serait-il possible de me réserver l'avatar, s'il vous plait?
Dernière édition par Jazmine I. Grey-Jones le Dim 27 Juil 2014 - 10:54, édité 27 fois |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:30 | |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:33 | |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:35 | |
| Ma chériiiiiiiiiiiiiie que j'aime plus que tout (aa) une folle va venir t'agresser , mais je la connais pas :siffle: |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:35 | |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:35 | |
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| | | Kyle Redwist BAD COP
› MESSAGES : 220 › EMMENAGEMENT LE : 29/10/2013 › AGE : 36 › STATUT CIVIL : Père célibataire d'une petite fille de 4 ans. Elle s'appelle Emma et c'est la femme de sa vie. Et amoureux d'une irlandaise qui lui fait complètement perdre la tête ! › QUARTIER : Je vie sur Orange Avenue avec ma soeur et mon meilleur ami. › PROFESSION/ETUDE : Barman au Diamond's › DOUBLE COMPTE : Adam, Emma, Snow, Teddy, Andrew et Judy › CELEBRITE : Jean Luc Bilodeau › COPYRIGHT : Bazzart
| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:38 | |
| Bienvenue Parmis nous et bon courage pour ta fichette |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:39 | |
| Même pas peur d'abord! :38: Enzo me protègera! Merci beaucoup Dustin & Kyle. |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:43 | |
| BIENVENUUUUUUUUE Un trio On va voir ce que ça donne Bon courage pour ta fiche en tous cas Super choix d'avatar |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:48 | |
| Je vais pas être originale mais comme les autres l'ont dit, super choix d'avatar Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 17:52 | |
| C'est qu'elle plait Emilia! :D Merci à vous! |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 19:17 | |
| ohhhh, une autre elodie invasion d'elo' bienvenue parmi nous et hâte de voir ce que tu nous réserve avec ce perso et je te réserve l'avatar |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 21 Juil 2014 - 19:30 | |
| Oui, y en a tout plein! Merci beaucoup! |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Mar 22 Juil 2014 - 12:58 | |
| Code du règlement validé Hâte de lire tout ça |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 28 Juil 2014 - 16:49 | |
| Ma fiche est terminée! :D |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 28 Juil 2014 - 18:43 | |
| cette fiche de fifou j'aime beaucoup et j'ai hâte de voir le personnage en jeu ! je ne te fais pas attendre plus que ça, je valide VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH « Soyez la bienvenue. » toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
- vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
- en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
- vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
- pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Neela) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. Lun 28 Juil 2014 - 18:52 | |
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| Sujet: Re: JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. | |
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| | | | JAZ' • Always love, don't wait till the finish line. | |
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