HUNTINGTON BEACH ™
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 You were the one next to me } Enzo

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MessageSujet: You were the one next to me } Enzo   You were the one next to me } Enzo EmptyMer 30 Juil 2014 - 22:12

Enzo ∞ Robyn
you were the one next to me
Ma vie avait été chamboulé c’est peu de le dire, moi qui avait passé toutes ses années à ne m’inquiéter que de moi aujourd’hui j’avais quelqu’un à charge et pas n’importe qui. Oui j’étais la tutrice de mademoiselle Skylar, la petite reine de son monde en pleine crise d’adolescence. Nous avions toujours été proche, je la comprenais être abandonner ce n’était pas une chose facile loin de là, ne pas comprendre pourquoi sa mère a préféré nous laisser amène des questions difficiles, j’avais personnellement passé de long moment à me questionner, me demander ce que j’avais fait de mal surtout durant cette période d’adolescence ou tout semble brouiller et flou. Ma seule chance avait été d’avoir ma grand-mère et Enzo, rien qu’en pensant à lui je pouvais sentir mon cœur me faire souffrir, ce pincement qui ressemblait plus à un coup de poignard. J’avais passé tellement de temps avec lui que cette dernière année sans lui, sans savoir ce qu’il devenait, sans pouvoir entendre sa voix, j’avais souffert et c’est peut-être pour ça que je n’avais plus eu envie de rester à New-York, j’avais besoin de me retrouver dans une petite ville auprès de la seule personne que je considérais comme ma famille, Skylar, elle était la dernière famille qu’il me restait mais elle n’en avait pas la moindre idée. En fait elle ne semblait pas voir que je souffrais chaque jour et que j’étais aussi perdue qu’elle, je ne savais pas comment avancer, continuer ma vie sans lui c’était une torture de chaque instant. Les premiers temps sans Enzo je m’étais dit que ça passerait, qu’un jour j’oublierais ou bien se serait un lointain souvenir mais non la douleur était toujours aussi vive, les mots qu’il avait eu sur ce jour terrible pour l’un comme pour l’autre. Oui je me souvenais parfaitement le décès de sa mère ce jour où je l’avais forcé presque à venir me sauver sans même m’en rendre compte, je lui avais lancé un appel à l’aide ou pas, je me souvenais avoir réellement eu envie de mettre fin à mes jours, je m’étais sentie salie, souillée mais surtout humiliée. Après cette épreuve nous étions ressorti encore plus liés, plus proches, certains que notre amitié traverserait le temps sauf que dans le fond j’avais toujours voulu plus que de l’amitié de sa part et le jour où j’y ai gouté tout c’est brisé, plutôt ironique. J’avais tellement attendu de lui ou même de moi qu’on fasse ce premier pas, je lui avais tendu des perches qu’il avait préféré oublier, j’avais tenté de le faire avouer alors que moi-même je ne sais pas si j’aurais pu l’admettre devant lui, j’étais persuadée qu’il me voyait comme une simple amie, voire sa sœur mais cette nuit qu’on avait partagé j’avais compris que ce qui nous liait depuis toujours était peut-être trop fort pour mon cœur. Ce que j’avais compris surtout c’était qu’il contrôlait ce foutu organe qu’est mon cœur, oui mon cœur lui appartenait et je trouvais ça complètement niais de penser ça mais tellement réel, il était tout ce que j’avais toujours voulu, le seul et l’unique même quand je m’étais mariée j’avais attendu à ce qu’il se précipite pour tout gâcher mais rien, j’avais testé ses limites jusqu’à me rendre compte qu’il ne voulait peut-être pas être avec moi tout simplement. Je lui en voulais tellement en plus, il n’aurait pas dû me parler de ce jour-là, il avait surement raison dans le fond je fuyais mais je n’avais été habitué qu’à ça la preuve j’avais fuis New-York. Le seul réconfort que je recevais était dans les mails d’un inconnu, d’un homme qui maitrisait les mots comme personne, un homme avec qui j’avais un lien étrange et pourtant bien réel enfin à mes yeux. Oui j’avais commencé à échanger des mails avec cet inconnu auteur du livre à succès sur lequel on avait mis mon visage, c’était étrange d’ailleurs, surtout quand on peut voir l’argent que je touchais, c’était complètement fou. Mais nos échanges étaient agréables, je ne savais même pas son prénom mais il semblait lire en moi, au départ j’avais flippé puis après j’avais simplement laissé les choses se faire.

J’avais dû partir à New-York pour une réunion quelques jours, j’avais laissé Skylar seule et j’avais un peu peur de l’état de la maison à mon retour, je croisais les doigts pour que rien ne soit casser ou même voler mais je m’attendais au pire du coup j’étais partie de New-York un jour avant réglant mes affaires le plus vite possible avec la maison d’édition qui me demander de pousser notre jeune auteur à écrire un second livre. J’étais dans l’avion complètement stressée mais après tout en rentrant un jour avant je pourrais contrôler mieux. Je n’aimais pas trop l’avion, enfin les trajets en général, trop long, toujours peur de m’être tromper d’avion ou qu’il y est un changement de destination au dernier moment. Il était tôt quand je foulais le goudron d’Huntington, je regardais ma montre Skylar allait finir l’école d’ici une heure ça me laisser le temps de rentrer et faire une grande inspection mais à mon plus grand étonnement une fois dans la maison les choses ne semblaient pas trop dans un mauvais état, évidemment elle n’avait pas fait la vaisselle et avait laissé trainer pas mal de chose mais rien de trop grave, un soupir de soulagement s’échappa de mes lèvres, je montais mes affaires et j’allais les déballer quand la sonnette attira mon attention, je regardais de nouveau ma montre Skylar devrait pas trop tarder mais elle n’aurait pas sonné à sa propre porte. Je descendais rapidement, c’était surement un facteur ou peut-être un voisin qui m’avait vu rentré et venait se plaindre de Skylar je m’attendais à tout. J’ouvrais la porte et je restais bouche-bée, finalement je m’attendais à tout sauf à ça. « Enzo… » Mon cœur commença à me faire souffrir comme pour me rappeler qu’il avait été brisé par la même personne qui se tenait face à moi, je n’en croyais pas mes yeux, c’était forcément une blague, un cauchemar ou alors son frère, oui c’était peut-être Emrys mais Enzo non, pourquoi viendrait-il sonner à ma porte, il ne savait même pas que j’avais déménagé ici, je devais halluciner. Je fermais les yeux pour les rouvrir en priant m’être tromper mais non Enzo était toujours là sur la pas de ma porte. Le destin se foutait royalement de nous, après toutes ces années, tout ce qui s’était passé entre nous il fallait que je le voie là à ma porte dans une petite ville ou j’avais décidé de m’échapper. « Qu’est-ce que tu fais là ? Comment est-ce que tu m’as trouvé ? » Tant de question et pourtant ma seule envie était de me jeter dans ses bras, je me retenais, il ne fallait pas, non, c’était une mauvaise idée pourtant être sans lui semblait être pire que ce qu’il avait dit mais ma foutue fierté prenait le dessus. C’était comme si il m’avait mis un gps quelque part, peut-être qu’il m’avait suivi pendant un an, ce serait une jolie preuve d’amour, une preuve étrange et pas du tout son genre mais une preuve quand même.
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MessageSujet: Re: You were the one next to me } Enzo   You were the one next to me } Enzo EmptyJeu 31 Juil 2014 - 21:49


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Robyn feat Enzo
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SMS DE JAZ : Chéri... tu n’étais pas chez toi et je suis passée à  ton appartement ! Je m’inquiète appel dès que tu le pourras.

Bip. Bip. Sonnerie de merde qui me réveille, je gardais mes yeux clos. L’envie de les ouvrir était aussi présente que celle de fonder une famille dans l’immédiat. Je soufflais doucement finissant par ne pas résister à ouvrir mes yeux. Je ne savais pas qui était la personne ayant osé m’envoyer un message l’un des seuls jours ou je m’autorisais à être en repos. Bizarrement, avant d’ouvrir mes yeux je me demandais pourquoi le singe n’était pas venu me lever plutôt ? Étrange. En ouvrant les yeux, je finissais par comprendre rapidement. J’étais au beau milieu de nulle part !  Bon, j’étais bel et bien à Huntington Beach, mais je me retrouvais dans les collines entourant la ville. J’étais tout de même persuadé d’être dans mon lit la veille bien calé contre mon oreiller.  Décidément … je n’avais pas fini  de me réveiller dans des endroits plus bizarre les uns que les autres, bien sûr ça serait moins drôle si je me souvenais pourquoi j’étais  dans cet endroit ! Alors que là, un milliard de question se précipitaient dans ma tête sans même pouvoir répondre à l’une de ces dernières. Certainement que : qu’est-ce que je fous là ? Comment j’ai fait pour atterrir ici ?  J’ai fait quoi de ma nuit ? Était forcément les questions les plus souvent présente dans mon esprit ! Jamais une seule réponse. Je me redressais ! Le sol avec de l’herbe comme lit ? Très mauvais ! Je le déconseillerais aux personnes désireuses de s’offrir un tel lit ! Enfin trêve de plaisanterie ! Je prenais mon téléphone checkant le message qui m’avait réveillé, ce dernier étant de Jaz enfin ma fiancée, je lui répondais sans trop de détail pour éviter les questions auxquelles je ne pourrais répondre de la demoiselle.  Parti pour le travail, désolé pour le petit déjeuner, je me rattrape ce soir en t’invitant au diner ! Il n’en fallait pas plus ! Sinon, pour la faire taire ou la faire dévier de sujet, je pouvais toujours parler des magazines de mariage qui trainait encore chez moi et encore demander pourquoi c’était important pour elle de vivre avec moi. Cela paraissait logique, pourtant cela ne m’attirait pas forcément … il faut dire que j’étais célibataire depuis longtemps et qu’elle était la première femme à rester aussi longtemps dans ma vie avec une telle relation ! Sinon il y avait Robyn, mais elle s’était complétement différent ! Du moins je tentais toujours de m’en convaincre.  Je passais ma main dans mes cheveux ayant aperçu une personne campant dans l’endroit  qui me regardait de travers ! Je m’en amusais finissant par lui adresser un petit signe de la main ! Quoi ça n’arrivait à personne d’oublier son nécessaire de camping ou  de se paumer comme moi je savais le faire ?  Je me levais décidant d’oublier ce regard accusateur de cet homme avec sa famille pour rentrer chez moi ! En regardant le message d’accusé que venait de me faire parvenir mon portable, je réalisais que j’allais devoir bouger rapidement ! J’avais rendez-vous avec Skylar … je n’étais pas très  chaud à l’idée de la revoir mais c’était comme vital d’avoir des nouvelles d Robyn ! En avoir de la personne même serait sans doute mieux, mais il fallait oublier cette option sauf si je ravalais ma fierté ! Impossible ! Alors je n’avais pas de choix que d’aller voir la cousine assez fougueuse de mon ex meilleure amie.  Une journée chargée ! J’allais aussi devoir organiser un diner avec Jaz.  J’étais sûr de pouvoir réussir si je n’oubliais pas la soirée avec ma fiancée … sinon je n’aurais pas d’autre choix que de l’inviter à venir vivre avec moi pour éviter qu’elle ne m’en veuille.  Ma relation est compliqué peut être tout autant que moi je le suis !

Une fois chez moi je prenais ma douche tout en essayant d’organiser dans mon esprit toutes les choses que j’avais à faire ! Les premières étaient sans doute de m’occuper rapidement de Dukon et de ce singe ! J’allais avoir juste à foutre leur nourriture rapidement dans leur récipient pour enfin pouvoir me préparer ! Ensuite préparer ma soirée avec Jaz me demandant où j’allais bien pouvoir l(emmener pour lui avoir poser un lapin ce matin sans réellement donner une excuse valable en sachant que l’histoire du travail était compliqué vu qu’elle bossait avec moi ! Justement, mon téléphone sonna alors que je venais d’arrêter l’eau qui ruisselet sur moi quelques secondes plus tôt encore. Je sortais mettant une serviette autour de ma taille pour regarder ce message ! Un simple ok.  D’accord Jazmine mode forcément énervé ou alors triste du peu de confiance que je lui fais ! Mais ce n’était pas réellement ne pas lui faire  confiance que de lui cacher ce que je faisais de mes nuits, vu que moi-même je ne le savais pas !  Je m’habillais tout en faisant ce que j’avais à faire pour enfin me rendre à ce rendez-vous avec la jeune cousine de Robyn.  J’étais stressé de la voir, il faut dire que la dernière fois  la jeune femme m’avait embrassé et que j’allais devoir lui parler de ça, même si elle avait fini par faire comme si de rien n’était ! Je n’étais pas sûr de moi sur le fait d’être capable de lui parler ! Je voulais pas l’offusquer surtout que je voulais qu’elle garde secret mes rencontres avec elle où je ne faisais pratiquement que prendre des nouvelles de Robyn.  A défaut d’aller lui parler.  Cet immeuble je le connais maintenant bien ! Je le regarde et au lieu de sonner à la porte d’entrée de l’immeuble une dame me laisse rentrer. Je monte jusqu’à  l’appartement que Skylar partage avec mon ex meilleure amie ! Rien que de penser à elle mon cœur s’emballer tout en laissant ses battements le briser un peu plus ! Je sonnais à la porte alors que je m’attendais à trouver Skylar derrière la porte qui était en train de s’ouvrir ! Je me décomposais sur le champ ! Je me retrouvais face à Robyn puis sa voix venant de prononcer mon prénom venait de me mettre à terre ! Note à moi-même ! La prochaine fois je sonnerais à l’interphone ! Je la regardais  essayant de ne pas trop réfléchir avant qu’elle ne se pose trop de question, mais il me fallait une excuse pour être là et franchement je n’en avais aucune ! La paix ? Jamais ! C’était à elle de venir !  Une solution me venait en tête … je pourrais lui apprendre mon futur mariage … mais rien que l’idée me tortura l’esprit et fit que mon cœur se serra!  «  J’ai fait comme les singes … je t’ai retrouvé ! »  Je plissais les yeux ! Un con, un idiot... bref tous les mots possible pour me décrire pour le coup !  Je la regardais en souriant sans réelle envie. «  Je t’ai vu entrer  et me voilà ! »  Je m’enfonçais  et j’en avais simplement horreur.




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MessageSujet: Re: You were the one next to me } Enzo   You were the one next to me } Enzo EmptyJeu 31 Juil 2014 - 23:48

Enzo ∞ Robyn
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Le voir face à moi éveiller des sentiments différents, le premier fut le bonheur autant être honnête, le voir me faisait plaisir, il était toujours aussi beau voir plus. Il me manquait même si je ne souhaitais pas l’admettre et que je n’allais pas l’admettre de sitôt. Je ne comprenais pas sa façon de faire, il attendait probablement des excuses alors que je ne lui en devais pas, j’avais parlé sous le coup de la colère quand je lui avais dit que je ne voulais plus jamais le revoir, je ne l’avais jamais pensé mais j’étais trop stupide pour lui dire, ses mots avaient surement dépassé sa pensée, on était tous les deux sur les nerfs mais il avait choisi le pire moment, la perte de ma grand-mère avait été un coup dur et lui il n’avait pas compris que je ne me sentais pas de parler de nous. Puis quel nous de toute façon, on avait couché ensemble et bien que c’était la plus belle nuit de ma vie surement je ne me voyais pas lui dire ce que j’avais réellement sur le cœur depuis des années surtout que j’étais mariée, j’aurais aimé qu’il attende que je me sépare de Robb car je comptais le faire, je comptais quitter mon mari pour lui mais ça il ne l’avait pas compris. Je l’avais détesté pour tout ça, j’avais rejeté la faute sur lui, il ne le méritait surement pas j’en étais consciente mais c’était plus simple pour moi, il n’avait jamais essayé de me recontacter ce qui m’avait permis de croire qu’il s’en fichait de moi comme au lycée. A cette pensée mon cœur se sera, les deux périodes se ressemblaient et je le vivais mal, je détestais être loin de lui de cette façon, savoir qu’il m’en voulait, savoir qu’il pensait des choses complètement fausse à mon sujet. Je l’avais toujours aimé, je n’avais simplement jamais su comment lui dire, il était tellement mieux que moi, toutes les filles au lycée rêvaient d’être avec lui et moi je restais à ses côtés, je les observais pavaner sous ses yeux avec l’envie folle de les tuer mais je me taisais, je préférais faire comme si de rien était, agir comme l’amie qu’il voulait que je sois. Parfois j’ai douté mais à chaque fois son attitude me faisait comprendre qu’il ne voulait pas de moi ou dans tous les cas pas de la même façon que moi je le voulais. Je suis persuadée qu’il voyait en notre nuit une simple erreur, la preuve je n’avais pas l’air de lui manquer, durant un an il m’avait snobé. D’accord, j’ai mes torts j’en suis consciente et pourtant je ne pouvais pas l’admettre. Le seul problème c’est que même si je m’excusais je ne pourrais plus être son amie, non j’en avais fini avec ce rôle, je le voulais comme la personne qui partageait mon lit et ma vie, pas comme celui qui se confie à moi sur les autres femmes, celui que j’ai envie d’embrasser mais je me retiens car je n’ai pas le droit de gâcher notre si belle amitié. Pourtant tout était déjà gâché, notre amitié n’était qu’un lointain souvenir pour moi car cette tension, cette envie de l’autre était là depuis des années, on avait juste pris notre temps pour oser sauter le pas. Je me retenais, je voulais lui sauter dessus mais ça m’était interdis dorénavant, je voulais sentir sa peau contre la mienne, son souffle dans mon cou, ses bras qui me serrent mais non rien, on restait l’un devant l’autre. Je ne comprenais même pas ce qu’il me racontait, j’arquais un sourcil. « Tu as fait comme les singes ? Les singes ont une sorte de radar ou de gps ? Ou alors tu as peut-être suivi mon odeur même si je pensais que c’était plutôt le truc des chiens. » Je souriais légèrement, même si c’était un sourire mal à l’aise, j’essayais de le faire passer pour un réel, je me demandais ce qu’il pouvait bien faire là, puis surtout comment aller finir cette petite visite, une fois les civilités passaient qu’est-ce qu’on allait pouvoir se dire, puis je ne savais pas si je devais l’inviter à entrer ou non, j’étais complètement perdue face à cet homme, je perdais tous mes moyens. « D’accord tu m’as vu entrer mais comment savais-tu quel appartement c’était ? Puis je suis entrée il y a trente minutes au moins. » Je sentais qu’il mentait, je le connaissais par cœur et je pouvais reconnaître quand il essayait de se sortir d’une situation embarrassante. « Je te connais Enzo et tu es un piètre menteur alors dis-moi la vérité maintenant. » Que faisait-il là à ma porte, c’était tellement étrange. D’un seul coup je pensais à Skylar, je n’avais pas vraiment envie que les deux se rencontrent, ça allait soulever beaucoup trop de question de la part de l’adolescente, oui elle était trop curieuse à mon goût puis je préférais qu’ils ne se voient pas, c’était une nouvelle vie que j’avais, une vie avec des responsabilités. Je prenais mon téléphone discrètement pour envoyer un message à Skylar, je lui demandais d’aller faire quelques courses, je mentais évidement je n’avais besoin de rien mais c’était ma seule option. « Tu es à Huntington depuis longtemps ? » Ma propre curiosité me jouait des tours, je voulais savoir ce qu’il faisait là, d’ailleurs je voulais savoir où il en était dans sa vie, il ne savait surement pas que j’étais divorcée et mes lèvres mourraient d’envie de laisser échapper cette information mais mon cerveau décida qu’il ne méritait pas cette information. Je ne savais pas à quoi m’attendre avec lui, j’avais peur de tellement de chose, j’imaginais qu’il ait pu refaire sa vie et ça me brisait encore plus le cœur, j’espérais que ce n’était pas le cas, moi je n’avais pas su tourner la page, pas après tout ce qu’on avait vécu alors j’osais espérer que lui non plus. Je n’arrivais même plus à dormir, ce qui était utile pour communiquer avec mon inconnu mais la raison principale était tous ces remords qui ne voulaient pas me laisser en paix, non je devais vivre avec mes erreurs et j’en payais le prix chaque jour.
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MessageSujet: Re: You were the one next to me } Enzo   You were the one next to me } Enzo EmptyMer 20 Aoû 2014 - 15:40


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Robyn feat Enzo
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Je n’en pouvais plus ! En même temps qui supporterait de se réveiller dans un endroit inconnu ou encore improbable ! Sincèrement, heureusement que je pouvais encore cacher cela à ma fiancée Jazmine, elle finirait par me quitter en pensant que je découchais juste pour la tromper ! Enfin. Je n’allais pas épiloguer sur tout ça, j’allais simplement rejoindre mon appartement et me préparer ! Maintenant, je ne m’attendais sans doute pas à tomber en face à face avec Robyn, l’adolescente avait elle manigancé tout cela ? Un tas de question venait à moi pour le coup, je ne savais pas quoi penser et cela m’énervait au plus haut point. J’espérais réellement que Skylar n’avait pas organisé cette malencontreuse rencontre entre mon ex meilleure amie et moi-même ! Je pensais vraiment qu’elle n’était pas de ce style, mais d’un côté, je n'avais pas si j’étais plus content de tomber nez à nez avec Robyn qu’avec Skylar, comment dire que depuis la fois où elle m’avait embrassé, j’avais préparé tout un petit discourt pour lui dire qu’il ne fallait pas recommencer et que cela risquait d’être malsain pour tellement de façon . Sa jeunesse, le fait que je sois en couple et aussi le fait qu’elle soit la cousine de Robyn ! Enfin, rien n’était bien pour la jeune fille tombe dans mes bras, après tout je n’avais rien fait pour ! Comment l’attirer en parlant de sa cousine, en l’interrogeant sans cesse à son sujet, en pensant à cela, je commençais à me dire que j’étais un véritable maniaque pour le coup ! Je me faisais peur, il était peut-être temps de cesser cela, après tout je l’avais vu en face et malgré les sentiments qui venaient de s’entre choquer en moi, j’avais qu’une envie : prendre mes jambes à mon cou pour rentrer chez moi ! Mais, il fallait que je combatte Robyn et qu’elle en fasse autant, c’était presque inévitable. On n’était pas du style à lâcher le morceau, sinon on ne serait sans doute pas brouillé ! Je pourrais nous comparer aux singes qui ne désireraient pas partager sa banane avec un autre, mais cela était tellement idiot de le faire, même si j’avais l’impression d’être un singe qui était en train de se battre, mais au lieu d’une banane c’était pour avoir raison qu’on se déchirait ! Je n’allais pas la laisser avoir raison, pourtant ça me tuait de ne pas être là pour elle et de devoir m’incruster dans sa vie grâce à sa petite cousine. J’avais certainement avancé dans la vie , il faut dire ce qui était Jazmine était une jolie fille, présente et aimante, mais je n’étais certainement pas la meilleure chose pour elle, j’allais tout gâcher comme toujours et bizarrement j’étais prêt à foutre ma main au feu en pariant que le prénom qui aura le pouvoir de tout faire capoter était le même que la coéquipière et Batman. Rien que cette idée me brisait encore un peu plus, je n’avais pas envie de rendre malheureuse Jaz, mais je ne pouvais pas non plus me résigner à tout arrêter, non je voulais être avec elle, alors j’allais devoir faire attention à ne pas la perdre, mais, mon cœur, pourquoi me faisait-il cela ? Pourquoi battait il si fort à la simple vu de mes yeux de Robyn ? Après tout ce qu’on s’était dit tout cela devrait être terminé, mais c’était toujours la même chose, une rengaine qui en deviendrait presque un fardeau. Chaque fardeau devait être porté et j’allais devoir faire de même tout en pensant à notre bonheur, le bonheur de mon couple que je formais avec la jolie brunette qui avait su me convaincre d’être sien ! Il faut dire qu’elle avait tout fait pour que je comprenne ses attentes, elle était maligne et très oppressante, mais elle savait ce qu’elle voulait en fin de compte et j’aimais ça. Sinon, me retrouvais devant cette chère Robyn venait de tuer chacun des neurones qui continuaient de fonctionner assez bien à mon goût, mais là vu mon excuse bidon pour me retrouver face à elle en ce moment même était complétement dingue, digne d’un mec camé à l’ecstasy, mais je le jurerais sur la tête de celle que j’aimais le plus, je ne suis pas un drogué. « Oui, tu ne savais pas ? Ils suivent la banane jusqu’à la traquer dés fois au point de devenir fou … Ouai, c’est vrai que ton odeur est tellement déplaisante que je t’ai suivis ainsi, je me demande vraiment ce qui m’a pris, c’est dingue ça ! » Je haussais les épaules à chacun de mes mots, il fallait dire que là, je faisais fort pour me tirer de cette situation plus que compliqué ! J’allais faire comment pour me casser maintenant ? J’allais pas rentrer chez elle boire le café comme si de rien n’était, non pas tant que des excuses seront faite, et les excuses ne viendraient pas de moi ! J’avais déjà baissé les bras une fois, mais pas deux ! Je passais ma main dans ma nuque en finissant par déposer quelques secondes mon regard dans le sien, il ne m’en fallait pas plus pour baisser la tête, je n’allais pas finir accroc à son regard, il fallait dire que ce dernier me disait toujours un tas de chose et j’avais un tas de chose à redécouvrir d’elle. Je soufflais un peu en entendant sa question, elle était devenue chiante avec le temps ? Bon d’accord c’était plus de la curiosité, mais là, ça me faisait un peu chier, vu que je ne savais pas quoi dire ! Elle voulait me piéger ? Peut-être, elle était maligne peut être qu’elle connaissait déjà la vérité, mais qu’elle tentait de me sonder ? Et si je m’amusais comme elle, à la sonder ? Ce n’était pas une mauvaise idée ça. « Écoute ton odeur est devenue verte juste pour me guider jusqu’à cette porte, sinon, tu connais les boites aux lettres avec les noms dessus et le numéro d’appartement ! Sinon, tu es devenue flic entre temps ? » Je souriais assez mesquinement alors que je laissais mes mains se plonger avec violence dans les poches de mon jean. Non, c’était ça, elle était devenue flic et elle avait ce mauvais réflexe de tout le temps poser des questions, mais il était où le bouton : tais toi ! Sérieusement, elle ne me laissait pas le temps de réagir et d’être sûr d’une réponse qu’elle en avait une autre à me soumettre. « Depuis notre dispute ! » J’avouais volontiers que celle-là de question elle était simple.




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MessageSujet: Re: You were the one next to me } Enzo   You were the one next to me } Enzo EmptyLun 1 Sep 2014 - 21:53

Enzo ∞ Robyn
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Les battements de mon cœur c’étaient intensifiés, le simple fait de le revoir me faisait réaliser à quel point il m’avait manqué, sa main replaçant les mèches de mes cheveux qui s’égaraient, son regard sur moi. Je l’avais toujours aimé je le savais au fond de moi, je n’avais jamais voulu l’admettre par peur de ce ces sentiments déclenchaient en moi, j’avais même cette impression qu’on était maudit. Il y avait toujours une personne, un évènement qui venait gâcher les choses. Je le savais, je le sentais qu’on était fait l’un pour l’autre même si je n’avais jamais voulu le dire mais c’est comme si nous ne pouvions pas être ensemble, mon ex-mari par exemple avait été du temps perdu, du temps qu’on aurait pu avoir ensemble. De toute façon il était trop tard, durant tous ces mois il n’était pas revenu c’est surement qu’il était passé à autre chose, que c’était la goutte de trop et que même notre amitié ne comptait plus. C’était tellement injuste, j’allais surement finir seule car je préférais l’être que d’être sans lui, c’était stupide mais c’était ainsi, je ne me voyais pas avec un autre c’était trop difficile puis il était le seul à qui je m’étais livrée, le seul à qui j’avais envie de parler, qui avait le droit de connaître tout de moi. On était tous les deux bien trop fiers pour s’excuser, puis je n’avais pas à m’excuser c’est lui qui avait dépassé les limites, il avait été blessant et je lui en voulais, si seulement il avait pu attendre un peu plus vous voyez mauvais timing c’est que nous sommes maudits. Je l’écoutais me raconter une histoire étrange, non mais il se moquait de moi ou quoi, il venait sonner à ma porte et puis il racontait n’importe quoi, je ne le comprenais vraiment pas pourquoi venir, il ne faisait que remuer le couteau dans la plaie, j’avais mal à chaque fois que je croisais son regard, à chaque fois que je pensais à ce qu’on aurait pu avoir, tous ces si qui n’arriveront malheureusement jamais je pense. Il ne s’était jamais rendu compte à quel point ma vie avait tourné autour de lui pendant des années, j’avais espéré, attendu qu’il me voit mais non il préférait les pimbêches du lycée comme cette salope qui m’avait humilié. Malgré tout il avait ramené ses souvenirs à la surface sans le vouloir lors de notre dispute, ma rancœur envers lui qui n’avait pas bronché jusqu’au moment où j’ai pété les plombs mais je ne pouvais pas lui en vouloir non car je n’arrivais jamais à réellement lui en vouloir, je faisais semblant par simple fierté mais il était pardonné, il le serait toujours car il était le seul qui comptait, comme homme évidement. Depuis toujours, depuis que j’avais découvert mon petit voisin et mon Enzo, pourtant il y en avait deux comme lui, ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau plus jeune mais non je n’avais vu qu’Enzo, son frère ne m’avait jamais aimé de toute façon, il était jaloux je pense de cette relation qu’on avait avec Enzo, on était fusionnel, on était lié et il en a surement toujours rêvé de ce lien avec son frère mais je n’y étais pour rien, c’était plus fort que moi j’étais attiré vers Enzo comme un papillon est attiré vers une flamme. « J’ai des bananes dans ma cuisine et si tu me dis encore une fois que mon odeur est déplaisante je vais t’en envoyer une dans la gueule. » Il m’agaçait autant qu’il m’attirait, il était tellement mauvais pour me mentir, je le connaissais par cœur, je le voyais baisser la tête pour éviter mon regard et ce fut comme un coup de poignard, je voulais qu’il me regarde, je voulais voir ses yeux, son visage et l’embrasser. Non, non et non Robyn, tu ne veux pas l’embrasser ce n’est qu’un abruti qui sonne à ta porte pour te parler de banane et de singe, j’essayais de me raisonner, il était révolu le temps où je craquais face à cette tête magnifique, trop c’est trop il avait dépassé les bornes et en plus il s’amusait à me taquiner, il voulait avoir le dessus mais on était deux à ce jeu-là, il pensait quoi que j’allais dire que je m’excusais qu’il ait été un connard, c’était la meilleure de l’année celle-là. « Et toi tu es devenu un stalker ? Puis si tu veux en savoir plus sur ma vie tu n’as qu’à ouvrir un journal littéraire tu n’es pas au courant je suis devenue auteur d’un best-seller. » Je ne savais pas pourquoi je lui racontais ça, une partie de moi voulait lui dévoiler des choses sur moi, surtout après tout ce temps, bon j’évitais de lui dire que j’étais divorcée, non je voulais le faire mariner après tout il n’avait jamais tenté de savoir, il n’avait même pas su patienter une semaine pour que je quitte mon mari pour lui non car il lui fallait tout, tout de suite, impatient était une de ces caractéristiques. Pourtant moi je mourrais d’envie de savoir si il y avait quelqu’un dans sa vie, j’espérais que non car moi je n’avais jamais pu tellement je l’aimais et si il avait eu quelqu’un ça voudrait dire qu’il ne m’aime pas enfin pas autant que moi dans tous les cas, je n’arrivais pas à me faire l’idée qu’il est pu passer à autre chose, non il n’était pas comme ça, se serait vraiment la pire des choses à mes yeux. Je n’aurais pas dû lui demander depuis combien de temps il était là car la réponse me ramena vers des idées que je ne voulais pas laisser m’envahir, notre dispute, enfin sa dispute tout seul d’égoïste qui est méchant oui. « Oh donc c’est définitif » J’avais envie de lui demander ce qu’il faisait, ce qu’il devenait. Je luttais, ma raison d’un côté et mon cœur de l’autre, c’était trop difficile, pourquoi est-ce qu’il avait sonné à ma porte, c’était la pire chose au monde. « Et tu fais quoi ici ? Je ne parle pas de ta présence sur mon paillasson qui est bien évidemment incompréhensible qu’on soit clair. D’ailleurs j’hésite entre ma bonne éducation et te proposer d’entrer ou alors claquer cette porte contre ton nez car tu me mens ouvertement sur le comment tu m’as trouvé. » Je lui servais un sourire bien faux-cul, très franchement la deuxième solution l’emporter, certes je l’aimais et tout le bla bla mais je ne comptais pas perdre à ce petit jeu qu’on s’était lancé, mais il est vrai que ma grand-mère m’aurait mis une claque derrière la tête pour le laisser planter devant ma porte mais je ne le voyais pas vraiment entrer, en plus Skylar allait rentrer et je ne voulais surtout pas que les deux se croisent ou se connaissent, puis très franchement on allait faire quoi ? Papoter comme des vieilles copines, non je ne voulais pas le laisser entrer car ce serait comme le laisser entrer dans ma vie et je n’étais pas prête à ce qu’il revienne, c’était trop difficile je m’en rendais compte rien qu’à l’avoir sur le seuil de la porte. Pourquoi les choses devaient-elles être aussi compliquer, j’étais vraiment blasée de cette situation, ne pas l’avoir sous les yeux ou dans les parages était plus facile pour moi, je pouvais m’occuper en travaillant mais non le savoir si près et pourtant si loin de moi, c’était de la torture, c’était bien son genre d’imaginer un plan machiavélique comme celui-ci, oh oui il était là juste pour me blesser encore une fois.
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