HUNTINGTON BEACH ™
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 Who stole my pants ?

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MessageSujet: Who stole my pants ?   Who stole my pants ? EmptyDim 3 Aoû 2014 - 17:20

I'm sexy and I know it
Nolan Buckley & Teddy Baker
J'ouvris une paupière, puis l'autre, et les refermaient aussitôt, aveuglé par la lumière filtrant des grandes baies vitrées qui m'entouraient. Je remuais un orteil, puis un autre, grommelant contre mon oreiller écrasé sur mon visage. Je tâchais d'avaler ma salive sans y parvenir, me rendant compte que ma bouche était plus sèche encore que le désert du Sahara. Ma langue était pâteuse, mes muscles endoloris. Ma tête me faisait un mal de chien, sans parler du fait que j'étais nu sur mon lit, et que je ne me souvenais pas avoir enlevé mes vêtements. Autant de sensations que je connaissais bien, depuis le temps, et qui venaient toutes du même endroit : j'ai nommé, GueuledeboisLand. Ouais. J'avais encore foutrement abusé hier soir. Je ne me rappelais même pas comment j'étais rentré chez moi non plus, c'était dire. C'était à se demander comment j'avais pu rentrer la clé dans la serrure, d'ailleurs. « Mais qu'est-ce que t'as encore fait hier soir... » me demandai-je à moi-même alors que je roulais sur le dos pour tenter, après de longues minutes, de m'asseoir en tailleur sur mon lit. Frottant vigoureusement mes yeux, je finis par réussir à me lever, bien que d'un pas chancelant, pour me diriger vers la cuisine, suivant les vêtements sur le sol. Je remarquais d'abord une chaussette, puis une autre, plus loin... Et encore une autre. Froncements de sourcils. Aux dernières nouvelles, je n'avais pas trois pieds... J'avançai jusqu'au frigo, duquel je bus du jus d'orange à même la bouteille en grimaçant à cause de l'acidité. C'était ça ou de l'eau, et le choix était vite fait. Me frottant la nuque, je jetai un oeil à l'ensemble de l'appartement. Le reste de mes vêtements était là, disséminé un peu partout... Pas de doute, j'avais ramené quelqu'un, mais j'étais bien incapable de me rappeler qui. D'ailleurs, je me demandais comment j'avais été capable de... Enfin, vous savez... Avec l'alcool, tout ça... Les petits problèmes techniques typiquement masculins... Posant une fesse sur le bord du frigo, je restai là un moment à réfléchir, tâchant de recoller les morceaux. Où était-je parti déjà ? AH oui, voilà, ça me revenait ! J'avais fini dans un club où je... M'étais défoncé. Avec des "potes". Vous savez, ces gens dont vous vous servez quand vous savez pas avec qui aller. Je me frottais le menton. Il ne me semblait pas être resté longtemps avec eux, juste le temps d'avoir ma came et d'aller me déhancher. Puis, tout était globalement flou. Je me rappelais cette fille qui avait essayé de coucher avec moi dans les chiottes et que j'avais repoussé. Et puis, ensuite, j'étais rentré, à pieds, chez moi... Mais je n'y étais jamais arrivé. Je me rappelai distinctement m'être écroulé sur le trottoir, et avoir regardé les étoiles en pensant combien j'étais insignifiant. Ensuite... Ensuite, il me semblait qu'on m'avait porté. Et puis, le trou noir.

Je fis un tour de l'appartement pour récupérer mes vêtements, me rendant alors compte que mon jean n'était plus là. Enfer et damnation ! C'était mon préféré ! Non mais, franchement... Comment pouvait-on perdre un jean ? C'était dingue, ça. Après d'intensive recherche, je trouvais finalement un jean caché entre les coussins du canapé... Mais qui n'était pas le mien. Ressemblant, mais il manquait le trou à la fesse qui me faisait dire que, et bien, non, ce n'était pas lui. Comme une mère reconnaît toujours son enfant, un homme reconnaît toujours son jean fétiche. Cette histoire était vraiment bizarre. Avais-je pu échanger mon jean avec quelqu'un ? Mais... Comment ? Soudain, j'eus une idée brillante : attraper mon portable, et regarder les derniers appels passés... Sait-on jamais qu'il y ait une quelconque trace de ma soirée de la veille. Je poussais un grand soupir en découvrant le premier nom de la liste : Leah ! L'appel avait duré plus d'une minute, ce qui était plutôt bon signe... Soit je lui avais parlé, soit je lui avais laissé un message. Aucune idée de ce que j'avais bien pu lui raconter, en revanche ! Ne me restait plus qu'une façon de le savoir... Ni une, ni deux, je passais en coup de vent dans la salle de bain, choppant un jean propre au passage avant de sortir de chez moi pour courir jusque chez elle. Je n'avais pas une minute à perdre. Mon jean fétiche avait été kidnappé et le ravisseur ne s'en sortirait pas comme ça, Foi de Nolan Buckley... Il me fallut un moment pour reprendre mon souffle dans les escaliers, mais j'y fus assez vite, connaissant le chemin par coeur - qui n'était qu'à quelques rues de chez moi - et tambourinais donc vigoureusement à sa porte, manquant de faire trembler les murs alors que je m'écriais : « LEAAAAAAAH MON POUSSIIIIIN ! C'EST TA REINE DE LA NUIIIT QUI T'APPEEEELLE ! J'AI BESOIN DE TOIII, C'EST URGENT, OUUUUVRE, VIIIITE ! » Un peu de plus, j'aurais crié au feu... Ouais, je faisais à peine ma drama queen... A peiiiine. J'entendis alors des bruits de pas, et, trépignant sur place, continuant de frapper, n'attendit même pas que la porte soit ouverte pour entonner : « Meuf il m'est encore arrivé un truc de fifou de la night hier soir, j'ai échangé mon jean avec quelqu'un ! C'est pas dingue, ça ? » Je bloquais alors un instant en réalisant que la personne qui venait d'ouvrir n'était pas Leah, mais alors, pas - du - tout (sauf si de la barbe et un penis lui avaient poussé dans la nuit)... Et bloquais encore plus quand je pris conscience que son visage ne m'était pas inconnu. Pourtant... Pourtant, impossible de me rappeler où j'avais bien pu le rencontrer. « EH ! Mais j'te connais !!! », lançai-je alors avant d'entrer en force dans l'appartement. Puis, je restai planté un instant devant l'autre homme avec l'air d'un Sherlock Holmes en herbe, le toisant avant de... « Et c'est mon jean, ça !!! » Il y eut un instant de flottement durant lequel mon expression passa de la surprise à l'incompréhension avant de se transformer en... Hystérie momentanée, tandis que je criais : « VOYOU ! » Pour, finalement, me jeter sur lui pour lui enlever son - enfin, techniquement, mon - pantalon, sans même me demander comment il était arrivé là. Cette scène était surréaliste. Peut être allais-je me réveiller d'un moment à l'autre... Peut être pas.
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Teddy J. Baker
Teddy J. Baker
GOOD COP


› MESSAGES : 191
› EMMENAGEMENT LE : 24/06/2013
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› STATUT CIVIL : Raide dingue de Shawn Meister ! Ce jeune homme lui fait complètement perdre la tête !
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MessageSujet: Re: Who stole my pants ?   Who stole my pants ? EmptyJeu 21 Aoû 2014 - 15:41

Teddy avait passé une soirée bizarre enfin agréablement bizarre pour tout avouer. Décidé à profiter un peu de sa vie et de sa liberté loin de sa famille il était sorti dans un club ça faisait bien longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Pour tout dire sa dernière « vraie » sortie c’était celle qui l’avait tout droit conduit en prison, celle qui lui avait couté 8 ans de sa vie. Bref hier soir il avait alors décidé de profiter tout simplement. C’est comme ça qu’il s’était retrouvé au bar de ce club avec un verre de Whisky à la main. Etre totalement lui-même avait son mot d’ordre pour la soirée c’est donc comme ça qu’il s’était retrouvé à discuter avec ce mec. Ce même mec qu’il avait retrouvé complètement bourré dans la rue devant le club un peu plus tard dans la soirée. Il l’avait donc naturellement ramené chez lui, il ne pouvait pas le laissé cuver sur le trottoir au risque qu’il se fasse ramassé par la police. Bref Teddy ne savait pas par quel miracle ce mec avait réussi à se souvenir de la route pour rentrer chez lui. Une fois chez lui, Nolan parce que c’est comme ça qu’il s’appelait lui avait proposé un verre. Comme s’il n’en avait pas déjà assez bu, Teddy avait accepté il s’était tout de suite senti attiré par ce mec. Ca faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé alors il était resté même s’il ne pensait pas une seule seconde qu’il se passerait quelques choses ce soir-là avec lui. Et pourtant une chose en entrainant une autre ils avaient finis dans le même lit et c’est seulement au petit matin que Teddy s’était réveillé encore enlacé au corps de Nolan. Et la culpabilité l’avait de nouveau frappé, c’était mal ce qu’il venait de faire. Si sa famille l’apprenait il le tuerait ou pire le renierai complètement. Alors il avait attrapé jean, chemise, chaussette (une seule) et chaussure aussi rapidement et en silence qu’il le pouvait. Puis il avait quitté sur la pointe des pieds l’appartement du jeune homme. Il n’était pas du tout prêt pour une confrontation et puis qu’est ce qu’il lui dirait. Avec un peu de chance il ne reverrait jamais ce type. Teddy ne gardait pourtant pas un mauvais souvenir de cette nuit là… Mais le problème venait de lui et du fait qu’il n’assumait pas du tout cette part de lui. Sa bisexualité c’était complètement tabou, un fléau qui lui était tombé dessus y a des années. Et pourtant quand il était avec un mec il se sentait bien, entièrement lui-même. Aussi bien qu’il pouvait l’être avec une femme, il aimait les deux mais ça il n’était pas prêt de l’avouer.

Teddy était donc rentré chez lui, par chance Leah était déjà parti il n’avait pas du tout envie de réponse à ses questions. Sa bisexualité était une chose qu’elle ignorait et il voulait que ça reste ainsi. Et pour couronner le tout il venait de s’apercevoir qu’il s’était trompé de jean, il n’avait pas emmené le bon jean. Il penserait à ce problème plus tard pour le moment il avait besoin d’un bon gros café avant tout autre chose, déjà pour faire passer sa gueule de bois. Parce qu’il n’avait pas bu que de l’eau hier soir et même s’il n’était pas aussi bourré que son partenaire il en avait tout de même un sacré coup. Il avait attrapé un énorme bol et c’était fait coulé dedans 4 dosettes de cafés il fallait au moins ça pour qu’il reprenne ses esprits et tente d’oublier cette soirée et ce mec. Et puis quelqu’un tambourina à la porte ce qui le fit sursauté. Et comme c’était pas suffisant une voix dans le couloir s’éleva : « LEAAAAAAAH MON POUSSIIIIIN ! C'EST TA REINE DE LA NUIIIT QUI T'APPEEEELLE ! J'AI BESOIN DE TOIII, C'EST URGENT, OUUUUVRE, VIIIITE ! » Il ne lui en fallu pas plus pour reconnaitre la voix de Nolan. Il ne manquait plus que ça, ce type connaissait Leah c’était franchement une catastrophe. Mais avec un peu de chance il ne se souviendrait pas la soirée et de leur nuit passé ensemble. Allé faite qu’il ne se souvienne pas !! Teddy ne répondit pas tout de suite avec un peu de chance il partirait. Mais semble t’il que Nolan était persistant et qu’il n’avait aucunement l’intention de partir. Teddy soupira et se dirigea vers la porte alors que Nolan racontait déjà sa vie pensant le faire à Leah : « Meuf il m'est encore arrivé un truc de fifou de la night hier soir, j'ai échangé mon jean avec quelqu'un ! C'est pas dingue, ça ? » Teddy avait fini par ouvrir la porte et se retrouvait nez à nez avec Nolan. Celui-ci posa son regard sur lui et s’exclama : « EH ! Mais j'te connais !!! » En profondeur même c’est le moins qu’on puisse dire. Teddy ne préféra pas relevé, et sans y être vraiment invité Nolan pénétra dans l’appartement. Ted’ referma la porte maintenant que Nolan était entré inutile de laisser la porte ouverte et la possibilité au voisin d’écouter toute leur conversation. No’ le fixait avec un drôle d’air, il semblait ne pas avoir de souvenir de leur nuit passé et pour Teddy c’était plutôt un soulagement. « Et c'est mon jean, ça !!! » s’exclama finalement Nolan. Et avant même que teddy ne lui trouve une explication plausible au fait qu’il avait son jean sur lui Nolan hurlait : « VOYOU ! » Et se jetait sur lui. Dans d’autre circonstance Teddy aurait aimé que Nolan se jette sur lui pour le déshabiller mais là, c’était juste du grand n’importe quoi. Et les intentions de Nolan étaient simplement de récupérer son foutu Jean. Quel idée aussi d’avoir pris le mauvais jean. Teddy avait attrapé les bras de Nolan pour l’empêcher de lui enlever de force son pantalon et s’exclama : « Je vais te le rendre ton jean ! Pas la peine d’être hystérique… Surtout que j’en ai autant à ton service c’est mon jean que tu portes.» Teddy planta son regard dans celui de Nolan et ajouta finalement : « Je peux te lâcher ? Tu ne vas pas te jeter de nouveau sur moi ? » Et parfois Teddy ferait bien de tourner sa langue trois fois dans sa bouche avant de parler. « Pas que ce soit déplaisant mais j’aime autant l’enlever tout seul. » Et il regretta cette phrase aussitôt qu'il l'avait prononcé... Il valait mieux qu’il se déshabille tout seul comme un grand. Il tenait toujours les bras de Nolan attendant une réponse de sa part, savoir si oui ou non il allait se tenir.
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MessageSujet: Re: Who stole my pants ?   Who stole my pants ? EmptyDim 7 Sep 2014 - 20:12

Mais, non, il semblait bien je ne rêvais pas, malgré l'état brumeux dans lequel je me trouvais, reste de la soirée de la veille. Je regardais avec effarement les doigts qui s'étaient refermés sur mes bras, et qui étaient bien palpables. Ils m'empêchaient de récupérer mon jean. Ils étaient un obstacle à ma mission. C'était intolérable. Relevant les yeux vers lui, je fronçai les sourcils de nouveau. C'était visiblement un voleur peu coopératif. Diantre. Avec un regard incertain, entre la colère et l'incompréhension, je le fixais donc d'un air réprobateur alors qu'il s'exclamait, comme si c'était LUI la victime, dans l'histoire : « Je vais te le rendre ton jean ! Pas la peine d’être hystérique… Surtout que j’en ai autant à ton service c’est mon jean que tu portes. » « Eh, j'allais pas sortir à poils. Et puis, t'avais qu'à pas laisser ton jean chez moi, je serais pas parti avec. Non mais. » lui rétorquai-je d'un ton dédaigneux. Et, si vous vous posiez la question, non, je n'avais pas pensé une seule seconde à prendre un autre jean dans mon armoire. Le fait était que je voulais ce jean là et que, par conséquent, j'avais mis le seul jean que j'avais sous la main pour sortir crier sur tous les toits - et celui de ma voisine préférée en priorité - qu'on me l'avait injustement dérobé. Enfin, tout du moins, c'était la version officielle. Je n'en étais même pas sûr, en réalité, car je ne m'expliquais pas la disparition de mon jean, et encore moins cet "échange" de jeans... Mais comme c'était le mien, j'étais dans mon bon droit de vouloir le récupérer, non ? Oeil pour oeil, jean pour jean. Et puis, s'il ne me lâchait pas vite, j'allais bientôt devoir commencer à proférer des menaces. 'Tention.« Ce jean, tu l'as trouvé ici ? Et d'abord qu'est ce que tu fous chez Leah ? T'es son mec ? » m'interrogeai-je soudain, inquisiteur, le regardant d'un oeil critique, avant d'esquisser une moue appréciatrice. « Ça va, t'es pas mal. Mais si tu veux pas plus ressembler à rien, rends moi mon jean, sinon je vais être obligé de te casser la gueule. » Le tout assorti d'un grand sourire. Ça fait peur, hein ? « Je peux te lâcher ? Tu ne vas pas te jeter de nouveau sur moi ? » lança alors l'autre homme, semblant en proie à une hésitation certaine à propos de ma personne. C'est sûr que je n'avais pas été très engageant, mais il en allait de la survie de mes fesses, ok ? Elles réclamaient à grands cris leur jean préféré, étant profondément conscientes que je n'avais jamais eu un aussi beau cul qu'avec celui là. Sisi. Véridique. Un coup d'oeil vers le fessier du voleur me le confirma : il m'allait bien mieux à moi. Et bim. « Pas que ce soit déplaisant mais j’aime autant l’enlever tout seul. » l'entendis-je alors rajouter, devant mon air circonspect. « C'est bon, c'est bon. Je me calme. Mais tu te calmes aussi, hein. De suite.  » répliquai-je face à son sous-entendu étrange, capitulant momentanément. Faisant mine de lever les paumes en signe de reddition, je réfléchissais pourtant déjà à mon prochain coup pour récupérer mon bien... Et, dès qu'il m'eut lâché, croisais les bras sur ma poitrine pour marmonner : « Allez, enlève, j'attends. Si tu veux je te montre l'exemple, tu vas voir, c'est pas dur. » Et, ni une, ni deux, je retirais le sien pour le jeter sur lui, impatient, avant de balancer, sarcastique : « T'as vu ? Trop facile ! » Oui, je me foutais de sa gueule. Et, non, cela ne me posait aucun problème. Comme il semblait ne pas s'exécuter, étant peut être trop pudique allez savoir, je levai les yeux au ciel pour, finalement, le laisser en plan pour aller m'affaler sur le canapé. « Je regarde pas, mais je t'ai à l'oeil. » (oui, cette affirmation ne veut rien dire, et je vous zute.) « Si t'essaies de t'enfuir avec mon jean, je t’assomme avec la télécommande. » l'avertis-je d'un ton tranquille avant d'allumer la télé, qui démarra en plein milieu d'un épisode des Simpson. « HAN OUAIIIS J'ADORE CET EPISODE ! » m'écrai-je en bondissant soudain pour me mettre debout, et sauter sur le canapé, tel un enfant de trois ans et demi qui a mangé trop de bonbons. On m'avait demandé de ne pas me jeter sur lui, mais pas de ne pas me jeter sur autre chose, hein, donc je ne voyais pas le problème. Surtout que j'avais toujours rêvé de sauter à pieds joints sur le canapé de Leah en boxer... Ne me demandez pas pourquoi, je n'en savais trop rien. Une lubie passagère, certainement. Ou simplement parce que j'étais Nolan Buckley et que mon credo avait toujours été que, quand on avait envie de faire quelque chose et qu'on pouvait le faire, pourquoi se priver, hein ? Mon exultation fut d'ailleurs aussitôt accompagnée de ma plus belle voix de castra pour entonner : « Spider cochooooon, spider cochooooon, il peut marcher au plafooooond, est-ce qu'il peuuut faire une toile, biensûr que non c'est un cochoooon. Prends gaaaaaaaarde, Spider Cochon est lààààà ! » Si je pensais encore à mon jean ? Plus vraiment, non. Mais attendez la fin de l'épisode, ça allait me revenir...
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