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| [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Mer 13 Aoû 2014 - 23:37 | |
| « Toute guerre est fondée sur la tromperie. »
NOM : Karenine PRÉNOMS : Anastasia Aleksandra SURNOMS : Nastia AGE : 34 ans DATE DE NAISSANCE : 29 décembre 1979 NATIONALITÉ : Ukrainienne/Suédoise SEXUALITÉ : Hétérosexuelle SITUATION AMOUREUSE : Veuve EMPLOI/ETUDES : Médecine traditionnelle chinoise NOM DU QUARTIER : Presidente Drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : Un chien, Pirate CHIFFRE PORTE BONHEUR : 8
La féline charmante qui arpente le planché en s'aventurant d'une patte douce et mesurée. Sans un bruit elle s'approche du lit et se prépare à bondir. Elle suspend son geste, les yeux dorés fixement posés sur le sommier. Pas un bruit, la nuit est calme. Dehors, la lune ronde éclaire le monde d'une douce lueur argenté. Là, dans un bond carnassier, elle étire son corps à l'allure d'un tigre en chasse. En souplesse, ses quatre petites pattes se posent comme si jamais elles n'avaient touché les draps de satin. Sans doute était-ce à cela que l'on pouvait comparer Anastasia. Un regard attentif qui cachait un don parfait pour l'observation. A la belle Ukrainienne, on ne pouvait pas cacher grande chose. Nastia, tel un chat des plus racés, avait toujours eu beaucoup de patience, assez pour apprendre à cerner le comportement humain dans son ensemble. Mais n'était-elle qu'un regard ? Jamais elle ne serait Lauren Bacall pour pouvoir rivaliser à ce duel de prunelles. Non, mais elle avait bien d'autres atouts que son physique ravissant. Nastia a toujours été une femme de pouvoir relativement secrète, ne laissant jamais aux autres de quoi grignoter. Cela impliquait également un certain sens des principes et de fermeté. Cela n'allait pas non sans une éducation puisée dans la tradition chinoise, assommé à coup de préceptes aussi anciens que le monde mais que bon nombre d'occidentaux avaient oublié avec joie. Honneur, loyauté, fidélité, bravoure, respect, et bien d'autres vertus qu'il était bon de connaître pour espérer gagner la sympathie des dieux. Mais malgré ces notions bien chinoises, il restait une part sombre d'Anastasia que rien ni personne ne saurait saisir, une capacité relative à garder la paix même lorsqu'elle aurait envie de vous trancher la gorge. Un sourire est difficile à décrocher, autant qu'une caresse ou un baiser. L'Ukrainienne semble être d'une froideur extravagante, mais pas tant que cela si l'on prend le temps d'écouter les astres qui savent bien des choses sur le genre humain... Hélas, comment comprendre ce caractère si dur, si terrible, si fier ? Elle est comme prisonnière de sa carapace d'acier. Pourtant, il ne suffirait pas de grand chose pour mettre à jour une âme sensible qui ne souhaite que la paix et la tranquillité, la sécurité dans ce monde incertain et terne sous le soleil de la Californie. Un jour peut-être pourra-t-on mieux la comprendre. Nous avons tous un passé, un présent et un futur. « L'orgueil des hommes aura bientôt raison de leur bêtise. Ils se détruisent et brisent le monde pour des querelles ridicules. Et nous en bas, le petit peuple, nous subissons les conséquences des leurs actes capricieux. Ils n'agissent pas pour l’État, ils n'agissent pas pour nous. Ils agiront toujours dans leurs intérêts, parce qu'il n'y a que leur individualité qui prime sur la multitude de vie qui peuple cette terre fatiguée. » 1979, en Ukraine, c'était une date parmi tout celles que comptait la guerre froide. Mais dans ce pays, il y avait aussi ma famille. Mes parents vivaient modestement dans un monde d'incertitude, de peur. Ils n'étaient pas communistes mais ils avaient été embrigader dans une guerre qui n'était pas la leur. Alors, cet hiver 1979, alors qu'ils fuyaient Kiev, ma mère n'allait pas tarder à perdre les eaux. La neige et le vent glacé du dehors faisait fureur. Mon père avait réussi à faire monter son épouse dans un train de Marchandise qui partait pour la Pologne. Décembre mangeait la fin de l'année et bientôt le 1er Janvier annoncerait 1980. Je suis née dans ce train de marchandise, entre Malyn et Korosten. Comme un chaton, les yeux clos, je m'étais lovée tout contre ma mère alors qu'on avait séché les larmes qui avaient parlé, de peur qu'elles ne deviennent glace sur ma peau. A partir de là, un long voyage m'attendait pour la Suède. 1982, la Suède offrait un refuge précieux. Malheureusement pour moi, a à peine deux ans, mes parents furent expulsés du pays, me laissant aux bons soins d'une famille suédoise. Ces derniers restaient inquiets de la tournure que prenait la guerre froide. L'Est et l'Ouest continuaient de faire peser une chape de plomb sur les épaules des Européens. Avec un enfant à charge et une angoisse permanente, mon père adoptif demanda à partir loin de tout cela. En juin 1982, il fut alors question de partir pour Hong Kong. A l'autre bout du monde... Avais-je conscience de l'avenir qui était entrain de se dessiner pour moi ? Non, en aucune façon. Mais ma vie en serait changé à jamais. 1983, Voilà quelques mois maintenant que nous sommes installé dans ce pays chaud et humide. Situé au Sud Sud-Est de la Chine, le « port aux parfums » s'étendait sur la rive orientale de la Rivière aux Perles, les pieds baignées par la mer de Chine méridionale. Jouxtant la province de Guangdong au nord, la belle était déjà l'une des villes les plus riches du pays. Petite Ukrainienne aux beaux yeux bleus, j'étais une enfant paisible qui ne donnait jamais de mal à ma mère adoptive. La première année de notre installation, il semblait à ce couple que les querelles des géants n'avaient plus d'impact ici. Dès que j’eus l'âge d'apprendre à parler, on m'apprit le suédois, l'anglais, le cantonais et un peu plus tard le chinois simplifié à savoir le pinyin ou chinois officiel. Aussi, très tôt, à la maison il était question de ne parler qu'en anglais ou en cantonais, pour se faire, mes parents avaient engagé un professeur hongkongais pour apprendre à maîtriser cette langue et la pensée qui en découlait. Dès mon plus jeune âge il me fallait saisir le fonctionnement particulier de la pensée chinoise qui était indissociable de l'écriture et du langage. Un enfant né et ayant grandit en Europe aurait sans doute eu le plus grand mal à démêler tout cela. Tel ne fut pas mon cas, mon esprit alors formaté pour apprendre quatre langues. Aussi ma langue maternelle ne s'en trouva pas être le Suédois mais l'anglais, suivis de près par le cantonais. Arriva ensuite le temps d'aller à l'école. Là bas il était alors question de parler, de lire, de compter, d'apprendre à la fois en anglais et en cantonais. Il fallait également se faire des amis parmi ces camarades qui ne me ressemblaient globalement en aucune façon. D'une chance toute relative, mes parents m'avaient inscrite dans une école privée pour filles dans le quartier anglais où nous étions. Aussi j'avais réussi à me lier d'amitié avec quelques camarades du Royaume-Uni, nées à Hong Kong. Dès lors, mon enfance se déroula le plus paisiblement du monde, sans rien percevoir de la lutte des américains, des soviétiques et de leurs alliés. Sans doute, même en Suède, n'en aurais-je pas pris conscience. Ce n'était qu'à l'âge de 8 ans que je commençais à être particulièrement attirée par la culture chinoise, sa médecine traditionnelle, le Bouddhisme, etc. Bien que dès 5 ans, au cours préparatoire on commença déjà à nous enseigner un peu quelques gyms chinoises qui avaient tendance à nous faire devenir de vrais petits singes, à bondir et grimper partout. Devant l'énergie débordante qui était mienne et le manque de temps de mes parents pour s'occuper de moi, on engagea une nourrice de Shanghai. Ce doit sans doute être grâce à elle que je connais aujourd'hui tout ce qu'il y a à avoir sur l'art de la lecture des lignes de la main. A 25 ans Chow Lee Ling était la troisième née d'une famille relativement modeste. Avant elle, deux garçons dont elle m'avait très peu parlé. Par elle, j'appris à parler le Wu, un dialecte ancien de la région de Shanghai et du delta du Yangzi Jiang. Aujourd'hui il ne doit m'en rester quelques notions mais nous avions ainsi, entre nous, notre moyen de communiquer quand je ne voulais pas que mes parents me comprennent. Ce qui avait le don de particulièrement les agacer. Aussi je ne le faisais pas trop souvent. Lee Ling était également Bouddhiste, comme dit plus haut, je ne m'y étais pas intéressée avant l'âge de mes 8 ans. Dès lors, se voyant assaillir par une multitude de questions, Ling se mit à m'enseigner tout ce qu'elle savait sur cette religion particulière. Fascinée comme pouvait l'être une enfant de mon âge, assez naïve également, je me mis en tête de moi aussi devenir Bouddhiste. Ce qui n'était pas pour plaire à ma mère. Professeur de piano depuis qu'elle était arrivée à Hong Kong, chaque jour elle n'avait de cesse d'arpenter la ville, espérant un jour pouvoir acheter un piano sur lequel elle pourrait enseigner à ses élèves l'art de la musique occidentale. Quant à mon père, qui passait ses journées à travailler et pour qui j'étais sa petite princesse, il n'y voyait pas d'objection, pour lui c'était une preuve de plus quant à mon épanouissement dans ce riche environnement culturel. Résignée, ma mère fini par accepter ma conversion au Bouddhisme et ainsi à 8 ans, je me plongeais corps et âme dans un autre siècle, celui des grands empereurs de Chine. Trop jeune alors pour réellement saisir tout le sens profond de cette religion mais avide de connaissances comme j'étais, Ling m'apprit avant tout l'histoire de sa ville natale, à savoir Shanghai dont je vous passerai les détails car cela nous ferait au moins revenir aux années 30, périodes à laquelle les étrangers avaient la main mise sur cette « Perle de l'Orient ». Vers 10 ans déjà, je connaissais sur le bout des doigts les lois du Tao, ses méridiens et ses points d'énergie corporelle, autant dire qu'ils étaient nombreux mais parfois le sens m'échappait. N'étant encore qu'une enfant, il y avait bien des notions qui m'échappaient mais déjà la pensée chinoise commençait à se faire plus présente en moi, notamment pour ce qui était de l'honneur, de la vertu, de la loyauté et d'un sens aigu de la famille qui n'était pas non sans s'allier à mon signe de naissance occidentale qui était le Capricorne. Lee Ling me disait parfois que je lui faisais penser au singe, bien que mon signe en astrologie chinoise se trouvait être celui de la chèvre. Après ça, je voulu également apprendre quelque chose de physiquement plus compliqué que seulement connaître les différents points d'énergie du corps. Ainsi vers 13 ou 14 ans, Ling se résolue à convaincre mes parents de me laisser faire du Tai Chi. A cette époque, ma mère ayant enfin la possibilité de faire ses cours de piano à notre domicile, elle n'y voyait pas d’inconvénient et chose plus amusante quoi qu'anodine, mon père se décida à aller avec moi aux cours de Tai Chi Chuan. Le père et la fille découvraient une complicité nouvelle. Ce fut sans doute la pratique de cet art martial chinois ; dite « interne » et d'inspiration Taoïste voué à une certaine forme de voie spirituel ; qui m'amena alors à la vrai pratique du Bouddhisme, respectant scrupuleusement les lois spirituelles que m'avait enseigner Ling. L'année de mes 17 ans, trop grande selon mes parents pour continuer à avoir une nourrisse, Ling fut renvoyée à Shanghai. Mais celle qui avait été pendant si longtemps ma grande sœur me manquait terriblement. Je continuais mes études ainsi que mon parcours spirituel. Pour combler l'absence de ma chère amie, je harcelais mon père pour apprendre le massage chinois afin de parfaire mes connaissances déjà acquise grâce au Tao. La médecine traditionnelle n'avait presque plus de secret pour moi. La vie restait paisible 1997 marquait un tournant relativement important dans ma vie autant que pour Hong Kong. Cette année là, je devais avoir 18 ans et le « port aux parfums » devait, selon le traité de Nankin de 1842, être rétrocéder à la Chine. La guerre froide avait pris fin 6 ans auparavant sans que jamais elle ne vienne troubler ma vie et celle de ma famille. Triste et passablement ennuyée, j'avais l'impression d'avoir fait le tour de la culture chinoise, plus rien ne me paraissait motivant pour mes neurones ramollis. J'étais dans la période de la fin de mon adolescence, je devais apprendre à être une femme, à décider ce que je voudrais faire pour poursuivre mes études. J'avais goûté à un savoir ancien, si ancien que la modernité de mon époque me semblait terne, fade et sans intérêt. Je traversais peut-être la pire période de ma vie, seule le bouddhisme me permettait d'affronter cela. Me voyant entrer dans une spirale négative, mes parents décidèrent alors qu'il était grand temps que j'en apprenne davantage sur mes origines. Ainsi ils m'apprirent que j'étais Ukrainienne et que mes parents avaient fuit le pays pendant la guerre froide mais qu'ils avaient du y retourner, contraints et forcés. Après ça, pour me permettre d'encaisser une si terrible découverte ils me permirent de partir à Shanghai, sous la surveillance de Ching Son, le fils du meilleur ami de mon père adoptif alors âgé de 22 ans. Je l'appréciais beaucoup et le voyais comme une sorte de grand frère. Lors que j'étais petite, peut-être vers l'âge de 6 ans il m'avait enseigné la boxe de singe pour m'apprendre à me défendre. Il était un peu mon héro, me racontant bien des histoires sur les anciens héros de la Chine. Ensemble, nous avions pris le train en direction de Shanghai, là bas je retrouvais Ling qui nous accueillit dans sa famille où je rencontrais ses parents, ainsi que ses deux frères. L'aîné était marié à une ravissante shanghaïenne, tandis que l'autre était veuf et n'avait jamais voulu se remarier pour le souvenir de sa défunte épouse. Je passais deux longs mois là-bas, aidant Ling aux travaux de la maison. Son éducation restait ancré dans les principes ancestraux de la Chine ancienne. Aussi l'épouse du frère aîné Lee Wang, se trouvait être la maîtresse de maison, s’occupant de celle-ci ainsi que de ses grands parents. Lee Ling n'ayant jamais été marié, elle ne pouvait plus faire de mariage acceptable car elle comptait à présent 42 ans. Ainsi finirait-elle vieille fille mais elle ne semblait pas plus inquiète que cela car elle était heureuse d'avoir servis ma famille et aujourd'hui de servir la sienne. Souvent, Mme Chow, que je nommais affectueusement grand-mère Chow, me demandais si Ching Son était mon fiancé, car pour elle il était grand temps que je me marie. Alors, ce que j'avais d'éducation européenne me rappelait que j'avais tout le temps encore de trouver un époux et fonder une famille. Pour ne pas mettre Ching Son dans l'embarra, car je le voyais rougir à chaque fois que grand mère posait la question, je répondais seulement si c'était le cas, ce serait un très grand honneur pour ma famille que de se voir lier par le cœur et l'esprit à la grande Chine. Et grand mère Chow me gratifiait d'un sourire ravis. Après ces deux longs mois, il était question de retourner à Hong Kong. Je m'en trouvais alors ravie, pleine de vie et de certitudes quant à mon avenir. J'avais pardonné à mes parents adoptifs de ne jamais m'avoir révélé la vérité, aussi ce n'était plus un secret à porter. J'avais la vie devant moi pour être triste ou amoureuse. Si j'aimais Ching Son, c'était comme un frère et il n'était pas question d'une alliance entre nos deux familles. Je voulais reprendre les études, devenir psychologue. Mon grand frère de cœur devait partir aux États Unis, je voulais le suivre. On m'inscrivit alors dans une université de Californie où je pourrais suivre un des meilleurs cursus de psychologie. Même si dans le font il y avait tellement de choses que j'aurais souhaité apprendre. Je ne savais pas alors que l'Amérique serait pour moi un chemin de croix. Là bas, en Californie, j'avais affronté une mentalité bien différente de celle de Hong Kong, mais j'y avais aussi rencontré Vladimir Tioma Karénine. De son histoire, il m'avait raconté que sa famille avait fuit la Russie depuis bien des années, juste après l'arrivée de Staline au pouvoir. Il n'avait de russe que son nom car il parlait un anglais américain semblable à celui des autres étudiants de notre université. Lié par une sorte de passé commun, lui et moi avions commencé à nous fréquenter. De fil en aiguille, nous avions décidé de nous marier à la fin de nos études. J'étais devenue pour alors Mme Karénine. Mais très vite, il ne fut pas question que je travaille, Vladimir tenait à ce que je reste à la maison. Je me voyais alors comme ces chinoises vouées à travailler pour leur belle famille jusqu'à la mort. Ce n'était pas la vie que je m'étais imaginée. J'avais voulu devenir psychologue, comprendre le comportement humain dans ses moindres détails. Il se trouvait que mon mari avait caché de lui quelques facettes intéressantes et dans un premier temps une jalousie maladive qui le poussait à m'empêcher de sortir. Je me retrouvais alors à divertir les amis qui venaient nous voir en m'efforçant de lire les lignes de la main. Le reste du temps, cloîtrée entre quatre murs, je ne pouvais que prier Bouddha, bien que je devais le faire en cachette car il refusait que je ne sois pas chrétienne. Je vivais un enfer. Je n'avais plus que pour moi ma foi Bouddhiste, mon éducation chinoise et ma connaissance de la médecine asiatique. Nous étions marié depuis 5 ans. Pourquoi est-ce que je ne divorçais pas comme le reste de ces couples ? Parce que je n'avais nul part où aller. Je n'étais pas retournée à Hong Kong auprès de mes parents adoptifs depuis que j'avais commencé mes études. Et mon éducation me conseillait d'attendre la faveur des dieux. « Aujourd'hui, mon mari est mort. L'ambulance vient de l'emmener. J'ai découvert son corps dans le salon en revenant de faire les courses. La police est venue, on m'a posé des questions. Je ne sais pas qui aurait pu lui en vouloir au point de le tuer. J'étais effondrée, j'en avais même oublié le gigot dans le four, finalement c'est le chien qui a eu le droit de le manger. » Voilà maintenant 4 ans que mon mari est mort. Il avait amassé une véritable petite fortune et nous étions installé dans une maison des plus confortables. J'avais décidé de rester y habiter avec mon chien, ce compagnon qui me suivait partout depuis mon mariage, un ami précieux et fidèle. Pour mener une vie normale, j'avais décidé de mettre à profit mon savoir sur la médecine chinoise. Mais à défaut de pouvoir pratiquer en tant que personne qualifiée, j'ai ouvert un institut spécialisé dans le savoir-faire asiatique. Lorsque le cœur m'en dit, je lis dans les astres pour faire part aux gens de leurs destinées. Quant à la mienne... Elle me semble terriblement morne. Derrière l'écran : Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Brune, tandis que mon prénom est Nathalie. Je suis âgé(e) de 21 ans et je vis actuellement du côté de Rennes. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Warminston University, ma première impression en le voyant a été "ouwa y a les copains qui sont là!". Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de 750 à 1500 mots. Concernant mon personnage j'ai choisi Olga Kurylenko comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi MONEY DOESN'T MAKE HAPPINESS comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Anastasia A. Karenine le Jeu 14 Aoû 2014 - 2:04, édité 12 fois |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Mer 13 Aoû 2014 - 23:40 | |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Mer 13 Aoû 2014 - 23:44 | |
| Oui Olga S'trop mon amoureuse Ha ha en effet un lien est exigé! |
| | | Benjamin L. Cohen BAD COP
› MESSAGES : 642 › EMMENAGEMENT LE : 08/06/2013 › AGE : 41 › STATUT CIVIL : DIVORCÉ, DE RETOUR DANS LE LIT DE SES DAMES APRES AVOIR BRISER LE COEUR D'ALLY (ET LE SIEN). › QUARTIER : UN APPARTEMENT DE LUXE SUR PRESIDENTE DRIVE. OUI, AU 69. › PROFESSION/ETUDE : PDG DU GROUPE HÔTELIER INTERNATIONAL "COHEN DELUXE", ANCIEN FLIC DANS LA BRIGADE DES MŒURS ; › HB AWARDS : (2015) MEILLEUR TRIANGLE AMOUREUX AVEC ALLY ET NAYA ; SEX SYMBOL JUNIOR ; MEILLEUR SECRET DEVOILE ; › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : RYAN GOSLING ; › COPYRIGHT : ELOW ;
| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 0:07 | |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 0:10 | |
| Oh My God... tout ce que j'ai envie de dire en voyant cette folie de smileys 8D Tu m'as manqué doudou ! |
| | | Benjamin L. Cohen BAD COP
› MESSAGES : 642 › EMMENAGEMENT LE : 08/06/2013 › AGE : 41 › STATUT CIVIL : DIVORCÉ, DE RETOUR DANS LE LIT DE SES DAMES APRES AVOIR BRISER LE COEUR D'ALLY (ET LE SIEN). › QUARTIER : UN APPARTEMENT DE LUXE SUR PRESIDENTE DRIVE. OUI, AU 69. › PROFESSION/ETUDE : PDG DU GROUPE HÔTELIER INTERNATIONAL "COHEN DELUXE", ANCIEN FLIC DANS LA BRIGADE DES MŒURS ; › HB AWARDS : (2015) MEILLEUR TRIANGLE AMOUREUX AVEC ALLY ET NAYA ; SEX SYMBOL JUNIOR ; MEILLEUR SECRET DEVOILE ; › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : RYAN GOSLING ; › COPYRIGHT : ELOW ;
| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 0:24 | |
| Toi aussi tu m'as manquée !! |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 2:18 | |
| je fais la tête parce que tu ne veux pas me dire qui a commis le meurtre mais j'aime quand même le personnage et je valide VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH « Soyez la bienvenue. » toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
- vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
- en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
- vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
- pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Neela) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 2:22 | |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 2:26 | |
| Kyaaaaaaaaaaa I'm back *o* Go go go à la fiche de lien les copains èé (bon laissez moi le temps de la poster hein ._.) |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 10:34 | |
| Pourquoi Anastasia Karenine me fait penser à Anna Karenine ? Sinon bienvenue parmi nous ! |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 10:56 | |
| Je ne sais pas, un lien de famille peut-être (a) Merci ♥ |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 14:04 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. Jeu 14 Aoû 2014 - 14:10 | |
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| Sujet: Re: [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. | |
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| | | | [terminé] Anastasia Karenine • En tuer un pour en terrifier un millier. | |
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