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| A revealing interview with unanswered questions. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: A revealing interview with unanswered questions. Jeu 26 Mar 2015 - 1:09 | |
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La vengeance est un recours, une façon de voir comment rendre justice. Ce n’est pas une justice équitable parce que c’est l’individu qui choisit la nature de la punition, qui décide d’en faire une affaire personnelle. Alex en savait long sur la vengeance, c’est un sujet qui se retrouvait souvent dans ses articles de journal. Pour lui, la seule façon de régler la vengeance c’est souvent au prix d’un délit, voire d’un crime. Se venger, c’est faire justice soi-même en revanche… Alex avait parfaitement le contrôle dans ses démarches. Les dossiers étaient prêts, tout se passait comme prévu. Il avait décidé de venir à Huntington Beach pour faire une pierre, plusieurs coups. Anthony, Joan, Cooper, Andrew… Ce qui était étrange, c’est la ville qui regroupait tout les gens qu’il connaissait, dont les liens étaient différents. Fletcher était un journaliste parfaitement méticuleux, un peu trop casse-cou. Il aimait l’action et il savait la sentir à des kilomètres. Il la sentait cette action… Mais elle devait prendre du temps à se mettre en place. Alex ne savait pas s’il était en train de se venger ou de se rattraper de sa vieille erreur professionnelle. Il restait des fois devant son bureau quand il n’avait rien à faire, à observer les mains jointes devant sa bouche, le dossier dont le nom était écrit : Julie. Aujourd’hui, c’était le début de l’action. Aujourd’hui, c’était le commencement. Il allait admirer le monde d’Andrew s’écrouler petit à petit, il allait apprécier le voir péter un câble. Il s’attendait à ce que l’homme des affaires viendra le voir, après que Fletcher ait terminé son interview. Parce que parmi toutes les questions qu’il réservait, il y en avait une qui n’allait pas lui plaire. Il avait une rancoeur envers les Stewart. À montrer aux gens qu’ils étaient heureux, parfaits, pleins aux as. Ils avaient énormément d’argent et ils n’en partageaient pas. Aujourd’hui, Alexander Fletcher était dans les bureaux du magazine où Isobel Stewart participait en tant que chroniqueuse des arts. Il était dans une salle, debout devant la fenêtre. Il observait le paysage en silence, les mains dans le dos, qui tenaient le carnet et le stylo. Le journaliste avait mis son enregistreur audio en marche. Il se pinçait la lèvre et s’imaginait l’entretien dans sa tête. Il savait qu’un moment ça allait déraper. Alex ne voulait pas se venger en commettant un délit, il allait juste utiliser les mots et laisser le reste des choses se faire tout seul. Il sourit à l’idée ce qui allait se passer. il s’imaginait plusieurs scénario, mais un seul était possible. Il entendit la porte et se retourna par réflexe, c’était la première fois qu’Alex Fletcher faisait la rencontre de la femme d’Andrew, madame Isobel Stewart. Doucement son sourire se dessina. Un sourire chaleureux et il se dirigea vers elle, la main droite tendue pour la serrer. « - Madame Stewart. Alex Fletcher. » se présenta-t-il de façon officielle.
Ils s’étaient contacté par mail, il avait eu son adresse mail personnel grâce à une de ses relations qu’il avait usé. Ils ne s’étaient pas vraiment rencontrés et c’était pour ainsi dire, la première fois qu’ils se rencontraient. Alex était plus connu dans le monde des arts et ne fréquentait donc pas le même univers que Isobel. Il s’installa sur une des chaises qui étaient en libre service dans cette salle « - Je vous remercie encore d’avoir accepté de me consacrer de votre précieux temps pour l’interview. Ça représente beaucoup pour mon rédacteur en chef. »
Il fallait rester poli pour faire bonne impression. Il ne fallait pas la faire fuir trop rapidement. Il fallait commencer tout doucement, qu’elle se mette à l’aise. Qu’elle se sente reine. Avoir le contrôle de la situation, que cet entretien soit parfait. C’était avec un sourire agréable à regarder, il ouvrit le carnet et prépara son stylo. Avec des questions déjà préparées. Prête à le supporter, à l’apprendre à le connaître… Il était prêt, à l’affut des moindres réactions. Son enregistreur audio qui était activé et caché.
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| Sujet: Re: A revealing interview with unanswered questions. Mer 8 Avr 2015 - 10:47 | |
| Isobel était installée sur la terrasse qui offrait une superbe vue sur la ville. Lunette de soleil sur le nez, elle prenait connaissance des mails qu'elle avait reçus. Des publicités dont elle se fichait, des e-mails de jeunes créateurs qui tentaient tant bien que mal de la convaincre de passer les voir et parfois même, des invitations de réseaux sociaux sur lesquels elle n'avait pas envie de s'inscrire. Elle savait quelle place prenait cette nouvelle tendance, mais n'approuvait pas pour autant. Elle préférait garder l'ordinateur pour une utilisation professionnelle et non pas pour y passer du temps à chercher des informations, sur l'un ou l'autre, à se mettre sous la dent. De temps en temps, elle se surprenait même d'aller jeter un coup d'œil sur le blog culinaire de sa fille cadette, mais internet, pour Isobel, se résumait à peu de choses. Alors que son agenda électronique émit un signal, elle lui porta son attention. Un rendez-vous qui lui était totalement sorti de la tête, et pour cause: une interview. Elle n'était pas une star et n'allait pas pour parler d'elle ni même pour parler de sa famille. Dans un premier temps, elle avait même voulu décliner la demande jusqu'à se laisser convaincre. Ce journaliste voulait faire un article sur les jeunes créateurs, et elle se devait de lui donner des informations ainsi que son point de vue, et c'est comme ça que Mme Stewart enregistra ce nouveau rendez-vous. Alors qu'elle désactivait son alarme, elle s'empressa de trier sa masse de courriel. Les publicités: dans le dossier de suppression et les mails à répondre, dans un autre, afin qu'elle puisse s'y pencher lorsqu'elle aura un peu plus de temps.
Elle referma le clapet de son ordinateur et s'appuya contre le dossier de sa chaise en passant une main dans ses cheveux. La maison était assez calme, voir même vide. Ses filles étaient toutes parties de la maison, maintenant et avec le divorce de Marissa, ils voyaient beaucoup moins Faith qui vivait désormais avec son père. Au fond d'elle, Isobel espérait que cette histoire s'arrange, aussi bien pour sa fille, mais aussi pour sa petite fille. Elle était aussi persuadée qu'Eden aimait toujours Marissa et donc, elle ne pouvait s'empêcher d'espérer que pour lui aussi, tout se passe pour le mieux. Malgré ces évènements, elle continuait à penser qu'Eden faisait partie de la famille, et elle n'était pas la seule. En fait, il était même plus intégré qu'Emma, bien que ce n'était pas vraiment difficile. Emma avait une façon de penser qu'Isobel n'arrivait pas à comprendre, ou accepter. Elle rejetait toute forme de richesse, elle rejetait même son nom de famille, finalement. Aux yeux d'Isobel, Andrew avait toujours tout fait pour s'assurer que ses filles et son épouse aient le meilleur, voir même une vie parfaite. Elles n'avaient jamais manqué de rien et pour ça, Emma pouvait bien se le dire: c'était grâce à papa Stewart. Isobel se laissait emporter par ses pensées lorsque Catherine fit son apparition. Elle finit par relever la tête vers sa domestique, comme pour lui demander ce qu'elle avait à lui dire. "Je vais commencer à préparer le repas pour ce soir, M. Stewart sera-t-il de retour?" Isobel se leva de sa chaise et avançait vers la porte qui donnait dans la maison "Non. Il ne revient pas aujourd'hui. Il est en France jusque demain, mais une amie passera peut-être, faites comme d'habitude, Catherine, c'est pas important". Mme Stewart fit demi tour pour récupérer son agenda électronique et pris ses clés de voiture dans une coupole sur un meuble situé dans le hall d'entrée. Elle fourra son Palm et son téléphone portable dans son sac à main en se dirigeant vers la porte "Catherine, j'y vais j'ai un rendez-vous. Je reviens d'ici une heure ou deux. Si jamais Andrew téléphone, dites-lui que je le rappellerai à mon retour" et elle disparu en fermant la porte derrière elle.
Devant l'allée de garage, sa Volvo cabriolet n'attendait plus qu'elle. Elle s'installa au volant de sa voiture et pris la direction de son travail où l'attendait très certainement ce journaliste, qu'elle ne connaissait d'ailleurs pas. Arrivée sur place, la réceptionniste lui tendit son courrier, ce qui équivalait à une dizaine d'enveloppes, des faxes ou encore le nouveau numéro du magazine d'art pour lequel elle écrivait. Lunette de soleil sur le nez, elle se contenta d'attraper ce que lui tendit Jessica et la remercia. "Mme Stewart, un journaliste vous attend dans votre bureau, je l'ai fait entrer" Isobel acquiesça d'un signe de tête. Lorsqu'elle ouvrit la porte de son bureau, cet étranger se retourna alors qu'elle s'avança de sa table de travail. Elle y déposa son courrier ainsi que ses lunettes de soleil et son sac à main un peu plus loin. Isobel serra à son tour la main de ce cher Alex Fletcher et lui adressa un mince sourire "Enchantée". Pas la peine de se présenter, il savait bien qui elle était pour avoir pris rendez-vous avec elle précisément.
Madame Stewart l'invita à s'asseoir et en fit de même alors qu'il la remercia pour le temps accordé. C'est vrai qu'elle aurait préféré qu'il choisisse quelqu'un d'autres, parce qu'elle avait toujours l'impression que ce genre d'interview était une vraie perte de temps, mais une fois n'est pas coutume et de plus, il avait vraiment insisté.
"Avec plaisir, mais par contre si on pouvait faire ça le plus rapidement possible ça m'arrangerait." Elle posa sa main sur son courrier et reprit "comme vous le voyez, j'ai encore du travail et des créateurs à aller voir. De plus, j'imagine que vous aussi, vous avez de quoi faire, non?" Isobel avait déjà rencontré des journalistes, mais jamais celui-là. En général, c'était toujours le même gringalet qui se chargeait des interviews "Vous êtes nouveau journaliste par ici? D'habitude c'est un certain… Tommy". Isobel finit par se ranger. Elle regarde son interlocuteur, prête à répondre à ses questions.
- "Eh bien, allons-y. Que voulez-vous savoir?" |
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| Sujet: Re: A revealing interview with unanswered questions. Sam 11 Avr 2015 - 14:29 | |
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Isobel n’était pas mal dans son genre, elle faisait tellement épouse parfaite. Le cliché des Américains, il n’était pas surpris du choix d’Andrew à cette femme… Il avait tellement entendu parler d’elle, en bien et n’avait jamais entendu d’un moindre défaut. Il sourit et hocha à demi son menton pour acquiescer qu’effectivement il avait aussi des choses à faire de son côté qui pouvaient toutefois attendre, avec cet air qui se voulait rassurant. « - Ce sera rapide, ne vous inquiétez pas. J’ai juste six questions. » Son rédacteur en chef était un idiot, pas intéressé par madame Stewart qu’il ne l’était pour Leah. Il avait donné à Alex une colonne et ça réduisait fortement la place pour les phrases. Il misait sur l’improvisation, selon les réponses de madame Stewart. Le patron changera très vite d’avis quand Fletcher aura écrit une grosse page critiquant la façon de vivre chez les Stewart, un gros message à Andrew. Pour lui dire qu’il n’abandonnerait jamais, pas tant qu’il aura établi la vérité, à la façon dont Anthony avait toujours désapprouvé du temps où il était stagiaire. Alex sortit son carnet et le stylo alors que madame Stewart lui posa une question. Elle était intéressée ? « - Tommy McKillian ? Il est tombé malade, je le remplace. Il est injoignable et on ne peut pas obtenir son travail qu’il a fait sur vous, alors que la date d’impression approche à grand pas.» Quel misérable mensonge de la part d’Alex. Ce dernier avait secrètement rêvé de l’enfermer dans le coffre de sa voiture pour qu’il n’empiète pas sur son travail. En réalité Tommy se retrouvait coincé avec l’interview sur les modèle de mode : inintéressant… S’il apprenait qu’Alex avait refait un interview avec Isobel Stewart, il allait faire un scandale parce qu’il avait proclamé que c’était lui, seul et personne d’autre, qui l’interviewerait. Ooops ? « - Je suis nouveau dans l’équipe, oui, je viens de Chicago Tribune. » Un sourire. Si Andrew apprenait que sa femme avait rencontré Alex Fletcher, il se serait mis dans tout les états. Il devait être normalement prévenu par un de ses hommes qui surveillait le journaliste. Cependant, Fletcher était vraiment malin, parce qu’il faisait toujours croire à l’homme qui le surveillait qu’il était toujours dans le local du journal de Huntington Beach et qu’il n’était toujours pas sorti. En plus, Andrew était en France. Il pouvait interviewer en toute tranquillité. Il chercha la position à prendre sur la chaise de madame Stewart et était prêt à prendre de notes. « - Alors, madame Stewart. Pourquoi avez-vous décidé de travailler en tant que chroniqueuse ? Alors que vous ne manquez absolument rien ? » Question très basique, à laquelle Tommy aurait posé aussi. Il fallait bien mettre à l’aise madame Stewart, de la lasser un peu pour mieux la surprendre. C’étaient des questions avec des réponses rapides. Il savait ce qu’elle allait penser et ce qu’elle va répondre.
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| Sujet: Re: A revealing interview with unanswered questions. Jeu 14 Mai 2015 - 16:12 | |
| Pour une interview, c'était assez rapide aux yeux d'Isobel, bien qu'au final, c'était ce qu'elle avait demandé, mais elle ne s'attendait pas à si peu. Après, il se pouvait que certaines réponses amènent à d'autres questions, déviation de la discussion ou encore précisions. S'il s'agissait de sa vie privée, elle préférera très certainement rester vague, ne voulant pas mêler sa famille, sa vie en dehors de son travail à ce genre d'interview. C'était un peu de cette façon que fonctionnaient les Stewart, qui préféraient de loin éviter de mélanger le professionnel au privé. Son agenda était plein à craquer pour cette semaine, ce qui comprenait aussi le temps passé chez elle, avec ses petits-enfants ou simplement, avec ses propres filles. Heureusement, Marissa remontait la pente, mais malgré tout, Isobel préférait garder un œil sur sa fille et s'assurer que son état allait toujours en progressant. Elle était beaucoup plus enjouée, beaucoup plus épanouie et commençait même à se fixer de nouveaux objectifs, ce qu'elle ne faisait plus depuis le décès de Samuel. Leah, quant à elle, vivait ses premiers instants de mère. Son fils lui empêchait encore de dormir une nuit complète, mais ça ne l'empêchait pas de garder son sourire qu'Isobel aimait tant admirer. De temps en temps, elle réservait une après-midi pour garder Mason afin que sa fille cadette puisse un peu s'occuper d'elle et parfois, lorsque Andrew était sur le sol américain, voir même dans la même ville que sa petite famille et qu'il avait une heure ou deux de temps libre, elle mettait de côté ses devoirs et profitait de ces moments presque privilégiés avec son mari. Face à ce journaliste qu'elle ne connaissait pas le moindre, elle lui annonça directement la couleur quant à son emploi du temps et ce dernier n'hésita pas à la rassurer avec cette histoire de six questions. Bien. Elle s'était installée à une table, prête à répondre alors qu'à côté d'elle une pile de documents et courrier l'attendait. Elle se contenta d'esquisser un sourire à ce cher M. Fletcher qui s'installa à son tour et attendit la première question, mais avant, Isobel fut un peu interloquée de faire face à un nouveau journaliste. Il fallait toujours un peu de temps pour s'y habituer, si en plus ils commençaient à s'échanger le travail… « - Tommy McKillian ? Il est tombé malade, je le remplace. Il est injoignable et on ne peut pas obtenir son travail qu’il a fait sur vous, alors que la date d’impression approche à grand pas.» Tommy McKillian, oui ça devait être quelque chose de ce genre-là. Elle ne se rappelait plus tellement du nom de famille, bien que sa carte de visite était surement fixée à une page de son agenda à l'aide d'une attache trombone avec des annotations presque illisibles juste à côté. "Oh, d'accord." Il lui donna le nom du journal où il travaillait avant. Elle n'y connaissait pas grand-chose à la ville de Chicago, mais elle savait au moins que journal principal de la ville était celui d'où venait M. Fletcher. D'un signe de tête, elle lui affirma qu'elle avait bien reçu l'information "Donc, vous ne faites pas dans les petits journaux de bas quartiers, vous. C'est pas plus mal." Non pas qu'elle avait quelque chose contre ces types de quotidiens, mais au moins, ça annonçait la couleur sur la qualité du travail du journaliste. Il était probablement plus performant et ses articles étaient sans doute bien mieux réalisés qu'un autre travaillant dans une ville plus petite et moins connue des américains.
« - Alors, madame Stewart. Pourquoi avez-vous décidé de travailler en tant que chroniqueuse ? Alors que vous ne manquez absolument rien ? »
Isobel prit le temps de réfléchir à la réponse qu'elle pouvait donner, bien que la question était loin d'être compliquée. Elle avait grandi avec cette passion pour l'art, mais n'avait jamais eu l'occasion de l'exercer, à part la photographie avant son mariage. Son père partageait cette passion avec elle, lui avait offert son premier appareil photo et l'avait même emmenée dans une galerie d'art new-yorkaise pour qu'elle vive sa passion à fond. Aujourd'hui, elle n'éprouvait plus ce besoin d'immortaliser les moments qu'elle vivait, mais cherchait toujours quelque part ce petit morceau d'art dans la maitrise de chacun.
"C'est pas tellement le côté éditoriale qui m'intéresse dans ce que je fais: mettre sur papier un avis totalement subjectif concernant des œuvres de certains; ça va plus loin qu'aligner plusieurs mots dans une phrase. Vous, par exemple, c'est un peu ce que vous recherchez, non? Transmettre une information, mais j'ose espérer que vous ne vouez pas une passion pour chaque chose sur lesquelles vous écrivez. J'ai grandi en ayant cette passion pour l'art et plus particulièrement pour la photographie. A l'école j'avais des options assez poussées dans ce domaine et à mes 18 ans je me suis mariée et j'ai mis cette discipline de côté. J'ai eu ma première fille à 19 ans et j'ai préféré profiter de la vie que j'avais tout en m'occupant de mes filles. Aujourd'hui elles vivent leur vie et j'ai voulu en profiter pour flirter avec l'art en proposant mes services en tant que chroniqueuse pour des magazines d'art. Je ne fais pas vraiment ça pour l'argent, c'est plus pour profiter un peu de ma passion que je n'ai pas voulu profiter avant. En plus si ça peut aider des nouveaux créateurs et artistes à se lancer, pourquoi pas ?" Elle lui adressa un léger sourire "Comme vous l'avez si bien souligné, je ne manque de rien, donc je ne suis pas à la recherche d'argent en faisant ce que je fais." - Spoiler:
Désolée pour le retard
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