NOM : Larsen PRÉNOMS : Willemina Valérianne SarabandeSURNOMS : Mina AGE : 26 ans DATE DE NAISSANCE : 27 décembre NATIONALITÉ : Américaine SEXUALITÉ : Hétéro SITUATION AMOUREUSE : C'est compliqué EMPLOI/ETUDES : PDG de son entreprise de haute technologie Larsen Industries. NOM DU QUARTIER : President Drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : Vous voulez qu'il meurt? CHIFFRE PORTE BONHEUR : Je préfères les nombres.

Comme le disais Oscar Wilde : "définir, c'est limité" mais puisqu'on m'impose cet exercice et que je sais que dans le fond vous voulez tout savoir... allons-y, mais je ne garantie pas que vous en sortirez indemne.
On m'a souvent traité de folle, la vérité c'est que j'ai été testé et je suis simplement précoce, surdouée, zèbre, comme vous le désirez, servit saignant. Ne vous en faites pas, je ne vous en veux pas d'être normaux, cela expliquera simplement le fait que je suis trop intelligente pour être heureuse, et que cela n'aide en rien ma cyclothymie.
On s'en doute, j'ai une pointe de mégalomanie dans mes veines, cela est mon moindre défaut, saupoudré d'une trop grande confiance en moi qui me porte à l'imprudence. On évitera donc de répertoriez le nombre de mes fractures et contravention. Comment ça c'est illégale de pirater un radar?
Mais on le sait... Si tel un paon je me pavane, c'est que j'ai besoin d'attirer quelque attention que ma gourdasse de mère n'a pas su m'offrir trop occupé avec son nouveau chéri, et que...  comme tout être à part, on se sent souvent seule, incompris... alors il faut bien avoir un comportement borderline pour se mêler aux mortels.
A coté de ça... je sais tout de même être douce, affectueuse, mais ce n'est pas ce que je vous montrerait en premier, non, vous aurez droit à mon trop plein d'énergie, car la chandelle ce brule par les deux bouts et nous finirons en feux d'artifices.
J'ai une collection impressionnante de Marvel, mon héros préféré étant Iron Man, il fut un véritable modèle pour moi vu que je n'ai pas eut le loisir de beaucoup fréquenter mon géniteur, comme moi c'est un génie, surdoué de la technologie, friqué, philanthropique, bref... Des fois je me dis que ma mère pour me concevoir à du se taper un comics.
J'adore bricoler, faire du sport, la fête aussi, mais surtout voyager et étudié ce n'est pas pour rien que j'ai eut mon diplôme du secondaire à 16 ans et que je suis sortie diplômée du MIT à 21 ans. Diplôme en poche et majorité universelle, j'ai fait les bars à cocktail des grandes capitales mondiales pour fêter ça (oui oui, se bourrer la gueule dans un bar moisie aurait grave manqué de classe.).
Comme Indiana Jones j'ai horreur des serpents même si j'ai eut un crotale quand j'avais 12 ans, 2 semaines, 1 jour et 2 heures... il est mort quand j'ai eut 12 ans, 2 semaines, 1 jour, 2 heures et trente minute, et j'ai peur des orages même s'ils me fascinent.
Niveau philosophie de vie. J'aime le beau, le bon goût, le raffinement; Nous sommes tous des mammifère, mais nous ne sommes pas tous humain. L'humanité n'est pas innée, elle sa gagne, doit se mériter, certaines personnes ne valent pas mieux que des porcs a faire du jambon... et encore je ne me risquerait pas à la manger : je ne veux pas risquer l'indigestion.

C'est tellement drôle les journalistes : ils veulent toujours que les personne à succès à soit admiré, adulé. Rien de plus logique, on a tué tout les dieux, l'homme est en manque de repère, il a besoin de modèles. Je marche tout en répondant succinctement aux questions qu'on me pose, triturant la broque à ma robe cintré noir. Elle est en platine et représente un scorpion. J'observe la vue de mon bureau dans cette villa trop grande pour moi qui parvient abriter mon égo.
« Vous avez eut une enfance assez solitaire... vous avez du beaucoup en souffrir. »
J'esquisse un sourire, autre phénomène très drôle : quand on réussit, c'est encore mieux si on a souffert. L'imbécile. Comme si on devait avoir une raison profonde à notre réussite, à notre génie, comme si ça ne pouvait pas être inné et qu'on devait le gagner, le mérité. C'est tellement enfantin comme raisonnement. Ça me fait penser au compte de fée où l'héroïne doit suer sang et eau pour avoir une fin heureuse. Ce qu'on ne vous dis pas, c'est que ce sont des conneries. En ce bat monde, l'homme honnête ne sera jamais riche, les happy ending n'existe pas, et les méchant peuvent avoir leur fin heureuse, et c'est bien plus drôle ainsi.
« Non, pas le moins du monde, je n'ai jamais aimé me mêler aux autres. » Disant cela je m'assoie dans mon fauteuil, croisant avec élégance mes jambes. Avoir son portrait dans le New York Times comme étant l'une des créatrice d’entreprise les plus influente du pays à seulement 26 ans... beaucoup en rêverait. J'aime ça, pavaner, me la péter, autant que j'ai adorais faire des coups fourré et faire tourner mes parents en bourrique, surtout ma mère, mon père... il est mort quand j'avais 2 ans, autant dire que je ne me rappelle pas de sa tête, mais aux dire de ma mère, nous avions le même goût pour Faust de Gounod, Beethoven, Van Gogh, Lovecraft et Poe. L'interview fini, je le reconduit à la porte avant de me rendre dans mon atelier pour bricoler un énième robot... un nouveau gadget... ça me détend, ça me permet d'oublier... mais je ne savait pas que le passé frapperait si vite à ma porte.
Vous savez ce que c'est que d'aimer ? Je ne vous en voudrais pas de ne pas avoir la réponse à cette question, moi-même je ne l'ai trouvé que trop tard. J'ai aimé un homme qui aurait pu être mon père, mais je ne l'avait pas comprit. J'étais trop jeune et en dépit de ma précocité, j'avais des puérilités dont je ne pouvais me défaire si tôt. A 16 ans, ça faisait déjà un an que j'avais une relation avec Viktor, et je venais de recevoir mon diplôme du secondaire avec mention, à moi le MIT, la gloire. J'étais heureuse, j'avais tout ce dont je pouvait rêver. Il venait souvent me voir, j'étais la reine de mon campus, j'avais ma cours, mes notes crevaient le plafond, c'était si fort, cette sensation d'avoir le monde dans la paume de sa main, mais comme étourdit de ma jeunesse provocante, il fallu bien qu'un jour je perde l'équilibre. Ce fut ce jour là. J'avais reçut mon diplôme avec mention, major de ma promotion, on me demanda de faire un discours, ma mère était si fière, et le soir venu, je suis allé dans ce restaurant ou l'on devait s'attendre. Je suis arrivée en avance comme toujours et je me mettait  déjà rêver d'enfant à 21 ans. J'étais gamine, une vrai sale gosse dans mes provocation, mais j'avais la tête sur les épaules et prête à assumer bien des responsabilité. Je regarde ma montre, il est en retard et je peste, jusqu'à ce qu'il m'embrasse sur la joue, ma colère s'envole d'un coup. Je l'aime cet homme, mon homme, mon Alexander.
Je le regardait avec cette affection que je n'aurais jamais pensé avoir pour un être humain, je sentais mon ventre se tordre au moindre de ses sourire. Quand enfin il parla d'aller  mon hôtel, j'ai esquissa un léger sourire fourbe. Il me voulait, je le savais, autant que je le voulais. Mais cette fois ci, je n'avait rien voulu de fantasque, juste lui et moi, cette intensité, cette force qui me faisait vivre, qui me rappelait à quel point j'étais vivante. Cela à duré longtemps, des heures jusqu'à notre extase, lui moi, ça avait été si fort, je ne me serais jamais attendue à ce qui allait suivre. Me quitter, retrouver cette vieille peau. La rage que j'ai ressentie fut telle que je lui ait balancé le premier truc que j'ai eut sous la main : un cendrier en cristal, bien dans la tronche, il en a saignait mais je m'en foutais. Je voulait qu'il souffre, qu'il souffre autant que je souffrait « C'est ça, retourne baiser ta vieille mégère de merde. Souviens-toi pourquoi tu es venu jusqu'à moi. Quand tu t'en souviendra, quand tu en auras marre qu'elle préfère la compagnie de ses amants plutôt que la sienne, quand tu voudras revenir vers moi, et je le sais que tu reviendras, je ne serais pas là. Je ne serais jamais là.  » j'ai claqué la porte, très fort après m'être habillée en moins de deux. Je l'ai haït... tellement... Je pensais avoir touché le fond,avant de me rende compte que je pouvais encore creuser.
Je montais mon entreprise, la Larsen Industries spécialisé dans les hautes technologie et nouvelles énergie, fournissant surtout l'armé, les chefs d'état. Je bossais comme une malade parce que j'aimais ça, parce qu'ainsi je l'oubliais, je le zappé, jusqu'à la prochaine nuit sans sommeil, sans rêve, ou je ne peux quitté mes yeux de nos souvenirs que je n'ai pas pu me résoudre à jeter. J'avais finir d'aménager l'immeuble de mon entreprise, haute de plusieurs dizaines étages, j'avais voulu prendre les escalier, mauvaise idée. Je fus prise d’un malaise, transporté d'urgence à l’hôpital, j'avais le ventre qui se déchiré. J'étais enceinte. J’eus droit à une césarienne en quatrième vitesse, et quand j'ai vu ma fille... elle était si petite et si belle... des yeux vers, quelque cheveux sombre sur la tête. C'était trop beau et surréaliste pour durer. Elle décéda, quelque heure plus tard et on me mit sous sédatif. Je m'attendait à tout, sauf à ce qu'il arrive, cet assassin, il avait tué ma fille autant qu'il m'avait tué. Oui c'était ma fille ! La mienne car lui n'en n'avait jamais voulu. J'ai voulu le tuer, l'écorché vif, l'éventrer et le pendre avec ses boyaux... mais on me mit sous tranquillisant... et depuis ce jour là, je en l'ai pas revu.
J'ai enterré ma Alice, seule, sans personne, ma petite, si petite fille adoré. Mais je me rendais compte, qu'elle n'était pas qu'à moi, elle était à lui aussi... c'était notre enfant et j'avais été égoïste, aveuglée que j'étais par la haine et la colère. Alors je lui fit faire un médaillon avec un peu des cendre de ma beauté, et le remit au gardien du cimetière pour qu'il le lui donne si un jour il viens... mais je savais qu'il viendrait.

Je regarde le mini robot scorpion s'animer, esquissant un sourire victorieux. On ne peut pas dire que je n'ai pas essayé de me reconstruire. Je fais toujours autant la fête, on me voit au bras de beau hommes, je souris, je chante, je monte sur les tables, je charme autant que ej provoque, et je crée l'illusion, celle du bonheur. Je suis jeune, brillante, riche et vivante, j'ai tout pour plaire, tout pour vous rendre jaloux. Je ne suis pas heureuse. C'est la ma vérité, et celle que personne ne voit. Je me lève et je charme, mais quand je me couche, c'est dans un lit froid dans le cercueil du quotidien, dans la mort que m'offre, dans mon asphyxie quotidienne. Je tente de respire, mais ça brûle, je suffoque, et un jour j'en crèverais. En attendant, je vis. Je vis à en crever.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Blackwidow, tandis que mon prénom est écrire ici. Je suis âgé(e) de 24 ans et je vis actuellement du côté de la france. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur on m'a trainé de force avec un fouet et des menottes, ma première impression en le voyant a été . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de de 500 à 1500  mots... ca varie. Concernant mon personnage j'ai choisi Felicity Jones comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi money doesn't make happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.