NOM : Ribelles. Un nom purement espagnol, car ses deux parents l'étaient; une famille originaire de la province de Cantabrie. PRÉNOMS : Gonzalo, Moises. SURNOMS : il doit sûrement y en avoir, mais il ne les connaît pas. Il a l'habitude de se faire appeler par son nom de famille, ce qui a débuté alors qu'il était étudiant.AGE : 43 ans DATE DE NAISSANCE : 20 juillet 1972 NATIONALITÉ : Espagnol par naissance, Américain pour tout le reste. SEXUALITÉ : Hétérosexuel. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire.EMPLOI/ETUDES : Directeur du W, hôtel de luxe concurrent du Hilton. NOM DU QUARTIER : president drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : aucun CHIFFRE PORTE BONHEUR : 7

Mystérieux et charismatique. Deux qualificatifs qui reviennent fréquemment au sujet de Gonzalo. Le mystère, il s’y complaît, il l’entretient avec cet amusement étrange, espiègle en réalité, un jeu qu’il s’est inventé pour lui-même. Il n’aime pas que les autres en sachent trop sur lui, parce que lorsqu’on a des informations sur quelqu’un, on peut les utiliser, et c’est une perspective qui ne lui est que peu alléchante. Oh, il n’a rien à se reprocher, sa conscience est parfaitement intacte – du moins, vierge de tout crime crapuleux, de tout crime de manière générale –  mais il y a certaines choses qu’il ne voudrait pas voir réapparaître, revenir sur le devant de la scène.
Le mystère fait jaser, il est l’origine de toutes sortes de rumeur, que la jalousie ou l’envie nourrissent. Il lui arrive de prêter l’oreille à ce qui se dit sur lui, mais il y a longtemps qu’il a cessé de laisser ces choses là influer sur ses décisions et sa vie. On le dit intraitable en affaire, il ne s’en cache pas. Philanthrope, c’est aussi une chose dont il ne s’est jamais caché, même s’il ne le crie pas sur les toits pour autant. Esthète, épicurien, il profite sans rougir de l’argent qu’il gagne en quantité non négligeable, passant parfois pour un consommateur excessif et compulsif. En réalité, c’est juste que les caprices qu’il s’offre ont un prix : bons restaurants, bel appartement, tableaux pour la décoration de l’appartement… On dit parfois qu’il n’a pas de cœur, qu’il traite les femmes comme des objets, des trophées, mais aucune de ses conquêtes n’a jamais eu à se plaindre de lui, du moins aucune ne l’a encore fait ouvertement. Il est charmeur, sûr de lui, peut-être parfois à l’excès, mais il est aussi impatient, abhorrant les choses faites à moitié, le mensonge, et étant rarement enclin à accorder une seconde chance.

Tu marches d’un pas décidé, téléphone vissé à l’oreille, tu écoutes le compte rendu de ton avocat, tout en traversant le hall de l’hôtel. Tu as sous le bras un dossier rempli de CV et lettres de motivation, des jeunes sûrement bourrés de compétences qui ne demandent qu’à faire leurs preuves. - Je ne veux pas le savoir, s’ils ne voulaient pas en arriver là, ils n’avaient qu’à tenir leur langue. C’est comme ça, on a une réputation à tenir, point final. Tu n’es pas disposé à en écouter d’avantage, tes avocats n’ont qu’à se débrouiller, ils sont suffisamment bien payés pour ça. Dans ton bureau, tu parcours les candidatures, et tu fais rapidement un tri avant de composer le numéro du département RH. C’est la voix douce d’Olivia qui te répond. - J’ai des CV pour vous, des candidats à appeler pour des entretiens, vous pouvez passer les chercher ? Normalement, c’est la supérieure de ladite Olivia qui prend ces décisions - avec toi - mais elle est en congé maternité, alors tu le fais. En plus, tu aimes lorsque tout est millimétré, sous contrôle. Tu as bien saisi pendant tes années en tant qu’assistant, que l’hôtellerie de luxe était un domaine où l’erreur n’était pas tolérée, et tu sais qu’il n’y a rien de pire qu’un travail mal fait. Tu n’as pas de patience et les secondes chances, ce n’est pas vraiment ton rayon. Tu consultes tes mails et ton agenda électronique ; une journée plutôt calme par rapport à d’habitude. Tu prends un moment pour savourer, tout ce chemin que tu as parcouru, tu en es fier, et tu ne t’en caches pas. Tu as pris ta revanche sur ces fils de PDG et de diplomates qui t’en ont tant fait baver au collège et au lycée. C’est eux qui t’ont donné cette rage de réussir, ce sont leurs moqueries qui ont nourri cette volonté de ne plus jamais être celui qui doit compter au moment de chaque dépense, qui ne porte pas les fringues branchées et qui ne peut pas partir en classe de neige avec les autres.

Il te reste un quart d’heure avant d’aller accueillir un client important, une personnalité éminente du monde politique, un sénateur qui fait beaucoup parler de lui ces derniers temps et qui vient de publier un livre détaillant ses idées et ambitions, une sorte de programme politique avant l’heure des primaires. Il vient à l’hôtel pour deux jours, la presse sera là, il faut que tout soit parfait et tu tiens à tout superviser personnellement, comme te l’a appris ton mentor, celui qui occupait ce bureau où tu es assis, à l’époque où sa santé le lui permettait. Pendant le temps qu’il te reste, tu remarques l'appel en absence. Tu rappelles sans attendre. Une sonnerie, puis deux... trois. Et finalement elle décroche. - Adria, j'ai vu que tu m'avais appelé, tout va bien?  Lances-tu d'un ton préoccupé.

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T’es debout, près des grilles. Il pleut, et tous les autres enfants sont déjà partis, mais toi et ta petite sœur, vous êtes toujours là, regardant passer les voitures. Tu grelottes mais tu ne lâches par pour autant ce portail en fer forgé blanc à la peinture écaillée par endroits. Tu tiens la main d’Elvis dans la tienne et tu lui dis que quelqu’un va venir vous chercher, qu’elle pourra bientôt avoir un chocolat bien chaud et retirer ses vêtements mouillés.

Tu croyais à ces mots, parce qu’il fallait, pour être convaincant, pour qu’elle ne se sente pas en danger. Londres et ses averses. Tu revois la ville où vous aviez débarqué, suivant ta mère et son mari numéro 2. Ton père lui, avait disparu du tableau sans laisser de nouvelles et depuis, ça avait été un peu chaotique, brinquebalant. Tu avais dû te faire à cette nouvelle langue que tu maîtrisais mal, les moqueries silencieuses, les petits regards en coin des camarades de classe. Puis il y avait eu l’alcool, ce terrible refuge, le seul dont elle avait pu s’assurer l’indéfectible présence. D’abord, Walter avait été patient, il avait essayé de l’aider à s’en sortir, et puis les rechutes ont eu raison de sa douceur, de son entêtement à persévérer et dont il s’était rendu compte qu’il était le seul à éprouver. Tu n’avais que huit and à l’époque mais tu as gardé un souvenir plutôt positif de cet homme à la chevelure prématurément grisonnante, qui t’avait aidé avec l’anglais, qui venait vous chercher, toi et Elvis quand celle qui vous avait mis au monde n’était pas en état de le faire, lorsqu’elle ne vous oubliait pas, purement et simplement.

Assis dans le salon de ton grand appartement, tu te souviens de ces années chaotiques, de l’instabilité. Mais ironiquement, ce n’est pas celles qui ont laissé ces cicatrices, pas comme Chicago. Tu ris jaune au souvenir de ces années dans la grisaille londonienne, tout compte fait, elles n’étaient pas si terribles, même si elles étaient loin d’être idéales.
Chicago est de loin la ville qui t’a laissé les pires souvenirs et rien que d’y penser, ça te révulse, malgré les années qui ont passé depuis. Tu revois ces traits, ce regard trop secret et trop étrangement bienveillant pour inspirer confiance. Tu ne savais pas à l’époque, tu n’avais pas fait attention à ces signes que tu trouves maintenant évidents. Il te disait souvent à quel point tu étais devenu un beau jeune homme, que tu n’allais pas tarder à être la coqueluche de tous les autres étudiants et étudiantes sur le campus. Et puis ces sourires, à la table familiale, qui ont ensuite été accompagnés de gestes déplacés, toujours dans l’après midi, lorsque tu étais seul avec lui.

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La musique enveloppe cette pièce que tu as fini par trouver honteusement spacieuse pour toi seul. Une fois n’est pas coutume, tu as cédé à la tentation d’un scotch, toi qui t’es donné pour règle de ne jamais toucher aux alcools forts pour avoir trop connu leurs ravages. La fougue que le pianiste met dans cette ballade terriblement mélancolique, terriblement douloureuse, elle appelle la tienne, cette mer déchaînée au plus profond de toi, elle la fait ressortir, c’est un exorcisme inattendu et dont tu avais désespérément besoin. Il faudra que tu retrouves cette partition, tu l’as quelque part, mais pour une raison qui t’es inconnue, tu n’as plus pu mettre la main dessus et ça t’énerve.
Dans une demi heure, tu as rendez vous avec une charmante jeune femme, voilà qui te changera probablement les idées. Ton téléphone sonne : c’est le restaurant qui appelle pour confirmer ta réservation. Tu leur dit que tu seras là et raccroche, un sourire satisfait aux lèvres.
Dans l’entrée, tu attrapes tes clés de voiture sur le fin plateau en argent surmonté d’un cheval qui se cabre ; lorsque tes doigts en effleurent la surface, un pincement au cœur te rattrape et tu t’immobilises quelques instants. Ce plateau, c’était un cadeau, un anniversaire, celui de vos sept ans. Un cap. Tu allais la demander en mariage, et puis elle a disparu. - Amal. Tu mumures son prénom dans un souffle, presque une supplique : pour savoir ce qu’il est advenu d’elle. Parce qu’au bout de cinq ans, tu ne sais toujours pas ce qui s’est passé et ça te rend fou. Tu finis par te ressaisir et quitter l’appartement sinon tu vas être en retard et tu ne voudrais pas faire ce que tu ne tolères qu’assez mal chez les autres, excepté les femmes lors des rendez-vous parce qu’il y a cette espèce de tradition exigeant qu’elles sachent se faire un peu désirer, ça, tu n’es pas contre, loin de là..  

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est lady rose, tandis que mon prénom est emma . Je suis âgé(e) de 25 ans et je vis actuellement du côté de Selfieland (pour mon malheur..) . Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur alors ça.. je sais plus. Ça fait un moment que je l'ai dans mon navig, bien au chaud. Ma première impression en le voyant a été . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7j/7 et que mon niveau rp est de +/- une page word. Concernant mon personnage j'ai choisi hugh jackman comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi men with style comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum