NOM : Vessalius PRÉNOMS : Inevera Reine SURNOMS : // AGE : 28 ans DATE DE NAISSANCE : 1er juillet 1987 NATIONALITÉ : Américaine SEXUALITÉ : Hétérosexuelle SITUATION AMOUREUSE : Mariée EMPLOI/ETUDES : Psychologue NOM DU QUARTIER : Presidente Drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : Pooky, un chat Maine Coon silver taby et Méfiez-Vous, plus communément appelée Méfie, une chienne labrador de couleur chocolat CHIFFRE PORTE BONHEUR : 03

C'est une femme qui peut se montrer assez jalouse et possessive, notamment lorsqu'on tourne un peu trop autour de... je ne dirais pas territoire, ça ferait un peu trop animal, mais vous m'avez comprise. Elle n'est pas spécialement rancunière mais réfléchissez-y quand même à deux fois avant de lui faire une crasse, car si celle-ci est trop importante, elle saura s'en souvenir et se venger en temps voulu. Pour ça, elle peut parfois attendre plusieurs années avant de passer à l'action. Restez donc sur vos gardes, car si il vous arrive d'oublier, elle, elle n'oublie pas. Elle est d'une franchise à toute épreuve avec ses amis et ne prend pas de gants lorsqu'elle a besoin de dire quelque chose, si bien qu'elle se retrouve souvent dans des situations assez délicates après avoir dit quelque chose qu'elle aurait mieux fait de garder pour elle. Mais ne vous en faites pas, dans ce genre de moment elle saura se montrer la plus adorable du monde pour se faire pardonner. C'est une jeune femme un peu trop bavarde qui ne saura pas s'arrêter d’elle-même une fois lancée. Elle est parfois un peu lunatique, notamment dans ses mauvais jours, mais cela arrive à tout le monde, non ? Dans tous les cas, ne l'asticotez pas trop pendant ces périodes-là, car sous ses airs de chaton, elle peut parfois sortir les griffes et devenir un véritable fauve enragé si on la cherche trop, car elle a son petit caractère et ne se laisse pas faire aussi facilement. Sinon et bien... Je dirais qu'elle est d'une curiosité maladive et qu'elle cherchera à tout prix à savoir si vous lui cachez quelque chose, quitte à vous harceler durant des jours complets. De même, elle sait d'instinct si vous lui mentez ou si vous lui cachez quelque chose et elle vous forcera à cracher le morceau.

Niveau qualités, il faut savoir que c'est une femme adorable, pleine de joie de vivre, qui ne saurait faire de mal à une mouche, sauf si, comme je l'ai dit plus haut, vous l'agacez. C'est une personne assez ouverte d'esprit qui accepte énormément de choses. Elle est motivée et passionnée dans tout ce qu'elle entreprend et ne baissera jamais les bras devant le moindre obstacle, jusqu'à ce qu'elle ait atteint son but. C'est une femme souriante qui n'hésite pas à plaisanter et qui adore s'amuser. C'est une personne assez énergique qui a toujours besoin de faire des choses et de s'investir, détestant se tourner les pouces, bien que parfois, elle ne refuse pas un peu de repos. En amour, elle sait se montrer patiente et fidèle – tout du moins jusqu’à présent – et, lorsqu'elle aime vraiment, elle pourra aller au bout du monde pour vous. Elle saura se montrer douce, aimante, câline... en somme, très affectueuse. Enfin, elle a un côté maternel très développé qui peut la rendre adorable ou bien au contraire exécrable. A voir si vous aimez être cajolé ou pas…

« A quoi pensez-vous ? » La jeune femme fixait le plafond, allongée sur le divan d’un de ses confrères. En tant que psychologue, être à la place du patient la dérangeait, mais elle n’avait pas eu le choix. D’après les dires de certains, elle semblait triste et déprimée ces derniers temps. Pourtant elle n’aurait pas dû l’être, elle avait tout pour être heureuse. Un petit garçon adorable de cinq ans, un mari aimant et toujours aux petits soins avec elle, un bébé qui devrait pointer le bout de son nez dans quelques mois… Qu’aurait-elle pu demander de plus ? Mais voilà, il faut croire qu’elle ne renvoyait pas l’image d’une femme heureuse, puisque son mari l’avait pratiquement forcée à aller consulter. Elle s’était tout d’abord fortement opposée à cette idée. Elle n’avait pas besoin d’un psy, elle était parfaitement capable de trouver ses problèmes toute seule. Mais finalement, plus pour avoir la paix qu’autre chose, elle avait accepté et avait pris rendez-vous. Et maintenant qu’elle était allongée sur ce divan, elle regrettait. Elle regrettait, mais surtout elle comprenait ce que vivaient ses patients. Elle se sentait terriblement mal à l’aise, ne savait pas quoi dire et, surtout, n’avait pas envie de dire quoi que ce soit. Mécanisme de défense classique, elle avait l’habitude de rencontrer ça chez ses patients. Beaucoup se muaient dans le silence ou bien lui répondaient par des phrases qui ne reflétaient en rien ce qu’ils pensaient réellement. Et c’était exactement ce qu’était en train de faire la jeune femme à l’heure actuelle. « A rien… »Mauvaise réponse, elle le savait. Il était impossible de ne penser à rien, bien évidemment. « Si vous étiez un moine bouddhiste, que vous aviez des années de méditations derrière vous, j’accepterais peut être cette réponse. Mais ce n’est pas le cas. Alors, à quoi pensez-vous ? » Elle poussa un profond soupir et se redressa légèrement, se tournant pour faire face à l’homme qui se trouvait assis derrière elle. « Vous savez, je sais comment ça marche. Je fais ça tous les jours et… » Son psychologue venait de lever une main et de lui jeter un regard sévère, lui signifiant ainsi de se rallonger, ce qu’elle fit sans rechigner, bien que cela l’agaçait profondément. « Vous voyez ce mur ? » Elle tourna la tête et acquiesça silencieusement. « Imaginez que c’est un écran de cinéma. Je voudrais que vos moindres pensées soient projetées sur ce mur. Je veux dire par là que j’aimerais que vous me disiez tout ce qui vous passe par la tête. Même si ça n’a aucun rapport, si vous pensez que c’est inutile, pour moi ça sera utile et je saurai quoi en faire. » Nouveau soupir de la jeune femme. Elle avait l’impression de s’entendre, car il n’était pas rare qu’elle dise pratiquement la même chose à ses patients. Comme elle l’avait dit, elle savait comment ça fonctionnait et elle n’avait pas plus envie de parler. Mais à quoi bon payer un psy si c’était pour se taire pendant une heure ? Il allait bien falloir qu’elle dise quelque chose à un moment ou à un autre. Même si elle n’avait pas besoin de lui pour savoir d’où venait le problème. Elle avait une petite idée de la source de sa soit disant « déprime ». Bientôt cela ferait six ans. Six ans qu’elle ne l’avait pas revu, qu’il l’avait abandonnée autant qu’elle l’avait abandonné. Six ans qu’il pourrissait derrière des barreaux, sans savoir qu’il avait un fils. « Que voyez-vous Inevera ? » Elle se rendit compte que le silence dans la pièce durait depuis déjà un certain temps, ce qui la mit mal à l’aise. « Rien du tout… » Bornée, ça elle l’était. Elle n’avait pas envie de parler de ça avec un inconnu. Mais ce dernier ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire aussi facilement, il était aussi déterminé qu’elle. Poussant un soupir, il posa son carnet près de lui et croisa ses bras sur son torse. « Si vous ne vous montrez pas coopérative je ne pourrais rien faire pour vous. Alors j’imagine que c’est bien ce que vous attendez, que je décide de vous renvoyez chez vous et de rien faire pour vous aider. Mais c’est mon métier de vous aider, alors s’il vous plaît, faites un effort. Cela ne vous coûtera rien. » Oui, il avait raison, mais parler de ça était encore douloureux pour elle. Même après six ans. Sa gorge se noua et elle inspira profondément. « J’étais fiancée il y a six ans. Fiancée à un homme incroyable, gentil, tendre… Un homme que j’aimais plus que tout et avec qui j’avais envie de passer ma vie. » Elle s’arrêta, la gorge déjà nouée par la douleur. « C’est bien, continuez. » Elle posa une main sur son ventre rond, qu’elle caressa tendrement pendant quelques secondes, tandis qu’elle réfléchissait à ce qu’elle pouvait dire. « Mais il y a six ans, il a pris le volant, un soir, alors qu’il n’était clairement pas en état de conduire. Sa bêtise lui a valu d’avoir un accident, ce qui a coûté la vie à une famille entière. Aujourd’hui cela fait six ans qu’il est derrière les barreaux, il a pris perpétuité. Comment voulez-vous vous reconstruire après ça ? Quand l’amour de votre vie disparaît, du jour au lendemain. » Elle se tut, tandis que des larmes roulaient silencieusement sur son visage. Pendant ce laps de temps, le psychologue ne dit rien, la laissant se reprendre. Au bout de quelques instants, elle essuya ses yeux d’un revers de la main et reprit. « J’étais enceinte à l’époque. Seulement je n’ai jamais eu l’occasion de le lui dire. Ou tout du moins je n’ai jamais eu le courage. Qu’aurais-je dû faire ? M’imposer une vie entière à attendre un homme qui ne sortirait jamais de prison ? Imposer à mon fils des visites régulières à son père, qu’il aurait, en grandissant, considéré comme un assassin ? Ce n’était pas une vie envisageable, ce n’était pas non plus une vie pour un enfant. J’ai donc été le voir en prison les premières semaines, puis quand mon corps a commencé à changer, je me suis enfuie. J’ai prétexté avoir des obligations professionnelles dans un autre pays et j’ai tout quitté pour aller m’installer en France. C’est là-bas que j’ai mis mon enfant au monde et que j’ai commencé une nouvelle vie. » Derrière elle, l’homme griffonnait des choses dans son carnet, elle entendait le frottement du crayon contre le papier. Mais il ne dit toujours rien, lui signifiant par là qu’elle pouvait continuer à parler. « J’ai donc terminé mes études, tout en jonglant entre les cours et mon fils. C’était difficile, mais pas impossible. Un an après mon installation en France, j’ai rencontré un homme, qui est aujourd’hui mon mari. Ensemble on a réussi à construire quelque chose et j’avoue que j’aurais presque pu oublier mon ancien fiancé. Mais comment l’oublier quand, chaque jour, vous avez une copie miniature de lui face à vous ? C’est difficile. Pourtant jusqu’ici, ça ne m’avait jamais tracassé plus que ça, je parvenais à ne pas y penser et à vivre tranquillement. Il faut croire que ça ne pouvait pas durer… » Elle changea de position, repliant ses bras sous sa tête. « Selon vous, qu’est-ce qui a déclenché ça ? » Elle haussa les épaules et secoua doucement la tête. « Je ne sais pas… » Menteuse, elle savait parfaitement. Mais elle estimait qu’elle en avait déjà suffisamment dit. Ou en tout cas, elle en avait plus dit qu’elle ne l’avait jamais fait. Mais le psychologue ne semblait pas encore satisfait et paraissait vouloir aller plus loin. « Réfléchissez. Je suis sûr que vous avez une petite idée. » Elle soupira et garda le silence pendant quelques minutes avant de finalement reprendre. « J’ai entendu parler de lui, récemment, dans le journal. Il y avait un article disant que son procès devrait être revu en 2025. J’ai cru que ça ne me ferait rien, mais je me suis trompée. » Elle n’en pouvait plus, elle voulait juste que cette séance se termine et qu’elle rentre chez elle. Après ça, plus jamais elle ne remettrait les pieds ici, elle en était certaine. « Est-ce que vous avez des regrets ? » Elle ne répondit pas, et son silence en dit long sur ce qu’elle pensait. Bien sûr qu’elle avait des regrets de l’avoir abandonné ainsi, mais qu’aurait-elle pu faire d’autre ? « Vous vous en voulez ? » Elle haussa un sourcil, intriguée. « Par rapport à quoi ? » Elle cherchait juste à gagner du temps, peut-être même à esquiver la question comme elle venait d’esquiver la précédente. Mais il n’était pas stupide, loin de là. « C’est à vous de me le dire. » Encore une phrase qu’elle aurait pu dire à l’un de ses patients qui se serait montré aussi réticent qu’elle. « Oui… Je m’en veux d’être partie, de lui avoir caché la vérité par rapport à son fils. Je m’en veux d’avoir refait ma vie, de porter un enfant qui n’est pas le sien. Mais surtout je m’en veux d’être revenue à Huntington Beach, j’aurais dû rester en France. Pourtant, même si je m’en veux, je suis heureuse. J’aime mon mari et je ne m’imagine pas vivre sans lui. Alors même si je regrette mes choix, si je pouvais revenir en arrière je referais exactement la même chose, car c’était la meilleure solution à mes yeux. » Elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était malheureuse dans sa nouvelle vie car ce n’était nullement le cas. Elle aimait son mari et porter son enfant était une chose qui la remplissait de joie. Qu’il ne se méprenne pas à ce sujet. « Et votre mari, que pense-t-il de tout ça ? » Aïe… La question qu’il ne fallait pas poser. Elle se mordilla légèrement la lèvre, cherchant une porte de sortie. Mais elle n’en trouva aucune. « Il n’est pas au courant. Je lui ai dit que mon fiancé s’était sauvé en apprenant ma grossesse, et il n’a jamais cherché à en savoir plus. » Nouveau grattement de crayon contre le papier. « Vous êtes parfois tentée de lui dire la vérité ? » Si elle était tentée ? Elle n’en savait trop rien, elle n’en parlait pas et c’était plus simple ainsi. « Pas vraiment… Oui, c’est un secret lourd à porter. Mais si je lui disais la vérité, que penserait-il ? Je regrette ce mensonge, mais je ne peux pas lui dire la vérité. Pas maintenant… » Un jour, peut-être, mais pour l’instant il était encore trop tôt. « Pourtant vous devez bien vous douter qu’un jour il finira par l’apprendre ? Si votre fils se met à la recherche de son père ou bien… » Elle se redressa et lui jeta un regard noir, le défiant d’en dire plus. « Je sais ! Mais pour le moment les choses resteront comme ça. » Elle n’avait pas envie de s’engager sur ce terrain-là et surtout pas avec lui, de surcroît. Elle en parlerait avec son mari le moment venu, même si elle savait que plus les choses traînaient et plus les conséquences seraient douloureuses. Mais peut-être qu’avec un peu de chance il ne l’apprendrait jamais ? L’espoir fait vivre. « Bien, Inevera, je pense qu’on va s’arrêter là pour aujourd’hui. » Elle poussa un petit soupir de soulagement et se redressa sur le divan. Etre restée allongée pendant près d’une heure et demie n’avait pas été très agréable et elle s’étira longuement. « J’aimerais vous revoir la semaine prochaine. Lundi à dix-sept heures, ça vous irait ? » Elle s’était jurée de ne pas remettre les pieds dans ce cabinet, pourtant, allez savoir pourquoi, après avoir payé la séance et serré la main de son psychologue, elle acquiesça à sa question.« Dix-sept heures. Bien, je serai là. » Puis elle quitta la pièce, pas certaine d’avoir fait le meilleur choix.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Chimène, tandis que mon prénom est Chloé. Je suis âgé(e) de 18 hivers et je vis actuellement du côté de Disneylaaaaaaand   . Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Facebook, ma première impression en le voyant a été "Waouh, mais c'est génial ici ! :O". Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7j/7 et que mon niveau rp est de ça dépend x). Concernant mon personnage j'ai choisi Blake Lively comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi U Can't Buy Happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement Je le sais & il est validé par Marichou. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.