La nuit était tombée, Mina venait de rentrer, comme toujours elle bosser tard, et le pire dans tout a, c'est qu'elle filait ensuite dans l'atelier qui se trouvait au sous-sol de sa villa. Deux heure du matin sonnait quand elle décida de monter se coucher. Elle dormait peu et travaillait trop. Elle ne vivait que pour son entreprise et les nombreuses soirée où elle se rendait. Une génie, milliardaire, philanthrope, elle savait charmer la foule, mettre le monde à ses pieds et le dominer. Elle était toujours accompagnée part plusieurs hommes, plus vieux qu'elle mais tout aussi beau et riche. Elle faisait illusion, c'était ce qu'on attendait de l'une des PDG les plus influente, elle devait montrer sa puissance.
Pourtant rien n'avait jamais été aussi faux et personne ne savait tout ce qu'elle avait du traverser. Un cœur détruit et une fille morte. Personne ne savait, mais elle portait ce deuil en elle. Depuis qu'il avait brisé son cœur, elle n'avait qu'un trou béant à la place. Elle savait qu'elle n'aimerait plus et qu'elle en avait perdu son humanité. Elle vivait comme un robot.
Elle dormait, mais elle entendit des coup à la porte. Oh ça devait être le tonner, elle n'en fit pas cas. Ca insistait, elle commençait à pester. Elle avait activé le système de surveillance.
« Qui est-ce VISBAH ? »La voix omniprésente de son système de sécurité et assistant lui répondit
»Je ne sais pas mademoiselle, un homme musclé et visiblement il n'a pas l'air de vouloir partir, voulez vous que je lâche les chiens ? »« Non laisse. Je vais aller voir. »Elle enfile un kimono histoire de cacher mon ensemble en soie, Elle descend les marches pied nu, arrive à la porte, elle l'ouvre, et la referme aussitôt en hurlant.
« Ah non ! Pas toi ! »Lui... comment avait-il osé. Elle le savait, et lui aussi savait qu'elle lui avait dis qu'un jour il reviendrait en rampent à sa porte, mais désolé, elle ne voulait plus être là pour lui. Il appartenait au passé, il l''avait bien trop blessée et son seul désir actuellement était de le tuer.
« barre toi avant que j'appelle les flic ! »Elle rageait et pester en retournant dans le hall. Elle faisait les cents pas,ce n'était pas possible qu'il soit là. Ca la perturbait beaucoup trop. Elle arrivait à se reconstruire, du moins, c'est ce qu'elle pensait. Elle était de plus en plus belle et toujours aussi jeune... Et lui ? Qu'est ce qu'il pourrait lui apporter en dehors de la souffrance ? Elle lui avait fait confiance et il l'avait trahit, bafoué de la pire façon qui soit.
Emi Burton