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 “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta)

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Eden M. Jefferson
Eden M. Jefferson
GOOD COP


› MESSAGES : 370
› EMMENAGEMENT LE : 07/09/2013
› AGE : 39
› STATUT CIVIL : PÈRE CÉLIBATAIRE D'UNE PETITE FILLE ; CROIS AVOIR TOURNER LA PAGE SUR MARISSA, EN RELATION SECRETE AVEC JANE ET PEUT-ÊTRE AMOUREUX DE BETH.
› QUARTIER : A PALM AVENUE, AVEC SA FILLE ;
› PROFESSION/ETUDE : ANCIEN PSYCHIATRE, HOMME AU FOYER ;
› HB AWARDS : (2013) MEILLEUR PERSONNAGE (LOVE IS ENOUGH) (2015) SEX SYMBOL JUNIOR (2016) COUPLE LE PLUS IMPROBABLE AVEC JANE
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› CELEBRITE : LE PLUS BEAU DE TOUT LES HOMMES SEXY : IAN SOMERHALDER ;
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MessageSujet: “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta)   “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta) EmptyMer 21 Oct 2015 - 17:30



“ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ”
Meeta & Eden



Manteau sur l'épaule, Eden chercha dans ses poches son téléphone qu'il retrouva rapidement. Un coup d'œil à celui-ci lui confirma ses craintes. Il était tard. Très tard, mais heureusement pour lui Faith était entre de bonnes mains. Il aurait aimé être à ses côtés, mais son travail ne pouvait pas lui permettre de faire les choses comment il l'entendait. Finalement, il admirait Imran qui visiblement avait toujours le temps pour tout. Était-ce une question d'organisation ? Peut-être. Eden avait un peu perdu la notion du temps avec son rôle à l'hôpital. Sa promotion n'en était pas une au final. Du moins, c'était l'impression qu'il avait. Pouvait-il se plaindre de ça ? Pas forcément, puisque ce poste il l'avait voulu et même longtemps désiré. Rangeant son téléphone, il se dirigea vers un des petits cafés en face de l'hôpital afin d'y commanda un petit quelque chose. Il ne faisait pas froid à Huntington-Beach, c'était bien rare que les températures soient en dessous de 15 degrés, même en hiver. Un temps de rêve pour ceux qui étaient allergiques à l'hiver, mais Eden avait toujours détesté le climat de la Californie. Il rêvait de neige, de vent glacé et de pluie à n'en plus finir. Il avait expérimenté ça à l'étranger et parfois à New York et à chaque fois que décembre approché, l'hiver apparaissait dans son esprit comme un rêve lointain impossible à réaliser. Cette année, il irait faire du ski, peu importe son emploi du temps. Rien ne pourrait l'arrêter sur les pistes et il était certain que Faith allait adorer. Il manquait quelque chose d'essentiel à ce tableau, il manquait Marissa qui s'éloignait de lui à chaque nouveau jour. Peut-être que c'était ainsi que leur histoire allait se terminer, Eden ne savait plus. Pendant des mois il s'était fait à l'idée que Marissa reviendrait. Qu'ils reformeraient une famille, ensemble. Mais plus le temps passait, plus la lueur d'espoir dans son âme s'affaiblissait au point où Eden commençait à comprendre ceux qui ne cessaient de lui dire d'aller de l'avant.

C'était peut-être l'occasion de voir Leah, d'en parler avec elle. Il avait toujours su compter sur son oreille attentive. Et elle l'avait épaulé comme personne, convaincu aussi que le destin ne pouvait séparer Eden et l'amour de sa vie. Mais finalement, Marissa était-elle réellement l'amour de sa vie ? Café en main, Eden se mit à marcher en direction du centre de la ville qui n'était pas très loin. Vu l'heure, il pouvait aller acheter quelque chose à manger avant de rentrer. Peut-être une pizza, quelque chose de simple. Quelque chose de chaud et de rapide, de toute manière il n'avait pas le temps d'aller se poser où que ce soit juste pour le plaisir. Le plus tôt il serait chez lui, le plus tôt il pourrait passer du temps avec sa fille avant qu'elle n'aille dormir. Faisant la queue devant un camion à pizza, il fit défiler les SMS qui se présentaient devant lui. En réalité, il devrait partir maintenant s'il voulait profiter de Faith, mais il savait que cela ne changerait rien. Une fois chez lui, elle serait déjà au lit. Il soupira. Voilà encore une soirée de rater. Si Marissa avait été là, il ne se serait pas inquiété ainsi, mais les choses étaient tellement différentes depuis le divorce. Lorsqu'il n'était pas à la maison, Faith était seule. Même avec son frère ou avec sa nounou, elle resta sans ses parents et ça, c'était une chose qu'il aurait aimée évité le plus possible. Boîte à pizza en main, il laissa un billet vert au vendeur avant de retourner en direction de l'hôpital. Il n'avait plus qu'à monter en voiture et c'était fini, il serait chez lui.

Quinze minutes. C'était le temps qu'Éden prit pour aller de l'hôpital jusqu'à la sortie sur le périphérique la plus proche. Quinze petites minutes et le voilà au beau milieu d'un embouteillage. Sérieusement, c'était assez rare. Mais ses quinze petites minutes se transformèrent rapidement en bon gros quarante-cinq minutes. Musique en fond, pizza à moitié terminer, Eden perdait patiente. Il n'avait pas bougé d'un centimètre. Certaines personnes étaient sorties pour voir ce qui se passait un peu plus loin, mais Eden était du genre patient. Jusqu'à ce qu'il décide de sortir lui aussi. « - Encore un accident ? » Lança-t-il à une femme qui revenait. « - Un camion qui transportais du bois. Visiblement les attaches étaient mal foutus et tout est tombé alors qu'il roulait. » Visualisant parfaitement la scène, Eden espérait qu'il n'y avait pas de mort. « - Heureusement, pas de victime, mais on en a pour une heure ou deux avants qu'il arrange tout ce foutoir. » Eden laissa un léger sourire apparaitre, alors qu'il scruta l'horizon. Deux heures, hein ? Il lui restait encore de la pizza ou…

Alors qu'il s'était retourné pour regarder à l'intérieur de sa voiture, il remarqua un visage familier un peu plus loin. Il fronça les sourcils, quand son regard croisa celui de Meeta. Automatique, cela fit tilt dans sa tête. Avec elle, il n'avait jamais été Eden Jefferson. Avec elle, il n'avait jamais été un psychiatre marié et père d'une petite princesse. Non, pour Meeta Eden était Samuel Adams, un natif de Boston qui suivait plusieurs groupes de musique en concert à travers le pays grâce à son travail d'organisateur de festivals. Le plus con là-dedans : Samuel Adams est le nom d'une marque de bière de Boston. Il n'était pas allé chercher très loin pour son histoire…
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Invité
Invité



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MessageSujet: Re: “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta)   “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta) EmptyDim 25 Oct 2015 - 20:23


Eden&Meeta
" Aucun homme n'a suffisamment bonne mémoire pour faire carrière dans le mensonge " Abraham Lincoln

" T'es où bon sang , on attends plus que toi ... La réunion est commencé depuis cinq bonnes minutes déjà. Meeta, si tu n'es pas là dans dix minutes, c'est vraiment la merde. On peut rien faire sans toi ... " Son téléphone à peine décrochée, que la voix furieuse d'Alan retentit dans les baffles de sa voiture. Meeta grimace car il ne vivait que pour taper des gueulantes celui-là. Elle regrettait presque d'avoir accepter ce projet rien que pour ne plus l'entendre. Tous les jours, elle avait à faire à lui et elle détestait lorsqu'on lui mettait la pression. Bon là, fallait avouer qu'elle était en retard mais ce n'était pas de sa faute car elle venait de tomber en plein embouteillage, chose qu'elle n'osait pas dire à son collègue. Bon, comme elle en avait pour un certain moment à se retrouver bloqué, autant lui avouer que la réunion se ferait sans elle. " Et encore dix minutes c'est peu ... " " QUOI, QU'EST CE QUE TU RACONTES ? " Meeta retient un petit rire et se passe la main dans les cheveux en souriant . " Olala calme-toi, ce n'est pas de ma faute si je suis bloqué dans un énorme embouteillage. Par conséquent, la réunion se fera sans moi. " " Mais cette fille veut vraiment la fin de ma carrière, ce n'est pas possible. " " Bon, tu arrêtes tes airs mélodramatiques stp. Tu connais très bien mes dessins, pour les avoir étudier ensemble. Donc, le temps que je ne suis pas là, présente-les pour moi. Je suis sûre que tu vas gérer et excuse-moi auprès des autres. " " Mais ... " Meeta soupire et l'interrompt direct " OFFFFF tu me saoules, débrouille-toi, à croire j'ai provoqué exprès un accident. A plus tard Alan. " Et elle raccroche avant même d'entendre encore ses râlements au bout du fil. Cette homme avait l'art de stresser pour rien alors que les dessins, elle les lui avait expliqué plusieurs fois pour qu'il puisse les présenter de lui-même comme si c'était les siens. Meeta était tellement mieux à New-York, loin de toute cette ville stressante. Les gens, ici, courait pour tout et pour rien, ne prenant même pas la peine de respirer. Elle aimait faire les choses à son aise et avait horreur qu'on l'harcèle non-stop comme faisait Alan. Meeta allait vraiment toucher un mot à sa femme pour qu'il se fasse suivre car le boulot allait finir par le tuer. Meeta pouvait comprendre que ce projet d’hôpital était très important à ses yeux mais il savait aussi qu'elle ferait de son mieux pour que le projet aboutisse à temps. Elle prenait ses aises mais répondait toujours présente lorsqu'il s'agissait de remettre ses dessins à temps ou d'assister à une réunion comme aujourd'hui. Meeta éteint son téléphone car le connaissant, il allait sûrement la rappeler dans pas longtemps ou il serait encore capable de la mettre en haut parleur pour qu'elle puisse expliquer même de loin ses plans. Ce gars était capable de tout alors autant être tranquille, au moins pour une petite heure. Elle savait très bien qu'il allait s'en sortir comme un chef et présenter leur projet comme il le fallait. La jeune fille se redresse sur son siège pour voir si le chemin était débloqué tout devant mais aucune des voitures présentes ne bougeaient et elle comprit qu'elle serait là pendant un très long moment. Elle finit par descendre de voiture et écoute distraitement les autres personnes parlé d'un camion dont les attaches étaient mal fermées et qui avait déversé tout son bois, le long de la route. Le temps de tout dégager, ils allaient en avoir pour quelques heures. " Manquait plus que ça .. " Meeta murmure  pour elle-même car elle avait horreur de faire du surplace et de devoir attendre pendant un long moment. Elle attrape son café et boit une gorgée. Elle grimace de nouveau car il avait eu le temps de refroidir. Elle se dirige vers une poubelle qui bordait la route et le jette.
Un peu plus tard, Meeta faisait les cents pas depuis déjà quelques minutes, les mains dans les poches de son imperméable et sourit à un enfant qui passe devant elle en jouant au ballon. Elle s'éloigne un peu, regardant ce qui se passait autour d'elle. Tout le monde occupait son temps comme il le pouvait, en discutant les uns avec les autres,  en râlant et en criant qu'ils allaient arriver en retard au travail ou à un rendez-vous, en essayant de se rassurer les uns les autres, etc ... Le temps n'avait pas l'air de passer et Meeta gonfle ses joues de nouveau pour retenir un soupir. Elle retourne à sa voiture car de toute façon, il n'y avait rien à faire à part s'asseoir et attendre, lorsque son regard croise celui d'un jeune homme qui se trouvait pas loin de sa voiture. Plus elle se rapproche et plus elle se dit que ce visage, elle l'avait déjà vu quelque part. Meeta fronce les sourcils pour se rappeler d'où elle le connaissait et son visage s'illumine lorsqu'elle reconnaît Samuel. Cela faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait plus vu. Elle se rappelle encore les weekends qu'il venait passer à New-York et les liens d'amitié qui s'étaient formés entre eux. Le jeune homme avait loué un appart juste en face de celui de la jeune femme et c'est comme cela, qu'elle avait appris à connaître son très cher voisin. Meeta réservait toujours son weekend pour faire découvrir un peu la ville à Sam ou encore l'accompagner à des matchs de basket. Ces deux-là s'entendaient super bien et la jeune fille n'avait pas compris pourquoi du jour au lendemain, Samuel avait arrêté de venir. Elle pensait qu'il était occupé à Boston et qu'il n'avait plus trop le temps de passer à NY mais elle comprit vite fait qu'elle ne le reverrait plus jamais lorsque plusieurs mois s'étaient écoulés. Il n'avait laissé aucune coordonnées ou un numéro de téléphone pour pouvoir le joindre. Il s'était comment dire volatilisé. Meeta avait été déçue de ne pas savoir la raison pour laquelle il avait cessé de venir car une amitié était née entre eux et la moindre des choses, c'était de ne pas couper contact aussi sèchement. Avec le temps, elle avait oublié  son mystérieux voisin pour se consacrer à son petit train train quotidien. Mais là, en le voyant de nouveau devant elle, elle se demandait si elle ne rêvait pas. Il avait fait le mort pendant longtemps et aujourd'hui, le voilà devant elle, en plein milieu d'un embouteillage. Meeta se rapproche . " Samuel ? Tu ... Euh ça fait longtemps .. " Que pouvait-elle lui dire d'autre, elle n'allait pas lui reprocher son absence alors que leur amitié n'avait duré que quelques mois et après tout, il faisait ce qu'il voulait de sa vie.

acidbrain
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Eden M. Jefferson
Eden M. Jefferson
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MessageSujet: Re: “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta)   “ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ” (meeta) EmptyMer 25 Nov 2015 - 16:59



“ There is no feeling of being alive without a sense of identity. ”
Meeta & Eden



Ses journées étaient de plus en plus longues, de plus en plus épuisantes. Il savait que ce n'était pas bon pour lui d'enchainer ainsi et de ne pas s'arrêter. Son travail lui prenait beaucoup de temps, mais Eden était loin de fuir sa vie avec. Il devait simplement s'organiser un peu mieux pour pouvoir jongler convenablement entre l'hôpital et Faith. Malheureusement pour lui, ce soir il était coincé à devoir attendre. Il ne voulait faire qu'une chose, mais il était impossible pour lui de défier la logique. Visiblement un accident de camion le bloquer sur l'autoroute. Par chance, c'était moins dramatique et désastreux que ce qui s'était passé quelques mois plus tôt. Eden se souvenait avoir discuté avec certains blessés ou proche des victimes. Il se souvenait avoir même croisée une lycéenne qui s'était retrouvé avec une jambe dans le plâtre. Le monde pouvait être dangereux parfois et Eden le savait mieux que personne. Il en avait vu des choses, mais il priait pour que sa fille vive dans un environnement plus stable et plus normal. La peine faisait partie de la vie, mais si Eden avait un pouvoir, il l'aurait éradiqué de celle de sa fille et de son futur. Croisant les bras, il appréhendait mal l'heure qui allait suivre. Ou deux heures, même. Il ne savait pas trop, mais cela ne l'étonnerait pas qu'il reste là une bonne partie de la soirée. Il soupira en regardant les voitures devant lui, désolé pour lui-même. Il ne savait pas ce qu'il allait faire pendant ce temps, mais voilà une occasion de ranger un peu sa voiture et de faire un peu le tri. Quoiqu'il n'avait envie de rien là tout de suite. Eden était un peu en colère de ne pas pouvoir rentrer, comme beaucoup cette situation bousculait ses plans, mais ce n'était pas comme s'il n'avait du temps devant lui…

Meeta. Il l'avait apprécié automatiquement. Peu habitué à New York, lorsqu'Eden s'y était autorisé un week-end en parfait anonyme, il ne s'était pas attendu à découvrir une femme formidable. Simple voisine de palier, il avait fini par énormément apprécier sa présence, au point où il finissait vraiment par oublier qui il était. Jusqu'à ce qu'Eden se rend compte du côté dangereux de la situation. Il ne voulait pas être Sam, il ne voulait pas être un autre. Il avait perdu un fils, oui, mais il avait toujours une fille et une femme – bien que maintenant il soit divorcé. Meeta l'avait aidé, sans s'en rendre compte, mais lui n'avait fait que lui mentir. Surpris de sa présence, Eden ne trouva pas ses mots. Oui, cela faisait longtemps. Très longtemps même, mais elle ne paraissait pas si différente. Comme si hier encore ils s'étaient vues à New York.

« - Meeta… » Il s'approcha, mais ne se permit pas d'aller trop loin, même s'il aurait aimé la prendre dans ses bras. « - Oui, ça fait longtemps… » Il y avait deux chemins différents sous ses pieds. Soit il continuait de mentir, soit il disait la vérité. Étant un homme honnête, Eden ne pouvait pas se permettre de jouer un rôle aujourd'hui. Ce n'était pas ce genre d'homme qu'il voulait être pour sa fille et pourtant il en avait fait des conneries plus jeunes. Il aimait croire qu'il s'était calmé avec l'âge et qu'il avait grandi autant que Faith grandissait. Son sourire disparu donc lentement, laissant place à une gêne que Meeta n'avait sans doute jamais vue chez lui. Forcément, Sam n'avait peur de rien. Sam vivait le présent comme si c'était tout ce qu'il avait et il vivait surtout de musique et de simplicité. Eden n'était pas comme ça, peut-être l'avait-il été, mais ce n'était pas lui. Cela ne l'avait jamais été.

« - Je suis désolé. » Lança-t-il automatiquement. « - De ne pas t'avoir dit au revoir, mais surtout… de t'avoir menti. » Il baissa la tête, il ne pouvait pas passer la soirée à parler de tout et de rien sans lui dire la vérité. Autant aller droit au but. « - Je ne suis pas… celui que tu crois. Tout ce que je t'ai dit sur moi à New York, tout était faux. »
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