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 ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.

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Zola Rosebury
Zola Rosebury
THIS WORLD IS MINE


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MessageSujet: ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.   ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. EmptyDim 12 Fév 2017 - 15:35


ZOLA ROSEBURY
« Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.»


NOM : Rosebury, nom Anglais que je tiens de mon père et de ses ancêtres. PRÉNOMS : Zola Peyton, mon prénom me vient d'Emile Zola dont mon père était un grand admirateur, Peyton est le prénom de ma grand-mère paternel, prénom qu'elle impose à chacune de ses petites filles. Depuis que j'ai quitté l'Angleterre je ne donne plus ce second prénom. SURNOMS : Aucun, j'ai un prénom court et je refuse les surnoms débiles. AGE : 27 ans DATE DE NAISSANCE : 10 octobre 1989 par une nuit d'orage. NATIONALITÉ : Anglaise, pure souche.SEXUALITÉ : Bisexuelle, j'ai une préférence pour les hommes mais je trouve que les femmes sont bien plus facile à supporter. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire, non prête à croire en l'amour ou autre connerie de ce genre. Il y a longtemps que je ne crois plus aux comtes de fées ! EMPLOI/ETUDES : Soigneuse animalière au zoo - section fauves NOM DU QUARTIER : Pacific Lane. ANIMAUX DE COMPAGNIE : Max, un labrador pot de colle et qui aime regarder Friends. CHIFFRE PORTE BONHEUR : Les chiffres ne portent pas bonheur tout comme l'argent.


Qui suis-je ? Je ne le sais plus moi même. J'étais une petite fille pleine de vie, insouciante qui se moquait bien de ce qui pouvait atteindre les autres. Je me sentais heureuse et intouchable, puis j'ai grandi, j'ai compris ce qu'était mon monde, j'ai perdu un être cher et je me suis perdue. Mon cœur est devenu trop lourd, ma peine trop immense et j'ai choisi la mauvaise route. Seule, perdue j'ai sombré et je me suis laissé porter ainsi durant de nombreuses années. Des années sombres qui font de moi la femme que je suis aujourd'hui, une femme seule, avec un cœur libre mais que je refuse de laisser à quiconque. Insouciante, sans avenir, joueuse, prête à prendre des risques. Je n'arrive pas à me poser, je suis assez seule pourtant j'ai laissé une place dans ma vie à quelques personnes parce que sans amis je ne pourrais pas tenir, il y a les vrais amis, ceux sur qui je peux compter réellement et ceux qui ne sont que de passage, des amis de soirées, uniquement là pour partager un verre ou mon lit. Je pense être une bonne amie, je ne trahis pas les secrets et je réponds présente. Je pense être plus un poids qu'autre chose pour les autres, je ne vais jamais bien, je suis toujours en plein doute, je suis une personne fragile, instable, prête à chavirer à chaque seconde, la vie ne me semble pas toujours importante, alors je joue avec cette dernière et je dérape. Je crois que je suis malheureuse, non en fait j'en suis sûre, je le sais parce que depuis des années je m'impose cette douleur.



Nous avons tous un passé, un présent et un futur.



Rosebury, un nom, une famille, un empire. Ce nom est assez reconnu dans notre pays, il s'exporte quelque peu mais pour la plupart des personnes vivant dans un monde normal ce n'est qu'un nom. Je ne veux pas être reconnu comme l'une des héritières Rosebury, je ne veut plus leur appartenir, je ne veux plus être l'une des leur. Quitter le pays m'a permis de mettre de côté ce nom et cette famille.

Les Rosebury sont un clan, ancien, telle une famille de mafieux. Nos ancêtres étaient pauvres, affamés, domestiques, et l'un d'eux a profité d'une nouvelle ère pour se faire un nom. Partant de rien il a tout construit, grâce à lui la famille Rosebury s'est fait un nom et depuis des années tout le monde en profitent. Il est loin le temps où nos ancêtres se rappelaient de la misère, et respectaient tout le monde. Mon grand-père a mis de côté la compassion et a dirigé son empire d'une main de fer, forçant les siens à se plier à ses règles. Il règne en maître absolu, tel un roi, tel un dieu. John Rosebury n'a pas de cœur, a épousé une femme sans cœur et froide, a donner naissance à des enfants sans pitié, prêt à écraser tout sur leur passage et les petits enfants suivent le mouvement. Les Rosebury sont un véritable empire, pire qu'une famille royale qui occuperait le territoire. Je suis née dans cette famille, fille de Arthur et Audrey Rosebury, mon père est le premier enfant de John et Peyton, premier héritier de l'empire, ma mère était une pièce rattachée comme aimait le rappeler mon grand-père à chacune de ses belles filles et chacun de ses beaux-fils. Fille d'un banquier elle avait jeté son dévolu sur mon oncle Andrew, qui préféra une comtesse à une fille de banquier, elle se rabattit sur mon père qui crut en son amour. Ma mère était née pour être «la femme de», elle tenait ce rôle à la perfection, elle aurait aimé que je sois comme elle, sans émotion, vide mais assoiffée de pouvoir. Mon père était un bon père, aimant, chaleureux,  me gâtant beaucoup et m'accordant du temps. Je n'aie jamais vu le mal dans les yeux de mon père, j'ai toujours compris que nous étions les deux seuls à ne pas aimer cette vie, il se l'imposait et j'en étais malheureuse pour lui. Étant enfant je n'ai pas vraiment prêté attention au poids qu'imposait nos grands-parents, je m'en moquais, je pouvais avoir tout ce que je voulais, je vivais dans un immense château entouré de toute ma famille, je pouvais jouer avec mes cousines et cousins, j'avais une belle vie, j'entends encore mes rires dans les jardins du domaine. J'étais heureuse.

C'est lors de l'année de mes douze ans que j'ai commencé à prendre conscience de ce qui se passait chez nous, les directives de mon grand-père, les engueulades entre les enfants qui voulaient tous une grosse part du gâteau, les époux et épouses qui devaient se taire car ils n'étaient rien aux yeux du patriarche. Je n'étais pas l'ainée des petits enfants, j'avais deux cousins au-dessus de moi qui commençaient déjà à se bagarrer pour le pouvoir. Les regards étaient posés sur moi, jouant encore avec mes poupées et me moquant bien des affaires des grands. Je fus convoqué par mon grand-père, le vouvoiement était imposé, il était rare de se rendre dans son bureau, je me sentais si petite et si timide face à cet homme grand, au regard dur qui ne me montrait jamais d'affection. Il m'annonça ma mise en internat pour la rentrée, m'indiquant qu'il était temps pour moi d'apprendre à être une femme de pouvoir, je devais connaître plusieurs disciplines pour ne pas paraître bête, parler plusieurs langues pour être à l'aise avec tous etc... Je refusais et comprenais pour la première fois que personne ne pouvait refuser une décision de cet homme. Je prenais conscience doucement du pouvoir qu'il avait sur nous tous. En Septembre je fis ma rentrée dans un internat, accueillant uniquement l'élite de ce pays.

Ma vie prit un véritable tournant l'année de mes quinze ans, le jour de mon  anniversaire. Une grande fête était prévue chez nous, mon père était venu me chercher à l'internat pour le week-end, alors que tout le monde s'occupait de préparer la soirée au château, nous nous rendions au cœur de Londres pour une virée shopping. J'en profitais pour me confier à lui sur l'internat que je n'appréciais toujours pas et mon envie d'être à ses côtés. Nous avions pris du retard dans le timing, à bord de sa voiture de sport mon père comptait rattraper le retard sur la route. Il n'eut pas de soirée, aucune fête d'anniversaire, et je ne mis jamais les vêtements achetés ce jour là. Notre voiture quitta la route, je ne me souviens que de ce camion couché dans le virage et mon cri. Un voilage noir prit place et je ne revis la lumière que deux mois et demi après ce terrible accident. A mon réveil, il n'y avait personne, j'ai attendu une heure et demie avant l'arrivée de ma mère qui m'annonça mon coma, mes blessures mais surtout le décès de mon père. Ma vie s'arrêta ce jour précis.

Mon père était mort, j'étais la seule à en être attristée. Ma  mère réclamait sa part, mon oncle voulait l'entreprise que gérait mon père, mes cousins voulaient me mettre hors circuit. Je ne voulais pas de ma part, je ne voulais pas travailler pour mes grands-parents, je refusais leur monde de requins et me renfermais dans ma bulle. Personne ne me prêtait attention. Je fis la mauvaise rencontre qui bouleversa ma vie à tout jamais. Aaron, mon âme sœur, l'instant magique d'une rencontre, un véritable coup de cœur. Il était toute ma vie. Mon premier amour, ma première fois, ma première dispute, ma première tromperie, ma première humiliation, ma première déception. Aaron fut une vraie bouffée de bonheur dans ma vie mais ce bonheur prit une autre tournure, il est devenu mon pire cauchemar. Aaron était un enfant unique, malheureux par le manque d'amour et d'intérêt que lui portaient ses parents, il avait été amoureux pour la première fois et elle lui avait brisé le cœur, et il avait décidé d'agir ainsi avec toutes les femmes qui rencontraient. Notre histoire dura tout de même quatre ans, quatre années durant laquelle il m'a traîné dans des soirées, m'a rendu accro à l'alcool puis la drogue, il me trompait ne s'en cachait pas, je me taisais par peur de le perdre, il m'a rendu dépendante de lui et de toutes ces merdes, ma famille n'a rien fait, se moquant bien de ce qui se passait, mon grand-père avait seulement dit qu'un jour ça me passerait et que je prendrais le droit chemin. A vrai dire il se moquait bien de mon sort, j'étais un pion parmi tellement d'autres. Je suis devenue l'esclave d'Aaron, amoureuse, aveugle, j'ai tout supporté pour lui, pour sauver notre couple et il est parti, un jour. J'étais devenu un vrai zombie, je n'avais plus aucun intérêt pour lui, j'étais assez abîmé pour qu'il passe à une autre. Je me suis coupé les veines, voulant qu'une chose, rejoindre mon père. Malheureusement on m'a sauvé.

Je fus conduite dans une clinique privée en suisse, loin de ma famille, loin des journalistes pour éviter tout scandale. Je suis resté près d'une année dans cette clinique, silencieuse durant plusieurs mois, refusant de parler avec le psy, de suivre des cours de bien-être et autres connerie de ce genre. Puis un jour j'ai parlé, j'ai réussi à mettre des mots sur ce que j'avais subi mais aussi sur ma tentative de suicide qui à présent était bien réelle. Toute ma vie mes poignées seraient marqués, un rappel à Aaron et la bêtise humaine. Lorsque je suis rentrée au château familial, mon grand-père m'attendait, m'indiquant qu'à partir de maintenant c'était lui qui ordonnait et moi qui obéissais, m'offrant par obligation le poste de directrice du magazine sur la mode et beauté créée par ma grand-mère. Je ne voulais pas de ce poste, je ne voulais pas appartenir à l'une de leurs nombreuses entreprises, ils étaient des touches à tout. Refusant ce poste, je reçu une baffe mémorable, mon sac sur l'épaule, je quittais la demeure des Rosebury sans jamais y revenir.

Les États-Unis étaient ma terre d’accueil, je m'offris un tour du pays, dépensant l'argent que j'avais amassé depuis ma naissance et l'argent de l'héritage de mon père, le patriarche m'avait coupé les vives, plus aucune transaction n'était faite. Je ne voulais pas de son argent, je dépensais donc le mien et gardais précieusement celui de mon père en cas de coup dur. Durant mon internat j'avais commencé des études, et je comptais bien les terminer et devenir soigneuse animalière. M'offrant un appartement à New-York, je ne restai pas très longtemps, quittant le continent pour l'Afrique. Prenant mes marques dans une réserve, apprenant aux contacts des soigneurs qui préservaient les animaux. Ce voyage me fit un grand bien, même si une fois seule le soir je me retrouvais avec ma meilleure amie la bouteille d'alcool, mais être entourée de personnes simple, d'animaux à soigner et protéger me faisait un grand bien. L'héritage de mon père me permit de prendre une vraie place au sein de la réserve, offrant ce que je pouvais pour subvenir à leurs besoins. J'étais à présent l'une des leur.

Une place me fut proposée au zoo de N-York, je l'acceptais ayant envie d'une nouvelle aventure. Malheureusement une fois là bas je me rendis compte que le poste n'était pas réellement réservé, je devais passer des concours que je refusais de passer. Dommage pour la grosse pomme car le zoo d'Huntington Beach fit appel à moi et j’acceptais avec joie leur proposition. C'est ainsi qu'il y a deux ans ma valise se posa dans cette ville. Rosebury ça ne parlait à personne, personne ne connaissait mon passé, ce nouveau départ était important. Durant ces deux années j'ai réussi à me faire des amis, des vrais, un vrai soutien pour moi même si je reste toujours cette femme perdue et toujours prête à chavirer du mauvais côté. Si aujourd'hui je ne touche plus à la drogue on ne peut pas en dire autant de l'alcool, je reste dépendante, par chance cela ne se détecte pas facilement car je suis toujours de sortie en bar ou en boîte et les gens pensent juste que je m'amuse... c'est mieux ainsi, je ne veux pas d'aide.



Derrière l'écran :

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est frozenlips, tandis que mon prénom est christine. Je suis âgé(e) de trente ans, le cap est dur xD et je vis actuellement du côté de ma belle Normandie. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur dans mon petit cerveau, ma première impression en le voyant a été ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 117651489 . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de correct. Concernant mon personnage j'ai choisi Kat Graham comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi nom du groupe comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le sais . A bientôt sur le forum ♥️


Dernière édition par Zola Rosebury le Mer 22 Fév 2017 - 12:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.   ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. EmptyDim 12 Fév 2017 - 21:07

ouh enfin ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 3200772859 ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 3200772859 ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 3200772859
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MessageSujet: Re: ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.   ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. EmptyMar 14 Fév 2017 - 10:25

ELLE EST CANON ! AAH ! :D J'ai hâte d'en savoir plus, en tout cas, je la kiff déjà.  ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 2638419894 (puis j'te dis ça avec Tehani, #team)
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MessageSujet: Re: ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.   ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. EmptyMar 14 Fév 2017 - 19:39

ON L'ADOPTE, FRANGINE ? ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 819531770
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MessageSujet: Re: ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose.   ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. EmptyJeu 23 Fév 2017 - 14:18

Il faut absolument qu'on complote nous deux ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 3200772859 ZOLA • Croire en rien c'est déjà croire en quelque chose. 3200772859
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