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 Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !

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Noah S. Harper
Noah S. Harper
lama en évolution


› MESSAGES : 418
› EMMENAGEMENT LE : 07/12/2012
› AGE : 50
› STATUT CIVIL : Je suis le fils d'Eleanor Harper, une femme au grand coeur. J'ai été marié durant plusieurs année à Sophia avec qui nous avons eu un garçon : Jamie. Notre mariage prend fin lorsque l'on m'annonce son décés, je viens de découvrir il y a quelques mois qu'elle n'est pas morte. J'espère pouvoir renouer avec ma femme et redevenir l'homme bien que j'étais à ses côtés. Avec son retour j'ai découvert notre fille : Lily. Je suis également papa de la petite Maya Meyers et de Mason Stewart.
› QUARTIER : 2050 Palm Avenue avec mon fils Jamie ainsi que ma mère Eleanor.
› PROFESSION/ETUDE : Avocat - Ténor du barreau. A la tête de mon cabinet.
› DOUBLE COMPTE : Marissa I. Jefferson - Mischa S. Miller - Sawyer E. Clarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Elisabeth Howard & Erin R. Preston.
› CELEBRITE : Leonardo sexy, impressionant, magique DiCaprio
› COPYRIGHT : © Bazzart & Tumblr
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MessageSujet: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyLun 19 Aoû 2013 - 3:46

Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! 402664nina4 Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! 601387leonardo
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« Un whisky s’il vous plaît ! » Baissant le regard, fronçant les sourcils ne croyant pas qu’il était en train de faire cela. Glissant sa main dans la poche de son pantalon, en sortant son téléphone qu’il coupa avant de le remettre à sa place. Il ne voulait pas qu’on le dérange, qu’on l’arrête alors qu’il s’apprêtait à boire de l’alcool. Lui cet ancien alcoolique qui avait failli perdre son fils à cause de cette addiction de merde qui lui bouffait toute sa vie. Oui il était bien là, assis sur ce tabouret bancal, accoudé au comptoir de ce bar glauque, lugubre se trouvant à la sortie de la ville. Il avait honte et pourtant lorsque le verre claqua sur le bois sali du comptoir il senti un désir malsain en lui. Se saisissant du verre d’un geste brusque, il souleva ce verre l’observant quelques secondes avant de fermer les yeux et le porter à sa bouche. Les premières gouttes arrivèrent dans sa gorge. Un délice. Il ne le dégustait même pas, on aurait dit un chien assoiffé. Avalant ce verre, passant ses doigts sur ses lèvres alors que ce doux nectar l’envahissait, redécouvrait son corps. Posant le verre, il le laissa glisser vers le barman levant la main lui indiquant qu’il en voulait en second. Oui Noah Harper, cet avocat brillant, père célibataire était en train de sombrer une nouvelle fois dans l’alcool. Honteux il se cachait. Il faisait ça en douce. Il était certain que ses proches ne le laissèrent pas faire, son fils, ses parents, ses frères et sœurs, Neela, Leah… il n’aurait plus qu’à trinquer seul ou avec ses vieux potes, et notamment Heath qui se ferait un plaisir de lui servir un verre ? Pourquoi boire ? Pourquoi se réfugier ainsi dans l’alcool ? Pourquoi jouer ainsi avec sa vie et celle des autres, pourquoi détruire une nouvelle fois tout ce qu’il avait construit ? Parce qu’il aimait deux femmes fantastiques et qu’il était incapable de choisir, parce qu’elles étaient tellement fantastiques qu’il ne supportait pas l’idée de leur faire du mal. Leah, Neela. Neela, Leah. Elles étaient différentes et pourtant elles lui donnaient envie d’avancer, de vivre. Depuis le décès de sa femme il s’était focalisé uniquement sur Jamie, il n’avait laissé aucune femme rentrer dans sa vie, juste des coups d’un soir, histoire de passer le temps… Il était prêt aujourd’hui, grâce à elles. La vie était franchement mal faite !

Il n’en pouvait plus d’être sans nouvelle d’elle, il s’était alors rendu devant son appartement. Posant la paume de sa main contre le mur, fermant les yeux, inspirant un bon coup avant de venir cogné son point contre la porte de son appartement. Leah. Elle ne savait encore rien de toute cette histoire, Neela, sa grossesse… comment lui dire une telle chose ? Il n’en pouvait plus, il ne pouvait plus être loin d’elle, il brûlait d’envie de la prendre dans ses bras, de la sentir contre lui, de poser ses lèvres contre les siens… Leah était distante, elle avait imposé une certaine distance entre eux qui était devenue insupportable pour l’avocat. Il l’avait laissé tranquille, il lui avait laissé du temps et c’était vrai que pendant ce temps il avait quasiment était avec Neela, juste elle. Mais ce soir, alors qu’il sortait du bar après avoir avalé, quatre, cinq verres il ne pouvait pas se résigner à rentrer chez lui. Il voulait la voir, lui dire qu’elle lui manquait et qu’il en avait marre de tout ceci ! Passant une main dans ses cheveux il prit une nouvelle inspiration alors que la porte s’ouvrait enfin. Avalant difficilement sa salive, il l’aperçut alors. Sourire au coin des lèvres, soulagé de la voir. Avançant vers elle, il posa ses mains sur les joues de la jolie brune venant poser ses lèvres contre les siens. Elle lui manquait ! Stoppant ce baiser il posa son front contre celui de la jeune femme. « Tu me manques Leah » Qui à être ridicule autant ne pas l’être à moitié. Oui il savait elle avait besoin de temps, qu’il la laisse et tout mais franchement lui il en avait marre. Noah voulait être avec elle, l’aider à surmonter les épreuves qu’elle vivait… et si il en avait la force il lui avouerait la vérité, cette dure vérité qui allait mettre fin à leur histoire ?

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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyMer 21 Aoû 2013 - 18:01

“Stay with me, baby stay with me, tonight don't leave me alone. Walk with me, come and walk with me, to the edge of all we've ever known. Well, I'm not sure what this is gonna be, but with my eyes closed all I see is the skyline, through the window, the moon above you and the streets below. Hold my breath as you're moving in, taste your lips and feel your skin. When the time comes, baby don't run, just kiss me slowly.”




Assise au comptoir de la cuisine, mon ordinateur devant moi, je tapais à toute vitesse un nouvel article. Ce n'était pas une nouvelle recette mais la critique d'un nouveau restaurant récemment ouvert en ville. Globalement il s'agissait surtout de compliments sur l'établissement, après tout c'était un endroit plutôt sympa et la nourriture y était délicieuse. J'avais pu tester les lieux à deux ou trois reprises déjà, et j'étais à chaque fois rentrée chez-moi emballée. Il fallait que j'en parle à mes abonnés, si certains d'entre eux vivaient dans le coin ils pourraient toujours tester par eux-mêmes et pour les autres aux quatre coin du pays et peut-être même à l'étranger, et bien ils pourraient toujours garder l'adresse dans un coin de leur tête pour un futur voyage en Californie par exemple. Il me restait à me relire, à faire la mise en page et le tout serait prêt à être mis en ligne. En général lorsque je travaille sur mon blog je suis toujours concentrée et personne ne peut réussir à m'arracher à mon clavier et mon écran mais aujourd'hui je suis distraite. Mon esprit est occupé ou plutôt préoccupé par tout un tas de choses et cela m'empêche de pouvoir travailler tranquillement. Je n'ai de cesse de regarder à gauche, à droite, à trouver tous les prétextes possibles pour m'interrompre, c'est comme si je n'avais même pas envie de faire ce que j'étais en train de faire. Finalement agacée par mon propre étourdissement, j'ai fermé l'écran d'un cou sec avant d'enfouir mon visage dans mes mains. " Uuuuugh! " Je n'allais arriver à rien, je le savais et je ne pouvais rien faire d'autre que de me stopper en attendant que le temps se passe et que la motivation et la concentration soient au rendez-vous. Tapant doucement mon front sur le comptoir de la cuisine en signe de désespoir, je finis par faire tourner mon tabouret pour faire face au séjour. La télé était allumée mais le son était coupé, les informations… Toujours autant d'horreurs qui se passent dans le monde, depressing much! Me levant pour attraper la télécommande, j'allais m'affaler dans le canapé avant de changer de chaine. Il me fallut zapper au moins une trentaine d'émissions, de séries, de documentaires et de films avant d'atterrir sur des dessins animés. Instinctivement j'avais posé ma main sur mon ventre. Dire que d'ici quelques mois j'allais avoir un enfant, j'avais beau me le répéter encore et encore, cette idée ne me semblait pas réelle. Pour le moment à vrai dire, je ne pensais pas tellement à acheter des vêtements pour nouveau-nés, ni même au choix de prénoms, non… Je me torturais l'esprit pour savoir comment annoncer la nouvelle à mes proches, et surtout je ne cessais de prier pour que le père de cet enfant ne soit pas Ethan. Autrement, imaginez la situation ultra compliquée… Ethan serait à la fois le père de mon bébé et le mec de ma soeur. Mon Dieu! Il fallait absolument que je sois enceinte de Noah, même si ça n'allait pas être facile non plus parce que j'étais loin d'avoir prévu une telle situation si tôt dans notre relation qui n'en était d'ailleurs pas une … enfin j'en sais rien. Noah. Je ne l'avais pas vu depuis plusieurs semaines maintenant, c'était à peine si on se parlait même, et c'était entièrement ma faute je le sais. C'est-à-dire que depuis la plage nous n'avons pas eu beaucoup d'occasions de nous retrouver à nouveau. Peu de temps après il y a eu l'agression, je n'avais pas envie qu'il me voit dans le sale état que j'étais, je ne voulais pas lui imposer quoi que ce soit, ni même qu'il se sente obligé d'être là pour moi ou de faire quelque chose pour m'aider. Après tout, nous n'étions pas ensemble… Nous nous sommes revus malgré tout, mais ce n'était pas spécialement agréable, ni romantique, ni attendrissant, ce n'était pas de sa faute mais je me suis montrée distante, presque froide à son égard. À présent, évidement je m'en veux mais sur le coup j'essayais surtout de me protéger. Je n'aurais pas supporté qu'il me me prenne dans ses bras, même mon père n'aurait pas pu poser sa main sur mon épaule sans me faire pleurer. C'est vous dire! Je ne voulais pas que Noah me voit si fragile même si le réconfort de son étreinte m'aurait sans doute apporté la sécurité dont j'avais besoin. Je ne suis pas douée pour les relations, et même si j'aimerais le revoir maintenant, je n'ai aucune idée de quoi dire, ou quoi faire parce que quoi qu'il arrive je vais devoir lui parler de cette grossesse et du fait qu'il en est peut-être le responsable ou peut-être pas. Honnêtement j'ai peur que Noah ne me regarde plus avec autant de tendresse et d'affection qu'avant. J'ai peur qu'il me prenne pour la plus grosse trainée qu'il soit, ou qu'il men veuille tout simplement… J'ai couché avec lui après avoir couché avec Ethan mais entre eux il n'y a eu que quelques jours d'intervalle. Avec Ethan on était bourrés et pressés aussi, on ne s'est pas protégé parce que dans le feu de l'action nous n'y avons pas pensé, et avec Noah le moment était tellement … beau… c'est passé à la trappe complètement. Je sais, je sais, c'est totalement irresponsable de ma part, de la leur aussi, et qui plus est je suis incapable de prendre la pilule sans jamais l'oublier elle aussi, et avec tout ça on est en droit de se demander comment j'ai fait pour ne jamais être enceinte ou pour n'avoir jamais attrapé de MST avant, moi-même je me le demande… Cela dit, d'habitude je fais plus attention, il a fallu seulement deux petite fois et me voilà dans la merde jusqu'au cou. Vous comprenez pourquoi je suis incapable de rester concentrée sur ma critique de restaurant, non? Comment pourrais-je penser à autre chose que tout ceci? Impossible! Et le pire c'est que j'ai réussi à garder tout pour moi pendant plusieurs semaines. Ce sont des tests à l'hôpital, après mon agression, qui m'ont appris la nouvelle. Et quand je pense que je portais déjà ce bébé en moi lorsque je me suis faite attaquée… J'en suis malade. J'aurais pu le perdre avant même de savoir qu'il existait… Je n'ai jamais imaginé que les choses se dérouleraient comme cela, en fait je ne sais même pas si je suis prête à être mère. Et malgré tout, depuis que je suis au courant, il n'y a pas un instant où j'ai songé à avorter. Pas un seul instant. Il a tout de suite était très clair pour moi que j'allais le garder. Même si j'aurais voulu être en couple avant d'être mère, même si ce n'est absolument pas une situation idéale, c'est le destin. C'est ainsi et je ne compte pas fuir cette situation même si pour le moment je n'ai pas encore trouvé comment l'affronter et l'assumer.

Mon instinct de protection envers moi-même et envers ce bébé s'est développé à un point où je suis incapable de prendre mon téléphone pour appeler Noah. La peur me paralyse et je ne cesse de remettre à demain la discussion qu'il va nous falloir avoir. Et pourtant… Pourtant il me manque tellement. Je ne suis toujours pas prête à être totalement confortable à l'idée d'être physiquement proche et tactile avec quelqu'un en dehors de mes soeurs. Et en dehors de Noah aussi… Avant je ne voulais pas qu'il me voit avec mes bleues et mes égratignures mais dès le début j'avais envie de me glisser dans ses bras, je n'ai simplement pas osé… Et maintenant je crains qu'il ne croit que je ne veux plus de lui, que je préfère couper court à ce qu'on commençait à avoir ensemble. La vérité c'est que pour la première fois depuis des années, je ressens vraiment quelque chose pour un homme. Moi, la fille qui collectionne les mecs depuis son enfance, autrefois en taille poupée barbie, aujourd'hui j'aime les Ken en grandeur nature. Mais Noah est différent. Avec lui je n'ai pas envie de jouer, il me fait me sentir heureuse et en sécurité, je n'ai pas peur d'avoir le coeur brisé, ou presque pas peur en tous cas. J'ai confiance en lui, ça ne s'explique pas.

Perdue dans toutes mes pensées, je fixe pourtant l'écran de la télé tandis que Bob l'éponge et Patrick entament une chanson portant sur l'amour qu'ils ont pour les krabby patties. Passant une main dans mes cheveux, je me sens soudainement épuisée. Je n'arrive pas à me souvenir de la dernière fois où j'ai eu l'esprit tranquille, forcément, trop penser ça fatigue et quand on est enceinte c'est deux fois pire. Je ne dois pas me plaindre, c'est ce que je me répète en boucle, j'ai de la chance pour pleins de choses dans la vie, j'ai besoin de voir les bons côtés dans ma situation, ça m'aide à garder les pieds sur Terre et à ne pas devenir complètement hystérique. Couchée de tout mon long dans le sofé du salon, j'avais sans doute l'air d'une baleine échouée (minus la taille de baleine quoi). Soudain, j'entendis quelqu'un taper à la porte. A cette heure-ci je n'attendais personne, et mon pseudo colocataire avait les clés alors il n'avait pas à frapper, et d'ailleurs même s'il les avait oublié il pouvait tout aussi bien utiliser la sonnette. Je m'étais redressée rapidement, intriguée et un peu nerveuse aussi. Comme à ma nouvelle habitude, je pris la peine de regarder par le judas de la porte pour voir qui se trouvait de l'autre côté. En voyant Noah je laissais échapper un petit bruit à mi-chemin entre un soufflement et un cris. Je passais mon temps à penser à lui alors il fallait bien qu'il atterrisse devant ma porte à un moment donné, non? Levant les yeux au ciel, je me sentais pourtant reconnaissante envers le hasard qui pour le coup faisait vraiment bien les choses. Puisque je n'étais pas prête à aller vers Noah c'était lui qui était venu vers moi. À peine avais-je ouvert la porte en prononçant son prénom pour lui signaler ma surprise de le voir ici, qu'il attrapa mon visage entre ses mains et m'embrassa. Un peu prise de court, je pouvais sentir mon coeur s'emballer. C'était la première fois qu'il m'embrassait depuis que je m'étais faite agressée, la première fois que quiconque m'embrassait en fait. Ses lèvres étaient telles que je me les rappelais, douces et tellement agréables au contact des miennes, mais un détail me perturba tout de même… Je pouvais sentir l'alcool qu'il avait sans doute ingurgité avant de venir. Je ne comptais pas faire de remarque à ce sujet, Noah était un grand garçon il pouvait faire ce que bon lui semble mais je ne pouvais m'empêcher de trouver cela étrange. Pourquoi avait-il ressenti le besoin de boire ce soir, et pourquoi était-il là maintenant? Evidement j'étais heureuse de le voir mais une part de moi se posait déjà un millier de questions. Je lui manquais. Il venait de le dire, et ces quelques mots me réchauffèrent le coeur comme jamais. "Toi aussi Noah tu me manques!" répondis-je un sourire sur les lèvres. Attrapant sa main je le tirais vers l'intérieur de mon appartement. "Entre!" C'était l'occasion rêvée de lui parler enfin, de lui dire tout ce qui me trottait dans la tête, ou en tous cas de lui révéler certaines choses. Mais avant, j'avais besoin de le retrouver lui, de profiter un peu de ses bras, de ses lèvres. Le fixant un instant, j'eu un petit moment d'hésitation, je me sentais bête. Finalement, j'allais me glisser dans ses bras, me blottir même. "Pardon." lâchais-je calmement. "Pardon de t'avoir tenu à l'écart…" Levant la tête vers lui je voulais le regarder dans les yeux. J'avais la sensation de retrouver ma maison après une longue absence, comme si c'était Noah mon chez-moi…

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Noah S. Harper
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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyMar 27 Aoû 2013 - 3:09

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Il était complètement paumé, il ne savait même pas si ils étaient encore quelque chose l’un pour l’autre. Lui avait toujours des sentiments pour elle, il l’aimait aussi étrange que cela pouvait paraître quand on savait qu’il aimait aussi Neela, mais que ressentait Leah ? Il avait des doutes, il n’était plus certain d’être celui avec qui elle voulait être, si ça avait été le cas elle aurait eu besoin de lui. Pourquoi cet éloignement ? Noah comprenait que pour la jolie brune ça n’avait pas été simple, mais le mettre de côté avait compliqué les choses en tout cas de son côté. Aujourd’hui il était complètement perdu. Il ne devrait pas être ici, devant elle et il ne devrait même pas l’embrasser. Il aurait du choisir un endroit neutre, garder ses distances et lui expliquer ce qui se passait de son côté. Il en était incapable, à présent qu’il était devant elle il voulait tout faire sauf parler. Leah lui avait manqué, terriblement manqué. Il n’y avait pas que le sexe, c’était bien plus que cela. L’avoir à ses côtés, la prendre dans ses bras, sentir son doux regard se poser sur lui, l’entendre rire… des détails anodins qui avaient une importance capitale pour lui. Ces petites choses s’étaient ce qui faisait qu’aujourd’hui il était accro à elle, et partageait entre deux femmes. Lorsque ses lèvres se posèrent contre celle de la jeune femme, il fit attention à ne pas la brusquer, l’envie ne lui manquait pas d’être plus entreprenant mais il ne voulait surtout pas qu’elle se bloque et qu’il se retrouve derrière la porte comme un con. Entrant à l’intérieur se laissant tirer par la main par la jolie brune, passant une main sur son visage limite soulagée de pouvoir la retrouver. Noah avait cru un instant qu’elle n’ouvrirait pas la porte ou bien qu’elle lui demanderait de la laisser seule. Leah vint se blottir contre lui, refermant ses bras contre la jolie brune se rappelant de ce moment à la plage où il lui avait promis de ne jamais la faire souffrir. Il avait échoué en beauté, un échec, un de plus. Fermant les yeux quelques secondes alors qu’elle lui demandait pardon, insupportable quand on savait ce que lui devait lui annoncer. Il restait pourtant silencieux, se demandant si finalement il ne devrait pas se taire, au moins pour une soirée, oublier les problèmes l’espace de quelques heures et les reprendre demain au pied du lit. Egoïste ? Oui. Il déposa un baiser sur le front de sa belle alors qu’elle s’excusait à nouveau. « Ce n’est rien… tu avais besoin de temps, je comprends. » Noah comprenait le fait qu’elle avait eu besoin de temps mais il voulait tout de même savoir où ils en étaient tout les deux. Avant cela il voulait savoir comment elle allait à présent. « Ça va ? Comment tu te sens ? » Il ne savait rien et ça le rendait fou. Quoique l’on pense de lui il tenait à la jolie brune sinon il ne serait pas là à prendre soin d’elle, à prendre connaissance de son état. Si il n’y avait que le sexe il ne serait pas là, il ne se donnerait pas cette peine. Avec Leah il y avait bien plus, depuis le début c’était bien plus qu’une histoire de fesses et il voulait faire les choses convenablement car c’était ce qu’elle méritait, surtout après tout ce qu’elle avait vécue c’était la moindre des choses de prendre soin d’elle. De la protéger. Malheureusement il ne valait pas mieux que les autres.  « Leah ? » Il desserra son étreinte, prenant sa main avançant avec elle vers le salon avant de prendre place sur le canapé. Noah avait besoin de savoir où ils en étaient tous les deux, peut être que c’était évident pour Leah mais pas pour lui. Il était perdu, à cause de ce qui se passait de son côté. Peut être qu’il avait besoin justement de savoir ce qu’il en était pour la jolie brune pour prendre une décision. Il refusait de choisir, et il ne voulait pas l’entendre lui dire que c’était terminé entre eux, il ne pouvait pas imaginer une telle chose. « J’ai besoin de savoir ce qui va se passer maintenant… entre nous. » Il passa la main dans ses cheveux, réfléchissant avant de reprendre la parole. Noah était quelqu’un qui se confiait assez facilement, il n’avait pas du mal avec les mots mais ça restait un homme et les quelques verres qu’il avait avalés l’aidaient effectivement à se dévoiler. « Tu me manques vraiment, je n'en peux plus d’être loin de toi et j’ai besoin de savoir si tu ressens toujours la même chose pour moi car moi je ressens toujours la même chose… non, je ressens encore plus. Je me suis rendu compte que sans toi ce n’était pas possible. Tu me manques, ton sourire, ton rire, tes longs discours… et chaque parcelle de ton corps. » Glissant sa main délicatement le long du bras de la jolie brune. Noah avait oublié le pourquoi de sa visite, sa révélation. Il ne voulait plus y penser, il en avait marre de penser à tout ceci même ci c’était égoïste de sa part de vouloir mettre cette histoire de côté en sachant qu’elles allaient souffrir toutes les deux. Le pire était Neela qui était déjà au courant de cette histoire. Comment Noah Harper, l’homme intègre en était arrivé là ? Jamais, Ô grand jamais il n’avait fait souffrir une femme de sa vie. Il avait toujours eu beaucoup de respect pour la gente féminine en même temps il avait grandi entouré de ses sœurs et avait eu rapidement beaucoup de respect pour les femmes. Il avait rencontré sa femme, de bonne heure, trop jeune pour certain mais pas pour lui. Noah l’avait aimé au premier coup d’œil et n’avait jamais cessé de l’aimer, même aujourd’hui elle restait sa femme et personne ne pouvait avoir sa place. Sophia était unique, sa femme, la mère de son enfant et heureusement qu’ils avaient eu Jamie sinon Noah ne serait plus de ce monde il aurait suivi sa femme. Il avait été un bon mari jusqu’au bout et aujourd’hui cet homme semblait bien loin. L’avocat ne comprenait plus ce qui se passait, les deux femmes étaient en train de le changer, de le rendre complètement dingue avec cette histoire et au final le plus con des trois c’était bien lui. Il avait souvent été le premier à ne pas approuver les méthodes de Heath et Liam, pensant à chaque fois « pauvres femmes » les pauvres qui étaient utilisés comme du bétail par ces deux tombeurs. Aujourd’hui il était comme eux, même pire car avec eux au moins les choses étaient claires alors que lui jouait avec les deux jeunes femmes sans en prendre conscience. Que lui arrivait-il ? Une crise de la quarantaine, un besoin de plaire aux petites jeunes ?
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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyMar 27 Aoû 2013 - 4:44

“Stay with me, baby stay with me, tonight don't leave me alone. Walk with me, come and walk with me, to the edge of all we've ever known. Well, I'm not sure what this is gonna be, but with my eyes closed all I see is the skyline, through the window, the moon above you and the streets below. Hold my breath as you're moving in, taste your lips and feel your skin. When the time comes, baby don't run, just kiss me slowly.”




Noah est patient, Noah est compréhensif, Noah est parfait. Peu d'hommes auraient su me donner l'espace et le temps dont j'avais besoin mais lui s'est tenu à l'écart et peut-être que cela aurait pu être une mauvaise nouvelle pour moi, il aurait pu perdre de l'intérêt pour ma personne ou rencontrer quelqu'un d'autre, mais sa présence ici ce soir me prouvait le contraire. Il s'intéressait toujours à moi. Quelque part sans doute que cela me rassurait un peu, même si d'un autre côté j'étais pleine de doutes concernant le futur d'une éventuelle relation avec lui. Peu importe, nous n'en étions pas encore là.  "Ça va… Mieux… Disons qu'il y a eu quelques semaines difficiles mais je me sens beaucoup mieux à présent et prête à reprendre du poil de la bête. Et toi? Tu vas bien?" En dehors de l'alcool qu'il avait ingurgité et qui me surprenait un peu (beaucoup), il avait l'air d'aller bien. Légèrement nerveux peut-être mais le fait que l'on ne se soit pas vu depuis pas mal de temps y était peut-être pour quelque chose. En tous cas ses étreintes et ses baisers n'avaient pas l'air de trahir un quelconque problème, j'étais heureuse de le voir et je voulais croire qu'il était heureux de me voir aussi. J'était même prête à parler avec lui de mon agression, répondre à ses questions s'il en avait, lui donner peut-être un ou deux détails… Je ne voulais pas qu'il en sache trop tout de même, je savais que cela ne servirait à rien d'autre qu'à le frustrer d'avantage. Tout comme la plupart des hommes dans mon entourage, Noah ne supporterait sans doute pas d'entendre parler des dizaines de coups de pieds que je me suis pris dans les côtes, les jambes, et même le ventre, les coups au visage aussi, mon corps balancé au sol comme une vulgaire carcasse… Non. Je ne pensais pas que cela plairait à Noah. J'étais prête à en parler un peu plus librement certes mais je ne voulais pas qu'il ait ces images là en tête à chaque fois qu'il serait en ma présence, ni qu'il s'imagine ce que c'était que d'être face à cet ignoble individu, ni qu'il ait peur de me toucher. Je ne voulais pas que mon agression impact sur les autres comme elle impactait sur moi. Noah prononça mon prénom, il avait l'air d'avoir quelque chose à dire et moi j'étais toute ouïe, prête à l'écouter. Je ne savais pas s'il était venu ici avec un but bien précis ou si c'était un pur hasard, il passait dans le quartier et il a décidé de s'arrêter. Allez savoir! Je me laissais prendre par la main et tirer vers le salon, je ne pouvais m'empêcher de lui trouver un air sérieux, voir grave et même si cela ne m'inquiétais pas particulièrement, j'étais intriguée. Il s'installa sur le canapé et je pris place au plus près de lui. Noah ne tourna pas trente ans autour du pot, il avait décidé de se montrer direct en m'annonçant  tout de suite qu'il avait besoin de savoir ce qui allait se passer maintenant. Je prêtais une attention toute particulière à chacun des mots qu'il employait, il avait dit en avoir besoin, pas "je veux savoir", ni "il faut que je sache", non, il avait dit "j'ai besoin". Je m'en voulais soudainement de lui avoir imposé cette séparation forcée, avoir mis des barrières entre nous alors que nous en étions à peine au début d'une peut-être histoire romantique, je me demandais si j'avais commis une erreur, après tout je tenais énormément à Noah et j'aurais voulu voir où l'avenir pouvait nous mener mais si l'attente avait été trop difficile pour lui et s'il ne voulait plus de moi à présent, si ses désirs avaient changé, je pouvais l'accepter. Difficilement certes, mais après tout ce serait (une fois de plus) ma faute. Et alors que je commençais à m'imaginer tout un tas de choses dans ma tête comme quoi Noah trouvait la situation trop compliquée, pas assez stable pour lui ou je ne sais quoi d'autre, il repris la parole. Sincèrement, entendre ce qu'il avait à dire me fit le plus grand bien, depuis quelque temps j'avais plutôt eu affaire à des gens énervés et fâchés après moi et pour la première fois depuis bien des jours quelqu'un ne s'acharnait pas à alourdir ma culpabilité. Certes je m'en voulais de ne pas lui avoir donné plus de nouvelles que cela mais Noah se montrait plus touchant qu'autre chose, je ne sentais pas vraiment les reproches dans le ton de sa voix et cela me fit sourire. Sa main glissant délicatement sur mon bras, il était d'une douceur incroyable. Pas brusque, ni agressif comme d'autres hommes auraient pu l'être. Je n'avais pas besoin de lui demander de faire attention, il le faisait de lui même. "Avant toute chose il faut que je te dise que j'ai pensé à t'appeler des centaines de fois Noah mais j'avais peur de te déranger et puis je sais qu'il y a ton fils à prendre en compte et je ne voulais pas t'accaparer pendant ton libre pour parler de mes problèmes alors que tu travailles déjà beaucoup. Je ne voulais pas interférer avec ta propre vie, ni t'imposer quoi que ce soit." Ma voix était posée, calme, je me sentais bien avec lui à mes côtés et je sentais que lui parler me ferait d'autant plus de bien. "Il m'est arrivé tellement de choses ces dernières semaines, tu n'as même pas idée! Je suis désolée de ne pas t'avoir inclu mais je ne savais pas si tu voulais l'être… Et puis tout est tellement compliqué…" Par où commencer? Je n'en savais rien. "J'essayais de me protéger, de te protéger aussi et je crois que j'avais surtout peur… De tout. Mais ça ne veut absolument pas dire que tu ne m'as pas manqué, il m'est arrivé de me réveillée en pleine nuit avec l'envie terrible de te voir, je suis passée plusieurs fois devant chez toi en voulant m'arrêter mais j'étais incapable de venir à toi Noah. Pas par ta faute mais par … sa faute." Je faisais ici référence à mon agresseur. La vérité c'est que sur le coup je n'étais pas prête à échanger de nouveaux baisers avec Noah, et encore moins à partager son lit, mais jusqu'à maintenant c'était surtout ce que les mecs attendaient de moi alors forcément j'avais eu peur de le décevoir et surtout de ne pas avoir compris, peut-être que je m'étais fait des films, que Noah ne m'appréciait pas vraiment. J'étais perdue. J'espérais qu'il le comprendrait. Inspirant profondément, je relevais la tête vers lui, me rapprochant un peu à ses côtés. "Mon attirance pour toi n'a pas changé Noah… Mon intérêt pour toi n'a pas non plus changé, au contraire même il s'est agrandi, et je suis toujours intéressée à voir où les choses peuvent aller entre nous. " Je n'avais pas dit à un homme que je l'aimais depuis? Toujours? Je ne me souvenais même pas l'avoir déjà dit à Adam lorsque nous étions ensemble, et pourtant à notre séparation j'avais eu le coeur en miette… Étais-je amoureuse de Noah? Je ne sais pas, comment pouvais-je le savoir alors que je n'avais jamais aimé personne de cette manière? Mais je ressentais des choses pour lui, des choses qui me donnaient envie de sourire, des choses qui me rendaient heureuse et surtout je ressentais un immense bien-être. En fait, je me sentais même tellement bien que cela me faisait peur. "Je ne sais pas ce qui va se passer entre nous, je ne peux pas lire l'avenir mais je peux te dire ce dont j'ai envie… " Entremêlant mes doigts avec les siens, je sentais la paume de sa main dans la mienne. Elle était chaude, en nous tenant la main ainsi, il m'était impossible de me sentir seule et bon sang que cela faisait du bien de ne pas se sentir abandonnée et perdue. "Je me sens prête à reprendre là on l'on s'est arrêté." Me laissant un peu trop emporter par mes émotions du moment je me rendis compte presque aussitôt que j'oubliais un assez gros détail. La grossesse. Comment lui dire alors qu'il s'était montrait absolument charmant avec moi? Baissant à nouveau la tête, j'avais beau m'accrocher à sa main tenue dans la mienne, je ne souriais plus. "Il faut que je te dise quelque chose Noah." relevant la tête je cherchais le contact avec ses yeux. "Laisse moi juste te poser une question avant, et je t'en prie ne le prend pas mal c'est juste pour savoir, pas pour te faire des reproches… " je marquais une courte de pause avant de l'interroger avec prudence. "Est-ce que tu as bu?" Je fronçais légèrement les sourcils, j'avais vraiment fait de mon mieux pour ne pas prendre un ton moralisateur, ce n'était absolument pas mon but. J'étais simplement curieuse de savoir pourquoi il avait ressenti ce besoin avant de venir me parler chez moi.

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Noah S. Harper
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lama en évolution


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› EMMENAGEMENT LE : 07/12/2012
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› STATUT CIVIL : Je suis le fils d'Eleanor Harper, une femme au grand coeur. J'ai été marié durant plusieurs année à Sophia avec qui nous avons eu un garçon : Jamie. Notre mariage prend fin lorsque l'on m'annonce son décés, je viens de découvrir il y a quelques mois qu'elle n'est pas morte. J'espère pouvoir renouer avec ma femme et redevenir l'homme bien que j'étais à ses côtés. Avec son retour j'ai découvert notre fille : Lily. Je suis également papa de la petite Maya Meyers et de Mason Stewart.
› QUARTIER : 2050 Palm Avenue avec mon fils Jamie ainsi que ma mère Eleanor.
› PROFESSION/ETUDE : Avocat - Ténor du barreau. A la tête de mon cabinet.
› DOUBLE COMPTE : Marissa I. Jefferson - Mischa S. Miller - Sawyer E. Clarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Elisabeth Howard & Erin R. Preston.
› CELEBRITE : Leonardo sexy, impressionant, magique DiCaprio
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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 3:44

Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! 402664nina4 Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! 601387leonardo
ღ i miss you

A ses mots il sourit, heureux de voir qu’elle allait mieux. Il ne supportait pas l’idée de la voir malheureuse. C’était déjà insupportable de savoir qu’on lui avait fait du mal, qu’un homme s’en était prit directement à elle, l’avait frappé, laissé pour morte et rien qu’à y penser il serrait ses poings. Il était préférable pour ce monstre de ne jamais croiser la route de Noah, il pourrait commettre un meurtre. Comment peut-on s’en prendre à Leah, à n’importe quelle personne sur terre d’ailleurs ? Pourquoi vouloir détruire la vie de la jolie brune, pourquoi avoir détruit la vie de Sophia ? La vie était injuste. Noah ne semblait voir que les choses négatives depuis quelques jours. Il était diffèrent, il le sentait, il changeait. « Bien sûr, je vais bien. » Il sourit, un mensonge un de plus. Que pouvait-il lui dire ? La vérité. Hors de question. Il ne pouvait pas, pas maintenant, pas ci tôt pourtant il devait le faire, il devait lui avouer cette terrible vérité, il devait lui briser le cœur et il devait choisir. Il devait agir en homme, il devait agir en tant que père et choisir Neela. Ça devrait être aussi simple que cela, mais ça ne l’était pas. Rien n’était simple, il ne voulait pas quitter Leah il se refusait à faire une telle chose pourtant il le devait, il le devait pour Neela et leur enfant. Il devait arrêter d’être égoïste et revenir à la raison. Il ne le pouvait pas, pas maintenant qu’il était aux côtés de la jolie brune, qu’il pouvait sentir à nouveau son parfum enivrant, poser ses yeux dans ce regard malicieux, l’observer sourire, sentir sa main contre la sienne… il ne pouvait pas faire une telle chose. Noah prit le problème différemment, il avait besoin de savoir ce qu’elle ressentait et ainsi voir s’il devait se battre pour sauver leur couple ou non. Il n’y avait pas de bonne ou mauvaise réponse. Quelle que soit la réponse de la jolie brune il allait la perdre et ça c’était injuste, aussi injuste que perdre Neela. Posant son regard perdu dans celui de la jeune femme, il se concentra sur ses paroles relâchant la pression qu’il s’imposait à lui-même. Dés le début il sourit, c’était rassurant de savoir qu’elle avait eu envie d’appeler, certes elle ne l’avait pas fait mais il s’en moquait le principal c’était qu’elle avait voulu le faire. « Ecoute… tu ne m’accapare pas, tu fais parti de ma vie et j’aurais aimé être la, à tes côtés. Mon boulot peut attendre, j’ai des associés qui peuvent gérer ! Je ne veux plus que tu hésites, dés que tu as besoin tu me le dis et je viens. » Tout était toujours compliqué mais il aurait tout de même aimé être à ses côtés, pouvoir l’épauler et non être mit ainsi de côté. Ce que lui disait la jolie brune l’incitait encore plus à garder le silence, il ne pouvait pas lui avouer sa double vie elle le prendrait pour elle, se penserait coupable de son infidélité. Fronçant les sourcils, il était néanmoins touché par ce qu’elle lui avouait. Elle s’était réveillée avec l’envie de le voir et elle était passée plusieurs fois devant chez lui. Mais ça en était resté là, à cause de son agresseur et il comprenait parfaitement. Il ne savait pas ce qu’elle pouvait ressentir, ça serait mentir que de savoir car il n’avait pas vécu un dixième de ce qu’elle subit ce jour là. Il ne pouvait qu’être tolérant, l’écouter, la soutenir et calmer ses angoisses. C’était ce qu’il aurait aimé faire dés le début mais elle n’avait pas voulu, d’un sens c’était peut être mieux car leur couple n’aurait peut être résisté à tout ceci ? « Ce n’est rien, je ne t’en veux pas Leah, pas du tout même. Je comprends, tu avais besoin de temps… et si tu ressens à nouveau le besoin de t’éloigner, dis le moi et je m’exécuterais. » Noah ne voulait pas précipiter les choses, même si cela restait difficile. Il voulait pouvoir la prendre dans ses bras sans la sentir se crisper, il voulait pouvoir goûter à ses lèvres sans la voir reculer et bien sûr il aimerait plus mais il savait déjà à l’avance qu’il pouvait rayer ce genre d’idée. Il ne voulait pas la brusquer, au contraire, il attendrait qu’elle fasse le premier pas car ça restait un homme, un homme qui pensait que trop souvent avec ce qui se trouvait entre ses jambes et il pouvait du coup mal interpréter certains signes. Leah se rapprocha d’ailleurs de lui, il la laissa faire lui adressant un sourire qui se dessinait naturellement sur son visage alors qu’il pouvait enfin passer du temps avec la jolie brune. Il essayait de profiter de ce moment, de chasser les mauvaises idées et de se concentrer uniquement sur Leah et ses paroles. Il sourit, rassuré. Il avait l’air complètement con mais il s’en moquait, il était heureux de savoir qu’il avait toujours sa place à ses côtés et que tout comme lui ses sentiments s’étaient amplifié. Pourtant la réalité revenait trop rapidement, une petite voix sur son épaule lui rappelait qu’il y avait Neela. Qu’il était en train de continuer à mentir à Leah, qu’il était faible, incapable de prendre une décision et incapable de lui dire la vérité. Lâche, il n’était qu’un lâche. Leah le ramena à la réalité, alors qu’elle lui indiquait qu’elle ne savait pas ce qui allait se passer entre eux, qu’elle ne connaissait pas le futur… lui le savait, et c’est à ce moment là qu’il aurait du tout lui avouer. Lui expliquer qu’il y avait une autre femme, qu’il était con au point de les aimer toutes les deux, qu’il était incapable de les départager, qu’il l’aimait mais qu’il était obligé de mettre fin à leur histoire parce que l’autre femme attendait son enfant et qu’il ne pouvait pas élever un enfant loin de lui, il ne pouvait pas se satisfaire d’un week-end par mois et de la moitié des vacances scolaires. Il était incapable de faire une telle chose, à son futur enfant, à Jamie et à Neela. Il avait été assez con pour ne pas se protéger alors il devait assumer, la famille était la chose la plus importante et il devait donc privilégier cet enfant avant Leah. C’était douloureux. Il avait peur, il était terrifié à l’idée de la perdre et il sentait qu’il était en train de faire une connerie. Si il choisissait Neela, qu’il délaissait Leah que se passerait-il dans quelques années ? Serait-il en colère contre cet enfant, contre Neela ? Plaquerait-il tout, va t-il foutre en l’air leur vie pour ce mauvais choix ? Il ne pouvait pas choisir, c’était impossible, il avait besoin de ces deux femmes dans sa vie. Il était égoïste sûrement mais il était avant tout amoureux, incroyable mais pourtant si vrai. Leurs doigts s’entremêlaient, il baissa le regard quelques secondes observant leurs deux mains liées. Il remonta leurs deux mains et une fois à hauteur de sa bouche déposa un baiser sur celle de Leah. Relevant le regard. « Alors reprenons là où nous nous sommes arrêtés. » Il sourit, quel con il continuait à faire comme ci il n’y avait rien. « Je ne voudrais pas me montrer… envahissant, mais si jamais tu acceptes je serais ravi de passer la nuit à tes côtés. Tu peux dire non, je ne t’en voudrais pas. » Il lui adressa un nouveau sourire, plus confiant, lui montrant qu’il était prêt à entendre un refus. Il allait peut être trop vite pour la jeune femme qui lui ouvrait à nouveau son cœur, mais il voulait tenter le coup après tout que pouvait-il perdre ? C’était peut être leur dernière nuit, elle n’en savait rien la pauvre. Il fronça les sourcils alors que sa belle reprenait la parole lui indiquant qu’elle devait lui dire quelque chose. « Ça ne peut pas attendre demain ? J’ai envie de profiter de cette soirée. » Il ne savait pas ce que voulait lui dire la jeune femme, généralement lorsqu’une phrase commençait ainsi ce n’était jamais bon signe alors autant remettre cette discussion à plus tard non ? Bon d’accord il évitait à tout prit les conversations sérieuses parce qu’il allait devoir lui aussi parler si ça continuait ainsi sauf qu’il en avait pas envie, il ne voulait pas faire ça, il ne voulait pas briser le cœur à la jeune femme. Il lui avait promis, il lui avait fait une promesse et ne pouvait pas la trahir même si c’était déjà fait, ça serait encore plus insupportable une fois dit officiellement. Puis elle reprit la parole et là il sentit son cœur louper un battement, une question, elle voulait savoir, ne voulait pas lui faire des reproches… elle était au courant, elle avait entendu quelque chose, quelqu’un lui avait dit quelque chose ? Il était foutu, grillé, mort. Elle allait lui parler d’une rumeur, d’une certaine Neela peut être même et là il devrait faire face à la vérité il ne pouvait plus faire marche arrière… Il reprit sa respiration, soulagé presque même si la question n’était franchement pas la meilleure de l’année non plus. Il secoua légèrement la tête, haussant les épaules prenant un air détaché. « Ouai… un ou deux verres, mais ce n’est rien... j’étais avec un client ! » Encore un mensonge, mais quel con décidément ! « T’en fais pas, ok ? C’est rien. Il m’arrive de boire un ou deux verres avec des clients. » Menteur, tu bois plus depuis des années aurait pu lui dire sa conscience si il en avait une. Les un ou deux verres s’étaient rapidement transformé en cinq verres, et il aurait pu rester accoudé à ce bar encore des heures s’il n’avait pas eu l’envie de venir la voir. Il serait tombé au sol, ivre mort et on l’aurait transporté jusqu’à sa voiture avant de le laisser là décuver comme une merde, une merde qu’il finirait par devenir à nouveau. Il finirait par refaire la même chose, par passer ses nuits dans sa voiture, devant le pas de sa porte, au commissariat, il débarquerait ivre à l’école pour venir chercher son fils qui aurait à nouveau honte de lui. Sa mère débarquerait, prête à lui retirer Jamie si il le fallait, il se retrouverait en clinique, entouré de médecin avec des questions à la con qui attendraient des réponses encore plus con… Un ou deux verres seulement.
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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyLun 2 Sep 2013 - 4:05

“Stay with me, baby stay with me, tonight don't leave me alone. Walk with me, come and walk with me, to the edge of all we've ever known. Well, I'm not sure what this is gonna be, but with my eyes closed all I see is the skyline, through the window, the moon above you and the streets below. Hold my breath as you're moving in, taste your lips and feel your skin. When the time comes, baby don't run, just kiss me slowly.”




Il disait aller bien et j'avais envie de le croire. Malgré un petit doute, comme un mauvais pressentiment, je ne voyais pas pourquoi il me mentirait. Noah savait qu'il pouvait tout me dire, je n'étais pas du genre à avoir peur des sujets tabous, et même s'il s'agissait de quelque chose de pas forcément très agréable à entenre, j'étais prête à encaisser. Vu tout ce qui m'était déjà arrivée, un soucis de plus ou de moins je n'allais pas voir la différence et puis si Noah avait un problème je tenais à ce qu'il m'en parle. Je tenais à faire partie de sa vie. J'espérais de lui tout le contraire de ce que moi j'avais fait, mais j'avais surtout appris de mes erreurs et je savais qu'être seule dans l'adversité ce n'est pas une situation vivable. Mais puisqu'il m'affirmait que tout allait bien en me regardant droit dans les yeux, je n'avais pas envie d'insister. Peut-être que l'impression bizarre que j'avais depuis son arrivée chez moi était simplement dû à sa fatigue, son boulot prenant et à son fils. Je balayais donc tout doute de mon esprit pour me consacrer à lui et à moi. Sa venue ici tenait lieu en quelque sorte de retrouvailles. Non, en fait c'était des retrouvailles, point à la ligne. Dieu, qu'il m'avait manqué! Je le savais déjà mais là, maintenant qu'il se tenait tout contre moi sur le canapé de mon salon, le manque que j'avais pu ressentir me frappait d'autant plus. Je n'avais pas souvent aimé d'hommes dans ma vie, jamais en réalité, en dehors de mon premier amour remontant à l'époque du lycée,mais lui… Il faisait parti des perles rares que je m'étais dégotée et que je ne voulais pas laisser filer. En plongeant mes yeux dans les siens tout ce à quoi j'arrivais encore à songer c'était que je ne voulais plus jamais qu'on soit séparés aussi longtemps. Rester des jours et des jours sans prendre contact, c'était insupportable. J'avais besoin de lui et même si au premier abord j'avais eu peur de l'admettre maintenant j'étais prête à le crier à la face du monde. Moi Leah Isobel Stewart, j'ai besoin de lui, Noah Solan Harper. Lui et uniquement lui. Il était venu pour avoir une réponse claire sur ce que je voulais et c'est ce que j'essayais de lui donner. Des réponses. Je tentais tant bien que mal de lui expliquer pourquoi j'avais pris mes distances, il avait l'air de comprendre, et je lui avouais que j'étais fin prête à reprendre là où nous en étions restés, cette idée sembla l'enthousiasmer. Son baiser fit battre mon coeur un peu plus vite, chaque contact de ses lèvres avec les miennes me donnaient encore des palpitations. "Noah, il n'y a rien que je ne veuille plus que passer la nuit à tes côtés… J'ai tellement envie de retrouver le confort de tes bras." Mais j'avais aussi quelques petites choses à lui dire. Avant d'aller plus loin je devais lui parler de notre situation, c'était ma nouvelle façon d'aborder les choses… Me montrer honnête dès le départ. Je ne voulais surtout pas qu'il se sente piégé si on remettait le couvert avant que je ne lui ai avoué ce qui se passait réellement dans ma vie. Peut-être que ma révélation allait tout gâcher, mais même si je le désirais profondément, je ne pouvais pas lui mentir. Je secouais doucement la tête, un sourire timide sur les lèvres. "Non, ça ne peut pas attendre demain, il faut que je te le dise maintenant…" Apprécier la soirée? Pas sûre que ce soit ce que nous allions faire après ma petite révélation. Avant d'entrer dans le vif du sujet, je me devais tout de même de lui demander ce qu'il en était avec l'alcool. J'avais pris connaissance de son passé d'alcoolique assez rapidement après nos premiers échanges, cela ne me posait pas vraiment de problème, il n'était pas le seul AA à ma connaissance, certains de mes amis avaient même fait pire qu'être alcoolique, ils étaient carrément des camés accros à des drogues dures qui leur bouffaient le cerveau, les rendant un peu plus con à mesure que les années défilaient. Personnellement je n'avais jamais eu d'addiction, ni à l'alcool, ni à la drogue, ni même aux cigarettes ou au café, et pas même au sexe! Mais je pouvais tout à fait comprendre comment on se retrouve plongé dans l'alcool en particulier, il m'est déjà arrivée de me dire qu'un verre me remonterait bien le moral, pour finir bourrée à l'arrivée, mais le truc c'est que lorsque cela m'arrive à moi, c'est une exception, et le lendemain je me sens tellement plus mal que la veille que je me jure de ne pas recommencer de si tôt. Dans mon cas cela fonctionne, mais je savais que pour un alcoolique chaque verre est une bataille qu'il se livre à lui même. J'avais déjà vu Noah boire lors de notre diner au restaurant français, je savais donc qu'il consommait toujours de l'alcool mais j'imaginais que cela restait occasionnel et en très petite quantité. "Oh!" lâchais-je calmement alors qu'il m'expliquait avoir bu avec un client. Il me demandais de ne pas m'inquiéter, cela semblait même être la routine pour lui. Il avait beau avoir l'air de dire la vérité, quelque chose en moi me poussait encore à avoir des doutes. Vu l'heure, il avait quand même dû quitter son boulot il y a plusieurs heures de cela, hors l'alcool semblait encore frais dans sa bouche, ses lèvres en étaient toujours un peu imprégnées. "D'accord." finis-je par lui accorder. Ma curiosité n'était pas tout à fait assouvie et pour tout dire mon esprit n'était pas tranquille non plus mais l'envie de le serrer contre moi était trop forte. Remontant mes jambes sur le canapé pour me mettre plus confortable, je repris sa main dans la mienne. "J'ai dit que j'avais quelque chose à te dire, quelque chose d'important, mais …" Je m'arrêtais pour le regarder dans les yeux. Il était tellement beau et son regard si profond. J'avais envie de me perdre en lui. "Tu as raison." ajoutais-je doucement. Je réalisais à peine ce que j'étais en train de dire, c'est comme si je savais que je devais tout lui dire pour ma grossesse mais que j'en étais incapable car guidée par une voix intérieur bien trop forte et une envie irrésistible d'être à nouveau à lui. "J'ai envie de profiter un peu avant de continuer à blablater." Me relevant légèrement, je passais à califourchon sur lui. Glissant mes avant bras sur ses épaules, je passais mes doigts à l'arrière de sa tête. Je me sentais prête à refaire l'amour avec lui s'il le voulait. "Tu m'as tellement manqué…" lui glissais-je à l'oreille. Mes lèvres vinrent embrasser son visage, ses joues d'abord, son cou ensuite et ses lèvres à nouveau. Je pouvais sentir ses mains sur moi, et je ne ressentais même pas l'envie de le repousser. Qu'il me touche ne posait aucun problème parce que je savais que c'était lui et qu'il n'allait pas me faire de mal. "S'il te plait? Fais… doucement." murmurais-je. Je commençais à déboutonner mon chemisier très calmement, premièrement parce que j'avais une toute nouvelle manucure qui m'empêchait d'aller vite et deuxièmement parce que j'avais envie qu'il me désire au moins autant que je le désirais. Il n'en perdait pas une miette. Lorsque je parvins à le déboutonner entièrement, je retirais mon chemisier et le laissais tomber au sol derrière moi. Baissant les yeux sur ma poitrine, car oui j'en ai une, j'étais contente de moi pour avoir mis de jolis sous-vêtement aujourd'hui et pas un de ces affreux ensemble que toutes les filles de cette planète doivent posséder également. De la dentelle noire, un truc tellement sexy que Noah allait forcément succomber. Me collant à nouveau à lui, j'allais glisser ma nuque jusqu'au creux de sa bouche pour qu'il m'y embrasse. Caressant toujours ses cheveux, je restais à califourchon. Je sentis sa main passer sur une de mes côtes et malgré le plaisir qui commençait à m'envahir je ne pu retenir un sursaut. "Désolée…" revenue au niveau de ses yeux, je restais un moment silencieuse sans savoir quoi faire. "Certaines de mes côtes sont encore un peu douloureuses mais ne t'inquiètes pas. Ça va." Attrapant son menton, je déposais un baiser furtif sur ses lèvres. Je vins ensuite le serrer dans mes bras, attendant qu'il m'entoure des siens, on restait ainsi quelques instants. "J'aimerais rester dans tes bras pour toujours, ne plus penser à rien d'autre Noah. Dis-moi? Ce serait possible? Tu crois qu'on pourrait faire ça? Rester tous les deux dans les bras l'un de l'autre et ne plus jamais se séparer?" Me dégageant de l'étreinte, je voulais à nouveau plonger mon regard dans le sien. "Fais-moi l'amour Noah." Mais au lieu de me remettre bien en position, je me relevais et le tirais par la main pour le mettre debout à son tour. Je m'extirpais rapidement de mon jean pour me retrouver en soutient-gorge et string. Mon corps contre le sien, je lui sautais dans les bras un peu comme une enfant le ferait avec un adulte, l'encerclant de mes bras et de mes jambes, j'approchais ma bouche de son oreille. "Ma chambre est la première porte à droite au fond du couloir." Me faire porter jusqu'à mon lit, que demander de plus? Même s'il n'avait pas vraiment eu le choix, il ne semblait pas se plaindre. Je le couvrais de baisers tandis qu'il nous déplaçait dans l'appartement. Lorsqu'il me déposa sur le lit sans être trop brusque, je pris aussitôt en charge de déboutonner son pantalon, et de défaire sa ceinture surtout, et reculant sur le dos jusqu'aux oreillers, je le laissais finalement se placer au dessus de moi.

Soudain, c'est comme si ma grossesse, mes doutes sur sa paternité, mes soucis de famille et tout le reste s'était envolé. Je n'avais plus aucun soucis. Il était mon remède contre l'angoisse, mon remède contre les problèmes, il ne m'apportait rien d'autre que du réconfort, un sentiment de protection et donc par la même occasion de sécurité. Il me donnait envie de sourire de toutes mes dents, de rire à gorge déployée, de pleurer tellement j'étais heureuse. L'handicapée des sentiments que j'étais, était enfin guérie. J'étais amoureuse. Amoureuse de lui. Me l'admettre à moi-même était un immense pas en avant, jusqu'à présent je refusais de croire que ces sentiments que j'avais pour lui étaient réels, je pensais que je me laissais influencer par mes émotions, mais aujourd'hui, à cet instant précis, j'en étais sûre et certaine, j'aimais Noah Harper de tout mon coeur et de toute mon âme et c'était tellement puissant que j'avais l'impression d'être sur le point d'exploser. J'avais envie d'hurler. Je t'aime Noah. Je t'aime. Mais je continuais de me contenir. Même si j'oubliais mes problèmes le temps d'un voyage au septième ciel avec lui, je savais que notre petite escapade ne durerait pas à l'infini, et qu'à l'atterrissage nous allions devoir véritablement redescendre sur Terre. Peut-être que je faisais une erreur en le laissant coucher avec moi alors que je ne lui avais pas encore dit la vérité, mais j'avais tellement besoin d'être égoïste maintenant. Quelque chose en moi me disait que lui aussi en avait besoin. J'étais égoïste pour nous deux, même si nous allions sans doute souffrir d'un instant à l'autre. Il pourrait me détester après, mais maintenant j'avais besoin qu'il m'aime. Maintenant, il était à moi et peu importe si l'instant d'après il se mettait à me hurler dessus, je vivais pour le moment présent. Mes désirs étaient trop fort pour ne pas être assouvis sur le champs. J'avais été salie par un autre et Noah était sur le point de me réparer. Mes mains dans son dos, je faisais glisser mes ongles sur sa peau. Mes lèvres n'avaient toujours pas quitté son visage et tout le reste de son corps. Nous étions comme dans une bulle où plus rien d'autre ne comptait. Je n'avais plus peur, je n'avais plus d'appréhension, seulement du désir, seulement du plaisir. "Je t'aime." murmurais-je tellement bas que je n'étais pas sûre qu'il ait entendu. "Je t'aime."

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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyVen 6 Sep 2013 - 1:31

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ღ i miss you

Il ne pouvait que sourire en sachant qu’elle acceptait de passer la nuit à ses côtés. Il était heureux, malgré tout ce qui se passait depuis quelque temps il était heureux parce qu’il allait pouvoir être aux côtés de la jolie brune l’espace d’une nuit. Une nuit où tout les problèmes seraient mis de côté et où la seule chose qui serait importante serait eux, juste eux deux. Ce n’était pourtant pas quelque chose à faire, vu sa situation actuelle mais quoiqu’il se passe leurs problèmes seraient toujours là demain au réveil, pourquoi ne pas profiter d’une soirée, une seule soirée où il pourrait encore se sentir un mec bien aux côtés de la belle Leah. Malgré leur différence d’âge, malgré leur passé diffèrent Leah lui apportait plus qu’il ne l’aurait jamais espéré, elle était rassurante, elle l’apaisait et il avait l’impression d’être quelqu’un de bien à ses côtés. Oui cet homme de presque quarante ans se sentait rassuré aux côtés de la jolie brune qui en avait vingt cinq, comme quoi la vie réservait des surprises, des belles surprises. Quand il avait croisé pour la première fois Leah il avait été charmé par sa beauté, son sourire et ses éclats de rire. C’était ces premiers détails qui l’avaient attiré à elle, puis lorsqu’ils s’étaient retrouvés pour découvrir la ville il avait pu découvrir Leah d’une nouvelle façon. Beaucoup de gens devaient s’arrêter au physique parfait de la jeune femme, ils ne devaient pas chercher plus loin surtout les hommes mais Noah n’était pas ainsi, il aimait découvrir les gens, en apprendre davantage sur eux et ainsi se faire sa propre idée. Derrière ce physique il y avait tellement plus à découvrir, la première chose qu’il avait pu remarquer sur la jolie brune c’était sa passion pour Huntington Beach, dés le début il avait compris que cette ville était la sienne, qu’elle ne pouvait pas être ailleurs que là. Il avait craqué devant la pipelette qu’elle était, capable de faire une conversation à elle seule sans reprendre son souffle, ça l’avait beaucoup amusé et ça l’amusait toujours même si aujourd’hui elle n’était plus ainsi, pour le moment en tout cas. Leah était aussi une passionnée, que ce soit par la cuisine qui faisait parti de sa vie et dont elle pouvait parler durant des heures, elle avait envie de transmettre son savoir faire et c’était plaisant surtout pour lui qui aimait cuisiner et qui s’imaginait très bien avec elle derrière les fourneaux. Ou que ce soit par sa famille, elle était attaché aux siens et semblait être prêt à tout pour eux du pire comme du meilleur. Sa famille occupait une place importante dans sa vie et il aimait ça, il aimait savoir qu’elle tenait à ses parents, qu’elle les respectait, qu’elle pouvait compter sur eux, il aimait également savoir qu’elles avaient deux sœurs qu’elle aimait même si elle avait une certaine préférence pour l’une d’elle, quand Leah parlait des siens elle transmettait quelque chose, quelque chose qu’il comprenait aisément puisqu’il avait lui aussi une grande famille et qu’il était père. Leah était également vive, pleine de vie et il aimait à penser qu’elle pouvait courir avec lui près de la mer avec le chien de la famille et Jamie les suivant en vélo ou en roller. Oui Leah était la femme parfaite à ses yeux et il était évident qu’il se voyait déjà à ses côtés mais… oui il y avait toujours un mais… il n’aimait pas qu’elle, ils n’étaient pas que tout les deux, ils ne formaient pas qu’un duo et il allait devoir lui dire. Il repoussait ce moment et c’est pourquoi il refusait qu’elle lui parle de cette chose qui apparemment ne pouvait pas attendre plus longtemps. La jeune femme tenait à lui dire maintenant. C’était peut être plus important qu’il ne le pensait, Si Leah avait besoin de se confier à lui bien sûr il l’écouterait c’était également son rôle mais la jolie brune garda le silence, signe que la conversation sérieuse était terminée ? Peut être, et tant mieux il n’avait pas envie de parler ou tout du moins de parler de chose simple. D’ailleurs en parlant de sujet sérieux, la jolie brune avait remarqué les quelques verres qu’il avait prit avant de venir chez elle. Pas étonnant, il aurait du être plus prévoyant. Noah avait cependant la réponse, l’excuse qu’il avait servit durant plusieurs mois à sa famille quelques années plus tôt avant qu’ils ne comprennent qu’il ne dînait pas avec ses clients tous les soirs de la semaine. Leah le croyait, tant mieux il ne voulait pas qu’elle sache ce qu’il était en train de faire, ça irait mieux, il allait faire attention, ne plus craquer, il allait résister à la tentation… C’était ce qu’il croyait, il était persuadé de ne pas retoucher à un seul verre sauf que ça ne serait pas aussi simple, dés demain il y aurait un autre verre et alors il sera incapable de s’arrêter. Mais il croyait dur comme fer que demain tout irait mieux, il se mentait à lui-même et ne voulait pas voir la réalité en face comme ce soir alors qu’il aurait du tout avouer à la jolie brune au lieu de se laisser aller dans ses bras. Leah reprit la parole, parlant à nouveau de cette chose dont elle devait lui parler, il fronça les sourcils si elle insistait c’était que c’était réellement important. Pourtant la jolie brune lui donna raison, parce que ce n’était pas important ou parce qu’il lui avait dit qu’il voulait attendre demain ? Si c’était important et que par sa faute elle gardait le silence ça l’embêtait, il était toujours présent pour elle et il devait l’être en ce moment si vraiment quelque chose la tracassait. Il s’apprêtait à lui demander ce qui se passait exactement mais elle reprit la parole et lorsqu’il l’aperçut se relevant quelque peu du canapé elle prit place sur lui à califourchon provoquant un sourire très large sur le visage de l’avocat. Il passa ses avant bras autour de la taille de la jeune femme glissant l’une de ses mains sur le haut de ses fesses alors qu’elle lui indiquait qu’il lui avait manqué, lui glissant ces quelques mots à l’oreille. « Toi aussi… » Il se stoppa appréciant les baisers qu’elle lui déposait sur le visage, fermant doucement ses yeux alors qu’elle déposait ses lèvres contre les siennes. Ses mains remontèrent contre ses hanches, l’une d’elle se glissa sous son chemisier rentrant en contact avec sa peau toujours aussi si douce et agréable. Face aux paroles de Leah, il stoppa ses mains ne sachant pas si il faisait ce qu’il fallait ou non, il n’avait pas l’impression d’être brusque mais peut être l’était-il. C’était difficile de réfléchir dans des moments pareils, en tout cas lui ne réfléchissait pas mais agissait. Noah ne voulait pas précipiter les choses, il voulait être attentif, capable de savoir si il allait trop vite et si la jeune femme était réellement prête. Il ne voulait pas la brusquer, surtout pas. Il posa son regard dans celui de sa petite amie avant de le baisser et le poser sur les mains de la jeune femme qui déboutonnait un à un les boutons de la chemise qu’elle portait. Il se mordit la lèvre inférieure en voyant le magnifique spectacle qui s’offrait à lui, la dévorant littéralement des yeux alors qu’il découvrait sa poitrine magnifiquement emballé dans un soutien gorge noir, plus que sexy ! La jolie brune se rapprocha de lui, sentant sa poitrine contre lui il aurait du arracher sa chemise également ne serait ce que pour sentir sa poitrine contre son torse. Un détail qu’il allait résoudre tôt ou tard, pour le moment il posa ses lèvres sur la nuque de la jeune femme, déposant des baisers par ci par là avant de s’attarder sur sa peau. Glissant à nouveau ses mains contre le haut du corps de la jeune femme, montant l’une d’elle vers la fermeture de son sous vêtement et l’autre sur l’une de ses côtes qu’il caressa délicatement il fut stopper, rapidement, très rapidement même lorsqu’elle sursauta. Retirant sa main, relevant son visage il voulait vérifier que tout allait bien pour Leah, si elle voulait arrêter il pouvait le faire, c’était d’ailleurs mieux maintenant qu’après. Elle s’excusa, il passa sa main sur sa joue délicatement. « Ne t’excuses pas. » Elle n’avait pas à le faire, ce n’était pas de sa faute, le seul responsable de tout ceci était l’homme qui devait être derrière les barreaux et payer le prix fort pour ce qu’il avait osé lui faire. Noah ne le montrait pas mais ça l’énervait, ça l’énervait de savoir qu’aujourd’hui encore elle souffrait de tout ceci que ce soit mentalement ou physiquement, elle avait une souffrance en elle qu’il était incapable de calmer et ça l’énervait d’être impuissant face à ceci. « Prends ton temps, on peut attendre je peux attendre ! L'essentiel est que tu te sentes bien, ok ? » La serrant contre lui, l’entourant de ses bras il resta silencieux repensant à tout ça. Leur rencontre, leur histoire et l’agression de la jeune femme. Leah semblait aller mieux et il ne voulait pas la faire souffrir, car il savait qu’à la minute où il lui avouerait ce qui se passait elle en souffrirait. Les paroles de la jolie brune étaient touchantes, au point qu’il avait un petit sourire au coin des lèvres mais il ne pouvait pas lui promettre une telle chose parce que s’il le faisait alors là il serait tombé bien bas. De toute façon le temps n’était pas à la parole, surtout pas après ce que venait de dire la jeune femme. Leah savait parler aux hommes et elle savait être directe, ne pas prendre quatre chemins. Se levant du canapé alors qu’elle le tirait par la main pour qu’il se lève, il baissa son regard suivant les gestes attentivement qu’elle effectuait. Le jean venait de disparaître, un sourire coquin apparut sur son visage alors qu’il contemplait la belle Leah vêtue de ses sous vêtements. Leurs deux corps se rapprochèrent, il passa ses mains sous les cuisses de la jeune femme alors qu’elle sautait pour arriver dans ses bras. Il fit une petite mine boudeuse lorsqu’elle indiqua la chambre, pas de folie ? Bon si il fallait être raisonnable pourquoi pas, il pensait surtout qu’elle avait besoin de quelque chose de plus calme que sauvage. C’était peut être mieux vu qu’elle souffrait encore au niveau des côtes. « Vos désirs sont des ordres mademoiselle. » En parfait petit soldat il s’exécuta donc, avançant dans l’appartement se dirigeant vers la chambre tandis que la jolie brune le couvrait de baiser. Arrivé au pied du lit il se baissa doucement mettant ses genoux sur le bord du lit laissant la jolie brune arriver doucement dessus. Il resta debout alors qu’elle se chargeait de défaire sa ceinture et déboutonner son pantalon, il le descendit tandis qu’il observait du coin de l’œil Leah qui prenait place sur le lit. Une fois le pantalon balançait ainsi que les chaussettes (élément qui pouvait être un vrai tue l’amour) il rejoignit la jeune femme sur le lit. Glissant une main sur sa cuisse la caressant doucement alors que son autre main venait glisser le long de son bassin remontant sur ses courbes avantageuses. Ses lèvres se posèrent sur celle de sa petite amie, l’embrassant doucement avant d’accentuer ce baiser le rendant plus passionnel, plus langoureux.  L’une de ses mains s’attarda sur le soutien gorge, caressant sa poitrine par-dessus ce tissu qu’il allait devoir retirer rapidement car ça devenait gênant plus qu’autre chose. Glissant ses lèvres en dessous de la bouche de Leah, passant par son menton, s’attardant sur son cou qu’il mordilla par endroit avant de descendre sur le haut de sa poitrine. Il la désirait, chaque caresse, chaque baiser ne faisait qu’amplifiait son envie. Ça faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas pu se retrouver avec elle de cette façon, beaucoup trop longtemps. Son corps tout entier la désirait, il prenait son temps ne voulant pas la brusquer. Leah murmura quelque chose, il crut entendre quelque chose mais n’en était pas sûr alors continua ses baisers avant de l’entendre à nouveau. Il n’était pas fou elle venait bien de lui dire qu’elle l’aimait. Il stoppa ce qu’il était en train de faire, relevant la tête vers le visage de Leah il passa une main sur sa joue retirant une mèche de cheveux. Il avait un sourire niais, comme tout homme heureux d’entendre la femme qu’il aimait lui avouer son amour… c’était un brin pathétique quand on savait qu’il avait eu le même sourire lorsque Neela lui avait dit. Enfin bon, ne parlons pas de sujet qui fâche ! « Moi aussi je t’aime Leah. » Il reprit ses lèvres l’embrassant tendrement.
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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptySam 14 Sep 2013 - 2:54

“Stay with me, baby stay with me, tonight don't leave me alone. Walk with me, come and walk with me, to the edge of all we've ever known. Well, I'm not sure what this is gonna be, but with my eyes closed all I see is the skyline, through the window, the moon above you and the streets below. Hold my breath as you're moving in, taste your lips and feel your skin. When the time comes, baby don't run, just kiss me slowly.”




C'était sorti tout seul, je m'étais déjà abandonnée dans ses bras et j'oubliais tout. Pendant un instant j'avais pourtant eu peur qu'il ne cesse ce que nous étions en train de faire, que se passerait-il s'il ne m'aimait pas en retour? Il était là et il s'inquiétait pour moi, certes, mais dans ma tête c'était impossible ou en tout cas difficile à croire qu'un homme comme Noah puisse véritablement tomber amoureux d'une fille comme moi. Il aurait pu se contenter d'un petit coup de coeur, d'une amitié améliorée, sans vraiment m'aimer pour autant. Je réfléchissais un peu trop parce que même si Noah s'était bien arrêté quelques secondes pour me dégager le visage et me sourire en me regardant dans les yeux, les mots sortirent de sa bouche tout comme ils étaient sortis de la mienne. Soulagée, je le laissais m'embrasser. Il était délicat, tendre, doux. Il était parfait. Je lui avais explicitement demandé de ne pas y aller trop vite ou trop brutalement et c'était exactement ce qu'il faisait. Pour une fois je n'avais pas envie de parler, il fallait que je me concentre sur mes émotions. J'avais la sensation d'être dans une sorte de bulle, comme si le temps s'était arrêté et que tout ce qui m'avait fait souffrir, tout ce qui était négatif dans ma vie, tout était mis de côté et je ne me consacrais plus qu'à Noah. Il ne s'agissait même pas de prendre mon pied mais de le retrouver, d'être à nouveau dans ses bras. Je n'étais certainement pas habituée à me sentir aussi fragile, mais c'était comme si je n'avais pas cessé de recevoir des coups ces derniers mois, forcément arrive un moment où même les plus forts craquent. Même si je m'étais quelque peu faite à mon nouvel état psychologique, je refusais de l'accepter et de prendre mes aises dans toute cette peine, cette douleur, ces angoisses et ces remords pour petit à petit m'enfoncer dans une dépression. Il fallait que je saisisse n'importe laquelle des petites opportunités que j'avais d'être heureuse et être avec Noah ce soir était un excellent moyen de retrouver un bout de bonheur. Il faisait encore parti du clan des gens qui ne m'ont jamais fait de mal, comment aurait-il pu de toute façon? Je le voyais tout à fait différemment des autres hommes que j'avais connu, il était beaucoup plus à l'écoute, plus sensible, plus protecteur, et surtout plus honnête. Dans mon esprit, il était impensable que Noah Harper puisse faire quoi que ce soit pour me blesser. J'avais confiance en lui, j'avais baissé ma garde et je m'offrais à lui toute entière en sachant qu'il prendrait grand soin de moi. C'était ma plus grande conviction à cet instant précis alors que nous échangions des baisers passionnés, des caresses délicates, sa respiration sur ma peau, mes doigts glissant dans son dos. Je m'accrochais à lui comme on s'accroche à une bouteille d'oxygène au fin fond de l'océan. Il était mon espoir. L'espoir que tout allait bien se passer et que moi aussi j'aurai un jour droit à mon happy ending. J'avais déjà eu un certain nombre de conquêtes, mais avec lui c'était différent. C'est comme si avant lui je n'avais jamais vraiment su ce que c'était de faire l'amour, avant lui je me contentais du prendre du plaisir mais il n'y avait aucun échange, pas de sentiment, du sexe et c'est tout. A présent que je connaissais le plaisir encore plus intense et jouissif de partager un moment aussi intime avec quelqu'un pour qui je ressentait tellement d'admiration et d'amour, je me demandais comment j'avais pu prendre mon pied avec des garçons dont je n'avais pas grand chose à faire. J'avais déjà connu des mecs doués au lit, certains très libérés, d'autres complètement tarés et j'avais aussi eu le malheur de tomber sur des mecs vraiment nuls. Soyons honnête cinq minutes, qui n'a jamais eu le terrible privilège de coucher avec un marteau piqueur? Un cauchemar…. Mais Noah, oh Noah! Il était loin d'être un bourrin et surtout pas ce soir. Je me sentais enveloppée d'un sentiment de grande satisfaction. Il était parfait et je n'avais pas d'autre mot. Après mon agression, j'avais eu tellement peur de ne plus être capable de laisser qui que ce soit me toucher, j'aurais pu fondre en larme à la moindre caresse mais je n'avais qu'à regarder Noah dans les yeux pour me rappeler que dans ses bras j'étais en sécurité. Il pouvait mener la danse, je le laissais me guider, je m'en remettais à lui à cent pour cent. C'était tellement rare de ma part mais pour le coup je savais que j'en aurais été incapable avec un autre homme que lui. Noah. Mon parfait Noah. Remontant une main du bas de son dos à sa nuque, puis au haut de ses cheveux, je frissonnais de plaisir. Je laissais échapper un gémissement suivit d'un long soupir. Ma tête retomba sur l'oreiller. Je laissais Noah prendre place à mes côtés. Je n'avais pas envie de parler, j'avais besoin de retrouver mes esprits et savourer le moment qu'il venait de m'offrir. J'affichais un léger sourire, parce que clairement à cet instant j'étais vraiment heureuse au plus profond de moi-même. Après quelques secondes je laissais mon corps se détendre et je me tournais sur le côté pour poser une main sur son torse nu. Le fixant dans les yeux, j'avais l'impression que nous étions en parfaite harmonie, tout comme la première fois où nous avions partagé un moment comme celui-ci. Cette fois nous n'étions pas obligés de nous dépêcher de nous rhabiller et de nous séparer. En fait, nous pouvions rester ainsi dans les bras l'un de l'autre jusqu'au petit matin si on le voulait, et Dieu sait que j'en avais envie. J'allais déposer un baiser furtif sur sa bouche en pinçant un peu ses lèvres avant de me rallonger complètement, laissant ma tête sur son torse et mon bras à travers son ventre. J'avais mon oreille exactement à l'endroit où se situait son coeur. Je l'entendais battre dans sa poitrine. BOUM. BOUM. BOUM. J'avais à nouveau envie de lui dire que je l'aimais, j'avais envie de le hurler cette fois mais je me mordais la langue pour ne pas le dire. J'avais passé des années et des années sans prononcer ces mots-là à un seul homme et maintenant je n'avais plus que cela à la bouche. C'était l'effet Noah Harper. Il me rendait dingue et j'étais folle amoureuse. Mon coeur à moi faisait sans doute le même boum-boum que le sien, mais le mien lui était tout spécialement destiné. Mon coeur battait pour lui et uniquement pour lui. Je me sentais tellement apaisée, comme une enfant qui a eu une énorme crise de larmes et qui finit par se calmer en s'endormant au milieu de ses peluches. Je fermais les yeux, me laissant emplir par le bien-être le plus total, un bien-être que je n'avais pas ressentit depuis trop longtemps. J'étais dans ses bras, j'étais chez moi, rien ne pouvait venir perturber mon état aussi posé, ma tranquillité et ma joie de l'avoir retrouvé.

Lorsque je rouvris les yeux, j'avais l'impression que seulement quelques minutes s'étaient écoulées mais en réalité à en croire mon réveil, mon sommeil avait été beaucoup plus long. Il était quatre heures et demi du matin et j'avais ouvert les yeux d'un coup, d'un seul. C'était comme si la réalité avait décidé de me rappeler à elle, le soleil serait bientôt levé et la vie reprendrait son court. Noah retournerait travailler et je retournerais vaquer à mes occupations en songeant à mes problèmes et comment les régler. Noah. Me redressant un peu brusquement, je fixais l'autre côté du lit. Il était encore là, et il semblait s'être endormi lui aussi. Je souriais, presque soulagée de le trouver à mes côtés, comme si j'avais crains pendant une seconde que tout ceci ne soit qu'un rêve. Me dégageant des couvertures, je quittais le lit sur la pointe des pieds, ramassant au passage sa chemise qui était au sol. Je l'enfilais en la laissant ouverte avant d'aller m'enfermer dans la salle de bain. Passant une main dans mes cheveux, je me plaçais face au miroir au dessus de l'évier. Je fixais mon reflet dans les yeux, je fus surprise d'apercevoir un mince sourire se glisser sur mes lèvres. J'avais l'impression de retrouver mon ancienne moi. Mes yeux glissèrent finalement sur le reste de mon corps, et lorsque j'en arrivais à mon ventre, j'y portais mes mains. Il fallait que je lui dise… Étrangement, je ne ressentais plus autant d'appréhension que lorsque je l'avais vu se présenter à moi tout à l'heure. Je ne savais toujours pas comment il allait réagir mais après cette nuit une part de moi ne pouvait s'empêcher d'espérer qu'il ne me rejette pas ou plutôt qu'il ne nous rejette pas. J'étais poussée par le désir de me débarrasser de ce poids qui commençait à m'oppresser à nouveau. J'avais beau n'avoir dormi que quelques heures, je me sentais incapable de glisser à nouveau sous les couvertures aux côtés de l'homme que j'aimais et me rendormir comme si de rien n'était. Noah avait toujours été honnête avec moi, et je me devais de l'être aussi. Après mettre passé un peu d'eau fraiche sur le visage, je quittais la salle de bain pour retourner dans ma chambre.  "Noah?" chuchotais-je en me positionnant au pied du lit. Evidement si je voulais le réveiller, j'allais devoir le secouer un peu. Je le fixais un instant. Je n'avais pas vraiment envie de le réveiller mais ce n'est pas comme si j'avais le choix! Attrapant doucement son tibiat j'essayais de le remuer. "Noah?" répétais-je plus fort. "Il faut que je te dise un truc…" Un truc? Oui Leah, quel bon choix de mot! Parler d'un "truc" à même pas cinq heures du matin, quelle idée aussi! J'aurais de la chance s'il ne m'envoie pas balader en me donner un coup de pied ou réflexe d'endormi du même genre. "Excuse-moi, je sais que tu voudrais sans doute continuer de dormir mais… cette fois ça ne peut vraiment pas attendre." J'étais pressée que ça sorte une bonne fois pour toute. Je l'avais vu remuer, il devait être en train d'émerger, mais au final même si évidement je voulais qu'il m'écoute, je ne faisais que partiellement attention à son état. J'essayais de réfléchir à comment formuler ce que j'avais à lui dire. "Noah?" répétais à nouveau. Ma voix restait assez calme quoi que ne pouvant vraiment cacher mon impatience, j'avais passé le stade du chuchotement mais j'étais loin de parler aussi fort que d'ordinaire. Me pinçant légèrement la lèvre inférieur, j'hésitais, et je le fixais encore et toujours….Je me tournais alors pour ne plus lui faire face, je préférais regarder dehors, la fenêtre se trouvait à présent devant mes yeux, et Noah était dans mon dos. La pièce était plongée dans le noir mais un filet de lumière provenant de la salle de bain que j'avais laissé éclairée pénétrait tout de même dans la chambre. La lune se reflétait sur mon visage, je fermais les yeux doucement avant de prendre une profonde inspiration. "Je suis enceinte." lâchais-je avec un calme qui me surprit moi-même. Je rouvris les yeux mais je n'osais pas encore me tourner vers lui. Je comptais bien évidement lui dire qu'il était peut-être ou peut-être pas le père mais je ne pouvais pas le formuler d'une traite. Je n'arrivais pas à le lui dire juste comme cela. J'avais beau ne pas le regarder dans les yeux, je ne pouvais pas lui dire que j'étais incapable de déterminer avec certitude le père de mon enfant. Noah avait encore une belle image de moi, une image propre, lisse, sans tache… Je ne voulais pas qu'il pense que j'étais une fille facile, je n'avais pas non plus envie de lui parler d'Ethan et de sa relation avec ma soeur. Il allait forcément me prendre pour une folle, penser que je n'étais pas la fille qu'il croyait. Il aimait une certaine version de moi, l'image que j'avais pu lui offrir jusqu'à présent, mes meilleurs côtés… Il n'avait pas pris connaissance de mes côtés plus sombres, de mes défauts. Je craignais son jugement, je craignais sa sentence. Et surtout, j'avais peur qu'il pense que j'avais simplement voulu le piéger cette nuit, mais au fond faire l'amour avec Noah n'avait rien changer au fait que j'étais enceinte et après tout il y avait bien cinquante pour cent de chance que ce bébé soit le sien. J'essayer encore de me rassurer comme je pouvais avant d'affronter sa réaction. S'il n'était pas bien réveillé avant, il devait forcément l'être à présent.

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Noah S. Harper
Noah S. Harper
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› STATUT CIVIL : Je suis le fils d'Eleanor Harper, une femme au grand coeur. J'ai été marié durant plusieurs année à Sophia avec qui nous avons eu un garçon : Jamie. Notre mariage prend fin lorsque l'on m'annonce son décés, je viens de découvrir il y a quelques mois qu'elle n'est pas morte. J'espère pouvoir renouer avec ma femme et redevenir l'homme bien que j'étais à ses côtés. Avec son retour j'ai découvert notre fille : Lily. Je suis également papa de la petite Maya Meyers et de Mason Stewart.
› QUARTIER : 2050 Palm Avenue avec mon fils Jamie ainsi que ma mère Eleanor.
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MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyLun 30 Sep 2013 - 19:51

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Allongé sur le dos, le regard posé sur le plafond qu’il fixait depuis un petit moment il détourna son regard venant le poser sur la jolie brune. Relevant un peu la tête il l’aperçut les yeux fermés, sa respiration indiquait qu’elle dormait ce qui n’était pas du tout son cas. Il s’était senti vivant, apaisé avant de se retrouver dans le noir, dans un silence qui le ramenait à la réalité. L’avocat se sentait bien faible soudainement, faible d’avoir cédé si facilement à la tentation. Il avait désiré Leah, incapable de se raisonner, d’être un homme bien et de lui refuser ce moment. Noah avait profité de la situation, ce n’était pas le cas mais c’était pourtant ce qu’elle finirait par penser quand il lui avouerait ce secret qu’il cachait. Il était pourtant bien et se sentait réellement vivant alors qu’elle dormait dans ses bras. Mais sa conscience travaillait toute seule et l’empêchait de dormir. Il avait beau fermer les yeux à chaque fois il devait les ouvrir à nouveau ne pouvant supporter de voir Neela. C’était ce qu’il voyait une fois ses yeux fermés, Neela, son sourire éclatant le regardant avec ce regard dont elle avait le secret. Puis elle perdait son sourire, son regard finissait par se noyer dans ses larmes alors qu’elle l’apercevait dans les bras de Leah… il ouvrait les yeux une nouvelle fois, soupirant légèrement avant de se redresser doucement. Laissant Leah glisser sur le côté se relevant doucement, vérifiant qu’elle dormait toujours. Il quittait la chambre, refermant la porte derrière lui avant de se diriger vers la salle de bain. Posant ses mains sous le robinet, se passant de l’eau sur le visage avant de se regarder à travers le miroir. Il serra son poing, baissant son regard jusqu’à celui-ci s’étonnant lui-même de sa réaction. Il devait se calmer, ça ne lui ressemblait pas d’être ainsi. Il quitta la salle de bain retournant auprès de la jeune femme.

L’avocat avait réussi à s’endormir quelques minutes plus tard, laissant de côté ses mauvais rêves ou toutes les questions qui le tourmentaient. Il était enfin paisible et se serait bien passé d’un réveil au bout milieu de la nuit. Il sentit quelque chose le secouer avant de comprendre que ce quelque chose était en faite Leah. Grognant, soupirant avant de tourner la tête dans l’autre sens ne voulant pas se réveiller ni écouter ce qu’elle avait à lui dire. Noah n’était pas vraiment du genre à apprécier un réveil au beau milieu de la nuit, et c’était pareil pour le matin il préférait se réveiller en douceur. Il garda les yeux fermés alors qu’elle lui indiquait qu’elle voulait lui dire quelque chose, franchement ça ne pouvait pas attendre ? Noah ne bougea pas, ne tardant pas d’ailleurs à retrouver le sommeil avant d’entendre à nouveau la douce voix de Leah. Il se passait quelque chose, elle ne le réveillerait pas ainsi si ce n’était pas urgent, elle précisa que ça ne pouvait pas attendre. Se rappelant alors du début de la soirée, elle voulait lui dire quelque chose mais il avait préféré qu’elle attende, et si c’était le même sujet ? Il ouvrit les yeux, passant une main dessus avant de se tourner se retrouvant sur le dos quelques instants alors qu’elle prononçait à nouveau son prénom. Il se redressa, se retrouvant assit dans le lit passant à nouveau sa main sur ses yeux. Posant son regard sur la jolie brune, il l’observa et comprit qu’il se passait quelque chose. Elle semblait soucieuse, et vu l’heure qu’affichait le réveil il était clair qu’elle ne le réveillait pas pour rien. Leah détourna le regard, ce n’était pas bon signe. Il se redressa davantage, posant les pieds sur le sol observant la jolie brune de son air inquiet. Il ne voyait pas son visage, il sentit son cœur s’emballait devant ce silence qui devenait trop lourd à supporter. Que se passait-il ? Automatiquement il ne pouvait s’empêcher à ce qu’il lui cachait, il avait cru en début de soirée qu’elle était déjà au courant de ses mensonges, et si il avait vu juste ? Si Leah savait la réalité, et ne supportait plus son silence ? Non ce n’était pas pensable, pas avec le moment qu’ils venaient de passer… quoi que, Neela avait appris sa trahison et avait pourtant cédé assez facilement à la tentation. Le pire dans toute cette histoire c’était qu’il était capable de coucher avec deux femmes sans aucuns soucis, un vrai salaud !
La bombe fut lâchée. Trois mots, trois petits mots qui résonnaient dans sa tête. Enceinte ? « Enceinte ? De ce soir, déjà ? » Ok ce n’était pas drôle. Elle était enceinte ? Relâchant sa nuque, la tête baissée en avant, le regard posé sur le sol il n’arrivait pas à y croire. Noah était incapable de prendre au sérieux les paroles de la jolie brune, au point qu’un rire retentit dans la chambre, son rire. Il releva la tête posant ses deux mains sur son visage alors qu’un fou rire était en train de naître. La situation n’était pas drôle, c’était nerveux plus qu’autre chose, comme les personnes qui riaient durant un enterrement. Il craquait, il en pleurait et ne pouvait calmer son rire qui retentissait. On aurait pu penser qu’il était au milieu d’une soirée, avec ces vieux potes à se remémorer les conneries de leur enfance… ce n’était pas le cas, il n’y avait rien de drôle dans cette situation. Leah était enceinte, elle était enceinte de lui, elle se retrouvait dans la même situation que Neela et ça ce n’était pas du tout drôle. Une chose était sûre Noah était doué pour se reproduire, pas de doute la dessus ! Le rire se calma peu à peu alors qu’il prenait conscience de cette situation. Il aurait du être heureux, il aurait du la prendre dans ses bras et lui dire combien il l’aimait mais il ne le pouvait pas. Une part de lui était heureuse, ils attendaient un enfant c’était juste magique. Mais une part le ramenait à la réalité celle dont n’avait pas connaissance la jeune Leah. Ses mains glissèrent le long de son visage, son rire se stoppa net, le regard posé devant lui complètement perdu il se senti prit d’une panique qu’il ne connaissait pas. Se relevant soudainement, passant une main dans ses cheveux il sortit enfin quelques mots. « Non… non, tu… » Posant son regard sur la jolie brune il sentit l’émotion l’envahir, il passait par une palette impressionnante d’émotion en quelques minutes. « Tu attends mon enfant… je vais être père, on va être parents. » Et là ce fut bien une larme qui coula le long de sa joue, merde. Mettant de côté un court instant la réalité il se précipita vers Leah, la relevant avant de l’embrasser. Il ne pouvait pas rire, paniquer puis pleurer alors qu’elle lui annonçait tout de même qu’elle était enceinte. Quittant ses lèvres il sourit enfin, descendant son regard vers le ventre de la jolie brune. Elle portait son enfant.

Puis soudain, comme ci quelqu’un venait de le gifler le ramenant à la réalité, il recula de quelques pas. Leah ne devait plus rien comprendre, lui-même était perdu avec tout ceci. « Je dois te dire quelque chose moi aussi… je suis heureux, vraiment, c’est un beau cadeau mais je dois te dire quelque chose. » Il passa une main dans ses cheveux, se tournant vers la fenêtre et il pensa à Neela, enceinte également. Comment pouvait-il à présent lui dire la vérité, gâché ce moment qui devait être merveilleux pour Leah. Et comment dire à Neela que la seconde femme était à son tour enceinte, elle allait le tuer. Manquant de courage, il resta silencieux avant de se tourner à nouveau vers sa petite amie. « Tu le sais depuis quand ? » Une fois encore Noah esquivait cette conversation qu’ils allaient pourtant devoir avoir.

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Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! Empty
MessageSujet: Re: Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi !   Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! EmptyDim 6 Oct 2013 - 3:11

“Stay with me, baby stay with me, tonight don't leave me alone. Walk with me, come and walk with me, to the edge of all we've ever known. Well, I'm not sure what this is gonna be, but with my eyes closed all I see is the skyline, through the window, the moon above you and the streets below. Hold my breath as you're moving in, taste your lips and feel your skin. When the time comes, baby don't run, just kiss me slowly.”




Je ne sais pas à quoi je m'attendais exactement comme réaction, au fond je ne m'attendais à rien de particulier, sauf peut-être à ce qu'il me de demande de répéter ou qu'il reste sans mot sous le choc, mais sa première réponse sonnait comme une plaisanterie, comme si je venais de lui dire une blague et qu'il enchainait dessus. Je me tournais pour lui faire face, et je n'eu pas le temps de dire quoi que ce soit que quelque chose de vraiment troublant se produisie. Il était en train de rire. J'avais l'impression d'halluciner. Parce que si je ne m'attendais pas à une réaction particulière, je ne m'attendais surtout pas à celle-ci. Il ne riait pas  un peu, ni doucement, non, il riait beaucoup et fort. C'était un fou rire, un vrai de vrai. Les sourcils froncés je le fixais sans savoir quoi dire, il me prenait de court. Mais étrangement, je me retrouvais à ne pas aimer l'entendre rire, j'étais paniquée à l'intérieur de moi, et le voir rigoler ne m'aidait pas et pire encore je sentais une certaine colère me monter au nez. Pourquoi riait-il? Ma respiration s'accélérait à mesure que le son de sa voix retentissait encore dans ma chambre. Dans l'obscurité, il ne pouvait pas voir mes yeux briller, j'avais envie de pleurer. C'était sans doute un mélange de stresse et d'hormones en ébullitions, mais je me sentais sincèrement au bord des larmes et je ne voulais plus qu'il rigole, je voulais qu'il arrête! Je restais silencieuse, parce que je savais que si j'essayais de dire quoi que ce soit je n'allais pas pouvoir retenir mes émotions et la situation serait encore plus ridicule. Noah cessa finalement de rire et son visage passa d'un sentiment à un autre. Il avait l'air paniqué. Enfin! Je l'observais se lever, pendant quelques secondes je cru qu'il allait se mettre à faire les cents pas dans la pièces. J'avais du mal à le suivre, à le comprendre et pour la première fois ce soir je ne me sentais plus vraiment connectée avec lui. Pourtant, il était en train de prendre conscience de la chose, je suppose que cela aurait dû me faire plaisir, en l'entendant dire qu'on allait être parents, j'aurais dû éprouver un certain contentement mais au lieu de cela c'était la peur qui s'installait à nouveau. Parce que je n'avais pas tout dit d'un coup, je n'avais pas dit qu'il n'était peut-être pas le père et sa réaction ne me donnait pas plus confiance en moi, je ne me sentais pas bien du tout pour le coup. Et après ce qui me sembla être une éternité, il se précipita enfin sur moi pour m'embrasser. Il souriait, pas moi. Je l'observais me regarder, regarder mon ventre, et j'avais envie de hurler. J'avais envie de hurler parce qu'au final peut-être bien que je m'attendais à une réaction de sa part, même si j'avais soutenu le contraire, peut-être bien que je m'attendais à autre chose et ce n'était pas du tout celle que j'avais obtenu que je voulais, cette réaction-là ne m'avait pas plu du tout, elle m'avait vexé même. Pourquoi avait-il ri? Que y-avait-il de si marrant dans le fait que j'étais enceinte et qu'il était le futur père? Construire une famille et un futur avec moi lui semblait sans doute être une idée tellement saugrenue? Je me sentais blessée, parce qu'il avait ri. Et je continuais de me taire et d'afficher cette expression fermée mais calme alors que je me sentais bouillonner. Je respirais vite, trop vite. Je fis un pas en arrière, pour m'écarter de lui. Et lui aussi il avait reculé. Il reculait. Mon Dieu! Il reculait lui aussi. "Noah…" lâchais-je de ma voix plaintif, c'était comme une supplication. Mais il ne me laissa pas le temps de rajouter quoi que ce soit, il avait apparemment quelque chose à me dire à son tour. Il déclara être heureux de la nouvelle mais, il y avait un "mais"! Je regrettais de ne pas lui avoir tout dit d'un coup, de ne pas lui avoir dit qu'il n'était peut-être pas le père parce que maintenant je paniquais et je sentais que la situation m'échappait, ce n'était pas censé se passer comme cela, et pourquoi avait-il ri bon sang?! Pourquoi? Et maintenant, que voulez-t-il me dire? Une fois de plus je m'attendais à autre chose qu'à ce qui sortit de sa bouche. "Quelle importance?" Il voulait savoir depuis quand j'étais au courant. Et je lui avais répondu avec un peu plus d'agressivité que je ne l'aurais voulu. Le fixant un instant je regrettais aussitôt. "Pardon…" Une larme se mit à couler sur ma joue. Il ne pouvait sans doute pas la voir, on se tenait à une distance plutôt prononcée l'un de l'autre et il faisait toujours noir. "Je l'ai appris quand…" Je me pinçais la lèvres inférieure pour l'empêcher de trembler. "À l'hôpital… Après l'agression." Ma voix se brisa et je ne pu retenir un premier sanglot. Maintenant comment voulait-il que je poursuive cette conversation et que je lui dise la vérité, toute la vérité. J'essayais tant bien que mal de ne pas pleurer d'avantage, de ne pas me laisser aller à cela mais c'était une lutte difficile et j'avais besoin de m'asseoir quelques instant. Je choisis le côté le plus éloigné de Noah, je ne voulais pas qu'il me prenne dans ses bras, ni qu'il s'approche de moi pour me consoler, je savais que j'allais craquer et qu'ensuite je ne pourrais vraiment plus lui dire. "J'ai besoin de quelques secondes…" soufflais-je à son attention. La tête baissée, je m'accrochais à la tête de lit. J'inspirais et j'expirais en comptant tout bas pour me calmer. "Dis-moi… Tu voulais dire quelque chose. Tu es heureux et c'est un beau cadeau, mais il y a un "mais"… Alors vas-y! Dis-moi?" Je relevais la tête avant d'allumer la lumière de la table de chevet. On quittait l'obscurité pour un peu de lumière et je pouvais enfin vraiment voir son visage. Je me demandais s'il pouvait lire mon état sur le mien. J'étais bouleversée, et je ne savais même pas pourquoi. J'étais passé de l'appréhension à l'idée de lui parler de ma grossesse à une sensation de colère et ce en l'espace de quelques secondes à peine. Mais je ne savais pas si j'étais plus fâchée contre lui ou contre moi-même? On venait de passer une nuit si douce et agréable et j'avais l'impression de tout gâcher à présent. Il avait toujours été parfait mais il avait ri lorsque je lui avais annoncé que j'étais enceinte et peut-être que j'aurais dû lui laisser à lui aussi le droit de paniquer un peu, il pouvait bien réagir à la nouvelle comme il le voulait mais je ne pouvais m'empêcher de le prendre mal.



HJ: réponse totalement merdique, je m'excuse, je me rattraperai à la prochaine Tu me manques, la vérité c'est que ça me tue de te savoir loin de moi ! 2587401431 
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