NOM : larson, un nom qui n'est pas si répandu que ça dans le coin. PRÉNOMS : callum, jonah. le deuxième n'étant pratiquement jamais utilisé, je ne le mentionne pas. SURNOMS : les gens m'appellent généralement cal, mais vous savez, je suis pas un mordu des surnoms. AGE : trente-deux ans, en route vers la trente-troisième année. DATE DE NAISSANCE : douze octobre 1981 NATIONALITÉ : australien, mais il a la citoyenneté américaine de par sa femme depuis plus de cinq ans. SEXUALITÉ : hétérosexuel SITUATION AMOUREUSE : veuf, mais il évite souvent le sujet. EMPLOI/ETUDES : entraîneur sportif à l'université NOM DU QUARTIER : presidente drive ANIMAUX DE COMPAGNIE : aucun pour le moment. CHIFFRE PORTE BONHEUR : le quatre, c'est la date d'anniversaire de mon mariage.

Tout d’abord, il faut savoir que je déteste ne rien faire. Ça me stresse, j’ai l’impression de perdre mon temps et plus dramatiquement encore, de rater ma vie. Je suis une personne très expressive et directe, et je n’ai pas vraiment honte de dire ce que je pense, même si c’est pour ensuite me faire des ennemis. Quoique ça arrive peu souvent, je suis une personne plutôt amicale de nature, j’aime pas énormément les embrouilles. Sauf quand j’ai trop bu. Alors là, il vaut mieux pas se mettre dans mon chemin, parce que je peux casser la gueule au premier qui me parle trop fort. Mais j’ai la manie de monter le son de la musique quand je suis trop saoul, alors j’entends pas trop quand on me gueule après, d’habitude. Je ne suis pas un dragueur, je préfère qu’on me drague. C’est bien une femme qui prend les devants vous savez. Je suis menteur, mais rien de bien méchant, seulement pour me sauver du pétrin de temps en temps. J’ai une manie d’arriver en retard. La ponctualité? C’est quoi ça. Je suis ambidextre, ça veut dire que je ne sais pas écrire avec les deux mains. Déchiffrer ce que j’écris, c’est une science en tant que soit. Je suis un peu père poule, et j’aime pas m’imaginer plus tard devoir surveiller tous les pénis de l’univers. Comme je l’ai mentionné, je suis un pacifiste.

Je viens de la banlieue de Perth, en Australie. Il fait beau, il fait chaud, c’est un peu comme la Californie, mais en beaucoup mieux. Ma mère était professeure dans une petite école et mon père travaillait comme ingénieur. Je suis leur dernier enfant, le quatrième. Disons qu’avec trois sœurs avant moi, j’en ai vu de toutes les couleurs et je n’ai jamais manqué de divertissement. Petit, j’étais le souffre-douleur attitré de ma sœur aînée et quand j’y repense aujourd’hui, je me demande comment j’ai pu être aussi soumis. Ce n’est pas très important de toute façon, enfin plus maintenant. C’est juste le genre de choses que j’aime bien me remémorer même si elles sont totalement tordues, tu sais, pour me rappeler à quel point ma vie a déjà été simple.
Je ne me rappelle pas vraiment de moments négatifs de mon enfance, bizarrement. Bien sûr, il y a eu cette fois où notre chien est mort, ou quand je me suis cassé une jambe et que je n’ai pas pu courir pendant près de deux mois – il faut dire que je n’aidais pas beaucoup la guérison.
J’étais un gamin tellement simple et banal que vous raconter ma vie est presque ennuyant. Je bougeais beaucoup trop apparemment aux dires de ma mère. Le fait d’habiter près d’un bois n’a certainement pas aidé la cause, puisqu’il arrivait parfois que je disparaisse dans celui-ci avec des amis pour construire des cabanes et pêcher dans le ruisseau. On avait découvert une petite crique plutôt sympathique qui devint des années plus tard le coin bière, et j’aimais bien m’y cacher pour ne pas avoir à supporter la horde de filles à la maison. Inutile de vous dire que garder quelque chose pour soi et la solitude étaient des choses peu communes à la maison.
Puis l’adolescence est arrivée et j’ai commencé tranquillement à ramener des filles dans le boisée. Pas mes sœurs, mais je ne peux pas vous cacher qu’avec le nombre de copines qu’elles ramenaient à la maison, j’avais parfois l’embarras du choix. D’ailleurs, j’ai eu quelques petites guerres avec ma plus jeune sœur, Zooey, qui ne supportait pas que moi et mes potes on drague ses amies. Enfin, c’est du passé, de toute façon ça ne durait jamais bien longtemps ces histoires-là.
J’étais pas l’élève le plus doué de mon école, et j’ai réellement buché pendant ma scolarité. Je voulais aller à l’université et malheureusement, le sport ne mène pas à grand-chose ici. En y repensant aujourd’hui, je me dis que ça ne m’a pas servi à grand-chose, cette université, parce qu’en fait, j’ai jamais eu ce diplôme en nutrition sportive.

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Je m’étais inscrit à cet échange étudiant sans vraiment penser que je pourrais être accepté. En fait, c’est surtout la curiosité qui m’avait poussé à mettre mon nom sur la liste des étudiants intéressés à aller passer un an entier aux États-Unis. J’avais même oublié que je m’étais inscrit lorsque j’ai reçu la lettre d’acceptation.
J’ai failli refuser au début, laisser tomber ce voyage mais c’était une superbe opportunité de voyager. Bien sûr c’était pour les études, mais c’était quand même une année entière là-bas. Alors j’ai pris l’avion et je suis parti étudier à l’étranger. J’aurais jamais cru rester aussi longtemps.
J’ai rencontré Sarah à l’université. Elle étudiait le droit, nous avions quand même un cours en commun mais c’est par des amis à l’école que nous avons commencé à nous fréquenter. Elle était si calme et si posée tandis que moi incapable de tenir en place, les gens avaient peine à nous voir ensemble au début et mes parents me suppliaient de ne pas m’embarquer dans une histoire pareille, mais on était persuadés que c’était fait pour fonctionner malgré nos nombreuses différences.  C’est pour ça qu’avant de partir après l’année passée à UCLA j’ai décidé de la demander en mariage en pensant que c’était la bonne chose à faire. Mes parents se sont mariés jeunes, alors j’imagine que c’est pour ça que j’ai eu envie de le faire, du moins de le lui proposer. Et aussi parce que je l’aimais comme un fou et me dire que je partais chez moi me rendait complètement malade. Parce qu’au fond, avec elle je me sentais aussi chez moi.

J’ai fait des demandes et travaillé super fort pour que l’on finisse par accepter mon transfert à UCLA comme étudiant permanant. Ma mère était désespérée, mon père furieux et sur mes trois sœurs, une seule n’approuvait pas la démarche. Je me suis carrément exilé de mon pays pour une femme, et le pire c’est qu’elle est morte aujourd’hui.

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Je me rappelle de l’accident comme si c’était hier. On était sur la route, il était tard. Près de vingt-trois heures, mais pas encore. Elle m’avait demandé de baisser le volume de la radio car elle voulait dormir. Sarah était enceinte de sept mois et passait pratiquement tout son temps à dormir maintenant. Nous étions allés chez des amis pour fêter mon anniversaire, elle avait insisté pour que l’on fasse quelque chose en groupe pour une fois. Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’un homme atteint la trentaine! J’avais donc accepté. Si seulement j’avais su, j’aurais peut-être au moins accepté la proposition de nos amis pour rester dormir lorsque le ciel a commencé à s’assombrir.
L'orage a éclaté et la pluie s’est mise à tomber, faisant en sorte que je ne voyais plus à moins de deux mètres devant moi. Par sécurité, j’avais pris la peine de ralentir au minimum, mais apparemment le petit idiot derrière moi ne semblait pas voir le danger pour sa part.
Tout s'est passé terriblement vite, à peine quelques secondes. Le jeune derrière moi a accéléré et tenté un dépassement. Avec la pluie, la route était glissante et il a bien évidemment perdu le contrôle. J’ai vu la voiture faire un tour complet sur elle-même et s'écraser directement contre mon pare-brise, comme dans un film de course mais en beaucoup plus terrifiant. Mon coeur battait à tout rompre et je tournai la tête en direction de Sarah qui ne laissait pas sortir un son malgré le choc abrupte. Sur le côté de sa tête, du sang avait commencé à couler. J’avais peine à expliquer mon histoire aux ambulanciers lorsque j’ai appelé l’ambulance.
Ils m'avaient mis dans une pièce fermée, une sorte de bureau où je tournais en ronds. Je voulais savoir comment elle allait, mais personne n'avait voulu me donner de nouvelles. Elle était en salle d'opération depuis plus d'une heure déjà. La porte s'ouvrit et un homme en sarrau se tenait dans le cadre de la porte en me regardant d’un air neutre. Les médecins me font parfois penser à des joueurs de poker, on ne sait jamais quel genre de nouvelle ils vont nous donner avec la tête qu’ils font. Pourtant je me doutais qu’un truc clochait. On ne me donnait aucunes nouvelles. Puis finalement il s’est installé devant moi et m’a annoncé le décès de Sarah. J’étais anéanti, encore aujourd’hui je le suis. Lorsqu’ils m’ont dit qu’ils avaient réussi à sauver la petite, je n’y croyais pas au début. Ensuite, j’étais bouleversé. En moins d’une heure je venais de perdre ma femme et d’avoir un enfant. Et tout ça parce que je suis allé fêter mon anniversaire.
Ils m’ont demandé si je voulais voir ma femme et j’ai refusé. Pas parce que je n’aime pas les cadavres, ou bien parce que je ne l’aimais pas, mais surtout parce que je n’avais pas envie de la voir morte. Je préférais me garder une image d’elle en tête plus en vie, à la limite j’aurais préféré ne pas me souvenir de l’accident du tout. Ils m’ont donc emmené directement voir ma fille à la pouponnière, et ce fut presque aussi douloureux que si j’avais vu Sarah étendue sur un brancard. Lorsqu'on me tendit la petite fille minuscule qui pleurait, je compris que j'allais être tout seul pour l'élever. Elle ne connaîtrait jamais sa mère, sauf en photos ou en vidéos, ou bien quand on lui raconterait des histoires à son sujet. Elle sera un peu comme un personnage dans sa tête.
Je me rappelle avoir pleuré beaucoup les premiers temps, avoir manqué de patience et utilisé le décès de Sarah comme excuse pour tout. J’étais particulièrement chiant avec les gens en général et je vivais dans ma bulle avec un bébé prématuré, donc ça me rendait encore plus cinglé.

J’ai recommencé à travailler quand la petite a eu un an, me permettant de respirer un peu. Je pense que c’est ce qui m’a sauvé, de me remettre à voir des gens. Puis j’ai appris certains trucs, au fil du temps. Comme le fait que l’alcool arrange bien les choses dans certains cas, et que père célibataire peut aussi avoir certains avantages.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est snatch, tandis que mon prénom est marianne. Je suis âgé(e) de 22 ans et je vis actuellement du côté de ce merveilleux pays appelé Canada, plus précisément du Québec.. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur prd, ma première impression en le voyant a été HEIN ÇA M'INTRIGUE. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 8/7j et que mon niveau rp est de tout est relatif. Concernant mon personnage j'ai choisi chris hemsworth, aka mon mien vous pouvez garder liam comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi u can't buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.