Je m'étais tellement amusait ! Pourquoi fallait-il toujours que le retour à la réalité soit si.. Dur ? Je soupirais. J'étais l'une des dernières à avoir quitté cette fête, ainsi que le monde passionnant et amusant des noctambules. J'avais préféré rentrer à pied, malgré que mon petit coup de la soirée m'ait proposé de m'accompagner en voiture. Bizarrement, aujourd'hui, j'avais envie de faire le chemin à pied. Sûrement une petite envie de mon taux d'alcoolémie qui a bien grandi depuis le début de la soirée et puis s'il m'arrivait le moindre problème un coup de fil et tout était réglé. J'avançais donc en direction de chez moi, un chewing-gum à la bouche.

Je rabaissais doucement ma robe. Estimant ne pas vouloir entrer tout de suite mais surtout être encore trop lucide pour pouvoir dormir, je restais dehors en regardant les portes voisines à la nôtre, j'étais assise sur le pallier de la mienne lorsque soudain, je sentis un regard, je sentais que quelqu'un m'observait, mais je ne voyais pas la personne, jusqu'à ce que j'élargisse un peu plus mon champs de vision et je le vis. Oui c'était lui. Clyde. Je le regardais un moment, pas du meilleur regard que j'avais en stock. Je me retournais ensuite prenant un joint et mon briquet de mon sac, pour m'en fumer un. Décidément.. J'étais encore beaucoup trop sobre.. Il fallait vite remédier à ça.

Clyde tournait en rond dans sa maison depuis plus d'une heure. On aurait dit un lion du cirque en cage prêt à sauter sur tout ce qui bouge et faire son show. Pourtant le jeune homme avait essayé de regarder la télévision, de rester sur son ordinateur, et même de lire : chose qu'il ne faisait pas souvent, c'était la preuve même qu'il était désespéré ! Pourquoi ? Parce que pour la première fois il avait laissé Tara dormir chez quelqu'un. Ca faisait deux longues années qu'il était dans le quartier et qu'il s'était fait des amis, mais il n'avait jamais osée déposer sa fille chez l'un de ses amis.
Ce n'était pas de sa faute, vu ce que lui et Tara avaient vécu il avait de quoi avoir peur après tout. Il savait que la petite était fragile et qu'elle avait du mal à se séparer de lui. Mais il avait du le faire, pour son bien … Déjà qu'il avait eu du mal à la laisser à la baby-sitter et il en avait toujours du mal d'ailleurs ! Alors la laissé loin de lui toute une nuit durant ?
N'en pouvant plus et sentant qu'il allait devenir fou i il restait dans cette maison vide, Clyde finit par sortir de la maison pour allé fumé un joint dehors. Oui, il avait reprit depuis peu... Mais sa consommation restait très exceptionnelle, il ne voulait pas montrer les mauvaise choses à Tara, il voulait être un exemple pour elle, pas comme son père qui avait été l'exemple à ne pas suivre. Clyde soupira adossé à la porte de la maison il aspira une bouffé, pour la ressortir quelques minutes plus tard par le nez. Ses muscles qui était tendue, lâchèrent soudain prises et il ferma les yeux un instant. Quand il ouvrit à nouveau elle était apparut. Qui ? Kaitlyn. Petite fille au jolie minois qu'il connaissait bien. Petite parce qu'elle avait tout le même dix huit ans et qu'elle était donc encore mineur, ils s'étaient rencontrer un soir dans un bar avait sympathisé et c'était revus plusieurs fois après ça. Clyde ne pouvait pas nier que, malgré lui il régnait une certaine tension, lier à l'attirance physique qu'il ressentait pour cette fille. Oui, elle était jeune, mais elle parlait de manière si mature ! Quoi qu'il en soit quand il s'était mit avec sa copine il y avait quelque mois de cela, celle-ci lui avait interdit de parler à Kaitlyn sous prétexte que ce n'était pas une fille bien et qu'elle ne l'aimait pas et surtout qu'elle n'aimait pas la relation qui régnait entre eux. Clyde avait obéi comme un petit toutou, il avait eu tord ! Mais sur le coup, fou amoureux de sa copine il ne s'était pas rendu compte de son erreur. Certes il y avait quelque chose d'assez étrange dans leur relation, mais Kaitlyn n'avait que dix huit ans et Clyde s'interdisait de jouer un jeu de séduction avec elle. Du moins du mieux qu'il pouvait...
Kaitlyn était la, assise sur le pallier de la porte de sa maison et elle l'avait vu. Clyde hésita un moment avant de venir vers elle : c'était la première fois qu'il tentait de lui reparler depuis sa rupture avec sa dernière copine. « Hey...ça va ? » ; lui demanda-t-il une fois arrivé face à elle. Le jeune homme aspira une nouvelle bouffé de son joint et regarda un moment le ciel. « Ecoute... Oui je sais que j'ai merdé mais t'sais je deviens un peu con quand je suis amoureux. Et pour être honnête celle-la m'avait carrément fait du vodou j'en suis sur ... ». Clyde n'était tombé amoureux qu'une seul fois quand il avait commencé ses études de droit à la fac. Elle s'appelait Lucie, elle était grande brune aux yeux bleu et il n'avait jamais osé lui dire. Puis il y avait eu sa dernière copine qui c'était un peu foutu de sa gueule, prétendant qu'elle l'aimait alors qu'elle se fichait complètement de lui. Clyde en avait eu le cœur brisé bien sur, mais comme d'habitude, il n'avait rien montré, rien extériorise, et si vous lui demandiez si il avait eu mal : il vous répondrait que ce n'était qu'une p**e. Clyde n'avait pas d'autre choix que de rester fort : il n'oubliait pas qu'il avait Tara a assumer !

Je restais là, pensive. À quoi je pensais ? Je me le demandais bien.. À un peu de tout. Cette nouvelle vie que j'avais, comment pouvait bien aller mes anciens amis.. Et comment lui pouvait aller. Alexender. À cette pensée là j'aspirais une grande latte de cette herbe magique. Laissant ainsi échapper une fumée par ma bouche. Pensée à ça faisait plus mal qu'autre chose. Il ne méritait pas de hanter mon esprit si tard là nuit, il m'a assez torturé psychologiquement là où je vivais, il n'allait pas le faire ici encore alors qu'il ne soit même pas au courant d'où on était. J'aspirais à nouveau mon joint écoutant le silence qu'il y avait dans ce beau quartier. Je préférais repenser à la soirée à laquelle j'avais été convié. Ca me permettait de m'évader à ma manière. Ou me rassurait d'être ... Quelque chose. Après l'année que je venais de vivre, j'avais besoin de faire passer ma frustration, ma douleur, ma haine, ma peine dans quelque chose d'assez plaisant pour me faire oublier tout ça. Car une fois Chance endormie mes démon me reprenait rapidement et je n'avais pas d'autre manière de les canaliser que celle là. Chance... À cette pensée, je souris, déposa mon joint entre mes lèvres et le garda ainsi aspirant la douce ganja au travers mes lèvres et en faisant sortir la fumée par le nez . Je sortis mon téléphone de ma poche pour regarder mon fond d'écran qui n'était autre que mon bout d'ange en train de sourire, je l'admirais me disant qu'elle devait dormir comme un loir à l'heure qu'il était. C'était mon rayon de soleil, personne arrivait à comprendre mon mode de fonctionnement et de la même manière mon éducation vis-à-vis d'elle. Mais pour moi tout allait très bien comme ça. Je sortis de mes pensées lorsqu'une voix familière vint m'interrompre. Je levais les yeux surprise de le voir là, face à moi. Finalement, j'avais peut-être volé plus haut que je ne le pensais. Je rangeais mon téléphone rapidement et retira mon joint de la bouche, j'inspirais légèrement.

"Bonsoir... Oui et toi?" Lui dis-je d'un ton légèrement sèche, mais pas vraiment volontaire.

J'avais fait un effort, j'aurais pu l'ignorer complètement. C'est bien ce qu'il a fait lui non? Pourquoi ne lui rendrais-je pas la monnaie de sa piéce? Ouais exactement, parce que j'étais trop bonne (dans tous les sens du terme) est que je vaux mieux que ça. Je le regardais du coin de l'oeil. J'avais encore du mal à comprendre le revirement de situation qu'il avait eu lieu entre nous. Tout ce passait plutôt bien je trouve et mieux que ça. Le lien qui commençait à se tisser entre nous me plaisait beaucoup pour tout vous dire. Séchant quelquefois les cours pour discuter avec lui et passait un peu de temps avec lui sur son lieu de travail. Mais du jour au lendemain il avait retourné sa veste, du jour au lendemain il l'avait ignoré et ce n'est qu'après qu'il expliqua que cela venait de sa petite-amie. L'envie de lui envoyer un pique du genre "On t'a autorisé à venir me parler?" ou "On a enfin libéré ta lesse?" mais il ne m'avait encore rien dit qui valait le coup de m'en prendre à lui comme ça. Il s'excusa ensuite de son comportement, à sa manière bien évidemment il ne risquait pas de s'excuser à haute voix et malheureusement pour moi ça remarque me fit tirer un sourire.

"Con est un mot faible. Qu'elle ait pensé que je sois une personne mauvaise pour toi... C'est son avis, mais que tu l'ai suivi.. Ca m'a surprise, enfin bon après tout je ne te connais pas. En tout cas c'est clair que son vaudou était bien puissant si d'ailleurs elle pouvait m'en donner la recette ça m'aiderait bien."

ajoutais-je en fumant à nouveau sur mon joint.

Clyde assumait d'être complètement dévoué en amour. Autant il mettait un certain temps à accorder sa confiance, d'ailleurs avec sa dernière copine en date, cela avait prit quasiment plus de la moitié de leur relation avant qu'il n'ai totalement confiance en elle. Mais une fois qu'il avait confiance plus rien ne pouvait l'arrêter. Il n'était pas du genre fleur bleu, il était juste ultra possessif, du genre à ne as vouloir que sa petite copine voit d'autre garçons que lui, du genre à vouloir être le centre total de son attention. Il faisait tout pour que le bonheur de celle qu'il aimait soit égale au sien, voir supérieur.
Clyde avait donc conscience de son côté un peu passionné en amour. Il l'assumait même si la en ce moment même il en payait les conséquences. Elle lui avait répondu sèchement qu'elle allait bien avant de lui retourner la question. « Oui ça peut allé » ; c'était il contenté de répondre. Elle lui dit en suite qu'il lavait un peu dépassé les limites et qu'il aurait pu ne pas la suivre. C'est vrais, il aurait pue faire son propre choix, il aurait DU faire son propre choix, mais il ne savait pour quel raison il n'avait pas réfléchit avec son cerveaux mais avec son cœur. Il tira une nouvelle latte sur son joint en fixant son regard sur la jeune fille avant de s'installer prêt d'elle. « C'est vrais t'as raison j'aurais pue réfléchir de moi même. Mais tu vois au final elle s'est bien foutu de ma gueule. Je penses que j'ai bien tiré des leçons de cette expérience. » ; c'était vrais, il avait tiré une leçon essentiel de cette expérience. Il savait maintenant qu'il lui fallait encore plus de temps pour faire confiance et en plus de ça il avait fait une croix sur les relations amoureuse pour le moment. Cela demandait beaucoup trop d'implication et Clyde ne supporterait pas une seconde perte, et il ne pouvait pas infliger ça non plus à Tara, parce qu'elle aussi s'attachait. Clyde était toujours amoureux mais il préférait ne plus y songer, c'était belle et bien finit à quoi bon se faire du mal.
Inconsciemment une certaine peine transparaissait sur son visage. Le vent se mit à souffler et Clyde frissonna légèrement. Ce n'était pas le mois le plus froid ici, mais il était vrais qu'en soirée les vents glaciaux n'étaient pas peu fréquent. Le jeune homme retira sa veste et la pausa automatiquement sur les épaule de Kaitlyne qui n'avait qu'un petit gilet par dessus sa robe. Ce qui était surprenant c'était qu'il ne faisait pas sa pour se faire apprécier et cela se voyait, il faisait sa par instinct : c'était dans ses habitudes de veiller sur les autres, c'était l'un de ses traits de caractère que Tara avait sue faire ressortir au fils du temps. « De toute façon moi et l'amour c'est terminé, on est plus trop amis. Peut-être plus tard mais pour le moment j'ai d'autre chose à faire. » ; dit le jeune homme avant d'inspirer légèrement. Puis il fronça les sourcils observant le joint de Kaitlyn. « Tu fume déjà à ton âge. Tu devrais pas te ruiner la santé comme ça … Même si c'est vrais que ça fait du bien. » ; il rit légèrement avant d'ajouter . « T'étais ou ? En soirée ? »

"Cool."
C'est tout ce que je pus répondre à la réponse du jeune homme face à moi. Après lui avoir avoué ma vision de toute cette histoire. Il me fixa un moment avant de venir s'asseoir près de moi tout en fumant ce qui me semblait être la même chose que ce que je prenais. Il m'expliqua ensuite que dans l'histoire il avait bien payé les conséquences de son acte, qu'il regrettait et qu'il en tirait une bonne leçon. L'une des choses que j'appréciais vraiment avec Clyde c'était qu'il ne me prenait pas de haut malgré notre différence d'age. Il est pas du genre à me sortir des "tu comprendras quand tu sera plus grande" ou des "tu es trop jeune pour comprendre ça". Non, il me parlait des choses telles qu'elles étaient. Et c'était une qualité que je ne pouvais pas nier. Puis je réfléchis un moment. Quelque part, lui en vouloir serait comme en vouloir à une version masculine de moi. Après tout, je m'étais donné à Alex je lui avais tout donné en pensant que c'était réciproque. Et du jour au lendemain il m'annonçait qu'il était marié.. Et le pire dans tout ça c'est que je ressens encore des sentiments pour ce bouffon. Pff. Pathétique. Je me trouvais idiote de me laisser mourir d'un amour faussement réciproque. Je regardais à présent Clyde. Finalement on avait vécu une expérience similaire sur quelques points près. Même si je ne savais pas s'il était tout aussi meurtrie et salit que je l'étais moi. Mais bon, lui pardonnait juste comme ça... Ça serait trop simple et facile. Parce que je me suis quand même imaginé avoir fait quelque chose de mal envers lui, d'avoir mal agis ou parlé ou quelque chose comme ça avant qu'il ne m'avoue la vrai raison de son éloignement. Et je lui en avais voulu avant de faire comme si J'étais passé à autre chose. Je tirais à présent une taffe de mon joint me permettant ainsi de me relâcher un peu plus.

"T'aurais pu... Mais c'est trop tard ce qui est fait est fait. Ouais.. Que le karma finit toujours par retomber sur toi, en bien.. Ou en mal." Lui dis-je avec une pointe de tristesse et d'amertume dans la voix.

Je ne me suis même pas vu avoir les yeux humides en regardant le bracelet que je m'étais fait faire. Pile Destiny, Face Calvin... C'est triste mais c'est sûrement mieux là ou il est.. Je ne méritais peut-être pas de l'avoir... allez savoir. Un vent froid fit disparaître le début de larmes qu'il y avait aux coins de mes yeux en les emportant avec lui. Je me repris lorsque le jeune homme me posa sur les épaules sa veste. Un merci timide et fébrile s'échappa de mes lèvres. Il ajouta ensuite que lui est l'amour c'était fini. je ris de manière légèrement ironique.

"Si on avait le choix de l'avoir en ami ou pas... La vie serait trop simple. À un moment ou à un autre elle va te donner un coup sur la tête tu vas rien comprendre.. Ou ailleurs va savoir." Lui dis-je en riant en faisant allusion à ce sentiment destructeur qu'est l'amour. Je sais pas s'il comprenais je me sentais peu à peu emporté par la fumée de nos joint réunit. Je ris à sa remarque.
"Si tu savais tout ce que je faisais tu ne dirais as ça. Et puis de toute manière je peux te dire la même chose. De la même manière que c'est mauvais pour moi ça l'ai pour toi. Ouais j'étais à une soirée lycéenne. Faite par quelques personnes de ma classe. Et pour tout te dire c'était génial." Lui dis-je un sourire aux lèvres suivit d'une aspiration de la fumée réparatrice de mon herbe et en la relâchant par la bouche.

Elle était tout de même chouette comme fille Kaitlyn. Clyde était passé à côté de quelque chose en ne lui parlant pas tout ce temps. Mais comme elle le disait, ce qui était fait était fait et on ne pouvait pas revenir en arrière. C'était une leçon que Clyde ne connaissait que trop bien, il y avait eu le droit toute sa vie. Sa mère était morte avant même qu'il ne puisse s'y attacher, son père avait sombré avant même qu'il ne puisse réagir, et il était mort avant même qu'il ne puisse lui dire ce qu'il avait sur le cœur. Ce qui était fait était fait et les regrets étaient inutiles, ou du moins, il ne servait qu'à se raccrocher à un passé hypothétique et minable qui n'existe que dans nos rêves.
Le jeune homme cru apercevoir Kaitlyn un peu rêveuse l'espace d'un instant, comme si elle avait quitté un peu la terre ferme pour s'envoler dans ses souvenirs. Elle regardait son poignée. Son bracelet. Il ne parvint pas à lire ce qu'il y avait marqué sur chacune des perles mais il savait ou du moins, il devinait que c'était un prénom. Le sien ? Quoi qu'il en soit elle se reprit bien rapidement, comme si elle ne voulait pas paraître faible et ailleurs trop longtemps.
D'ailleurs cette envie de toujours paraître indifférente, que rien ne l'a touchait, Clyde l'avait perçu bien avant, presque à leur première rencontre. Clyde l'avait trouvé très gentille courtise et polie, mais la jeune femme faisait toujours preuve d'une certaine formalité. Il ne savait si cela n'était qu'une impression, ou si ce n'était qu'avec lui, mais parfois cela le gênait. Kaitlyn était quelqu'un de bien qui avait du traverser des épreuves difficiles, il s'en doutait par sa maturité évidente : mais parfois cette maturité se transformait en réellement méfiance et cela pouvait rebuter Clyde dans ses tranchés.
Clyde c'était le genre de garçon qui ne s’arrêtait jamais aux apparences et qui voulait toujours plus. Son but avec Kaitlyn était de faire sortir en elle la véritable perle qu'elle était, il était convaincue qu'elle n'avait pas encore livré tout ses secrets et c'était ça qui l'intriguait. « Ah … Les fêtes lycéenne. Tu m'invitera un jour, je mettrais de la bonne musique moi. » ; Clyde se moquait de lui même et se mit à se dandiner légèrement tout en restant assit. Il aimait beaucoup faire la fête même si c'était vrais qu'il n'avait plus trop le temps avec Tara. Il aimait beaucoup danser, mettre de la musique quand il cuisinait : ça le mettait de bonne humeur. « Tu sais qu'aucune filles ne me résistaient à l'époque ? Aucune ne restaient insensible à mon super déhanché c'était impossible. » ; Clyde eu un sourire en coin en se souvenant des soirée étudiante auxquels il était allé. C'était vrais qu'il avait plutôt du succès avec les filles, mais lui, il n'en voulait qu'une : celle qui ne voulait pas de lui. Il savait que son succé et son sex-appeal reposait principalement sur le fait qu'il était latino et plutôt mignon, il en jouait parfois, mais jamais il ne jouait avec les sentiments : il se l'était interdit, et ce n'était pas en accords avec les valeurs que son ppère lui avait inculqué( du temps ou il était encore saint d’esprit). « Un jour je te montrerait » ; il sourit doucement . « Je sais que tu en rêve secrètement. »

Je regardais à présent le jeune homme présent près de moi, en repositionnant comme il le fallait la veste qu'il avait mise sur mes épaules. Je ne voulais pas le pardonner si facilement, mais il avait quelque chose en lui qui incitait à le faire, à ne pas pouvoir lui en vouloir bien longtemps. Sûrement son côté bienveillant. Mais ce n'est pas d'un ange gardien que je voulais à présent. Je veux juste profiter, de tout ce que la vie peut offrir. Car, à force d'attendre que les choses viennent des gens, on finit par rien obtenir et ça je l'avais bien compris et mémorisé. Je regardais à présent le jeune homme qui m'observait avec une certaine lueur d'inquiétude.. Non ça ressemblait plus à une interrogation qu'autre chose. Je lui souris lui faisant ainsi comprendre que j'allais bien, que j'avais seulement été ailleurs pendant un petit moment. Je fumais ensuite mon joint constatant avec tristesse que j'en arrivais bientôt au bout. Pas étonnant vu l'allure à laquelle je l'avais fumé. Et c'est seulement à ce moment-là qu'une illumination vint m'atteindre, je me demandais qu'est-ce que le beau garagiste pouvait bien manigancer dehors à une heure aussi tardive. Autant, moi, j'avais été à une fête. Autant lui... Je n'avais aucune idée de ce qu'il pouvait bien faire là, à l'heure ou tous les gens normaux dormes. Allez savoir le destin a peut-être voulu que je tombe sur lui? Ce qui était sur c'est que c'était quelqu'un de vraiment bienveillant et ça se faisait rare. Quelqu'un qui acceptait que sa copine ne cautionne pas une amie et qui sans broncher accepter de s'en éloigner? Croiez-moi y'en a pas des masses des gars qui font cela. Faire passer sa copine avant lui-même. Mais généralement les hommes qui acceptent cela... Sont ceux qui sont le plus empathique.Et j'en sais quelques choses. Je suis certaine que derrière son allure d'homme fort, il cachait pas mal de douleur, comme sont ex. Si j'avais bien compris cela faisait un petit moment qu'il était avec elle. Il n'avait pas pu passer à autre chose aussi simplement. J'aurais bien voulu voir l'envers de ce personnage atypique qu'était Clyde. Bien des mystère il devait garder le petit cachotier. Enfin bon... Je devais d'abord voir si j'acceptais de le pardonner et on verrait ensuite si j'acceptais de jouer les Indiana Kait'. Je lui dis ensuite où je m'étais rendu. En lui omettant les détails bien entendus. Il me dit ensuite qu'il fallait que je l'invite un de ses jours, je lui souris amusé de sa remarque.

"C'est quand tu veux. Si ça ne va pas trop te faire sentir vieux y'a pas de soucis beau brun." Lui dis-je amusé avant qu'il se mette à danser.

J'explosais de rire, non pas qu'il danse mal bien au contraire. Et c'est justement cela qui m'amusait c'est que même assit on pouvait bien voir qu'il savait de quoi il parlait. Ce qui est sûr c'est que je ne pourrais avoir aucune honte en le ramenant avec moi. Autant physiquement qu'au niveau de sa manière de danser. ça sera donc avec plaisir que je l'inviterai à venir avec moi la prochaine fois. Et quelque part ça rassurerait ma famille de me savoir avec quelqu'un. Il ajouta ensuite qu'aucune femme ne résistait à son déhanché je ris de plus bel.

"A bon? Aucune ? Super déhanché me dis-tu. ça reste à voir." Lui dis-je accompagné d'un clin d'oeil. "Mais comme tu dis c'était à l'époque. Je suppose qu'aujourd'hui il est dépassé de mode mon cher. Il a dû faire fureur pendant sa période mais bon.. Tu me parles d'un temps lui-même perdu dans le temps." lu dis-je en tirant la langue sur le côté lui faisant ainsi comprendre que je le taquinais gentiment.
Il me dit ensuite qu'il me montrerait un jour avant d'ajouter qu'il était sûr que j'en rêvais.

"Je rêve de bien des choses monsieur, mais ça .. Non. En tout cas pas avant ce soir." Ajoutais-je en haussant les sourcils. "Plus sérieusement, si je suis à nouveau invité dans une fête je viendrais t'appeler chez toi et on ira ensemble. Et tu verras que je n'ai rien à envier à ton déhancher, ça j'en suis sûr." Lui dis-je en souriant.

Clyde sourit légèrement lorsque Kait l'appela beau brun et surtout quand elle lui dit qu'il risquait de sentir vieux. C'était amusant parce que pour lui il n'était pas si « vieux » mais pour une jeune de son âge c'est vrais qu'il pourrait déjà être considéré comme un adulte. Ce n'était pas qu'il ne l'était pas et qu'il ne se considérait pas comme tel : c'était simplement qu'il avait dans sa tête parfois des idées digne d'un adolescent, il était encore jeune et n'était pas du tout largué quand on lui parlait des dernières choses à la mode. « Mon déhanché ? Passé de mode ? Jamais ! » ; il rit en regardant Kaitlyn. Elle avait finit son joint alors que lui en était à un eu moins de la moitié, une envie soudaine lui démangea le bras. Clyde tendit donc son bras posant entre les lèvre de Kaitlyn son propre joint. « Je te drogue pour t'emmener chez moi et abusé de toi. » ; Clyde esquissa un sourire : c'était bien son genre les blague un peu douteuse, mais il savait que Kaitlyn le prendrait au second degrés, elle n'était pas stupide !
Maintenant qu'il avait parlé de fête et de manière de dansé Clyde avait une soudaine envie d'écouter de la musique et surtout de voir comment Kaitlyn dansait dessus. Il y avait deux options : soit sa manière de bougé était celle d'une enfant de quinze ans et il rigolerait à pleine dents, soit elle avait sérieusement du potentiel et dans ce cas la il serait plutôt admiratif. « Tu écoutes quoi comme style de musique ? Et sur quoi tu danses ? » ; Clyde fixa ses chaussures et eu le corps parcourut pr une vague de frissons lorsqu'une bourrasque vint le fouetté latéralement. Le vent était décidément violent ce soir. Il reprit son joint d'entre les lèvre de Katlyn pour le terminer lui même et le jeter au sol. « Tu veux pas qu'on aille chez moi il fait froid ? En plus, j'ai de l'herbe si tu veux re-fumer … »

Je lui souris. Bizarrement, je me sentais bien, je me sentais à l'aise et c'était cool à vrai dire. Là c'est sûr je lui en voulais plus. Comment j'aurais pu ? C'était impossible. Il avait toujours le mot qui me tirait un sourire même malgré moi. Même en voulant faire semblant c'était pas crédible. C'est le genre de gars... Qui a un truc qui malgré toi t'attire vers lui... Une sorte d'aimant humain. Ouais c'est ça. C'est exactement ce qu'il est. En bien ou en mal il attirait l'attention. On a tous ce petit aimant en nous, mais certains réussissent mieux à l'exposer que d'autre. Et c'est son cas. Je le regardais lorsqu'il me dit avec conviction que son déhanché ne pourrait jamais être dépassé de mode. Je ris de bon cœur.

"On verra bien. Le week-end prochain on ira en boite et on en reparlera ensuite."

Je ne savais pas quand ce déroulerait la prochaine fête... Que ce soit étudiante ou Lycéenne donc je préfère anticiper en l'invitant car, à force d'en parler il m'a réellement donné envie de le voir faire. Je jetais maintenant mon joint ou plutôt ce qui en restait en faisant bien attention de bien l'éteindre, après tout un incident est si vite arrivé. Le regard légèrement dans le vide je m'étais perdu dans la contemplation du néant, lorsque soudain je sentis quelque chose effleurer mes lèvres. J'abaissais donc mon regard pour constater que Clyde venait de déposer la cigarette de son herbe entre mes lèvres. Je souris en acceptant évidement l'offre. J'en aspirais à présent une grande bouffé, je la pris entre mes doigts effleurant ceux de mon donateur par la même occasion avant qu'ils ne quittent mes lèvres. Il me dit ensuite que sont acte était prémédité et qu'il le faisait pour ensuite abusé de ma personne. Je souris amusé. Vu le nombre de verre que j'avais bu pendant la soirée, plus le pétard que je venais de terminer, ajouter à cela celui qu'il venais d'ajouter à mes lèvres... Je peux dire que j'avais légèrement les idées troublés. Je ris à sa boutade.

"avec un assaillant comme toi.. C'est limite avec consentement je pense. De là à être abusé par quelqu'un c'est plus rassurant que ce soit toi que quelqu'un d'autre. Mais bon si c'est ça ta méthode de drague je suis pas sûr que tu ai vraiment du succès." Lui dis-je avec un sourire en coin avant de rire.

Ce gars est juste fou! Mais fou dans le bon sens du terme, dans MON sens du terme. Et c'est déjà super. Je me sentais un peu vacillais, mais légèrement, pas de quoi devenir parano. J'avais juste la sensation d'être  vraiment bien détendu. Mon but était atteint je déposais alors ma tête sur l'épaule de Clyde, allez savoir pourquoi, c'est juste que sur l'instant je voulais poser ma tête quelque part et c'était lui qui était à proximité, mais je me rendis compte qu'il venais de me poser une question avant mon acte. Oui je me met trop à l'aise et je l'assume.

"Euuuh... Du classique. Un p'tit Beethoven là.. et de la vieille country Tu mets trop bien crois moi." lui dis-je en riant. "Non plus sérieusement, j'écoute surtout du r'n'b, de la musique populaire, aussi du hip-hop... Mais pas n'importe lequel les Rosay j'sais pas quoi là! C'est pas pour moi. De toute manière ça c'est pas du hip-hop c'est du rap. Après y'a des truc que je suis sur tu peux t'en passer genre le slow oui oui j'aime le slow et tout ce qui s'y approche arrête de me juger!" Ajoutais-je en faisant semblant de pleurer. J'avais tellement l'habitude qu'on me charie là-dessus que maintenant je prenais les devants en le faisant moi-même. "Mais j'écoute principalement des trucs qui bouge! Et qui te donne envie de bouger dessus. À ce niveau là ça peut venir tout style de musique tant qu'elle réussit à m'emporter. Après j'ai mes périodes ou j'écoute des trucs spéciaux, récemment c'était la K-pop et les chansons brésiliennes. Je pense pas que je puisse dire que j'écoute un peu de tout parce que y'a clairement des truc que je ne peux pas aimer. Comme le métal. Ou la musique des émos dépressifs. Et toi alors?" Je répondis ainsi à sa question, me foutant complètement du long monologue que je venais de lui faire subir.

Soudain un vent encore plus violent que celui qui l'avait précédé vint nous frapper de plein fouet. Je me rétractais sur moi-même attendant ainsi que le vent se calme. Je frémissais intérieurement tout en serrant les dents espérant que cela passe rapidement. Après cela le jeune homme à mes côté me proposa d'aller chez lui pour nous protéger du froid et qu'en plus il avait de quoi fumer.

"Ouais mais je pourrais pas rester longtemps par contre. Au final tu vas réussir ton plan. Je suis drogué et tu m'emmène chez toi." Lui dis-je en rigolant faisant référence à la remarque qu'il m'avait fait avant.

Non, je savais que ça n'arriverait pas. Je m'étais déjà retrouvé seul avec lui dans son lieu de travail et il ne m'avait rien fait et c'est pas à de pas de chez moi qu'il risquait de me faire quoi qe ce soit. Même si sur le coup ça pouvait laisser place à un petit doute, mais demandais pas à une jeune fille qui venait de quitter une fête qui se passait dans une maison qu'elle ne connaissait pas, dans le style projet X de se méfier d'un gars qu'elle "côtoyait". Je me levais à présent en tendant ma main à Clyde pour l'aider à se lever chose par très simple vu les talons que je portais, mais nous finîmes par y arrivais et nous nous dirigeâmes vers sa porte d'entrée.

"Ça tombe bien moi qui me cherchais un fournisseur. Au faite qu'est-ce que tu faisais dehors toi?" finissais-je par lui demander.

Allé en boite : cela faisait tellement longtemps que Clyde n'avait pas eu ce genre de proposition. Son rôle de père prenait une place trop grande dans sa vie et dans sa tête pour qu'il puisse sortir et d'amuser. C'est vrais qu'il ne devrait pas se privé et rester tout le temps prêt de Tara, elle qui était déjà bien attaché à lui ne risquait pas de devenir indépendante si il continuait à la couvé ainsi. La séparation était essentiel : ça permettait à Clyde de profiter de sa jeunesse et surtout de prendre du recule et à Tara de s'habituer à voir d'autre personne que lui. Mais Clyde avait toujours du mal à se séparer d'elle, il avait toujours peur qu'il arrive malheur à Tara. La en ce moment même, loin d'elle il se demandait ce qu'elle pouvait faire et si elle n'était pas en danger. Un peu parano pour certain, mais pour lui c'était normal. Étant donné ce qu'ils avaient traversé tout les deux, le mal qu''on avait pue infligé à Tara : moral comme physique...
Clyde sourit et hocha la tête en signe d'approbation : il trouverait bien la force un jour ou l'autre de se séparer d'elle. Il sourit en suite à la remarque de Kaitlyn sur ses méthodes de dragues. « Ce n'est pas ma méthode de drague non. Je penses que si j'aurais employé ma méthode tu serais déjà tombé sous le charme ... » ; Clyde se mordit la lèvre inférieure un instant la regardant du coin de l'oeil un sourire qui se voulait aguicheur.
Le sens de l'humour de Kaitlyn était décidément bien dosé ce soir. Elle lui fit la blague qu'elle écoutait du classique. Pour une fille qui aimait faire la fête ce serait assez étrange non ? Clyde sourit et hocha le tête de gauche à droite, tout en l'écoutant lui énoncer ce qu'elle écoutait. « Je penses que musicalement parlant on va bien s'entendre alors. »
Clyde se dirigea vers sa maison : ce n'était pas la plus belle et la plus grande mais c'était juste ce qu'il leur fallait à lui et à Tara. D'ailleurs c'était même la plus petite du quartier étant donné qu'elle faisait l'angle. Ils traversèrent le jardin et une fois face à la porte Clyde l'ouvrit et laissa passer Kaitlyn devant. « Après vous mademoiselle » ; il avait volontairement prit un ton moyenâgeux pour faire rire Kaitlyn. Clyde pénétra dans les yeux juste après Kaitlyn et il lui retira sa veste qu'elle avait sur les épaules. Lorsqu'il alluma les lumière l'entrée et le salon s’éclairèrent. « Ne fait pas attention au bazare. » ; des jouets à Tara traînait un peu partout mais rien de vraiment choquant. Clyde rentra dans le salon pour en ramasser quelques uns : il alluma en suite sa chaîne hi-fi pour mettre la radio : il tomba sur une chaîne qui diffusait des chanson country . « Oh tient c'est ma chaîne préféré ! » : Clyde se mit à faire le clown en dansant ce qu'il semblait être de la country. « Bon ok j'arrête ... » ; il se stoppa net et s'installa sur le grand sofa. La maison n'était pas mal meublé, les couleurs dominantes étaient le blanc, le blanc cassé et le bordeaux : c'était simple, cosy et pratique , un endroit ou on avait pas de mal à se sentir à l'aise. « Installe toi je t'en pris. » ; proposa le jeune homme en tapotant le canapé en cuire sur lequel il était assit, il saisit en suite du bouts des doigt un sachet en qu'il avait laissé en bas de la table basse et il en sortit l'herbe et les feuilles à roulés . Le jeune homme se mit à rouler un joint : il le faisait si habillement qu'on aurait dit qu'il en avait fait son métier. Il tendit le joint à Kaitlyn ainsi qu'un briquet. Clyde se leva en suite pour changer de station radio et après avoir pas mal zappé, il tomba sur une chanson qu'il aimait bien : Justin Timberlake – what goes around … Come around .



Clyde se mit à danser, cette fois plus sérieusement que précédemment. « Pourquoi attendre d'aller en boite pour te montrer ? » ; il eu un sourire en coin et lui tendit la main tout en dansant.

Je souris lorsqu'il acquiesça d'aller en boite ensemble. Ca risquerait de faire du bruit ce jour là. Vous êtes prévenu. Je lui fis ensuite remarqué que si c'était ainsi qu'il draguait ça ne devait pas très bien fonctionner. Il sourit et m'affirma que s'il utilisait sa techinique sur moi, je serais tombée sous son charme depuis un moment tout en me regardant du coin de l'oeil en mordillant sa lèvres inférieur. Je lui souris, détournant légèrement la tête. Que voulez-vous que je lui dise ? "Arrête t'es trop sexy comme ça" Non, bien que ce soit vrai je pense que ce serait légèrement déplacé de ma part alors je me tus.

"Tu me prendrais pas pour une fille trop simple toi." Lui dis-je en riant.
Bien qu'il était sexy cela ne voulait pas dire qu'il m'aurait eu aussi facilement. Il y a plein de gens sexy sans que pour autant ne puisse m'attirer. Un exemple tout bête. Johnny Depp est sexy mais il ne m'attire pas.

"Pour m'avoir Réellement il faut plus qu'un sourire parfait."

Il y avait deux manière de m'avoir l'une beaucoup plus facile que l'autre. La première n'incluait que mon corps et rien d'autre. Absolument rien d'autre. La seconde avait été réussi que par un seul homme et c'est celle là que je sous-entendais... Mais vu le résultat... Je pense que la deuxième manière a été rayée de mon esprit à tout jamais. Peut-être qu'un jour il m'aura, mais ça ne sera pas plus différent qu'avec le mec avec qui j'étais dans cette fête; Une fois arrivé à terme... Plus grand iintérêt alors on va s'quitter et reprendre nos vies tel qu'elles étaient. Cela ne serai qu'une affaire d'une nuit. Pas plus. J'avais décidé que ma vie sentimentale ce passerait comme cela dorénavant. Mais bon... J'en parle comme si cela risquait de ce produire, calmons-nous car vu son style de fille j'étais pas préte à en faire partie... Au moins notre amitié ne serait pas mise en péril c'est déjà ça.
Toujours affalé sur son épaule il approuva mes goûts en me disant que l'on s'entendrait bien. Je souris amusé, mais il ne m'avait toujours pas répondu.. Rhoo après tout, si on s'entendrait bien c'est qu'ils ne sont pas si différent. Il fini par se lever m'obligeant à lever ma tête et par la même occasion mon corps en entier. Il me dirigea vers sa maison. Arrivé devant, il ouvrit la porte, et m'invitant à pénétrer en premier. Apparement monsieur avait révisé ses classiques. Je ris amusé de la situation.

"Merci à vous mon brave."

J'entrais maintenant dans l'entre du mesire Clyde... Il me retira sa veste et alluma la lumière. J'observais les murs, les couleurs et les meubles, cela me changait du rouge foncé orange clair et beige de chez moi, mais je trouvais ça vachement simple et beau. Ce n'est que lorsqu'il me le dit que je remarquais les jouets par terre. A force d'en avoir des tas partout chez moi, je trouvais ça normal d'en voir par terre... Mais je n'étais pas chez moi, donc en faite...
Je fronçais les sourcils en ramassant un des jouet avant de l'aider à les ranger.

"C'est toi qui joue avec ça?" Lui dis-je en appuyant sur le petit singe dansant avant de rire.

Nous rangeâmes la pièce puis il alla allumer sa chaîne hi-fi, il tomba directement sur une chaîne de Country. J'éclatais littéralement de rire sans pouvoir m'arrêter en référence à ce que j'avais dis un peu plus tôt. Et mon fou rire ne fit qu'amplifier lorsque Clyde ce décida à danser ce qui semblait être de la country je le rejoignis en dansant d'une manière tout aussi ridicule avec mes haut talons. J'eus du mal à me calmer, mais je finis par y arriver. Il s'installa sur son canapé, sortant du dessous de table un sachet d'herbe et des feuilles à rouler il m'invita peu à prés à le rejoindre. Ce que je fis avec un grand plaisir. Je le vis à l'oeuvre et je compris bien vite qu'il n'était pas à son premier ou deuxième joint bien au contraire. Vu la vitesse à laquelle il le faisait. Je fus impressionnée de par son habileté. Il me passa alors la cigarette qu'il venait de faire accompagné d'un briquet, j'allumais alors le pétard et en extrait une grande bouffée. Je souris un peu bêtement dû aux vapeurs bienfaitrice de cet herbe. Je lui mis ensuite ma cigarette à la bouche pour qu'il en tire une taffe, tout en lui souriant avant de la remettre à ma bouche.Il alla ensuite changer de station de radio, car la country c'étais bien drôle mais ça commençait à devenir pesant les commentaire des présentateurs. Il s'arrêta à une chanson de justin Timberlake - What goes around comes and back around. Je souris légèrement mélancholique à l'entente de cette chanson car des fois... Même en faisant rien on récoltait la tempête... Et ceux qui ont semé le vent... S'en sorte indemne. Je pus assister ensuite à un extrait des talents de danse de Clyde qui me tira un sourire des lèvres et ce qui était sûr... C'était que lui non plus n'avait rien à m'envier. Il vint m'inviter à danser avec lui revendiquant que rien ne nous obliger d'attendre dêtre en boite pour qu'il me montre de quoi il était capable. Je souris et fini par prendre sa main

"Si tu estimes que tu es prêt... Y'a pas de soucis."

Je me levais toujours en tenant sa main et je me fis tourner doucement jusqu'à arriver à lui, nos deux corps très proche, apparemment plus proche qu'il ne l'avait prévu vu sa tête, je souris dansant un peu à cette proximité bougeant au rythme de la chanson, mon autre main sur sa nuque et mon avant bras à peine posé sur son épaule, puis je finis par m'éloigner à une distance raisonnable tout en continuant à danser avec lui.

"Je dois l'admettre tu danse plutôt bien."

Elle avait  glissé une question auquel je n'avais pas répondu. C'était vrais qu'il ne lui avait pas parlé de Tara. Ce n'était pas qu'il en avait honte loin de la, mais si on ne lui posait pas de question il ne disais rien. C'était pour lui aussi une manière de la protégé des autres petits curieux, comme le dirait certains il fallait mieux vivre caché. Et étant donné leurs passé il avait tout intérêt à rester très discret à propos de la petite ! Dans un premier temps Clyde ignora complètement la question, il finirait pas y répondre mais pas pour le moment.Il se contenta donc de rire à la remarque de Kaitlyn sur le fait que c'était lui qui jouait avec les breloques qu'elle avait trouvé aux sol.
Clyde et Kaitlyn furent prit d'un grave fou rire à dansé la « country » tout les deux, il eut  l'impression pendant l'espace de quelques minutes d'avoir de nouveau dix ans. Le pire dans tout ça, c'était qu'apparemment il aimait ça.
Lorsque Clyde l'invita à dansé elle mit un moment avant de finalement accepté, avec une lueur de défis et de dédain dans le regard : comme d'habitude. Oui Clyde avait remarqué cette manière d'être constamment sur d'elle et cette aire qu'elle se donnait qui faisait partit de tout le jeu de rôle de Kaitlyn. Il était convaincue au plus profond de lui même qu'autre chose se cachait sous la terriblement épaisse carapace de Kaitlyn. Puis ce regard allait si bien avec la musique : Qui sème le vent récolte la tempête, comme si cette danse allait provoqué quelque chose d'irrévocable … Lorsqu'elle fit un tour sur elle même, elle vint en suite se blottir tout contre lui ce qui surpris un moment le jeune homme. Mais étant donné que cela ne lui déplaisait pas il afficha un sourire charmeur sur son visage. La sentir si prêt de lui était étrange, c'était comme si il la découvrait d'une autre manière. Il savait qu'il ne devrait pas apprécié mais c'était plus fort que lui. Clyde parvenait même à travers tout ça à la trouver mignonne, elle qui, même avec ses talons, n'arrivait pas à sa taille.
Kaitlyn finit par se décollé de lui pour être à une distance plus respectable. Elle admit en suite que le jeune homme dansait plutôt bien ce qui le fit sourire à nouveau. « Je ne le sais pas la peine de le dire » ; il lui adressa un clin d’œil en riant. Bien qu'il savait qu'il ne devrait pas et que cela entraînerait sûrement des conséquences, après avoir dansé un moment à distance raisonnable, il l'approcha de nouveau contre lui mais encore plus prêt. Ces mains placé sur le bas des ses hanche il la fixaient droit dans les yeux avant de finalement l'éloigné de lui. Clyde savait qu'il jouait avec le feu, certes il avait remarqué que Kaitlyn était mature pour son age, mais ça restait tout de même une mineur et on ne savait jamais avec ce genre de fille. « En espérant que tu es apprécié cette petite distraction » ; il retourna s'installer sur le sofa et se roulé un joint rapidement. Lors qu'il inspira sa première bouffée il la recracha un peu plus haut admirant un instant la fumé incolore. « Au faite, pour pas que tu me prend pour un type chelou, les jouets sont à ma fille. »

RADIO :

Il rit à ma remarque taquine sur les jouets, mais il ne me répondit pas pour autant. Mais je laissait rapidement cela lorsque nous commencions à danser la country, trop prise dans l'amusement de l'instant pour me préoccuper d'une question resté en suspens. Il m'invita ensuite à venir danser avec lui, après un léger moment d'hésitation j'avais finalement accepté l'offre et je m'étais levé pour danser avec lui très proche du corps ça ne l'avait quelque peu surpris mais s'était vite repris. Autant j'étais habitué à danser avec des hommes à une proximité similaire voir même plus que ça, autant j'étais légèrement intimidé par le jeune homme devant moi, sans pour autant l'être réellement. Peut-être était-ce parce qu'il était le seul à avoir danser avec moi de cette manière l'a sens attendre quelque chose en retour. Je le regardais dans les yeux de temps en temps mais je finis par m'éloigner de lui pour être à une distance raisonnable. Je ris lorsqu'il joua la carte du narcissique en affirmant qu'il savait déjà en me faisant un clin d’œil.

"Pfff. Rien que pour ça je le retire" Lui dis-je avec amusement.

Après je restais là à danser avec lui lorsque soudain, monsieur décida de changer les règles en me rapprochant encore plus prêt de lui que je ne l'avais été toute à l'heure, je fus légèrement surprise puis je me mordis doucement le coin de la lèvre inférieur lorsque je sens ses mains descendre légèrement sur le bas de mes hanches, je souris puis me mis à accentuer mes mouvements au niveau de mes hanches, collé à lui. Il finit par nous séparer à nouveau et bizarrement je le regrettais un peu mais bon c'était pas si grave. Il me dit ensuite qu'il espérait que javais apprécié le moment. Je lui souris, comment aurais-je pu ne pas apprécier, lorsqu'il alla s'asseoir sur son sofa je continuais tout de même à danser seule au rythme de la musique. Il répondit ensuite avec un temps de retard que ses jouets étaient à sa fille. Je m'arrêtais en l'observant un moment. Il avait donc une fille? Il était marié ? Non pitié ne me dite pas que je vais revivre un scénario similaire tout de même. Je savais pas trop quoi dire ou quoi faire.

"Oh... Elle a quel âge? Elle est ici?" Demandais-je un peu surprise en repensant tout de même à se qu'on était entrain de faire avec l'herbe.

S'était partit Clyde aurait le droit à une ribambelle de question sur Tara. Ce n'était pas que ça le dérangeait, mais simplement qu'il avait parfois peur que les questions n'aillent trop loin et qu'il ne sache quoi répondre. Clyde alluma son portable et lui montra une photo de Tara : on lui avait dit que sur cette photo elle lui ressemblait plus que jamais.
« Elle s'appelle Tara et elle vient d'avoir trois ans. Non elle est pas la elle dort chez des amis, je ne me permettrais pas de fumer comme ça alors qu'elle est dans les parages » ; Clyde sourit et reprit son portable regardant un instant la photo avant de verrouiller son portable. Clyde se demanda à quoi était elle en train de rêver et il espérait qu'elle n'ai pas trop causé de problème à Claudia. Il inspira une grande bouffée de fumé pour calmer son anxiété qui revenait au galop. Il regarda Kaitlyn pendant un long moment il se demandait ce qu'elle pouvait pensé d'un père aussi jeune que lui. L'avis était mitigé en général. Quand il disait qu'il était père célibataire, soit on l'admirait pour ça, soit on portait un jugement sur lui et on se disait qu'il avait été élevé dans des mœurs légères. Clyde trouvait sa regrettable que les gens le juge sans la connaître vraiment : c'était vrais après tout, l'important c'était la manière dont il élevait sa fille et pas le simple fait qu'il en avait une. Et puis il y avait autre chose que Clyde trouvait regrettable : c'était que lui avait de la chance face aux filles qui elles avaient des enfants assez tôt. Elles étaient tout de suite classé dans la catégorie des filles faciles, pour ne pas dire un autre mot plus vulgaire. Lui le jugement qu'on portait sur lui c'était du pipi de chat par rapport aux paroles infâmes et aux damnations qu'on lançait aux jeunes mères célibataires. Sans compter le fait que la plupart du temps le père s'en va en courant. Lui était parfois carrément pris pour un super héro : pour une fois que c'était le père qui élevait l'enfant et pas le contraire, Clyde avait même constaté avec peine qu'être père célibataire avait son charme.
Tandis qu'il tirait une nouvelle fois sur son joint le jeune homme fixa le vide, il colla en suite le petit bout de chose qui s'embrasait aux lèvres de Kaitlyn. « Tu veux boire quelque chose ? Jus de fruits , coca, limonade ? » ; il se leva et se dirigea vers la cuisine, il ouvrit le frigidaire qui était tout de même bien remplis : il craignait toujours que Tara manque de quelque chose . Il prit une bouteille de coca et une de jus de fruit n'ayant pas entendu la réponse de Kaitlyn. « Désolé j'ai été très impoli je t'ai pas proposé à boire depuis le début » ; cria-t-il de la cuisine. Il se souvint qu'il avait une demi foret noir dans le frigo qu'il devait manger assez vite avant qu'elle ne tourne, il la prit avec un couteau. Clyde revint les bras chargé et dans l’empressement, quand il déposa le tout sur la table le couteau dont la lame était vers le bas érafla le genou de Kaitlyn qui était assise sur le sofa. Clyde inspira d'un coup et laissa tomber le couteau au sol. « Eh merde ! Désolé ... » ; il se précipita à la salle de bain par automatisme. Tara se faisait souvent mal casse-coup comme elle était, il prit donc le désinfectant et du coton. Sans se soucier de l'avis de Kaitlyn il saisit sa jambe la pausa sur ses genoux délicatement et commença à désinfecter.  « Désolé je me connaissais pas aussi maladroit » ; la plaie n'était pas profonde mais saignait quand même abondamment. Il tamponna avec le coton jusqu'à ce que le sang cesse de couler. Clyde retira en suite la chaussure de Kaitlyn et lui fit grimper les deux jambes sur ses cuisses lui retirant son autre chaussures au passage. « Pour la peine t'as le droit de manger toute la forêt noir » ; le jeune homme déposa un léger baiser sur la plaie , comme il le faisait sur celles de Tara et caressa son genoux en remontant légèrement plus haut, non sans sous entendu mais s'arrêtant tout de même aux limites de la décence.

Je le regardais légèrement gênée, il est vrai que ma question était totalement stupide, il est logique qu'aucun parent ne ferait une chose pareil en la présence de son enfant. J'admirais maintenant la photo de sa fille elle était adorable et avait exactement la même bouille que son père je souris.

"Elle est magnifique. Elle te ressemble beaucoup physiquement." Lui dis-je en souriant.

Je me demandais bien qui pouvait bien être la mère et que c'était-il passé. Mais me connaissant je risquerais de le laisser emporter par le sujet me sentant beaucoup trop proche et les questions que je posais risquerais de me retomber dessus et j'étais pas d'humeur à entendre qui que ce soit mais faire des leçons de moral, bien que cela m’étonnerais qu'il m'en asse étant donné qu'on a presque la même situation... Mais il était tout de même beaucoup plus âgé que moi, je ne veux pas qu'il puisse lui aussi qu'il se comporte comme les autres alors que je l'aime beaucoup.  Je avait conscience que je n'avais pas un rythme de vie "convenable pour une maman" mais je n'ai que 18 ans tout de même et j'estime que j'ai un minimum le droit de profiter de ma vie ainsi que d'oublier mes mauvais démons passés. De toute manière quoi que moi je fasse je ne le fait jamais devant elle. Mais ça personne ne cherchait à le comprendre, personne ne comprenais que je me douchais, lavais au moins 10 fois les mains avec un gel désinfectant et des lingettes hygiénique pour être sur sur qu'elle n'est pas de mauvaise odeur sous le nez ou des microbes qui s'approcherais trop d'elle...  Que j'étais capable de quitter l'établissement quand on m'appelait pour me dire qu'elle avait de la température... Que quand il était 4h je restais éveillé jusqu'à 5h heure à laquelle elle se lève pour demander son lait pour être sur de bien pouvoir le lui donner... Que lorsque je décide de lui donner le sein je le prévois une semaine à l'avance pour pouvoir arrêter toute mes conneries, faire du sport manger plus que sainement manger plein de protéine pour être sur que le lait qu'elle boira sera bon pour elle et son organisme... Non personne ne pouvait comprendre, les gens ne voyaient que la fêtarde et non la mère aimante caché derrière. Il faut dire que je ne faisais rien pour corriger cela. Mais comme disait ma mère "Toi tu sais de quoi tu es capable toi tu sais tout se que tu fais pour elle et le plus important c'est que elle sache tout ce que tu as fait pour elle." Oui c'est vrai. C'est la seule qui m'importais réellement. Mais ce qui était sûr c'est qu'il devait vraiment bien s'occuper d'elle. Avec tout les jouets qu'on avait ramassé par terre je ne pense pas qu'elle ai joué à sa toute seule et tout parent capable de prendre dans son temps pour jouer avec ses enfant était un parent aimant. Et il était quelqu'un d'adorable il devait forcément être un papa gâteau sur les bords ne serai-ce que part l'attention qu'il a envers les autres. Je souris à cette idée, pourquoi Alex n'aurai pas pu être comme lui.. Je soupirais.. Pourquoi je revenais toujours à lui. Il est tant que je l'oublie maintenant si je suis venu vivre ici c'est pas pour me laisser hanter par lui.  Il finit par me sortir de mes rêverie lorsqu'il me déposa son joint au lèvre et qu'il me proposa de boire un truc, après toute les idioties un verre rafraîchissant ne serait pas de refus.

"Oui je veux bien merci... Euuuh franchement je me m'en fiche je suis pas difficile même un verre d'eau fera l'affaire." dis-je avec un sourire. "Non attend tu as de la limonade? Mélange la limonade avec du jus de fruit, s'il te plait." Ajoutais-je en riant.

J'adorais mélanger les boissons et parfois les goûts pouvait être extraordinaire.
Je m'affala ensuite sur le canapé, décidément je prenais beaucoup trop mes aises, et en plus de cela je fis preuve d'aucune courtoisie en ne me levant pas pour aider mon hôte.

"Oh t'en fait pas, vu comment je me suis installer sur ton canapé comme si c'était moi qui payais le loyer tu es tout pardonné"

Tant pis, je profite de ma cigarette magique Yolo voilà se que me disais ma mauvaise conscience. Je vis l'homme arrivé avec tout ses mains pleines de choses qui m'avait l'air toute aussi délicieuse les une que les autres, mais en voulant  me redresser et me rapprocher et lui qui déposait les choses qu'il avait en mains, nous ne vîmes pas le couteau qui était vers le bas et qui érafla le genou, je grimaçais légèrement en sentant l'objet m'érafler. Clyde le lâcha le laissant ainsi tomber au sol. Me regardant à la ois d'un air désolé et inquiet. Je lui souris pour le rassurer.

"Alors tu comptes te débarrasser de moi comme ça?" Je ris un peu. "Non t'en fait pas c'est rien de..."

Je n'eu même pas le temps de terminer ma phrase que le jeune homme était déjà partie je ne sais où, je regardais ma plaie en grimaçant, en soit il n'y avait rien de mal je ne souffrait même pas mais c'était la sensation de ma peau coupé que je n'aimais pas. Il revient peu de temps après avec du coton et du désinfectant. Je souris et voulu, pour l'amusement faire l'enfant.  Je pointais alors mon doigt vers le désinfectant.

"Non pas ça sa pique!"  lui dis-je en faisant la moue. Je ris avant de lui répondre. "Ne t'en fais pas si tu était pas parti comme une flèche tu aurais entendu que ce n'était rien et que je n'ai même pas mal " Lui dis-je avec un grand sourire.

Il s'installa près de moi et commença à essuyer le sang qui coulait. Je pensais que le traitement s'arrêterait à la, qu'après cela c'était fini, en faite non, et pour tout dire c'était pas pour me déplaire. Clyde me retira alors ma chaussure et souleva ensuite ma jambe pour la placer sur ses genoux, il en fit de même pour ma seconde jambe avant de me dire que pour la peine je mangerais toute la forêt noir. Je lui souris amusée et il me déposa ensuite un baiser sur mon genou blessé avant de le caresser mais les mains du jeune homme montèrent un peu plus haut, mais rien d'indescent. Malgré tout comment devais-je le prendre?

"Tu sais c'est toujours mieux quand on partage" lui dis-je en lui faisant un clin d’œil.

Ce qui était sur c'est que j'étais actuellement traité comme une princesse, je n'aurais qu'une chose à dire.. Merci couteau.

Clyde était plutôt flatté du compliment que Kaitlyn avait fait à propos de sa fille. Souvent on lui répétait que Tara lui ressemblait. Ce qui était normal, il avait le même sang. Certes il n'était pas lié comme la plupart des gens le pensait, mais Tara était tout de même sa petite sœur ! En plus être comparé à un ange tel qu'elle ne pouvait que lui faire plaisir.
Lorsqu'il coupa Kaitlyn il se sentit un peu gêné : il n'était pas du tout de nature maladroite et n'aimait pas se genre de situation. De plus il avait un grand problème c'est qu'il ne supportait pas la vu du sang. En fait, le fait de voir la douleur des gens le faisait se sentir mal à l'aise. Elle répétait à tue-tête que tout allait bien et qu'elle n'avait pas mal, mais Clyde se sentait coupable.
Peut-être que Clyde avait se rapport difficile avec la douleurs des autres parce qu'il en avait été trop souvent témoin sans rien pouvoir faire. Il se souvenait lorsqu'on s'en était prit à sa sœur, il n'avait pas supporté, il avait voulu tout détruire, faire du mal à ceux qu'il lui avait fait du mal. Plus jamais il ne voulait que cela se reproduise. La douleur aussi bien physique que mentale était atroce, c'était une expérience atroce, alors oui il ne s'agissait qu'une  petite entaille, il ne s'agissait que de quelques gouttes de sang : mais cela remuait en lui quelques bribes de son passé douloureux qu'il voulait faire taire.
Il fut attendrit lorsqu'elle lui dit d'une manière enfantine que le désinfectant piquait. Il déposa un baiser et que c'était meilleur de partager. Il lui adressa un de ses plus beau sourire et la regarda un moment dans les yeux. *Fragile petite chose... Qu'es qu'on a bien pue te faire endurer * ; pensa t'il l'espace d'un instant avant de se fixer à nouveau sur la blessure de la jeune femme. « Y'a pas moyen tu t'approche plus d'un couteau et je m'approche plus de toi si j'ai un couteau. J'ai eu peur que ce soit plus profond. Je m'en serrais trop voulu. ». Il caressa la jambe de Kaitlyn et resta silencieux un moment avant de retirer les ses jambes se ses cuisse et de couper un morceau de gâteau. « Je vais te faire manger comme une malade à l’hôpital. Fait aaaaah. » ; Clyde rapprochait la part de la bouche de Kaitlyn, c'était une petite part  et au dernier moment il la dirigea vers sa bouche gobant tout d'un seul coup, la bouche pleine. Il tenta de dire quelque chose mais c'était incompréhensible et il se mit à rire aux éclat, une main devant la bouche pour éviter de tout recracher.

Je ris à sa remarque, je ne prévoyais pas d'en approcher un de sitôt. Il était marrant à s'inquiéter comme ça. Je lui souris. Je regardais la plaie qui s'arrêtait à peine de saigner. Je la touchais du bout des doigts provocant de légères douleurs. Lorsqu'il fit descendre mes pieds de ses genoux je lâchais une moue qui laissait facilement comprendre qu'ils étaient très bien là où ils étaient. Mais il était déjà en train de couper le gâteau il ne put donc pas la voir. Je pris alors le coton déjà imbibé et le posa sur mon genou. Il me dit ensuite qu'il allait me faire manger à la cuillère comme à l'hôpital, je ris.

"Mais même à l'hôpital ils ne nous font pas manger comme ça."

Il me dit ensuite de dire, ce que je fis bien entendu. Mais il ne fallait pas que je le fasse, car au dernier moment, il retira la cuillère et la mise directement dans sa bouche.

"Hey!" Je lui donnais un coup sur l'épaule tout en le poussant. Il tenta de dire un mot, mais je ne compris rien.

"Hein?" Dis-je avec une tête d'incompréhension totale et absolu.

Apparemment cette tête devait être marrante, car dès lors il eût un fou rire incontrôlable. Et je ris avec lui.

"Mais j'ai rien compris."

Spoiler:

Clyde était en train de rire, il parvint à peine à avaler ce qu'il avait dans la bouche et termina son fou rire. Il posa en suite à nouveau les jambes de Kaitlyn sur ses cuisses les caressant doucement et le jeune homme s'alluma en suite un nouveau joint, qu'il fuma tout en caressant les jambe de Kaitlyn. Mais cette fois ci avec quelque chose d'autre que de la bienveillance dans les yeux. Il sourit et la regarda : lui même ne savait pas pourquoi il faisait ça . « Ta les jambes plus douces que les miennes ! Je suis jaloux . » ; il rigolait bien sur c'était pour la faire rire et faire son clown comme d'habitude. Clyde détourna un moment le regard des jambes de Kaitlyn, c'était comme si quelque chose l’entraînait et attirait son regarde vers elle , c'était étrange, ou peut-être était-ce l'herbe ? Dans tout les cas Clyde tentait de se retenir tant bien que mal . Il se pencha sans retirer les jambes de Kaitlyn de la ou elles était lui coupa une par et l'approcha de sa bouche pour de vrais la laissant croqué dedans. Sauf que, sans le faire exprès il en laissa une trace au dessus de sa bouche : Clyde l'essuya donc tout doucement avec son pouce qu'il lécha par la suite. Il lui fit un clin d'oeil. « Ca doit être bon des lèvres aux chocolat » ; c'était sûrement un commentaire placé mais Clyde en avait partiellement conscience, la fatigue et les effets de l'herbe commençait sérieusement à se faire sentir !

Je le regardais rire, sans pour autant qu'il ait répondu à ma question, mais ça me faisait rire de le voir si euphorique. Je ne savais pas pourquoi, mais je trouvais son rire mignon et cette pensée me fit encore plus rire, c'est ce qu'il y avait de mieux avec un joint, pouvoir rire de tout et n'importe quoi sans raison. Il remit mes jambes sur ses cuisses et un grand sourire satisfait fit son apparition sur mon visage. Il les caressait doucement et bizarrement cela ne me déplut pas, mais c'était étrange quelque part, disons juste que ce n'est pas une partie de mon corps d'on j'ai pour habitude que l'on me touche. Mais cela n'empêchait pas que ses caresse soit très agréable, à vrai dire j'en profitais un peu et je me mordis légèrement la lèvre inférieure un sourire en coin. Pour me changer un peu les idées je me mis à chanter la chanson qui passait et à danser malgré ma position semi-allongé. Je ne pus m'empêcher de rire lorsqu'il me fit une remarque sur mes jambes.

"C'est ça que tu voulais dire depuis tout à l'heure? Si tu veux on ira chez l'esthéticienne ensemble ou alors, on peut faire ça à la maison." Lui dis-je en tirant la langue sur le côté.

Je bougeais ensuite mes jambes de la même manière que dans une pub Venus. Je souris amusée de la situation, ça faisait un moment que je n'avais pas autant rit avec un gars plus âgé. Si on ne s'était pas éloigné je suis sûr qu'on se serait tapé d'énorme barre tout le temps. Il s'approchait de nouveau vers moi avec une cuillère avec du gâteau, je tournais ma tête faisant semblant de ne pas vouloir le prendre, en le regardant du coin de l’œil avant de me retourner et de prendre la cuillère. Mais maladroite comme je suis je me suis mise du chocolat sur les lèvres, sentant quelque chose sur mes lèvres je ne pus m'empêcher de loucher pour essayer de voir ce que c'était, il me le retira délicatement avec son pouce et je souris.

"Il n'y a qu'une manière de le savoir."

Je me rapprochais alors de lui doucement, regardant tantôt ses yeux tantôt ses lèvres, m'arrêtant lorsque nos nez se frôlait à peine. Je restais là un moment, l'observant comme ça, je me mordis légèrement la lèvre inférieure un sourire joueur accroché à ma bouche. Mais quelque chose vint nous interrompre, une vibration. Suivi d'un fou rire d'un bébé. Et ce n'était pas n'importe lequel, c'était celui de ma princesse. Je compris tout de suite ce que c'était, je m'éloignais alors recherchant mon téléphone sans pour autant retirer mes jambes du jeune homme.

Elle amusait beaucoup Clyde à faire la folle comme ça. Lorsqu'elle lui proposa d'aller chez l’esthéticienne il éclata de rire sincèrement. Et franchement ce n'était pas vraiment son style les éclats de rire aussi virulent. Clyde était devenu un jeune très sérieux malgré lui.
L'ambiance était plutôt bonne enfant jusqu'à ce que Kaitlyn se rapproche dangereusement de clyde. Qu'elle approche plus précisément leurs lèvres. Le cœur de Clyde battait à tout rompre . Comment étaient-ils arrivé la déjà , il ne se souvenait plus très bien. Son esprit passa du flou au clair d'un coup et il se flageolât mentalement. Elle était si jeune, certes si mature mais si jeune... Lorsqu'une sorte de sonnerie retentit pour les interrompre dans se rapprochement Clyde s'éloigna subitement et Kaitlyn aussi fouillant dans ses affaires. C'était de son téléphone que venait ses rires d'enfants. Il soupira et se leva pour aller ouvrir la fenêtre, comme si uniquement l'air fraie pouvait le faire retomber sur terre. Il se trouvait ridicule : il se laissait aller à de tel gaminerie si facilement,c'était immature de sa part. Il fixa un moment Kaitlyn : quelque part peut-être étés-es son instinct paternelle qui l'avait poussé à agir ainsi … parce que : quand on voyait Kaitlyn on avait clairement qu'une envie c'était de la protéger.
Clyde ouvrit la bouche pour s'exprimer mais Kaitlyn prit les devant , elle se leva d'un coup et rit so sac . Il allait lui dire qu'elle ferait mieux de partir mais apparemment elle comptait y aller.

Mon dieu, je n'avais pas vu l'heure... Chose qui m'arrivait très rarement.. Et pourtant. Je me sentis légèrement nulle. Je finis par retrouver mon téléphone et je décrochais certaine de savoir qui cela était.
- "Allo mummy?"
- "Oui où es-tu? Ta fille commence, elle t'appelle là."
- " Oui pardon, je n'avais pas vu l'heure.. J'arrive je suis juste à côté."
- "Fais vite ma puce, elle crit à n'en plus finir.  Et comme d'habitude elle n'accepte personne."
- "Oui oui je suis là dans quelques minutes. J'étais chez un ami et je n'avais pas vu l'heure passer. Commence à préparer le Bib."
- "Ok à tout de suite."

Je raccrochais, m'insultant intérieurement d'avoir pu me laisser me déconcentrer autant. Ce n'est que quelques instants après que je me rendis compte que Clyde n'était plus à mes côtés, mais je ne me doutais pas à ce moment-là que le jeune homme ait pu entendre la conversation que je venais d'avoir avec ma mère. Je me levais doucement, recherchant mes affaires. Je le vis se retournais à cet instant. Je lui souris.

"Je pense qu'il est tant que je m'en aille... J'ai, quelque chose d'important à régler... En tout cas, merci de m'avoir accueillie chez toi.. C'était une super soirée, merci encore. Passe une bonne nuit."

Je remis mes chaussures tout en le remerciant, puis mon gilet et récupéra mon sac en dernier. Je m'approchais du jeune homme et déposa un léger baiser sur sa joue qui frôla un coin de ses lèvres, je m'éloignais doucement et je sortis de la petite maison. En sortant, Je vis un dame à peine plus âgée que moi m'observer d'un regard froid et méchant, je fronçais mes sourcils puis fit mine de ne pas l'avoir vu et me dirigea vers chez moi calmement malgré l'effet de la drogue encore un peu présent en moi.