NOM : Stewart PRÉNOMS : Andrew Wayne SURNOMS : Andy AGE : 53 ans DATE DE NAISSANCE : 23 mars 1962 NATIONALITÉ : Américaine SEXUALITÉ : Hétérosexuel SITUATION AMOUREUSE : Marié depuis 34 ans déjà , bientôt 35.EMPLOI/ETUDES : Directeur d'une entreprise familiale, dans le domaine pétrolier NOM DU QUARTIER : Palm avenue ANIMAUX DE COMPAGNIE : Ma femme ? CHIFFRE PORTE BONHEUR : 22

Chez les Stewart, tout doit être parfait et contrôlé. Andrew a toujours eu ce qu’il veut depuis qu’il était petit, même quand on lui dit non, il usera tout les moyens pour l’obtenir. Il est tenace et ne lâchera pas l’affaire aussitôt. Il sait donner la pression aux gens parce que lui-même en a eu dans sa jeunesse, sauf que la différence c’est que lui il ne s’en rendait pas compte et qu’il résiste très bien. Il ne lâche jamais prise sous la pression et sait rester calme à n’importe quel moment. Dès qu’il était né, son avenir était déjà tout tracé: il reprendrait l’entreprise de son père. Il est l’unique héritier et il a appris assez rapidement, assez tôt ce qu’il devait faire, comment il devait se comporter. Il est le fils parfait de la famille Stewart à l’époque, il a été élevé et assez chouchouté. Il n’a jamais déçu son entourage et a toujours fait ce que ses parents attendaient de lui, bien que son père a été très souvent absent à cause de son travail, il savait qu’il était fier de lui. Il a appris à parler correctement, bien que cela ne l’empêche pas de dire des grossièretés quelques fois quand il s’énerve ou quand il dénigre la personne. Il n’oublie quand même pas les bonnes manières et de garder son masque pour montrer la perfection dans la famille Stewart. Il doit montrer qu’il est quelqu’un de respectueux, mais l’entourage ne doit surtout pas oublier qu’il sait remuer le couteau dans la plaie. Il fait attention à son apparence, il ne s’habille jamais avec des vêtements décontractés ou encore avec une tenue d’intérieur: il ne reste jamais chez lui plus d’une journée. Andrew ne fait que de sortir, voyager, réceptionner. Il adore les soirées de gala, recevoir les gens. Il aime faire de sorte que les soirées mondaines soient différentes des autres. Il est très connu dans le monde des affaires, ainsi que dans le pays, c’est quelqu’un qui a de l’ambition, d’influent et qui a des relations. Un coup de fil pour régler une affaire ? Faire taire un journaliste trop indiscret ? Possible, mais il est assez prudent et ne doit pas trop abuser de ce pouvoir parce que cela peut se retourner contre lui.

Quand Andrew a un plan, il a toujours son plan B, suivi d’un plan C. Il est quelqu’un qui aime avoir le contrôle, qui imagine tout les scénarios possibles juste pour ne pas être prit de court. Il déteste perdre, bien qu’il est doué pour masquer son énervement. Le père Stewart ne peut pas tromper les gens qui le connaissent très bien… Il est très pointilleux et quand quelque chose ne se passe pas comme il le prévoit, il répare vite l’erreur s’il le peut. Andrew est quelqu’un qui aime se mettre en avant, qui aime pointer du doigt de la richesse des Stewart. De l’entreprise qu’il gère, de sa femme parfaite, de ses deux filles parfaites. Oui. Deux filles alors qu’il en a trois. Le chef de famille reste complètement discret et dévie subtilement le sujet quand il s’agit de parler d’Emma. Il est rancunier et n’hésitera pas à faire sentir qu’il n’apprécie pas la personne. Il n’hésite pas à provoquer et à remuer le couteau dans la plaie, à lui faire rappeler les mauvaises choses. Il fera ça jusqu’à ce que la personne en question reconnaisse les torts et s’excuse. Andrew, lui, il n’a pas besoin de s’excuser et il le fait rarement. Il ne reconnait pas ses torts et pense avoir toujours raison, il est obstiné. Il est difficile de lui faire changer d’avis même avec les arguments valables, il laissera la mauvaise foi passer devant. Il est capable d’attendre longtemps, des années, Andy est patient et ne cèdera pas, il est tenace. Il peut même aller jusqu’à l’humiliation, qu’il ne fait pas vraiment en personne juste pour préserver son image et non pas parce qu’il est lâche.

Il est égoïste quand il s’agit de donner de l’argent à des gens qui sont dans le besoin. Parce qu’il part dans l’idée que ces gens-là n’avaient qu’à remuer les fesses pour aller en gagner. Il gagne sa vie facilement, il est millionnaire. Il s’en fout pour les autres, parce que ce n’est pas son problème et il n’aidera jamais, même pour une bonne raison. C’est son argent, il l’a gagné et il n’en donnera pas. Ce qui se passe en Afrique, c’est de leur faute et ils sont en train d’apprendre la leçon, ils ne méritent pas vraiment son aide. Il est réaliste parce qu’il sait qu’il n’y aura pas de changement quand il donnera de l’argent, il est un peu radin aussi, il préfère laisser de l’argent à ses membres de la famille les plus proches, c’est-à-dire, Isobel, Marissa et Leah. Il est déjà un citoyen modèle dans la ville de Huntington Beach ! Dans le monde du travail, Andrew est quelqu’un d’autoritaire avec ses employés, un vrai leader et qui aime les défis. Il reste tout de même responsable et ne va pas trop loin non plus, il garde les pieds sur terre.

Ses filles sont source de son bonheur. Elles sont parfaites ( note: ça me fait mal de dire ça alors que j’ai passé un an et demi à lutter contre Leah, sous Jamie pour dire qu’elle n’est pas parfaite et que la perfection n’existe pas ) et ce sont ses filles à lui. Il n’a pas eu du mal à passer du temps avec elles, bien que c’est rare. Il est difficile de jongler entre le travail et les soirées mondaines. Mais quand il fait des promesses, il les tient toujours et quand il arrive toujours à la bonne heure, c’est un homme d’affaire très ponctuel et qui n’aime pas le retard. Pour les filles, il est comme un peu près un père modèle si on excepte les absences. Il ferait tout pour sa famille, il est très gentil avec elles et des fois se montre un peu trop envahissant, peut-être pour rattraper le retard dû à ses absences. Andrew adore tout ce qui est mécanique, il s’y connait dans les voitures de collection. Il aime bien les dernières technologies et suit la mode. Il a aussi un léger penchant pour la cigarette et l’alcool bien que c’est nuisant pour sa santé. Cependant, ce qu’il aime par dessus tout, c’est sa femme, Isobel.

Tout être humain nait, grandit, mange, vit, se reproduit pour persévérer son héritage, vieillit et meurt. C’est comme ça que fonctionne le cycle de vie. Si seulement Andrew était immortel, il aurait tout donné pour, mais que seulement en dernier recours, il a encore le temps de vivre normalement et de jouer contre le temps. Il rêve quand même de vivre une vie normale avec sa femme, Isobel. Quand il dit vie normale, c’est une vie avec plein d’argent à claquer dans les vêtements, des voitures, des soirées mondaines etc etc. Ce n’est pas d’avoir des revenus modestes, rester les soirs devant la télé avec son journal, avec une bière. Non du tout ! Il ne s’est jamais imaginé une telle vie comme ça. Ce n’était pas du tout fait pour lui…! Aujourd’hui, les gens aiment Andrew, d’autres le détestent. Il s’en fout lui, parce que même Dieu est détesté et aimé à la fois par certaines personnes. Vous vous posez la question ?  Qui est exactement Andrew Stewart ? Une célébrité locale dans Huntington Beach. Aussi un grand millionnaire, gérant d’une grande entreprise du pétrole, père d’Emma, de Marissa et de Leah. Est-ce que vous le connaissez vraiment ? Quelle est vraiment son histoire ? Quelle est vraiment sa vie privée ? Reposez les articles de journaux, ils ne vous apprendront rien du tout…!

Fils unique de Martha et Wayne Stewart. Né un 23 mars 1962, sa naissance était très attendue dans la famille, ils avaient tant espéré un garçon et ont été ravi dès les premiers jours, ils avaient célébrés et avaient fait les processus administratifs. À peine qu’Andrew dépasse son premier mois depuis la naissance, son père lui avait déjà tracé tout un grand chemin: qu’il irait à une grande école, à une université. Il a fait tout ce que sa famille attendait de lui, il ramenait des bons résultats, il sortait accompagné et se comportait parfaitement bien auprès des gens. Andrew avait été le fils modèle de ses parents et avait appris à être parfait, à savoir masquer ses défauts par un sourire. Son enfance était marqué par la pression permanente et aussi les nombreuses absences de son père. C’était normal, il travaillait beaucoup pour son entreprise et il faisait ça pour que la famille puisse vivre comme il le fallait: avec beaucoup d’argent. La pression, il avait appris à vivre avec. Quand Andrew était un adolescent, il était assez difficile à maitriser un certain moment, parce qu’il rêvait de faire de nouvelles expériences et il ne se sentait pas si sûr d’apprécier son futur travail, ses futures études. Son père avait réussi à le convaincre et à le remettre dans le droit chemin, en l’autorisant enfin à aller à des soirées mondaines, en lui faisant confiance, en le laissant libre à faire certaines choses. Au départ, il pensait qu’il allait réellement s’ennuyer, à ne pas pouvoir faire comme tout les autres adolescents de son âge, mais il n’a pas cessé d’en rencontrer justement dans cette soirée, certains qui étaient comme lui. Petit à petit, il avait pris goût à y aller. Il rencontrait des gens assez intéressants et importants.

« Hé, dis. J’aimerai bien que tu m’avances un peu. » « Pourquoi ? » « J’ai besoin d’argent pour me payer une boisson, il fait chaud. » Andrew dévisagea son ami, Darren qui prit un air suppliant. Il n’était pas habitué à ce climat, il soupira et haussa les épaules. Il passa son chemin, laissant sur place Darren qui ne comprit pas sur le coup, il essaya de relancer « Hé ! » « Je te rappelle que tu me dois 31$. » fit-il le dos tourné, de toute façon, il n’était pas très important comme ami. Il en avait d’autres, plus fiables. Quand il était lycéen, il avait beau avoir des amis, c’était juste des gens qui voulaient profiter de sa richesse et de sa réputation pour pouvoir survivre dans le secondaire. Cela restait une bonne période pour Andrew, parce qu’il avait appris comment reconnaître des vrais amis et des profiteurs. Surtout le plus important, c’était de connaître celle qui allait être la femme de sa vie. Isobel Anderson. Au départ, il ne pensait pas réussir à lui attirer son attention, mais sa mère Martha avait eu une bonne idée d’organiser avec son mari une autre soirée mondaine. Où Andrew fit réellement la rencontre avec Isobel qui était invitée avec sa famille. Ils venaient du même monde, ils s’entendaient sur pratiquement sur tout, elle était d’un bon parti. Le grand amour était ainsi né, ils étaient le couple du lycée et ne s’étaient pas séparés. Ils se sont mariés à leur dix-huit ans, juste à la fin de la scolarité. Certains pouvaient dire que c’était trop tôt, mais les avis. Andrew n’en a rien à faire.

À ses dix-neuf ans à peine, un an après son mariage avec Isobel, un an après le déménagement dans leur nouvelle villa à Palm Avenue… Son père décède dans des tragiques circonstances, un grave accident d’avion, sa mère était dévastée. Andrew hérite de l’entreprise de son père et a appris assez rapidement comment gérer le tout, grâce à quelques conseils des proches de son père et en finissant au plus vite ses études pour posséder un diplôme universitaire. Il était très vite occupé et commençait à être moins en moins présent à la maison. Sa femme, Isobel, qui était parfaite depuis le premier jour était enceinte et venait d’accoucher… Une fille appelée Emma. Andrew ne put pas cacher sa déception, parce qu’il ne se sent pas en sécurité après ce qui venait d’arriver à son père et qu’il n’ait pas d’héritier pour assurer la relève avec son entreprise familiale. Il ne perdait pas espoir, en pensant que le prochain enfant serait le bon. Hélas pour Andrew, non, il eut deux autres filles. Marissa et Leah. Cela s’était arrêté comme ça, pas un enfant de plus, pas un garçon héritier et il ne voyait absolument pas que l’une de ses trois filles reprennent la relève. Cela ne voulait pas dire non plus qu’il les délaissait et qu’il ne les aimait pas. Au contraire, il les adore, ce sont ses princesses. Mais quelque part, Andrew aurait quand même aimé avoir un fils, avec qui partager un moment entre garçon, de pouvoir lui donner la tâche digne d’un héritier de famille. Bien qu’il avait des filles, il faisait tout son possible. Son travail se faisait de plus en plus imposant depuis qu’il avait terminé ses études et l’empêchait d’être souvent présent à la maison. Andrew était conscient que ses filles souffraient de son absence, heureusement qu’il avait Isobel. Parce qu’il ne savait pas ce qu’il aurait fait sans elle, sa femme était capable de gérer les filles, de s’occuper de leur éducation et d’organiser les soirées, des galas. Elle fait tout le travail pour être une épouse parfaite et il l’aimait toujours, autant qu’il l’aimait la première fois où il l’avait vue. Isobel était très présente, très fidèle et tout les deux. Ils formaient un couple très solide, qui s’aimaient, qui réussissaient à affronter tout les épreuves. Andrew et Isobel étaient un couple modèle à Huntington Beach. Bien que le mari était souvent absent à cause de son travail.

Aujourd’hui, Emma. L’aînée de la famille est un sujet qui fâche chez Andrew, un sujet tabou surtout. Au début, il plaçait ses espoirs en elle, il comptait sur elle pour remplir son rôle, mais tout ce qu’elle faisait, c’était le contraire de ce qu’il attendait d’elle. Andrew ne l’avait jamais compris et à force, il n’avait plus cherché à comprendre. Elle l’avait déçu et il ne s’excusera jamais de son comportement « Andrew ? Tu sais que je vais prochainement aller en Afrique, et si ça t’intéresse. Je pourrai chercher des nouvelles pour ta fille.» fit Alex avec un air innocent, comme si ça ne le dérangeait pas de le faire. L’homme des affaires le dévisagea et soupira. Il fit un geste de la main « Non merci. Ce n'est pas la peine. Je n’ai pas envie de savoir ce qu’elle devient. » Il s’assied tranquillement sur le fauteuil, il était en train d’attendre avec son ami Alex que son jet soit prêt. Ils allaient tous les deux de Boston à Los Angeles. Alex pour une correspondance à prendre et Andy pour rentrer chez lui. Il met ses bras sur ses jambes et tenta de lancer la conversation intrigué. « Je ne comprends pas. C’est quand même ta fille, tu devrais avoir au moins des nouvelles d’elle, savoir où elle est…? » « Et ta fille ? Elle aime manger quoi ? Elle aime faire quoi ? Aime-t-elle prendre des photos ? » Alex soupira et préféra se taire, boire son verre d’alcool. Il s’affala sur la chaise, il s’en fichait de ne pas savoir grand chose sur sa fille. Il était marié à son travail et il ne voyait quand même pas où son ami voulait en venir. « Emma a presque la même raison que toi. Cette raison que je ne comprends toujours pas. Elle fuit la famille, elle refuse ce qu’on lui offre. Elle n’a rien à râler, rien qui puisse la rendre malheureuse. Elle se fait ça toute seule. On a été très souvent en conflit. En revanche, la seule différence. Tu ne cherches pas à salir la réputation. Elle, si. Emma a été renvoyée de plusieurs écoles privées, pour finir dans une petite fac. Tu ne dépenses pas d’argent pour sauver le monde ? Tu ne vas pas là-bas pour sauver le monde ? Je ne sais pas d’où vient l’idée de vouloir sauver le monde, c’est complètement peine perdu. Je ne vois pas l’intérêt. » Alex finit son verre et le déposa sur la table qui était à côté de lui. Il haussa machinalement les épaules, comme si pour lui, c’était évident. Andrew avait rencontré ce journaliste à Boston, invité par des amis en commun pour une soirée mondaine. Ils avaient parlés une bonne partie de la soirée et ils avaient gardé contact. Jusqu’à qu’une affaire bien sérieuse auquel Alex fourrait trop son nez, brisa cette amitié fragile par les opinions des deux hommes complètement différentes. Cette affaire dont le journaliste connaissait: Julie. Un prénom dont même Isobel ne connaissait pas, ni le lien qu’il y avait avec Andrew. Mieux qu’il ne vaille pas ce qu’elle le sache. C’était surtout un sujet tabou, plus que celui d’Emma. Pour en revenir à elle, ce n’était pas une très grande perte pour lui, parce qu’il avait déjà ses deux filles préférées: Marissa et Leah. Ça suffisait déjà comme ça. Andrew avait récemment appris qu’Emma était de retour à Huntington Beach après quelques années en mission d’humanitaire en Afrique, mais il n’était pas celui qui allait faire le premier pas. Il n’avait rien à se reprocher, il n’avait rien à lui dire non plus. Il lui en voulait et ne culpabilisait pas de ne plus la voir contrairement à sa femme qui commençait à avoir les premiers signes. Elle lui avait brisé son rêve et bien d’autres. Elle n’avait pas répondu à ses attentes et il avait commencé à l’ignorer, pensant que cela allait arranger les choses. Elle lui avait fait honte, elle lui avait terni sa réputation.

Marissa, Andrew avait une photo d’elle dans son bureau. D’elle avec Leah, une autre avec Eden et Faith. Quand il était seul dans son bureau, il lui arrivait de rêvasser un peu sur le passé, esquisser un sourire fier. Sur les rares moments qu’il avait passé avec sa fille. Il se rappelait du jour où il rentrait du travail, exténué, qu’il se faisait accueillir par sa fille qui se jetait dans ses bras, ce moment où Andrew rassemblait malgré tout ses forces pour la réceptionner. Il passait de plus en plus de temps avec elle à l’époque où Emma commençait à s’éloigner de la famille. Il était fier d’elle et il le lui avait dit, elle avait été une parfaite fille modèle. Elle avait tout réussi: sa scolarité où elle avait enchainé des rôles parfaits (élève modèle, pompom girl, reine du bal). Andrew est tellement fier d’elle, surtout depuis qu’elle avait terminé ses études et qu’elle était devenue chirurgienne, chef de l’unité obstétrique. Qu’elle se trouve l’homme de sa vie, Eden Jefferson. L’homme des affaires l’apprécie beaucoup, il le voyait comme un fils qu’il aurait dû avoir, un fils qu’il avait toujours rêvé. Qui le succèderait à son entreprise. Si seulement c’était possible tout ça. Si son rêve le plus fou se réalisait…! Il est devenu grand père d’une petite fille, appelée Faith. Le bonheur était si intense chez les Stewart ! Comme d’habitude, il n’était pas encore très présent pour la famille, il jonglait toujours entre le travail et les soirées. Puis ses filles étaient déjà parties. Isobel gardait de temps en temps Faith, il arrivait à Andrew de la croiser et de passer du temps avec elle. Tout était tellement parfait ! « Monsieur Stewart ! » interpella la secrétaire alors que le chef de l’entreprise s’apprêtait à partir pour une réunion importante. « Vous avez un appel ! » « Pas maintenant. Dites à la personne de me rappeler plus tard. » « C’est votre femme, elle a une nouvelle urgente à vous annoncer. » Andrew soupira et fit demi-tour pour se diriger vers le bureau de la secrétaire pour prendre le téléphone à l’oreille. Si c’était juste un détail pour un couvert pour la soirée mondaine qu’elle organisait pour ce soir, il allait être lassé. Sauf, que cette soirée mondaine n’était plus le sujet de ses préoccupations. Il venait d’apprendre à l’instant, que sa fille, Marissa, celle dont il était fier d’elle… Venait de faire une fausse couche. C’était un coup dur pour elle. Sa fille était inconsolable et était devenue fragile. Il tentait du mieux qu’il pouvait se libérer de son travail, en aménageant lui-même ses horaires pour rentrer plus tôt, mais la pression de son travail était très présente et les rendez-vous étaient trop nombreux. Andrew se noyait et s’énervait dans le fond de ne pas avoir pu être présent pour sa fille, maintenant qu’elle avait commencé à souffrir de dépression. La suite de l’histoire ne lui plaisait pas vraiment: elle venait de divorcer avec Eden, c’était l’explosion chez elle et le père de famille. C’était surtout à ce moment-là qu’Emma avait décidé de faire son retour à Huntington Beach, ce retour qu’Andrew avait complètement ignoré. Quand il était avec Marissa, il faisait comme si rien n’était, comme si c’était normal, bien que dans le fond. Dans ses gestes trahissaient son inquiétude pour elle. Il essaye au mieux de gérer tout ceci, de soutenir Marissa. Même si quelque part, il n’approuvait pas le divorce avec Eden, plus pour sa réputation ou juste pour Faith ?

La petite dernière, sa princesse, sa fille parfaite. Le meilleur pour la fin dit-on, mais après Leah, ce n’est pas la fin voyons. Andrew devait se l’avouer, il n’avait pas beaucoup été présent pour elle dès le début et il était clair qu’elle en souffrait. Elle cherchait par tout les moyens à attirer son attention (il recevait des remarques de sa femme à ce propos-là), à être plus proche… Andrew à cette époque était focalisé sur son travail qui devenait de plus en plus important et aussi sur ses autres filles. Maintenant, il essaye de se rattraper en la gâtant du mieux qu’il pouvait. Avec des cadeaux, répondant aux moindres désirs, il lui devait au moins ça, bien qu’il ne peut pas s’empêcher de se demander sur certains de ses cadeaux ce qu’elle en ferait. Ils s’étaient rapprochés quelques années plus tard, mais le souvenir de Leah pour l’absence de son père restera toujours dans sa mémoire malgré tout. Cependant, tout ceci avait un grand prix. Andrew est plus protecteur avec Leah qu’il ne l’est avec Emma et Marissa. Il avait remarqué que la jeune femme voulait prendre de plus en plus d’indépendance, de faire son propre chemin. Il avait cette tendance de vouloir tout savoir sur ce qu’elle faisait, d’avoir au moins le contrôle. Parce que c’est sa petite fille, parce qu’elle était fragile comme le démontrait la période où elle avait été agressée. Andrew était entré dans une colère noire, à un tel point qu’il avait dû demander à ce qu’on lui trouve le responsable par tout les moyens parce que la police n’était pas si compétente que ça, mais il n’avait pas vraiment trouvé les traces à ce moment-là et ça l’avait mis de mauvaise humeur pendant plusieurs jours d’affilés, bien qu’il le cachait par une autre humeur, mais il n’avait pas pu tromper ceux qui le connaissaient bien. Il avait trouvé une solution avec sa femme Isobel, quand ils étaient tous les deux à la maison. Quand Andrew était rentré plus tôt que prévu. Ils discutaient autour d’un verre d’alcool (plus pour lui que pour elle surtout). «  Nos filles ont grandi et vivent leur propre vie, ça n’empêche pas qu’elles ont besoin de nous. En particulier Leah. » Andrew soupira après avoir écouté sa femme et fut parti dans ses songes, en train de chercher la solution miracle. Ce fut lui qui réussit à réduire le silence en déposant un peu trop vite le verre vide sur la table. « J’ai une idée. Trouvons un colocataire à Leah. » « Elle ne va pas vouloir. À moins qu’elle ne soit pas…» « qu’elle ne soit pas au courant du tout. » Andrew  fit un petit sourire complice à sa femme qui répondit avec ce même sourire, ils appréciaient tout les deux qu’ils soient sur la même longueur d’onde. Il connaissait déjà la réaction de Leah, mais il ne la craignait pas du tout. Isobel ne s’était pas opposée à l’idée de son mari, parce que ce n’était pas une si mauvaise idée du tout. Ils avaient donc rapidement trouvé un colocataire et bien sûr, Leah n’avait pas vraiment apprécié ceci quand elle l’avait appris. Peu importait parce qu’elle s’y était faite à l’idée ensuite. Andrew avait pu être rassuré qu’au moins, elle était avec quelqu’un. Pourtant, cela ne s’arrêta pas là, un heureux événement et surtout, un miracle pour Andrew. Sa princesse avait eu un enfant, un garçon qui s’appelle Mason, mais elle avait réellement décidé à se débrouiller toute seule, bien qu’elle n’était pas avec quelqu’un qui pourrait réellement l’aider. Andrew n’approuve pas réellement cette idée, bien qu’il respecte le choix qu’elle ne veuille pas de son aide. Mason était en quelque sorte un peu l’espoir pour Andrew.

En ce moment, Andrew continue toujours autant de travailler pour son entreprise. À donner avec Isobel des soirées mondaines. Toujours à ignorer la présence d’Emma dans la ville, qui heureusement était peuplée de 200 000 habitants. À soutenir Marissa dans ses épreuves, ainsi que Leah qui gérait Mason toute seule. Noah Harper était une personne qui était discrètement dans sa liste noire, après ce qu’il avait réellement fait. Il était quelqu’un qui pouvait ternir sa réputation, il n’appréciait pas ceci. S’il avait réellement le temps pour lui et pour sa famille, il se serait bien occupé de son cas. Cependant, le père de la famille Stewart avait bien un soucis plus important à régler, la présence d’Alex Fletcher à Huntington Beach, le seul qui connaissait presque toute la vérité sur cette histoire de Julie. Il détestait cette sensation de perdre petit à petit le contrôle, à cause de son travail, à cause de sa femme qui commençait à culpabiliser à propos d’Emma et qui, quelque part brûle d’envie d’aller la voir. Marissa et Leah qui avaient besoin des parents même si des fois elles essayaient de dire le contraire. Et dans son travail, ses collègues les plus proches ne cessaient pas de lui demander qui serait l’héritier de cet entreprise, ce qui avait le don de l’agacer. Parce que quelque part, Leah ne permettrait pas à ce que son père impose l’avenir son fils.

Voilà qu’est réellement Andrew Stewart. Il est à la fois une personne qui ignorerait l’existence et le lien qu’il a avec Emma. Il est à la fois un papa qui aime faire plaisir à ses filles avec ses cadeaux hors de prix. Il est à la fois un époux très aimant et fidèle. Il est à la fois un bon citoyen, avec une figure parfaite, qui réussit à surmonter les épreuves bien difficiles pour la famille.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Harmajabb, tandis que mon prénom est Léa. Je suis âgée de 18 ans pour l'instant et je vis actuellement du côté d'Orléans. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur Pub RPG Design je crois , ma première impression en le voyant a été je ne m'en rappelle plus . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7/7 et que mon niveau rp est de Vous me connaissez ! Je réponds vite comme l'éclair !. Concernant mon personnage j'ai choisi Brad Pitt comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Love is enough comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement Je le sais & il est validé par Marissa. A bientôt sur le forum