NOM : McLaughlin PRÉNOMS : Emilio SURNOMS : Em, Emi, Mimile, Lilo, dépendant de l'imagination farfelu de certains AGE : 38 ans DATE DE NAISSANCE : 17 décembre, Londres NATIONALITÉ : Double nationalité, américain et britannique SEXUALITÉ : Pansexuel SITUATION AMOUREUSE : Burlesque. Il est célibataire. EMPLOI/ETUDES : Pianiste et guitariste récurrent au Wildjam. NOM DU QUARTIER : Orange Avenue ANIMAUX DE COMPAGNIE : Prévoit d'acheter un chaton, la solitude, ça commence à bien faire CHIFFRE PORTE BONHEUR : 3

Le caractère... la question qui fâche. Emilio souffre d’un trouble dissociatif de l’identité depuis sa jeunesse. Vous connaissez la fameuse blague: "Ils sont combien dans ta tête ?"... eh bien pour lui, ils sont deux, et c'est loin d'être drôle. C’était léger au départ, on le croyait juste un peu trop lunatique, ça a empiré après qu’il eut quitté le lycée et se fut barré de chez lui. Et pas qu’un peu, au point qu’Emilio a fini par sincèrement se croire possédé par le diable. Ça lui aura coûté pas mal de déménagements, pas mal de consultations de psychiatres qui l'auraient fait interner en institut si l'homme avait eu le malheur de dire la vérité, rien que la vérité, toute la vérité. La religion ne l'a pas trop aidé non plus. Un prête vous dira que Dieu c'est bien, mais qu'un médecin, c'est plus accessible.

Incompris, prostré, il s’est si souvent terré chez lui que désormais, même s’il essaie de s'ouvrir au monde en dehors du travail, sa meilleure personnalité n’a plus son brillant d’autrefois. Adieu l’assurance, l'effronterie, la franchise brute. Vous le verrez gentil, timide, attentionné, maladroit, réservé et généreux. Il a si longtemps évité les autres, par prudence, qu'il est également handicapé du social. On a l'impression qu'on pourrait faire de lui ce qu'on veut tant il semble naïf, influençable, attendrissant (mais minable pour faire de l’humour). Il n'est pas stupide pour autant, de toute façon, pour Emilio, personne ne l'est, tout le monde a son talent. Lui est un virtuose et un génie des mathématiques. Les psychiatres auxquels il ne donnait que la moitié de ses symptômes, et qui l'ont soumis à quelques tests, expliquaient ses troubles par une partie trop développée du cerveau qui grignote une autre partie, en très gros. Du coup, la justification ressemblait plus ou moins à "Le fait d'être excessivement brillant sur ces points là, te rend très cons sur d'autres aspects". Comprenez l'origine de ce qu'on appelle le déséquilibre mental. Si ces gars savaient la moitié de ce qu'il a en tête...

Il se soigne, pourtant. Mais tout seul, sans aide. Les calmants marchent plutôt bien, tout va bien, tout ira bien. Revenons donc à ses soucis de sociabilité. Emilio ne saurait pas aborder une fille qui lui plaît. S'il lui arrive encore d'être actif sexuellement, c'est uniquement grâce à sa jolie gueule qui encourage certaines à l'effort et à la patience. Il les remercie du fond du coeur. Toutefois, il évite de s'attacher, il évite d'espérer. Les sentiments ou émotions trop prenantes, dont il se protège au mieux, pourraient le faire basculer, comme une réaction d’auto-défense, dans cet autre lui qu’il considère encore comme un démon à part entière : arrogant, lunatique, égoïste, jaloux, colérique, impitoyable, violent. Emilio n'a jamais eu le courage d'apprendre à aimer correctement. Il vit dans la crainte constante des autres et de lui-même. Mais voyez comme les années se sont si vite envolées, il ne peut plus continuer à s'empêcher de vivre... il n'en a plus envie. C'est pour ça qu'il est ici.

« Je les trouve gentils, moi » — « C’est toujours comme ça au départ, tu ne les connais pas Emilio. Ils te haïront quand ils sauront qui tu es vraiment. » — « Mais j’suis quoi, vraiment ? » demande le petit garçon étendu dans son lit, emmitouflé dans sa couette. Ses grands yeux bleus et curieux fixent un point invisible au plafond. Si une autre personne était présente dans cette chambre, elle vous assurerait qu’il parle tout seul, que personne ne lui répond. Elle ne trouverait pas cela anormal cela dit. Il est courant que les enfants de son âge se fassent des amis imaginaires, surtout s’ils sont très timides, surtout s’ils viennent d’arriver dans une nouvelle ville et n’y connaissent personne. Ce que cette personne ne saurait pas, c’est qu’Emilio entend réellement cette voix, elle lui parle la nuit, lui dit des choses étranges et donne des mots trop intelligents à ses pensées. Emilio l’appelle le monstre sous le lit. Il en avait très peur au départ, au point qu’il pouvait frôler la crise de panique quand son pied avait le malheur de dépasser du matelas lorsqu’il se réveillait dans la nuit.

« Que penses-tu de tes camarades, Emilio ? ». Le garçon a six ans la première fois qu’il a déménagé avec sa famille, en Virginie. Son père porte un costume impeccable dès le petit-déjeuner, avec une cravate d’une couleur qui fait toujours mal aux yeux. Ses enfants ne le voient pas très souvent à cause du travail de celui-ci. Emilio le compare à ces messieurs de publicité qui font un grand sourire à la caméra et qui parlent d’une voix enthousiaste sans raison. « Ils sont hypocrites », répond le garçon. Sa mère hausse les sourcils. Il est difficile de décréter si c’est le vocabulaire de son fils, ou ce dont il parle, qui l’atteint le plus. Le sourire de son père, lui, ne tarit pas une seule seconde. « Mais enfin, Emi… » — « Ça v’dire quoi, hiporkite ? », intervient sa petite sœur Lauren, faisant pouffer de rire leurs parents. Elle lui sauve la mise et clôt un sujet pour lequel il ne saurait se justifier, dont il ne comprend même pas l’ampleur du sens. Oui, ça veut dire quoi ‘hypocrite’, en fin de compte ? Ça veut dire qu’ils te sourient avec un couteau dans le dos, Emilio l’apprend petit à petit à ses dépends. Au départ certains sont gentils, cela est vrai, mais d’autres voient sa timidité, son renfermement, et son accent britannique, comme de l’anormalité, or les enfants sont parfois cruels avec ce qu’ils ne comprennent pas. Le peu de gens qui lui souriaient au départ, lui tournent le dos par crainte d’être moqués aussi. La voix le sermonne quand il est dans les couloirs, quand il lit un livre seul dans son coin. Emilio cesse de l’appeler le monstre sous le lit, parce que ce monstre l’accompagne dorénavant pendant la journée.

C’est un cas de schizophrénie, à ce moment là. La voix commente ses actions, le juge, le dénigre, se moque de ses espoirs, répète ses craintes encore et encore. Emilio est renfermé, il ne parle à personne. Ses camarades le traitent de débile, sa prof, de génie. Les mathématiques coulent de source. Elle l’oppose à des tests et des calculs de plus en plus difficiles, les réponses sortent de sa bouche comme s’il les lançait par hasard, mais les résultats sont bons… les autres proposent des dessins infantiles en art plastique tandis que lui fait des œuvres d’art junior, il est autodidacte et devient virtuose du piano en jouant sur celui de son père, il reproduit des mélodies, de plus en plus complexes, qu’il entend à la radio. On le fait sauter une classe et le gouffre avec les autres élèves s’agrandit. Emilio comprend les problèmes complexes, mais il rate la banalité, il passe à côté de l’amitié, de l’amour, il ne comprend pas le sentiment, il ne comprend pas pourquoi les garçons courent après les filles, que celles-ci s’énervent, mais qu’elles reviennent les embêter quand ils passent à autre chose. Lui de toute façon, plus personne ne l’embête désormais, il observe tout de loin, il ne se prête pas aux jeux. Quel est l’intérêt de jouer, en fait ? Il se sent stupide, en effet, de ne pas comprendre. Au collège, on recommence à l'emmerder mais il ne se laisse plus faire, sa répartie calme les ardeurs, mais pas tant que ça. En dernière année, il a perdu son acné, la gente féminine commence à prendre sa défense et à l'intégrer sans qu’il ne comprenne ce changement d’attitude. Il se demande à quoi lui sert tout ce soi-disant génie, s’il n’est même pas capable de décrypter ce que cache un sourire ou une œillade... s’il n’est pas saint d’esprit.

Le lycée, c’est une forme de libération. Les gens sont plus matures, blasés, ils se foutent de tout. Ce n’est pas comme ça partout, mais pour la première fois, il a de la chance. Emilio découvre la normalité, la voix a disparu depuis un bout de temps déjà. Il est tolérant, ouvert, il envoie chier, il est un tantinet trop sarcastique, mais on apprécie son franc-parler. Il devient le genre de personne dont on aime bien demander l'avis. Et puis, il y a cette fille. Elle est patiente, elle ne lui reproche pas sa maladresse. Elle s'intéresse à lui. Elle admire son travail, elle s’émerveille de peu. Mais cette fille, elle est belle et un peu trop convoitée. Lors d'un déjeuner, alors qu’ils sont à la cantine et qu’elle est assise en face de lui, le regard de la belle se perd sur le côté et elle sourit à un autre camarade. Emilio découvre la jalousie. Une fureur inexplicable s’empare de lui et, avant même d’avoir le temps de penser, sa main frappe le verre en face de lui, qui s’écrase sur la pommette de la jeune fille et laisse une marque qui restera plusieurs jours. Elle prend la fuite, il la regarde faire, et comme il est choquant de voir un regard si noir pour des yeux si bleus. La colère s’envole. Il retrouve ses esprits. Il voit les bris de verre au sol, sa mémoire a du mal à reconstituer ce qu’il vient de se produire et pourquoi. Mais il devine. Plus tard, il lui court après, dans tous les sens du terme, il la supplie de le pardonner, il s’obstine. Ce qu’il ne sait pas, Emilio, c’est qu’en révélant un côté qu’on caractérise par cet euphémisme puéril de bad boy, il est devenu un fantasme inavoué pour cette adolescente en mal d’adrénaline et qui regarde trop de films. Elle s’en cache bien, mais quand il cesse de chercher après elle, c'est elle qui revient vers lui. C'est stupide et dangereux, c'est une connerie...

Un jour, Emilio s’étonne que sa mère ne soit pas à la maison. Il est tellement dans son monde qu’il est toujours le dernier informé de ce qui se passe. Quand il en parle à sa sœur, elle lui répond : « Bah tu sais pas… ? ». Et elle lui annonce que leur mère ne reviendra pas, alors qu’elle ne lui a pas dit au revoir, à lui, son fils ainé. Tout est arrivé tellement rapidement que ça lui semble grotesque. Leur père n’est pas là, il est parti se souler la gueule avec son costume froissé et sa cravate à la couleur crève-l’œil à moitié défaite. Emilio va s’enfermer dans sa chambre et sa sœur a le malheur de le suivre, de vouloir le réconforter. Il fait volte-face et son avant-bras la frappe au visage. C’est la première fois qu’il lève la main sur elle. Quand le brouillard lui obstruant la vue se dissipe, elle est au sol, recroquevillée sur elle-même en pleurant, sans bouger, et lui non plus ne bouge plus, les yeux écarquillés. Il est choqué de ce qu’il vient de se passer, et quand la porte claque après qu’elle a pris la fuite, il a complètement oublié ce qu'il vient de se passer. La seule chose qui lui reste, c’est une grande douleur, et des remords dont il ignore l’origine. Cette perte de contrôle survient à d’autres moments, il reste calme pendant des jours et il suffit d’un élément déclencheur pour le faire partir au quart de tour. Parfois, il lui arrive de se souvenir de ce qu’il fait, et il se rend bien compte que ce n’est pas lui qui agit. C’est comme si la voix qui habitait son esprit, étant enfant, s’était matérialisée en une personnalité à part entière. Malgré la distance que sa sœur impose, Emilio va dans sa chambre un soir, et il lui raconte tout. Il vide son sac, en ayant l’impression de lui apprendre quelque chose de nouveau, mais elle n’est pas stupide... elle a déjà plusieurs fois fait les frais de sa colère. Malgré leurs antécédents, elle le prend dans ses bras, et tourne la page. « Lauren… Est-ce que je t’ai déjà fait du mal ? » lui demande t-il. Les larmes lui montent aux yeux en constatant qu’elle ne répond pas et que son silence en dit long. Touchée par son mal-être, elle finit par dire : « Rien d’insurmontable Emilio, ne t’inquiète pas. »

Emilio enchaine les conneries au point qu’après avoir terminé le lycée, c’est simple, il largue tout et se barre de chez leur père. Bien au chaud grâce à l’argent mis sur son compte par ses parents depuis qu’il est né, Emilio pourrait vivre des décennies sans travailler, mais il ne peut pas rester à rien faire. Il se lance dans une vie de bohème, il se prend des appart’ en colocation, et se rend compte que les histoires de cœur réveillent toujours en lui cette chose qu’il considère comme le diable. Il y a cette période où il est très croyant, il veut être exorcisé, les prêtres lui disent que la piété chasse les mauvais esprits alors il jeune, il prie, et quand il se confesse, le prêtre lui dit que certes la miséricorde de Dieu l’aidera, mais qu’elle ne fera pas tout. Il doit voir un médecin. Emilio en voit donc plusieurs, des psy, sans jamais oser tout dire. Il sait ce qui l’attend s’il dit toute la vérité, s’il est trop con pour le faire, on ne laisserait jamais un type dangereux dehors, on le ferait interner. Peut-être que c’est ça son problème, il est trop malin, il croit qu’il peut s’en sortir tout seul et qu’il a juste besoin de pistes. Sa soeur aussi, elle pense comme lui, parce qu'elle l'aime.

Il passe son temps à changer de ville, à fuir, adoptant un comportement nomade, où il élargit ses compétences musicales. Un jour, une opportunité unique le fait rester dans une ville, alors qu'il fête ses 25 ans. Après une audition, il est retenu comme pianiste à l’opéra de New-York, d’autant qu’il accompagne les répétitions du New York City Ballet. Mieux, il est embauché pour jouer de la guitare et de la basse, ses deux autres instruments de prédilection, pour des stars, lors de concerts. Malgré l’agitation d’une telle ville et toutes les tentations à sortir pour tout découvrir, Emilio est très casanier. Il ne sort quasiment que pour le travail, sa vie sociale est une page blanche, c’est grâce à cela qu’il tient si longtemps, près de 10 ans. Ce travail d’artiste, c’est pas mal de pression, et beaucoup de collègues péteux, chiants, un esclandre avec d’autres musiciens un soir de spectacle le contraint à partir, encore, et il se dit que les grandes carrières ne sont plus faites pour lui. Il reste cloitré dans un appartement à Chicago pendant des semaines, à mastiquer la bile de l’échec. Il appelle sa sœur, elle est à Chicago elle aussi, il n’a pas choisi cette ville au hasard. Elle lui rend visite. « Tu ne peux pas continuer à avoir peur et à t’empêcher de vivre. C’est bon, t’as eu une belle carrière, t’as plus rien à prouver. Il est temps de penser à toi, de profiter. Considère que c’est une nouvelle vie pour toi maintenant. » — « Tu me dis que c’est une nouvelle vie pour moi mais… je ne sais pas par où la commencer » — « C’est normal, tu peux difficilement commencer une nouvelle vie si tu ne t’es pas sorti de la précédente. Va ailleurs, à l’autre bout du monde pourquoi pas, tu t’y poses pour de bon, et tu prends un nouveau départ. Le reste en découlera ». Il l’écoute. Du moins, un peu en tout cas, il est parti, certes, mais n’a pas pu aller plus loin que la Californie. Lauren le sait dès qu’il lui envoie son nouveau numéro, après s’être installé dans un petit pavillon. Elle ne tarde pas à l’appeler. « Quand je t’ai proposé de partir à l’autre bout du monde, je ne m’attendais pas à te trouver à la porte d’à côté ». Un sourire gêné s’esquisse sur les lèvres de l’homme. « La distance t’aurait dissuadée de me rendre visite », se justifie t-il. En réalité, c’est quitter le pays où il a passé la majorité de sa vie qui le mettrait dans une vraie situation de malaise. Après tout, c’est normal d’avoir peur, il veut se donner une chance de… vivre, de renouer avec les autres. Pour certain, cela semble tellement instinctif, tellement banal.

Emilio s’apprivoise avec le temps et l’automédication, les calmants. Cependant, plusieurs fois, il doute de lui-même, notamment avec ces histoires de corbeaux à Huntington. Il voit mal qui, en dehors du Mr.Hyde sommeillant en lui, peut avoir la cruauté de persécuter des gosses de riches pour les conduire au suicide. Mais il est clean, il le sait en apprenant que le corbeau existait déjà avant son arrivée. Cette fois, ce n'est pas lui le monstre, il peut prétendre au bonheur. Le tout, c’est juste de ne pas se laisser sombrer à nouveau. Toutefois, à force d'avoir l'habitude d'être celui qui répand le mal, il oublie qu'il pourrait aussi être une cible.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Anna, tandis que mon prénom est Idem. Je suis âgé(e) de 22 ans et je vis actuellement du côté de Paris. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur bazzart, ma première impression en le voyant a été qu'il a l'air sympa, clair, intrigant, et intéressant avec l'idée chouette des secrets. Mais arrivez-vous vraiment à lire ce jaune :p ?. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 6/7 et que mon niveau rp est de 1 à 3 pages word selon l'inspi (me prévenir si vous êtes allergique à l'excès xD). Concernant mon personnage j'ai choisi Jared Leto comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi You can't buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.