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| Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Sam 23 Mar 2013 - 14:59 | |
| « Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long. » FICHE D'IDENTITE ✿ NOM : Jenkins ✿ PRÉNOMS : Simon Anton ✿ SURNOMS : écrire ici ✿ AGE : 29 ans, 30 dans 8 jours - ✿ DATE DE NAISSANCE : 1er Avril 1983 ✿ NATIONALITÉ : Américaine ✿ SEXUALITÉ : Hétéro ✿ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire ✿ EMPLOI/ETUDES : Pilote et sniper dans l’armée de l’air, Caporal. Rapatrié pour obligation familial. Professeur de la psychologie humaine à l’université. ✿ NOM DU QUARTIER : Palm Avenue ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Arnold, le chien de son frère ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : 78
| LE CARACTÈRE Intelligent + Respectueux + Nerveux + Stresser + Tourmenter + Possessif + Sportif + Littéraire + Ponctuel + Réfléchit + Instruit + Complexe + Touchant + Colérique + Patient + Jaloux + Romantique + Humaniste + Averti + Autonome + Solitaire + Bricoleur + Débrouillard + Mystérieux. Pour lui l’argent est loin de tout faire + Même s’il se bat toujours avec ses frères, il est très proche d’eux + Il n’aime pas les haricots beurre, et n’a jamais compris pourquoi ça existait + Son premier livre a été Othello de Shakespeare + Comme le reste de sa famille sa culture est très forte et prononcé sur la littérature + Il s’en serait jamais sorti en Iraq sans ses bouquins + La nuit il grince des dents + On peut avoir l’impression que de temps en temps il est dans un autre monde + Il n’est pas croyant mais de temps en temps il lui arrive de prier, surtout en ce moment + Son voyage en Iraq là transformé, alors que l’Afghanistan ne lui a pas fait cet effet là + Il est de nature assez septique + Il est extrêmement galant + Son sourire en a fait chaviré plus d’une + Il ne regrette pas de s’être enrôler dans l’armée + Il est assez méticuleux et extrêmement précis dans ces actions, déformation professionnelle + Même s’il n’est là que depuis une semaine, s’est un super prof + N’a pas encore trouvé d’issu à son enfer + Il a une plusieurs cicatrice dû à son accident + Il aime tous les sports de sensations fortes + Il ne peut pas vivre sans vitesse + Sa voiture et sa moto sont ceux qu’il a de plus précieux, il passe un temps fou dessus + Quand on le connaît bien c’est un véritable nounours + Même si en ce moment c’est rare, il peut aussi être très heureux et son humeur est souvent communicative + Il a horreur des personnes trop blingbling et trouve ça déjà étrange que son frère est acheté une maison à Palm Avenue + Il connaît la ville comme sa poche + Il peut être le parfait petit garçon, le gendre que toutes belles-mères voudraient avoir comme le bad boy très agaçant + Ce n’est pas un dragueur bien lourd, d’ailleurs il ne passe pas du tout sa vie à ça + Il adore les enfants et passe du temps avec ceux de son frère + Même s’il ne le montre pas il a un compte en banque extrêmement gonflé grâce à l’armée + Il s’est parfaitement se faire respecter sans pour autant être un tyran + Il est un peu casse-cou + Il est très manuel mais a pourtant les mains super douces + Il n’a jamais vraiment aimé quelqu’un, il a eu une histoire longue mais de toute façon, il partait pour des missions, lui ne s’est pas accroché même s’il l’aimait bien, il ne l’aimait pas + Ce n’est pas un enfoiré avec les femmes, il peut avoir des histoires d’un soir, mais c’est clair des deux côtés + En vérité, il reste un grand enfant + Il rêve de devenir Général + Dans son fort intérieur, il aimerait bien avoir une famille comme son plus grand frère + Il est extrêmement protecteur envers les gens qu’il aime + Il est très chevalier servant, il aidera toujours la veuve et l’orphelin, et la grand mère qui souhaite traversé le passage clouté + Il adore voyager + Cela fait bien longtemps qu’il a comprit que rien ne se passait comme dans les films + Il a peur de s’accrocher aux gens à cause de son métier…
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NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.
« Colonel Jenkins ! » « Oui. » « Vous êtes rappeler chez vous. Votre femme va accoucher, encore. ». Le sourire de l’homme ne se fit pas attendre. Il allait avoir son troisième enfant. Il était déjà père de deux fils, Arthur âgé de 9 ans et Nicolas 1 ans, enfin, réellement 10 mois. Et oui, Mr et Mrs Jenkins étaient plutôt rapide enfin pour le troisième, ils avaient attendu 8 ans pour en faire un deuxième et voilà qu’en 10 mois le troisième pointait le bout de son nez. C’était l’une des raisons de l’agacement de son supérieur. Le colonel était revenu depuis six mois et voilà qu’il allait être absent de nouveau pendant une bonne période, parce que bon, l’armée, en temps de non guerre donne de plutôt bon congé paternité ! « Tenez vous en forme, ne prenez pas le bide du père ! ». Les deux hommes se sourirent et le colonel courut vers l’avion qui l’attendait, il rentrait voir sa femme et ses fils, il rentrait voir la naissance de son fils.
Arrivée prévue pour 8 : 02, les yeux rivés sur l’horloge et son bipper, le militaire stressait de nouveau. Il était étrange de voir comme allait en guerre lui donnait ni chaud ni froid mais comme la naissance d’un enfant lui faisait monter des sueurs froides. L’avion commencé sa descente, il pouvait apercevoir de loin sa ville. Huntington Beach. Merveilleuse ville, peuplé de personne richissime. Pour sa part il n’était pas du tout dans les plus riche mais pas non plus dans les plus pauvre. Les Jenkins habitaient une petite maison sur Orange Avenue et même si de temps en temps les fins de mois étaient difficile, personne ne se plaignait, ils étaient heureux c’était simple. Ils étaient tout de même aimé dans le quartier, une petite famille joyeuse qui même si sans père assez souvent, avait un enfant merveilleux (deux mais à un an on est rarement méchant !) et des membres très actifs toujours là pour aider qui en avait besoin. En tout cas, ils accueillaient bientôt leur cinquième membre et l’excitation était intense dans le corps du colonel.
9 : 38 . « Je suis la ma chérie ! Tu peux y aller. » Le regarde de sa femme le rassura, comme toujours, elle était calme et sereine, alors que lui s’imaginait les pires des scénarios comme le cordon autour du coup, un mort né, un bébé sans cerveau ! (Et oui, et pourtant c’était le troisième, imaginez pour le premier !) Elle de son côté savait parfaitement que tout se passerait bien, en tout cas, on en avait l’impression. C’était elle qui allait souffrir pendant un petit moment et pourtant elle avait son visage magnifique qui regarder son mari et ses deux fils d’une façon aimante et sage. Professeur de philosophie à l’université, c’était une personne sincère et intéressée, quelqu’un qui savait toujours des choses extrêmement intéressantes et qui disposait d’une culture impressionnante. En attendant, elle allait avoir un enfant, donc aucune petite citation ne pouvait lui venir à l’esprit, parce que même si son sourire ne le montrait pas, elle souffrait, moins que pour Arthur mais ça restait un accouchement. Maintenant que son mari était là, elle pouvait commencer le travail et dire enfin bonjour au troisième bout de chou de la famille.
20 : 30. Heure de l’apéro, le premier cri du petit garçon retentisse dans l’hôpital. Et oui, encore un petit garçon pour la famille. Il fallait croire que l’homme et la femme n’étaient pas fait pour avoir une petite fille. Mais cela ne les dérangeait pas le moins du monde, fille ou garçon pas de problème, c’était leur enfant et ils l’aimaient déjà énormément. « Vous avez un prénom pour ce petit Jenkins ? » De nouveau, il fallait avoir un prénom, ça n’avait pas été long pour les parents de le trouver. Fan de la culture française, la mère avait listé tous les noms qu’elle apprécié et son militaire de mari n’avait plus qu’à choisir celui qu’il préférait, comme ils avaient fait pour les deux premiers. « Simon Anton. » Anton était le nom de son grand père enfin c’était plus compliqué que cela. Chez les Jenkins il y avait quatre grands pères ! Et oui quatre, enfin Anton n’était pas vraiment son grand père, il n’y avait aucun lien de sang mais il avait élevé son père et c’était quelque chose de très important pour lui. Ainsi Simon entrait dans la vie sous les regards ébahis de ses deux grands frères.
« Les garçons vous allez vous faire mal ! » Les trois garçons qui jouaient aux guerriers comme toujours entendaient parfaitement leur mère mais ils savaient aussi qu’elle ne les gronderait pas totalement. C’était souvent la même rengaine, ils l’aimaient beaucoup leur maman mais qu’est-ce qu’il lui en faisait voir. Presque toujours seule pour élever ses trois garçons et pas des plus simple. De vraies boules d’énergie, des enfants destinaient à faire le même métier que leur père, il n’y avait pas de doute là dessus. Même si leurs jeux étaient des jeux de force, Simon, le plus jeune n’était pas toujours le perdant. « Les garçons ! Qu’est-ce que votre mère vous a dit ? » D’un coup les trois garnements se mirent au garde à vous. Leur père était de retour à la maison. Il embrassa sa femme et ouvrit ses bras. Les garçons lui sautèrent dessus. Simon voyait son père comme un héro, quand il revenait avec son sac sur le dos, il voyait en lui l’image parfaite de l’homme. Un jour il deviendrait pareil, il le savait, il deviendrait un super militaire. Les yeux brillants il embrassa son père. Il n’avait que cinq ans mais voyait déjà son avenir parfaitement.
« Il est tant de dormir les enfants. » Ils avaient tous une chambre mais Nicolas et Simon étaient souvent dans le même lit. Le soir les bêtises s’envolaient pour laisser la place aux livres. A seulement six ans, son livre préféré était Othello qui était tout de même bien concurrencé par Les Misérables, pas le même auteur ni le même pays. Les enfants Jenkins avaient tous hérités des gênes actifs et violents de leur père mais aussi de ceux sage et intellectuel de leur mère. La culture débordée dans cette famille. Curieux de savoir toujours tout, Simon avait d’excellentes notes à l’école, il n’avait que huit ans mais déjà il faisait des devoirs supplémentaires pour toujours connaître de nouvelles choses. Ce qui était pratique c’est que pour le moment, cela ne l’empêchait pas d’avoir des amis. Avec Nicolas, son frère, ils étaient toujours ensemble, les petits caïds de la cours de récréation. Arthur n’étant pas dans la même école, étant déjà en dernière année de lycée, il se préparait à partir dans une université ce qui faisait bizarre aux deux plus jeunes qui avaient la sensation d’être abandonné par leur frère. En attendant ils jouaient sur tous les tableaux, parfait à la maison, les enfants qui aidaient leur maman dans les tâches ménagères, faisant pleins de câlins quand elle en avait besoin et de l’autre côté de véritable monstre bien trop intelligent à l’école. Les profs ne savaient pas comment réagir, leurs camarades les adoraient, des clowns qui faisaient respecter l’ordre dans la récré. Un vrai couple de bonhomme.
« Les garçons vous venez voir maman, j’ai quelque chose à vous dire. » Les deux bonhommes de dix et onze ans coururent voir leur mère. Surement que leur père rentrait bientôt à la maison. Ils avaient de superbes et attendaient patiemment la nouvelle. « Vous allez être grands frères. » la stupéfaction se lit sur le visage des deux jeunes garçons. Un petit frère ! Mais c’était quoi encore ce bazar. En même temps la même chose passa dans la tête des enfants. Un nouveau souffre douleur ! Ils firent un câlin à leur mère. « Mais ça veut dire que papa va revenir. » Madame Jenkins fit oui de la tête et les frangins firent la fête avec elle toute la soirée. Dans leur tête se préparait déjà les plans diaboliques qu’ils feraient vivre au nouveau venu dans la famille, jusqu’à ce que Simon fasse la remarque qui tue : « Et si c’est une fille ? » Ils firent de grands yeux et Nicolas sorti avec un sourire : « Bah on détruire tout ceux qui s’en approche ! ». Faisant leur super check, ils rejoignirent leur mère qui annonçait la nouvelle à Arthur qui était déjà bien loin et bientôt enrôlé dans l’armée.
25 mai 1994. « Allo Madame Jenkins ? » « Oui c’est elle que se passe t-il ? » « Votre mari était un héro madame, mais… » Madame Jenkins n’entendit même pas la fin, elle avait compris, elle l’avait senti le matin même, quelque chose n’allait pas. Elle s’agenouilla contre le mur qu’allait elle devenir ? Son mari était mort et ne reviendrait plus. Cela faisait trois semaines qu’il était reparti, leur dernier petit garçon n’avait que six mois. Comment allait elle l’annoncer à ses fils ? Elle tremblait, ne savait plus où elle était réellement, son monde s’écroulait, elle en voulait à la terre entière, à son pays qui lui avait enlevé son mari. Ce métier qui lui avait donné tant d’inquiétude pendant des années et qui aujourd’hui lui avait pris l’homme qui comptait le plus au monde pour elle. Elle ne vit pas son fils arriver, habillait de son pyjama, le coup de téléphone l’avait levé du lit. Juste en regardant sa mère, il avait compris ce qu’il se passait. Elle put simplement sentir ses petits bras qui l’enlaçaient, il fallait qu’elle soit forte pour ses enfants, qu’elle continue de voir clair pour ne pas sombrer. Surtout il ne fallait pas sombrer. « Tu verras maman, tout va s’arranger. » Elle prit à son tour son fils dans les bras. Comment pouvait il être si fort ? Il n’avait que onze ans et c’était lui qui consolait sa mère. Elle se sentait coupable, coupable de ne pas être assez forte. A quoi bon étudier le comportement humain lorsqu’on ne peut pas contrôler le sien ? Elle embrassa son fils et se releva, elle devait continuer à vivre mais pour le moment, il fallait préparer les funérailles de son mari.
Du monde, beaucoup de monde. Les enterrements militaire ce n’est pas rien, c’est impressionnant et super beau à la fois. On voit à ce moment là combien un militaire est important, c’est dommage qu’on le voit uniquement à la fin de sa vie mais là on honorait enfin tous les exploits que le Colonel Jenkins avait effectués. On remit à sa femme une médaille du courage car on apprit plus tard qu’il était mort en sauvant son escouade. Simon regardait son frère serrer des mains, lui il était déjà militaire, il était beau dans son uniforme et puis il connaissait plein de monde ! Le garçon portait son petit frère dans les bras mais en même temps deux sentiments se mélanger en lui. La tristesse, elle était présente depuis qu’il avait vu sa mère dans la cuisine mais aussi l’honneur, il ressentait tout ce qu’on pouvait ressentir en ce moment. C’était décidé, lui aussi aurait un enterrement digne d’un héro de guerre. Il se garda de le dire à sa mère mais quand il en fit par à Nicolas celui-ci acquiesça, ils pensaient la même chose. Seulement il ne pensait pas que la suite serait si dure…
Cela faisait deux mois que son père l’avait quitté et pourtant, tous les soirs, Simon pleurait encore dans son lit. Il n’avait pleuré à aucun moment devant personne. Il ne voulait pas montrer qu’il était faible mais la nuit, alors qu’il n’y avait plus personne et que le noir était partout, tout son corps se mettait à trembler et les larmes coulaient d’elles mêmes. Ça ne voulait pas s’arrêter et il ne savait pas comment faire. C’est alors qu’il commença à devenir encore plus turbulent. Il ne voulait pas qu’on découvre son secret, c’était un secret, personne ne devait le savoir même pas son frère. Les coups qu’il donnait devenaient de vrais coups et le clown fit peu à peu la place au démon. Cela dura six mois. Six mois où il n’en faisait qu’à sa tête, n’aidait plus à la maison et fuyait toutes les nuits. Il courrait sans savoir où allait, mais il courrait en pensant que toute cette histoire partirait de sa tête, que comme par magie tout redeviendrait comme avant et qu’un beau matin son père passerait le porche de la maison. Seulement ça n’arrivait pas et ce ne fut pas son père qui passa le porche de la maison un beau matin pour le sortir de sa torpeur mais bien Arthur son frère ainé.
Il le regardait droit dans les yeux comme s’il allait parler à un adulte pas à son petit frère de onze ans. « Simon, tu dois être fort, je sais que tu as fait beaucoup de chose jusqu’à l’enterrement de papa mais tu deviens ingérable ! Tu ne crois pas que les autres souffrent aussi ? Tu penses que c’est facile pour maman de se lever tous les matins pour vous faire à manger ? Réveille toi frangin, avec Nicolas vous êtes les hommes de la maison il ne faut pas que tu sombres, sinon tu ne t’en sortiras jamais Sim’. Crois moi, si tu veux devenir aussi fort que papa un jour, il faut que tu te ressaisisses et maintenant pas dans un an, maintenant. » « Mais c’est difficile Arthur, je n’y arrive pas… » Le visage de son frère changea, il savait qu’il était obligé que s’il ne le faisait pas son frère ne s’en sortirait jamais. Arthur se leva, regarda Simon d’une façon extrêmement dur et le gifla d’une telle force que l’enfant se retrouva par terre. La claque retentit et la mère des garçons se leva en voulant réagir mais Arthur l’en empêcha. « Maintenant lève toi gamin et va aider ta mère à mettre la table, ne gémit plus, tu n’es plus un bébé ! ». Les yeux remplient de larmes se dirigèrent vers son frère pleins d’amertume. Sa main se posa sur sa joue endolorie. Il savait que c’était son combat, il était entrain de comprendre pourquoi Arthur lui avait fait ça. La douleur toujours présente, il se releva en trébuchant sous le regard amusé de Nicolas. Une fois debout, il fit un signe de tête à son grand frère pour lui dire merci, il avait compris. Puis au niveau de son autre frère, son poing parti dans sa joue ce qui explosa le nez du jeune garçon sous les yeux horrifiés de sa mère. « Enfoiré. » Il aurait voulu que son frère qui était presque son jumeau l’aide et non rigole de lui, il lui en voulait à mort. « On va mettre la table maintenant. » Puis il partit comme si rien ne s’était passé en direction de la cuisine pendant qu’Arthur était fier de lui et que sa mère tentait de soigné le nez de Nicolas…
« Les garçons ! N’embêtez pas Gaspard par pitié ! » C’était trop ! Prof plus mère de trois garçons toujours fourrés dans on ne sait pas quoi, Madame Jenkins aurait voulu parfois rendre le torchon mais elle ne pouvait pas et restait toujours là pour ses fils. Elle était là aux rendez vous avec le proviseurs qui trouvaient ses aînés trop violents et parce qu’ils se battaient l’un contre l’autre devant tout le lycée jusqu’au sang, elle était là pour les panser le soir, elle était là pour leur acheter encore plus de livre parce qu’ils étaient toujours aussi gourmand à ce niveau, elle était aussi là pour faire de temps à autres le flic pour protéger le petit dernier qui souffrait un peu de sa position. Parlons en d’ailleurs de lui. En ce moment même il avait six ans et la tête dans le lavabo. Ces frères étaient assez sympa pour lui éviter les toilettes et puis c’était moins drôle la tête n’allait pas jusqu’à l’eau ! Ce genre de situation lui arrivé assez souvent, quand il n’avait pas des notes qu’ils jugeaient suffisantes, quand il les regardaient de travers et pleins d’autres situations plus ou moins bête. Il lui arrivait aussi d’avoir la tête dans le vide jusqu’à ce qu’il s’excuse de quelque chose qu’il n’avait pas fait. Le petit Gaspard n’avait pas la vie simple mais au fond ses grands frères étaient toujours là pour lui. Comme ils le disent extrêmement souvent : « Personne n’a le droit de faire ou dire du mal de mon frère, sauf nous ! ». D’ailleurs, aujourd’hui, l’entente des deux frères n’est bonne que sur une chose : leur petit frère. Sinon ils passent leur temps à se chercher les poux, à se tirer dans les pattes et bien d’autres évènements.
« SIMONNN !!! » Mince, peut être qu’il allait la mériter celle là. Cette fois-ci Simon était allée encore trop loin. Il avait fait la même chose que trois auparavant. Coucher avec la copine de son frère. Intouchable sentimentalement, il précisait seulement aux filles que ce n’était pas sérieux, au moins elles étaient prévenues. Seulement, deux fois c’était trop. Nicolas lui souhaitait des relations pour le moment, il voulait connaître ce que c’était mais son frère l’arrêtait assez rapidement à chaque fois. « Mais elle était tellement conne ! Tu ne pouvais pas sortir avec ça tout de même ! » Oui en réalité, même s’il ne voulait pas lui avouer, il faisait ça surtout avec les filles qu’il n’aimait pas et ne trouvait pas assez bien pour son frère. Ce n’était pas non plus son trip de se faire les copines de celui-ci mais plus une obligation pour lui, et alors pour celle-là c’était le pompom, elle avait été tellement bête ! En plus de s’être fait pigé super vite, il lui avait dit de le dire à Nicolas ce qu’elle avait fait sans hésiter ! Non il méritait mieux que ça ! C’était son frère après tout, il ne pouvait pas le laisser faire n’importe quoi… Mais pour le moment il allait se faire frapper, et il ne se défendrait pas, il n’en avait pas le droit. C’était une sorte de règle, on donne des coups que si l’autre le mérite.
« Maman, je veux rentrer dans l’armée. » « Oh non jeune homme, pas tant que tu n’as pas de diplôme, donc tu vas me faire le plaisir de valider tes vœux d’université et ensuite on en reparle ! Vous voulez tous me faire tourner folle ma parole. » Oui c’était plutôt dur pour Madame Jenkins de voir ses trois premiers fils vouloir s’enrôler dans ce qui avait tuer son mari. Mais elle tenait au moins à ce qu’ils aient autre chose. Seulement elle n’avait pas pensé que ces fils avait aussi son intelligence… « Justement maman, j’ai trouvé une super solution. J’ai appelé l’armé et je me suis renseigné je peux suivre des cours en alternance avec eux ! Au moins j’aurais un diplôme et j’aurais mon boulot en même temps ! C’est pas top ? » « Youpi ! » Bien sur qu’elle ne trouvait pas ça top mais elle ne pouvait rien dire, il était majeur dans un mois et elle ne pourrait plus rien dire. Surtout qu’elle savait parfaitement que ça ne servait à rien de lui interdire, sinon il ferrait bien pire. Elle connaissait son fils par cœur et parfois elle trouvait ça dommage. Un garçon qui était si bien parti, la mort de son père l’avait bien trop troublé. Il était redevenu peu à peu un beau clown mais on voyait toujours en lui la partie détruite depuis ses onze ans.
Enfin, il était dans l’armée à par entière. Il avait eu un diplôme de littérature haut la main et en même temps il était devenu pilote de chasse et sniper. Un élément plutôt intéressant pour l’armée. Il adorait voler. Être dans les airs le faisait être le plus heureux des hommes. Presque aussi bien que le sexe ! Réellement, raffolant des sensations fortes, cette sensation était la plus forte, avec celle du saut en parachute. De temps en temps il revenait à la maison enfin ce qui en restait. Seule sa mère et son petit frère y restaient. Arthur était devenu un haut bureaucrate pour l’état et se faisait une tune d’enfer. Il s’était marié et avait une fille, magnifique ! Seulement, il avait drôlement changé. Il était toujours autoritaire mais il s’était radouci, aujourd’hui ce n’était pas sur qu’il frapperait de nouveau un enfant aussi fort qu’il l’avait fait alors que ce gamin est détruit par la mort de son père. Sa technique avait marché mais il n’aimait pas trop ce que son frère était devenu donc il ne recommencerait surement pas. Nicolas de son côté était aussi dans l’armée et tout comme Simon il ne rentrait que de temps en temps. Devenu un homme à femme il profitait pleinement de la vie même pendant certaines missions. Gaspard pour sa part continuer sa petite vie sans être autant tourmenté par ses frangins. Tout aussi doué et cultivé, il était beaucoup moins violent que les deux du milieu. Madame Jenkins, continuait ses cours mais à dose moins soutenue. Plus le temps passé, plus elle souhaitait rester à la maison et réussir totalement l’éducation du petit dernier.
Sur les camps militaires, le jeune homme n’était plus vraiment le même c’est comme s’il avait trouvé sa place. Son comportement était plus joyeux pourtant c’était dans ses endroits qu’il voyait le plus d’horreur. Sa première mission en Iraq le transforma totalement. Lui le jeune insouciant qui cirait haut et fort à qui veut l’entendre qu’il était fait pour ce métier avait eu certains doute. La peur, la tyrannie, le mal fait à de simple innocent le rendait malade, tout était à l’encontre de son éducation. Il se liait trop facilement d’amitié avec les habitants et lorsqu’une attaque était faite sur la ville, il n’était pas capable de tous les sauver. Il vit des choses terribles qui le troublaient de plus en plus. La mort d’enfants qui n’avaient absolument rien fait, de femmes qui suppliaient qu’on les laisse tranquille. La dissémination de village juste pour du pouvoir. Il fut l’erreur de se lier d’amitié avec un jeune de là bas, ce jeune fut enrôler dans la parie ennemi contre de l’argent pour sauver sa famille. Il n’avait pas le choix et Simon l’avait compris. Seulement il avait des ordres à son tour et quand on lui demanda de tirer sur la nouvelle recrue qui menaçait de devenir assez puissant, Simon dû remplir pleinement sa mission. Tout ceci la profondément marquer. Il est devenu plus dur, envers les autres et lui même. Il fut de plus en plus nerveux avec cette guerre et la nuit il lui arrive depuis de se réveiller en sursaut en sueur et agrippé à ses draps. La guerre lui avait pris une partie de lui mais pour rien il ne voulait arrêter son métier. Même s’il en prenait ce qu’il voyait surtout c’est qu’au final il sauvait un bon nombre de vies.
Caporal. Il avait été promu caporal après l’Iraq, son rêve se réalisait petit à petit. Son rêve de monter les échelons et d’un jour atteindre le poste de Général pouvait peut être se réaliser. Il eu un mois de répit entre l’Iraq et l’Afghanistan, un mois où il retourna voir sa mère et commença à écrire un livre sur la psychologie humaine. Chose qu’il avait grandement étudié sur le champ de bataille. Il avait vu sa transformation mais aussi celles plus ou moins différentes des autres militaires. Il en avait vu totalement dévoré, certains assez bête pour ne même pas penser par eux même. Il avait compris tout l’ordre de l’armée, le commencement du pourquoi et du comment des grades et d’un système aussi rigide. Mais il avait aussi étudié les autres. Les gens normaux, les victimes et les truands. C’était un sujet qui pour lui était passionnant, il avait commencé son bouquin à la guerre et l’avait fini à son retour. Il ne voulait aucune gloire juste mettre sur papier ses explications. C’est sa mère qui le força à publier le livre, fière que son fils ne soit pas qu’un simple soldat à la merci de l’armée. Seulement il du retourner à la guerre, ce qui détruisait petit à petit Madame Jenkins.
« S.O.S ! J’ai perdu le contrôle de l’avion. Un tir dans l’aile. Je vous envoie les coordonnées. » Tout était allé super vite. Il était en vol comme à son habitude, seulement un tir de rocket avait été effectué et l’aile droite de son avion avait été sévèrement touchée. La chute libre s’offrait donc comme seule option et son parachute de marchait plus. C’est dans ce genre de moment qu’il priait, sans totalement croire en dieu, il priait. Pas pour lui, il était perdu mais pour ceux qui restait. 1 ans et demi qu’il était là bas, il ne voulait pas abandonner son escouade ainsi, mais il fallait croire qu’il n’avait pas trop le choix. Il voyait le sol se rapprocher dangereusement et fan d’adrénaline, il se dit que tant qu’il était perdu, mieux valait s’éclater une dernière fois. Il effectua des tours avec l’avion. Le choc contre la terre fut extrêmement violant. Je vous laisse imaginer un avion de chasse spécialement conçut pour être résistant à la guerre se scratcher contre la terre. Il ne voyait plus rien. Il n’y croyait pas, il était toujours en vie. Sans le savoir en faisant son abruti à la dernière minute de sa vie, il avait dévié l’avion et s’était sauver. Il ne sentait plus son corps mais tenta de s’extirper de l’avion. Avec beaucoup d’effort il réussit à s’en sortir mais s’écroula à la sortie de l’engin. A ce moment là, il ressenti enfin son corps et toutes les blessures qui allaient avec. Le verre dans certains endroits de son corps et surtout une plaie énorme dans le dos. Il resta étendu sur le sol comme mort pendant vingt deux heures, vingt deux longues heures où enfin son équipe le retrouva et pu l’amener à l’hôpital le plus proche.
Trois semaines. C’est le nombre de semaines où le jeune homme est resté inanimé sur le lit d’hôpital d’une petite ville d’Afghanistan. Aujourd’hui, il commençait à remarcher, il se sentait déjà un peu plus fort même si sa cicatrice dans le dos avait été la plus violente et le tirer énormément. Il avait encore beaucoup de soin à faire et comme le disait parfaitement ses camarades, les soins qu’il avait là bas n’étaient pas les bons. Il devait rentrer mais le caporal refusait un rapatriement. Il ne voulait pas abandonner ses troupes, pas maintenant. La situation le faisait doucement rigoler, une fois que son esprit s’était habitué à la situation, il fallait que son corps en prenne un coup et en réalité, c’était plutôt difficile à vivre. « Caporal Jenkins ? » « Oui Mon Général ? » « Vous êtes attendu dans la tente de commandement. » Simon se mit au repos. Il était assis sur un banc entrain de boire un semblant d’on ne sait pas quoi et surtout entrain de bouquiner. Il arrêta tout de suite ses affaires et partie vers la tente. En entrant il se mit directement au garde à vous, devant lui se trouvait un bon gratin de haut gradé. « Caporal, vos blessures vont mieux ? » « Oui. Merci Monsieur. » Ce n’était qu’une moitié de mensonge, il allait un peu mieux mais c’était toujours extrêmement douloureux. « Rompez Caporal. » Il suivit l’ordre mais ne comprenez toujours pas ce qu’il se passait. « Caporal, vous avez reçu l’ordre de quitter le camp. Vous rentrez chez vous. » « Quoi mais pourquoi ? » « Votre frère ainé a téléphoné ce matin. Votre mère est dans un état critique, il faut que vous alliez la voir. Nous avons décidé de vous donner six mois. Vous aurez six mois de repos pour vous remettre de vos blessures et de votre situation familiale. Après selon votre état vous reviendrez sur le camp. » Sa mère. S’il y avait bien une personne a qui Simon tenait le plus au monde s’était bien sa mère et de ce qu’ils venaient de lui annoncer, elle était mourante. Il se retint mais ses mains tremblèrent comme le reste de son corps. Il ne pouvait rester plus longtemps, sinon il craquerait. Ils venaient de lui annoncer que sa mère avait en gros six mois pour mourir.
C’était une torture. Dire au revoir à ses troupes, faire ses valises et partir pour courir voir sa mère. Un cauchemar de plus venait le hanter. Elle ne devait pas quitter ce monde avant qu’il ne l’ait revu. Cela fait bientôt deux ans qu’il n’était pas revenu chez lui. Deux ans qu’il n’avait pas revu sa mère en chair et en os. Il s’en voulait à présent. Il le sentait. Il allait la perdre mais il ne le voulait pas. Il avait peur de la voir partir. Cette peur qui était partie de lui depuis un bon moment revenait. Sa mère, son roc, la personne qui avait toujours été la pour lui et ses frères, la personne la plus forte qu’il connaisse était entrain de s’éteindre et d’une façon ou d’une autre il savait qu’il était en partie lié à ce problème. Il n’arrivait pas à sourire aux personnes qui lui parlaient, qui lui disait bonjour, il était dans le noir complet. Il devait arriver à temps, il ne voulait pas la louper. Le vol se faisait long, agrippait à son siège, ses pensées remontaient loin et une larme coula sur la joue du jeune Caporal…
« Tonton Simon ! » La fille de son frère l’attendait sur le porche de leur gigantesque maison. Il la pris dans son bras libre et l’embrassa. Elle avait tant grandit, les caméras et les photos ne le montraient pas autant. Et puis il fallait dire qu’il avait été injoignable pendant tout le dernier mois. « Tiens ma puce, j’ai loupé ton anniversaire, voilà ton cadeau. » Il lui tendit un énorme paquet et se releva pendant qu’elle courut ouvrir son cadeau dans le salon. Il rentra dans la maison, son sac énorme sur le dos et regarda autour de lui. A cet instant, il revoyait son père arriver sur le porche de la maison attendu par sa femme et ses enfants, seulement son père revenait toujours avec le sourire, lui ni arriver pas. Il vit Arthur et sa femme dans la cuisine qui venait vers lui, elle était magnifique, elle ressemblait un peu à leur mère plus jeune. Elle avait ce sourire compatissant qui mettait tellement mal à l’aise le jeune homme… « Maman ? » « Elle tient encore le coup, on ira la voir tout à l’heure si tu veux. » Elle était à l’hôpital, il le savait mais c’était tellement dur d’être confronté aussi vite à la réalité des choses. Vint ensuite Gaspard, ce gamin lui avait manqué. Il s’était durcit durant ses deux dernières années, il l’avait vu dans leur correspondance mais là il le voyait, son petit frère devenait réellement un homme et Simon se dit qu’avec l’éloignement des trois autres, il était le premier à souffrir des évènements présents. Il le prit dans une étreinte masculine mais tendrement amicale. Simon était le frère le plus proche de Gaspard, le plus jeune après lui et même s’il l’avait traumatisé durant toute son enfance, il avait été une figure paternel à ses côtés, tout comme Nicolas mais d’une façon plus proche. En parlant du loup, il venait de franchir le haut de l’escalier. Son petit sourire en coin toujours présent. Simon savait parfaitement que ce n’était qu’une façade, qu’il souffrait autant que lui mais qu’il ne voulait pas le montrer simplement. Seulement cela lui mettait les nerfs en ébullition. Il ne pouvait pas supporter son sourire narquois. Ils étaient les deux frères les plus proches mais en même temps les plus ennemis. Les tensions entre eux n’étaient jamais parties et ils avaient beaucoup de mal à rester dans la même pièce sans se battre plus de trois heures.
Aujourd’hui, les quatre frères sont réunis dans la maison d’Arthur, l’ambiance n’est pas la meilleure, tant tôt la tristesse domine l’assemblé à cause du sort de leur mère, tant tôt elle est un peu plus à la guerre, entre les choix de l’ainé, la situation des deux du milieu et l’hésitation du dernier à entrer ou non dans l’armée. Mais de temps en temps, la pression est tellement forte dans cette maison que tout sort, soit en cris, soit en larme, soit en crise de nerf qui se résout souvent dans un délire totalement étrange du genre une bataille de boue, des danses folles et étrange mais il est bien de l’évacuer. En tout cas le rassemblement des Jenkins peut rameuter de nombreux commérage, personne ne sait ce qu’il se passe réellement dans cette maison de la famille militaire mais de nombreuses personnes souhaitent le savoir. Comme la vieille voisine qui sort étrangement à chaque dispute de frères pour toujours mieux entendre les ragots… Simon déteste ce genre d’ambiance et recherche surement un appartement où il sera plus tranquille que dans une maison immense avec ses trois frères, et la famille du plus grand. Il se sent en trop et aime bien aussi son côté indépendant qui pour le moment le lie à aucune chaine… Simon passe un temps fou à l’hôpital entre les visites à sa mère (minimum une heure par jour) et ses soins, ce lieu est presque comme sa deuxième maison et pourtant il n’est de retour que depuis une semaine. Il a prit un poste de professeur de la psychologie humaine à l’université, il a six mois à tuer alors mieux vaut les occuper entièrement. En attendant, il se dit de plus en plus qu’il est aussi tant pour lui de vivre, tomber amoureux et avoir une famille. Non seulement celle d’Arthur lui fait penser, mais sa mère lui rabâche aussi. Elle souhaite qu’il soit heureux mais en ce moment c’est dur de trouver un véritable sourire, un non forcé mais il essaie. Il a six mois pour construire la vie dont sa mère rêve pour lui, mais il sait parfaitement qu’il n’y a pas de commande pour ça. Première étape : travailler sur soi-même.
DERRIÈRE L’ÉCRAN ✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est pimentine, tandis que mon prénom est Maëva. Je suis âgé(e) de 1ç y.o et je vis actuellement du côté de Tours. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur eux PRD je crois, ma première impression en le voyant a été elle était il y a longtemps mais toujours aussi bien !. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de tout dépend de la semaine 5/7 et que mon niveau rp est de normal (700 mots environ). Concernant mon personnage j'ai choisi Ben Barnes comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Men with style comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥
Dernière édition par Simon A. Jenkins le Dim 24 Mar 2013 - 9:45, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Sam 23 Mar 2013 - 15:01 | |
| QUINN C'EST DEVENU UN HOMME ET UN PUTAIN D'HOMME SEXY. (Re-bienvenue xD) |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Sam 23 Mar 2013 - 15:02 | |
| un homme très très seksi même, mon dieu avec un métier seksii aussi rebienvenue à la maison et j'ai hâte de découvrir le petit Simon :D |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Sam 23 Mar 2013 - 15:06 | |
| OUAIS !! Ça m'a fait un choc en me réveillant Merci |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Sam 23 Mar 2013 - 16:27 | |
| BEN l'homme de ma vie Je réclame un lien delamortquitue ! |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Sam 23 Mar 2013 - 16:44 | |
| Mais bien sur que tu auras un méga liendelamortquidétruittout |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Dim 24 Mar 2013 - 2:25 | |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Dim 24 Mar 2013 - 8:19 | |
| Waah un tel message des le réveil que d'émotion ! Merci beaucoup et pas de soucis pour le lien EDIT : J'ai fini ma fiche :13: Enfin il me semble |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Dim 24 Mar 2013 - 11:08 | |
| Bienvenue de nouveau avec ce personnage alors ^^
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Dim 24 Mar 2013 - 11:51 | |
| Merci |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Dim 24 Mar 2013 - 11:53 | |
| mon dieu, je t'aime Simon. VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH bienvenue parmi noustoutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile : - vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- pour finir, si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Naya) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS Dim 24 Mar 2013 - 12:06 | |
| Merci |
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| Sujet: Re: Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS | |
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| | | | Simon + "Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais." WS | |
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