MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme?

**Invité** Invité

MOSES JONAS SULLIVAN

« I have been a stranger in a strange land. »

FICHE D'IDENTITE

✿ NOM : Sullivan ✿ PRÉNOMS : Moses, Jonas (oui...) ✿ SURNOMS : Mossy, BébéLama, Mo, Chaton ✿ AGE : 22 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : 3/11/1990, à Huntington Beach ✿ NATIONALITÉ : Américain ✿ SEXUALITÉ : Homosexuel - refoulé. ✿ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire ✿ EMPLOI/ETUDES : Etudiant en stylisme ✿ NOM DU QUARTIER : Presidente Drive ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : un chat, Socrate ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : 13

LE CARACTÈRE

Quand on tombe sur Moses pour la toute première fois, on a tendance à être sérieusement désespéré. Il parle beaucoup pour ne rien dire, sa langue va les trois quarts du temps plus vite que sa pensée, il est naïf au possible et surtout, surtout, bourré de principes. Son côté jeune fils de bonne famille fait qu'il a reçu une éducation en béton armé, et qu'il passe les trois quarts de son temps à se poser des limites. C'est exactement le genre de mec qui, quand il donne un coup de pied à une table, va s'excuser à la table. Il est parfaitement incapable de passer devant une vieille dame sans l'aider à traverser la route, et a toujours cru que non, avant d'avoir 21 ans, on n'a VRAIMENT pas le droit de boire de l'alcool. Quand il n'est pas en train de faire des politesses à tour de bras, il est sinon quelqu'un de très rieur - passé maître dans l'art de l'autodérision, il s'amuse comme un enfant de tout et n'importe quoi. Il a un pur coeur en or, qui fait qu'il est capable de tout donner à ses amis, et de s'épuiser à rendre quelqu'un heureux. C'est un véritable gentil, qui a la larme à l'oeil quand il voit un écureuil se faire renverser par une voiture.
Bourré de complexes par rapport à son (évidente) homosexualité, il est bien le dernier à croire qu'un jour il va réussir à aller jusqu'au bout avec une femme. Hanté par la peur de décevoir une famille légèrement étouffante et psychorigide, il cherche à tout prix à être quelqu'un de normal. De cela découle une extrême timidité, qu'il ne parvient à surmonter qu'au bord du gouffre. Rougissant et bafouillant les trois quarts du temps, il peut se montrer d'une très grande force d'auto-persuasion quand il s'agit de tenter le coup une énième fois avec une femme. Sinon, il paraît simplement nerveux quand il se retrouve en territoire inconnu et/ou hostile. Aussi, il a la larme facile. C'est un grand émotif, vraiment. Mais tout cela fait de Moses quelqu'un de profondément attachant, que l'on a envie de prendre dans ses bras et d'appeler "chaton". Et il adore qu'on s'occupe de lui - même si cela va à l'encontre de tout ses idéaux de suprême virilité.
Pour résumer? Il est fragile, maladroit, un grand angoissé de la vie - mais aussi un grand ami et un grand sincère, sauf avec lui-même. Il lui arrive d'avoir des coups de folie, des accès de rébellion contre l'ordre imposé par sa famille - comme lorsqu'il s'est inscrit en stylisme, ou les soirs où il décide de noyer son chagrin dans l'alcool. Mais de façon générale, il reste un (grand grand grand) enfant. Et puis c'est normal, après tout - il n'a que vingt-deux ans.

NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.

CHAPITRE UN: Quand je jouais aux Barbies (mais il paraît que c'est pas viril)
Imaginez une seconde. Un grand berceau sous un crucifix, avec un chapelet accroché à la tête. Au milieu, un bébé qui n'avait rien demandé, avec chaîne de baptême et nom bizarre. Voilà, c'est moi. Moses Jonas Sullivan. Moses, oui - genre le mec qui a fendu la mer en deux et qui est allé tout seul comme un con jeûner en haut d'une montagne pour redescendre trois plombes plus tard annoncer que tuer, c'est mal. Et Jonas, comme celui qui s'est fait manger par une baleine et est ressorti vivant. Vous voyez le tableau? Mes parents sont américains, Huntingtoniens de souche, catholiques pratiquants. Ils sont... assez stricts dans leur genre. Faut dire que je suis leur seul enfant, le petit chouchou, celui sur qui repose tous les espoirs. Très tôt, le deal a été clair entre mes parents et moi: tu seras un homme, un vrai, mon fils, et en échange tu auras éventuellement le droit de choisir la femme que tu épouseras. Oui, d'accord, ils sont assez réacs. Mais j'avais au moins la chance de manquer de rien. Ils ont une belle baraque sur Presidente Drive, beaucoup d'argent. Si mon éducation avait compris la capacité à faire des caprices, ils auraient été comblés aussitôt.
Sauf que non. Très vite, j'ai compris que j'avais pas intérêt à déconner. Au début, j'étais tout gentil tout mignon parce que j'étais intimement persuadé que voler des bonbons sur un étalage allait m'envoyer tout droit en enfer. Ensuite, un poil moins naïf, j'étais tout gentil tout mignon parce que mes parents me faisaient vaguement peur. Ils ne sont pas vraiment du genre souriant - c'est pas l'éclate tous les soirs, chez nous. Enfin, il y a eu le troisième stade. Le dressage. En maternelle, j'avais beaucoup plus de copines que de copains - j'ai jamais été du genre bagarreur. Très vite, j'ai développé une passion étrange pour les poupées barbies. Je trouvais ça vraiment beaucoup plus drôle que les camions de pompier - ils sont minuscules! même pas réalistes! et puis une fois qu'on les a fait rouler, on a vite fait le tour! A un goûter d'anniversaire, une de mes copines est arrivée comme une fleur et m'en a offert une. Mon père est passé du beige au blanc, puis du blanc au rouge, puis du rouge au franchement pourpre. Il m'a retourné une gifle - j'ai pas tout à fait compris pourquoi sur le coup, mais ça m'a calmé. Dès lors, je suis devenu un élève de maternelle modèle, avec un talent certain pour le dessin. Je me suis même forcé à frapper sur mes petites camarades avec mon râteau en plastique - ça avait curieusement l'air de faire plaisir à mon père. Tout allait bien. Une fois la crise Barbie passé, j'étais le gentil petit Moses à ses parents.

CHAPITRE DEUX: Quand je voulais être un super-héros (mais le slip coloré c'était pas terrible)
Les problèmes ont recommencé à l'école primaire. Ayant passé avec brio ma troisième année de maternelle, j'ai intégré un institut privé. Le genre de trucs sordides avec des cours de religion, là. A partir du moment où j'ai appris à lire, mon père s'est lancé dans un grand remake de l'Inquisition et a fait un tri préalable à toutes mes lectures. Résultat? J'avais systématiquement des bouquins de théologie sur ma table de chevet, auxquels je comprenais à peu près un mot sur trois. Très vite, la vie des saints a commencé à me taper sérieusement sur le système. C'est bien joli tout ça, mais à dix ans on a besoin d'un peu plus de fantaisie. Tous les soirs, en rentrant de l'école, je faisais donc des détours discrets chez le libraire. J'économisais centime après centime de mon argent de poche pour me payer... des comics. Oui, comme tous les mioches bien américains de mon âge, sauf que chez moi ce genre de "littérature" était mystérieusement tabou. Je les dévorais la nuit, avec des yeux ronds comme des billes. C'était coloré, ça explosait de partout, il n'y avait pas le mot "Dieu" toutes les deux lignes - rafraîchissant, vraiment! Dès lors, tout petit garçon avec sa croix en or que j'étais, j'ai commencé à rêver d'être un super héros. Je m'y voyais déjà. Homme araignée, demi dieu, armure de fer, je sauverais la veuve et l'orpheline pour à la fin embrasser la jolie fille.
Sauf que je me suis fait attraper - sinon c'était pas drôle. J'étais à l'école, j'ai ouvert mon bureau pour sortir mes crayons, sauf que j'ai eu une absence. Le numéro suivant de Batman étant là, il n'attendait que moi, et j'ai peut-être mis cinq, six secondes de trop à refermer le tiroir. Résultat? Une vieille rombière - la maîtresse - m'a attrapé par l'oreille et m'a secoué vigoureusement. Elle s'est saisie de mes précieux comics, et sans éprouver la moindre pitié à mes couinements les a envoyés fissa chez mon père. Comme la première fois... Mon père est passé du beige au blanc, puis du blanc au rouge, puis du rouge au franchement pourpre. Il m'a retourné une gifle - j'ai pas tout à fait compris pourquoi sur le coup, mais ça m'a calmé. Deuxième tentative de libération avortée, je suis redevenu le gamin parfait jusqu'à entrer au collège.
Et au cas où vous vous le demandiez, ouais, j'ai été enfant de choeur.

CHAPITRE TROIS: Quand je voulais être danseur (mais Papa a dit non et a failli me tuer)
Collège. Toujours privé, le collège. J'étais fermement cravaché par mon père, qui voulait que je fasse une grande carrière. En me donnant le nom de Moses, il avait développé un fantasme bizarre selon lequel je deviendrais avocat - les tables de la loi, tout ça tout ça. Et bien moi, ça me bottait moyennement. J'avais développé une énième passion étrange, cette fois-ci pour la danse classique. A cause des costumes, surtout, et puis de la grâce - et aussi parce que les premiers affres de la croissance avaient fait de moi un mec super grand, super fin, le genre qui pourrait coller pas mal en collants. Tout seul dans ma chambre, je m'entraînais à monter sur pointes parce que j'avais pas encore tout à fait compris qu'il n'y avait que les filles qui dansaient sur pointes. Tant pis, ça m'amusait pas mal. J'avais jamais été du genre sportif, mais ça, ça me plaisait vraiment. Je me voyais déjà m'envoler pour la Russie et devenir un grand danseur de ballets. C'était décidé - ç'allait être ça, ma vie.
Entre temps, j'avais fait mon petit bout de chemin au collège. J'étais toujours un élève brillant, qui excellait particulièrement dans les arts plastiques. J'avais eu des petites histoires avec deux, trois filles sans jamais développer le moindre sentiment. Mais j'avais grandi très tôt et très vite, alors ça les impressionnait, et ça me rendait vachement fier. J'avais l'impression d'être quelqu'un qui comptait. Mon père était toujours relativement fier de moi, je m'épanouissais, tout allait franchement bien. Et puis un jour, il est tombé sur des magazines de danse dans ma chambre. D'abord, je me suis rendu compte qu'il fouinait un peu trop dans ma chambre à mon goût, mais ça, j'avais pas vraiment mon mot à dire. Surtout, il y a eu la rengaine habituelle: Mon père est passé du beige au blanc, puis du blanc au rouge, puis du rouge au franchement pourpre. Il m'a retourné une gifle - j'ai pas tout à fait compris pourquoi sur le coup, mais ça m'a calmé. Quoique si, cette fois il a pris le soin de m'expliquer le pourquoi du comment de cette raclée. La phrase m'a choqué sur le coup, et résonne encore dans ma tête: "Mon fils ne sera pas une tapette".
J'avais pas encore le sentiment de l'être. Le seul sentiment que j'ai eu sur le coup, c'est celui d'être profondément misérable. Indigne.

CHAPITRE QUATRE: Je veux être styliste (mais ça, mes parents le savent pas encore)
Ce que mon père ne savait pas, c'est qu'en me disant ces mots il avait foutu toute ma vie en l'air. Jusque là, j'avais été profondément insouciant. Je papillonnais dans ma vie, j'aimais apprendre, j'aimais me découvrir des passions fantasques, sans jamais me poser la moindre question. Mais à partir de ces mots là, j'ai commencé à m'en poser des tonnes, des questions. Je voyais bien que mes camarades étaient pas comme moi. Ils n'avaient pas le même cadre familial, n'avaient pas reçu cette éducation en béton armé, ne complexaient pas dès qu'ils faisaient un pas de travers. En entrant au lycée, mon côté naïf en avait pris un sacré coup. Je savais plus trop qui j'étais, ce que j'allais devenir, ce qu'on attendait de moi. J'étais complètement perdu. Dans le fond, bien sûr, j'étais toujours le même mec - gentil, poli, qui parle un peu trop mais qui fait rire (un peu malgré lui). Mais intérieurement j'étais déchiré. Mon père, en me sommant de ne pas être une "tapette", m'avait foutu de sacrés doutes.
C'est vrai ça. On joue aux Barbies, on veut être un super-héros, on veut être danseur étoile, et puis un jour on commence à se poser des questions. Sauf que, dans le milieu où j'avais grandi, les questions que l'on se pose font que l'on se sent anormal. Je n'avais jamais aimé la moindre fille. Je pense même pas en avoir un jour sincèrement désirée une. Alors que les acteurs américains dans les magazines me mettaient dans des états monstres. Tout ça, je me suis acharné à le cacher au plus profond de moi - parce que j'avais peur, horriblement peur, de ne pas être normal. Aujourd'hui encore, je lutte farouchement contre une partie de moi qui me terrorise.
Constamment tiraillé entre ce qu'on attendait de moi et ce que je voulais vraiment, j'ai découvert avec horreur que je voulais devenir styliste. Vous pouvez appeler ça une vocation, moi sur le coup j'ai surtout vu ça comme une malédiction. Après le lycée, j'ai été officiellement inscrit deux semaines en droit, à la demande de mes parents. Sauf que je dépérissais. Mais vraiment, comme une merde. Trop de choses à apprendre, trop de choses qui m'intéressaient pas. J'étais un peu au bord de la dépression, mais fermement résolu à devenir quelqu'un de normal. Un mec, un vrai, avec un costard cravate et tout et tout - ce que mon père attendait de son petit Moses. Un jour, dans la fac, j'ai sorti le carnet de croquis que j'avais gardé depuis des années - des paysages, des silhouettes, des habits, surtout. J'étais fermement décidé à le balancer, et je l'ai fait. Sauf que la minute qui suivait, je me suis retrouvé poursuivi. Vraiment. Poursuivi par une fille qui m'a agité mon carnet sous les yeux et m'a dit: "Viens par là. Tout de suite.". Dans les minutes qui suivirent, je me suis retrouvé au beau milieu d'un cours de stylisme. Là, mon tiraillement a atteint des sommets. J'ai cru que c'était le destin. Je suis allé changer mon cursus à l'administration de la fac - chose que mes parents ne savent toujours pas.
C'était une nouvelle vie. Toute une partie de moi était profondément heureuse. Toute une partie de moi l'est encore. Je crois pouvoir affirmer que j'ai un certain talent. J'ai du goût. J'aime ça, dessiner des vêtements, m'acharner à les réaliser, apprendre des techniques pour aller encore plus loin. A la place de ma sexualité, il y a toujours un énorme point d'interrogation. J'ai couché avec des filles, et ça a été une série d'échecs monumentaux que je m'acharne à oublier. Je crois pouvoir affirmer que je suis complètement désespéré. Je me raccroche juste à l'idée qu'on peut parfaitement être styliste et être hétéro, être styliste et ne pas être la déception suprême d'une famille de la vieille école. J'ai juste... pas trouvé la bonne. Tout plutôt qu'être gay. Vraiment.
Même si ça devient de plus en plus dur de se voiler la face.

DERRIÈRE L’ÉCRAN

✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Tanagra (toujours), tandis que mon prénom est Jeanne (toujours). Je suis âgé(e) de 20 ans (toujours) et je vis actuellement du côté de Montpellier (toujours). Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur PRD (toujours!), ma première impression en le voyant a été HAN. (toujours). Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7/7 (toujours) et que mon niveau rp est de Checkez Jagger, Charles & Heath .
Concernant mon personnage j'ai choisi Pierre Niney (choupinou ) comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi ENJOY WHILE U'RE YOUNG comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela.
A bientôt sur le forum

Non tu ne battras pas mon record MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 4193654043

Hâte d'en voir plus sur ce nouveau personnage, bonne chance pour ta fiche MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 2054474852

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 831357446

je l'aime déjà lui et OUI on aura un lien avec Naya, OBLIGE !! MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3200772859

**Invité** Invité

.....

C'est qui lui ? MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3771473192

Re-bienvenue Heath MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3121082355

! J'ai vraiment envie de lire toute l'intégralité de ta fiche après les info's que tu nous a fournis sur la cb ** !

**Invité** Invité

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 4065497031

YAHAAAAA Re-Bienvenue super Papi Lama MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3011711443

J'ai hate de tout savoir sur le ti MOSSY !! MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 2569780947

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 2324046238

**Invité** Invité

MOI AUSSI JE L'AIME DEJA LUI Rolling Eyes

super choix en tout cas :13: hâte de rp avec tes jolies fesses

**Invité** Invité

Merci les enfants MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3200772859

Pour une fois je vous prépare un personnage choupinou, ça vous changera de Heath MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 831357446

**Invité** Invité

c'est sûr

! Ça va être carrément différent quoi MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3584575255

!

J'ai des avatars de Pierre Niney en stock (pour la jour où je le jouerais, mais ça n'arriveras pas visiblement) et je suis censé gifer comme des frères depuis un baille... VOILA.

si j'ai un TC et que c'est une femme, je te viole :D

WELCOME BACK

**Invité** Invité

Oh Julian je suis désolée MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 831357446

Je savais pas que tu comptais le jouer! Pour moi il était tellement marginal que personne le prendrait jamais xD Et puis il est tellement choupi MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3200772859

Oui, enfin il est vaguement gay quand même le mien MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 831357446

DES VAVAS! DES VAVAS! MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 1557144119

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3806782101

**Invité** Invité

& bien je crois que c'est bon pour BébéLamaMoses MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3887326422

**Invité** Invité

T'es moche! MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 4270078285

(ça va, c'est assez gentil comme bienvenue? MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 2176152401

)

Bon sérieusement... tu me raconteras l'histoire de quand t'as séparé la mer en deux? MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 1370858031

**Invité** Invité

Pas de soucis, vieille meuf. MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 1370858031

**Invité** Invité

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 1993329244

je suis pas vielle, sale thon! MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 278245422

**Invité** Invité

Je préfère Heath...Mais bon câlin koala quand même.

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 3184177323

**Invité** Invité

Re bienvenue !! MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme? 2668720545

gueule de bébé !!

VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH
bienvenue parmi nous

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.

si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.

vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !

pour finir, si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Naya)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.

**Contenu sponsorisé**

» Ayden - Moi si j’étais un homme... Attendez j’ai dit « si j’étais un homme » ?
» On a toujours besoin des conseils d'un homme !
» Un restau italien, un homme du passé... [PV SURAJ]
» [terminé]Je croyais en l'homme puis j'ai connu mon père...
» TOUT HOMME EST UN CRIMINEL QUI S'IGNORE (CAMUS) ((en cours))

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme?

MOSES ➻ comment mesure-t-on la valeur d'un homme?

Sujets similaires

Sujets similaires