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| (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 16:01 | |
| « Homme à femmes, homme d’une femme » FICHE D'IDENTITE ✿ NOM : Paulson ✿ PRÉNOMS : Adonis Léopold ✿ SURNOMS : Ado, Léo, pour les plus atteints et bourés : popol, j’ai le droit un peu à tout mais étrangement j’aime bien mon prénom aussi…✿ AGE : 33 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : 26 Juin 1980 aux Hamptons ✿ NATIONALITÉ : Américaine ✿ SEXUALITÉ : Hétéro ++ ✿ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire, mon dieu que c’est compliqué. Enfin, il n’y ai pas longtemps, seulement aucunes d’entre elles ne compte… ✿ EMPLOI/ETUDES : CEO d'ADOCORP' son entreprise ✿ NOM DU QUARTIER : Palm Avenue ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Polochon, un super Golden qui m’agace plus qu’autres choses… ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : Je ne crois pas vraiment en ça mais je dirais, 4 ou 6.
| LE CARACTÈRE Incohérent + Responsable de temps en temps + Irresponsable assez souvent + Ne pouvant rester en place bien longtemps + Toujours son mot à dire + Impatient + Autoritaire mais seulement au travail + Très bon négociateur, sauf avec sa fille + Il est toujours resté enfant + Il dit souvent ce qu’il pense, quitte à ne pas faire plaisir + Il ne supporte pas le chien de sa fille + Toujours souriant (ou presque) il ne sera pas celui qui ira gâcher une fête + Bourré il est extrêmement hilarant, sans le faire exprès du tout + Il est plutôt dépensier, ne comptant pas ses sous + Il se fiche totalement du rang social des personnes, il sera ami avec vous même si vous faîtes la manche + Il est très sportif dû à une légère hyperactivité + La stabilité d’une relation de couple lui fait très peur, en tout cas lui faisait très peur + Il n’a eu qu’une vraie relation et elle est toujours très importante dans son cœur + Il est plutôt très attachant + Il croit en beaucoup de choses , très étrangement alors qu’il peut de temps en temps être très terre à terre + Il joue avec très peu + A son boulot ou quand on lui parle de boulot, il devient quelqu’un de totalement différent + Il a la main sur le cœur + Il a bien changé depuis son adolescence + C’est une personne très indépendante + Même s’il n’y a été qu’une fois et dans une période pas vraiment glorieuse, il peut être très romantique avec la personne qu’il aime + Il peut être aussi plutôt mal adroit avec les mots + Sa fidélité en amitié est sans précédent + Il a horreur des serpents, rats et ce genre de bestiole + Il est plutôt bricoleur + Ses séries préférées sont Friends et How I Met Your Mother + Il pourrait passer une soirée a manger, boire et regarder des conneries ou juste parler avec ses amis + Il est ce qu’on appel quelqu’un de très sociable + Il est allergique à tout ce qui est aspirine etc. ce qui n’est pas pratique le lendemain d’une bonne soirée + Petit il voulait devenir astronaute + Ado il aurait voulu être appelé par la NASA ou bien la CIA pour entrer dans leur rang, mais il attend toujours l’appel + Il est follement amoureux de son ex qui est actuellement la copine de son meilleur ami + Il essaie de se calmer de temps en temps pour être un peu plus un model pour sa fille mais n’y arrive pas toujours + Il est très proche d’elle alors qu’il a sa garde que depuis très peu de temps + Contrairement à l’opinion publique il ne lui fait pas manger que des pizzas et des pattes + Il est plutôt précieux, même s’il ne l’avouera jamais, il n’est pas non plus au niveau de se maquiller + Il s’est parfaitement se battre mais espère ne pas en avoir besoin + Il est extrêmement optimisme et tente de ne jamais voir le mauvais côté des choses + Il adore son métier et ne voudrait le quitter pour rien au monde comme son entreprise + Il a été un des plus jeune entrepreneur milliardaire du siècle + Il met le quart de sa fortune dans des associations humanitaires + Il trouve les soirées mondaines étranges mais plutôt amusante + Il peut toujours sortir quelque chose de totalement inattendu dans une discussion, comme des allusions salaces un peu déplacé mais il s’en fiche plus que royalement + Il entretient des rapports tendus avec son père mais est très proche de sa mère + Ses amis sont plus importants que sa famille pour lui (on ne choisit pas sa famille, mais on choisit ses amis après tout) + Même s’il paraît irresponsable, totalement fou de temps en temps, c’est une personne de confiance qui ne vous trahira jamais, même pas son pire ennemi + Il ne fume pas et n’en a pas envie, il n’aime pas ça + Il a déjà peur que sa fille grandisse + De temps en temps, quand la peur le prend, il ne se rend pas compte de l’étendue des dégats de ses actions + Il est aussi accro au café
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NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.
1980-1990 + L’été venait juste de commencer et comme à leurs habitudes, toutes les riches familles de New York se regroupaient dans les Hamptons. Magnifique ville sur le bord de mer où le total des richesses présentes pourraient bien dépasser le PIB de nombreux pays. Parmi elles et même au dessus d’elles, les Paulson, famille possédant l’entreprise de placement financier la plus rentable au monde. Henry et Aliénor Paulson fêtaient deux choses cette année là. Leur cinquième année de mariage mais aussi la naissance de leur premier enfant. Adonis Léopold Paulson. Un enfant ayant déjà un avenir tout tracé. Beaucoup de personnes plaignaient déjà ce petit garçon qui n’aurait pas beaucoup de choix malgré l’étendu de ses pouvoirs, pour eux, ils ne pourraient pas contourner sa famille et ne pas devenir le futur CEO de Paulson Global. Il devrait épouser une riche héritière et se taire pour que l’image de sa famille ne soit jamais ternie. C’était un devoir chez les familles de ce type. Les enfants devaient suivre ce que leurs parents souhaitaient et pour le reste ils étaient libres (pour le peu de reste qu’ils avaient.). Les Paulson étaient les rois ici de toute manière, quand Aliénor organisait quelque chose on se devait d’y participer, si Henry disait qu’un investissement était bon, il pouvait faire basculer la bourse mais surtout à eux deux, ils formaient le couple le plus beau et le plus puissant de New York, et pour le moment heureux et amoureux. La venue du petit Adonis ne changea rien à tout ça, bien au contraire, la vie se montrait sous son meilleur jour pour cette famille qui ne ratait rien.
Les Hamptons, lieu quasi parfait entre la ville et la tranquillité de la mer. On pouvait y retrouver non seulement la beauté des lieux mais aussi les habitants de New York. La mentalité de la grande pomme, de la ville qui ne dort jamais suivait les habitants jusqu’à leur coin de paradis. Ce qui en faisait un lieu de mensonge, de rencontres entre personnes malhonnête et de tromperie. Seulement pour les enfants, ce lieu était parfait. Lorsque l’on est loin des manèges et des plans démoniaques des adultes, on se sent comme un dieu, un super héros dans sa tour. C’est entre New York et ce petit bout de paradis qu’Adonis grandit. Pour son plus grand bonheur il n’était pas seul. La plus grande torture pour un enfant unique même quand on a tout l’argent du monde à notre porté c’est qu’on n’a personne pour jouer avec nous. La présence de sa maman était bien mais elle ne suffisait pas. Lui il n’avait pas envie d’être toujours en train d’organiser des évènements de suivre les réunions ennuyantes de Madame Paulson. Lui son plus grand plaisir c’était d’aller courir dans le sable devant la maison, faire peur aux gardes qui devaient veiller à le garder en vie en allant dans l’eau mais surtout passer des journées entières avec son meilleur ami. Ils étaient devenus inséparables. Comme des frères, ayant des familles amies et presque unies, ils étaient liés par beaucoup plus que de simple après-midi passé à jouer ensemble. Pour eux ils étaient de vrais frères, il représentait tout ce qui était le plus important chez le jeune Paulson. C’était son double, son jumeau, et bien plus encore, ils étaient tout simplement Daniel & Adonis.
« Adonis Léopold Archibald Paulson ! » Mince ! Elle avait du le découvrir. Le vase favori de sa mère. Il était tombé, il lui dirait que c’était un accident. En réalité, il était tombé quand par excitation le petit garçon qui tentait de courir pour rattraper son ami tapa dans la table où se trouvait le vase. Il savait que ce n’était pas bien, il savait parfaitement que certaines affaires étaient dans cette maison ou dans cette famille depuis des centaines d’années mais pour lui ce n’était que des vieilleries qui ne servaient pas à grand chose et qui n’était pas toujours très jolies en réalité. Il se tourna et se dirigea vers le salon où se trouvait sa mère, la tête baissait, le regard vers le sol et la bouche en cœur. « Je… Je suis désolé maman, je… » « C’est moi qui est fait tombé le vase Madame Paulson. Je m’excuse. » Les yeux d’Adonis se tournèrent vers l’autre garçon à ses côtés, Daniel venait de lui sauver sa soirée et la sienne en même temps. Ils savaient parfaitement que même si leurs mères se parlaient beaucoup, jamais l’une ne gronderait le fils de l’autre. Le regard complice qui se passa entre les deux jeune garçon voulait tout dire et bien sur Aliénor Paulson n’était pas totalement dupe, elle savait parfaitement que Daniel couvrait son fils mais elle ne pouvait rien dire, elle avait des aveux. « Et bien, on réparera ça, filez avant que je ne change d’avis. » Les deux visages enfantins se relevèrent et sourirent à la femme devant eux. Décidément elle était la meilleure du monde, on ne pouvait trouver de meilleure maman. Eux aussi savaient qu’elle connaissait la vérité mais l’essentiel était que Monsieur Paulson ne la sache jamais et même ne découvre pas ce vase brisé…
1991-1998 + « Bien. Monsieur Paulson, Monsieur Lauder, entre s’il vous plait. » Ils y étaient enfin, le collège, l’internat, l’éloignement parental pour une liberté beaucoup plus grande et pourtant sous surveillance bien plus élevé. Ils foulaient le sol de leur premières véritables aventures dans les couloirs huppés d’un des internats les plus côtés du pays à Huntington Beach. Ils savaient parfaitement qui ils étaient et qu’ici, ils ne feraient qu’une bouchée des professeurs et surement de certains étudiants. Leurs parents faisaient partis des trente premières fortunes du pays, il n’y avait pas vraiment de quoi devenir pale, ils en étaient plutôt fier mais pas pour autant des petits ingrats Quoi que… Ils s’installèrent dans les fauteuils que leur désignait le directeur. « Jeunes gens. Je sais parfaitement qui vous êtes et qui sont vos parents mais ici nous ne faisons pas de différence. C’est un état d’esprit que nous allons vous inculquer mais surtout un savoir que vous amènerez n’importe où avec vous. Vous avez déjà un grand avenir devant vous alors ne gâchez rien en devenant des enfants pourris. » Les deux garçons, hochèrent la tête, peut être que cet homme voulait montrer son autorité, peut être voulait il qu’il n’y ai pas de déboire dans son établissement mais ils savaient parfaitement ce qu’ils leur incombaient. Même s’ils n’avaient que onze ans, ils savaient qu’une vie était déjà dessinée pour eux deux…
La chambre des deux jeunes hommes étaient plutôt silencieuse. L’un faisait ses maths, tandis que l’autre apprenait de plus en plus de choses sur son ordinateur. Bien sur l’école leur prenait du temps mais chacun de leur côté avait des préoccupations diverses. Ils avaient énormément changé depuis leur entrée dans ce collège. Aujourd’hui, âgés de quinze ans, ils rêvaient du monde. Alors que Daniel souhaitait le conquérir de part les maths et leurs procédés magique qui faisait que le père d’Adonis était un génie, tandis que le jeune Paulson quittait totalement le magnifique chemin que lui avaient tracé ses parents. Il rêvait de nouveau, d’avancée et de changement. Il voyait le futur et non un présent bien trop plat à son goût. Il savait parfaitement que son avenir n’était pas dans la finance comme son père et son ami. Lui il aimait la technologie. Il voyait des hommes comme Bill Gates et Steeve Jobs faire des miracles, des hackers qui commençaient à sortir du lot, pendant ce temps, il espérait vainement que son père accepte un léger changement dans les plans initialement prévus. Son but n’était pas de devenir plus riche que ses parents, il s’en fichait royalement, son but était de montrer qu’il pouvait lui même faire ce qu’il savait faire et bien…
« Papa, je n’irais pas à Harvard. » Pour une fois, Henry Paulson fut réellement intéressé par ce que disait son fils. Son regard se leva des ses nombreux papiers et juste à côté le regard d’Aliénor était tout simplement paniqué. « Je te demande pardon ? » « Je ne veux pas faire de la finance. Je veux étudier l’informatique. D’ailleurs j’ai demandé le MIT, hier. » Les poings du patriarche se plaquèrent contre le bureau et même s’il avait bientôt dix-huit ans, Adonis en trembla presque. Son père était la seule personne qui lui faisait réellement peur. La seule personne avec qui il n’était pas vrai. « Et qui va reprendre ma succession ? Dans les mains de qui je vais pouvoir mettre Paulson Global, HEIN ? Comme toujours ! Tu ne penses qu’à toi. » Les yeux du jeune homme s’ouvrirent en grand et il sera les points. « Je ne suis plus un enfant papa. Tu prendras quelqu’un d’autre qui en a envie, comme Daniel mais moi jamais je reprendrais ton entreprise de pourri. Jamais ! » Le sourcil droit de son père se leva et Adonis savait parfaitement qu’il avait signé son arrêt de mort. « Et bien jeune homme. Je te laisse un an là bas. Si tu n’as toujours pas retrouver le droit chemin. Je te coupe les vivres, tu m’entends. Tu ne seras plus un membre entier de la famille Paulson. Bon courage pour survivre. ». Bien déterminer à ne pas se laisser avoir par son père et à réussir dans son propre domaine en quittant la voix bien tracé des Paulson, il savait qu’il faisait ce que son père n’avait pas osé faire vingt ans plus tôt. Mais lui il avait plus de volonté et il savait que son plan marcherait…
1999-2000 + L’université. Les joies de la liberté suprême. Surtout pour les deux amis. Tandis qu’Adonis avait brillamment réussi son examen pour le MIT, Daniel était rentré sans aucun problème à Harvard. A seulement trois pâtés de maisons l’un de l’autre, le fait qu’ils ne soient pas dans la même université ne les a pas gêné le moins du monde. Etudiant ce qui lui plaisait depuis toujours, Adonis en oubliait presque de temps en temps l’année d’après il n’aurait même plus de quoi payer un simple petit placard à balais. Heureusement pour lui il était entrée dans une fraternité et ses frais d’inscription du moment payer mais pour l’année d’après, il ne savait pas du tout comment s’en sortir. Bien sur que Daniel lui avait proposé son aide mais la fierté du garçon était bien trop grande. Et vivre au jour le jour en tentant de toujours trouver une fille pour avoir un toit était peut être un peu risqué. Il ferait trop rapidement le tour de toutes les demoiselles de l’université et aucunes ne voudraient revenir sur ses pas, après qu’il soit lâchement parti en laissant un petit mot digne d’un beau batard sur la table de chevet de la jeune femme… Il n’avait qu’une solution, il savait au fond de lui qu’il devait le faire, il en avait envie depuis ses 15 ans, il avait l’idée depuis tout ce temps. Maintenant, il savait que c’était LE moment ou jamais de le faire. En moins d’un an, il allait monter sa propre boite qui serait solvable dans moins de six mois…
« Vous ne pensez tout de même pas sérieusement que ça va marcher ? Qu’est-ce que les gens ont avec l’informatique ? Cela sera passé de mode dans trois ans. Je ne vais tout de même pas financer ça ? » Le regard d’Adonis se fit plus dur. Il devait trouver des financements autres que son père et ses amis. Il voulait être indépendant. Seulement beaucoup de personnes lui mettaient des bâtons dans les roues. Mon dieu, qu’est-ce qu’ils étaient vieux jeu ! Personne ne voyait ce qu’il se passait ou quoi ? « Vous vous trompez totalement. L’informatique est l’avenir, internet encore plus. L’an prochain il y aura un grand boom, vous le regretterez. » Sur ces mots, il se leva et prit la porte de lui même. Trois jours plus tard, il rencontra la personne qui fut son plus grand fidèle, celui qui investi un million dans une compagnie même pas mise en œuvre. Il lisait en Adonis. Ce vieux monsieur partagea de nombreux savoir avec le jeune homme. Alors que l’étudiant lui apprenait à utiliser un ordinateur, lui apprenait toutes les ficelles pour monter une grande entreprise par lui même et la faire progresser au fil du temps. C’est ainsi que ADOCORP vit le jour et que deux mois plus tard, la bulle internet explosa pour le plus grand bonheur du garçon qui vit son rêve se réaliser et son entreprise se propulser dans les plus prometteuse de l’année, pour le plus grand malheur de Monsieur Paulson…
« Et le plus jeune entrepreneur de l’année est… ADONIS PAULSON ! » Les yeux du garçon s’arrondirent, il ne sentit à peine la tape que Daniel lui fit dans le dos, ni l’embrassade que lui firent les personnes autour de lui. Il n’en revenait pas. Il venait d’avoir un prix, sans l’aide de personne, enfin de personne de sa famille. Il avait réussi, il pouvait enfin montrer à son père que lui aussi pouvait être quelqu’un sans la fortune familial, lui aussi pouvait faire fortune et monter un empire en suivant ses propres rêves. Lui montrait qu’il avait eu tord de suivre les dire de son père lorsqu’il était jeune, et lui montrait que le rêve américain existait toujours. « Adonis, avez vous vraiment fait cela seul ? Dite, le nous, votre père a participé ? » « Oh non, je vous le promet, enfin si peut être, c’est grâce à lui que j’ai eu l’esprit pour faire ADOCORP, vous connaissez ce fameux phénomène chez les riches qui est l’esprit de contradiction ? Et bien vous en avez la réincarnation devant vous. » Son super sourire colgate fit rire la salle et son visage balaya l’ensemble des spectateurs. Mon dieu il avait réussi et… Son regard se stoppa nette, il fit demi-tour et planta ses yeux dans ceux d’une spectatrice qu’il n’avait jamais vu. Qui était-elle ? Il voulait la connaître, savoir qui elle était, d’où elle venait, il n’avait jamais ressenti ça. Il FALLAIT qu’il lui parle…
2001-2004 + « Je t’aime… » Le sourire sur le visage du jeune homme aurait allumé la pièce entière, mais il était bloqué, il ne pouvait recracher de tel mot, il n’était pas encore prêt. Son visage se crispa un peu « Moi aussi. » Il embrassa la demoiselle qui représentait tout pour lui et passa ses doigts dans les siens. Ils auraient pu rester blottit l’un contre l’autre pendant des heures, des jours voir des années si on les laissé faire et que rien d’autre ne les retenait. Jamais le jeune homme n’avait eu de tel sentiment envers quelqu’un, des sentiments qui lui faisaient peur, qui l’effrayait même. Son premier refuge avait toujours été son meilleur ami, la personne qui ne le lâcherait jamais, l’homme le plus fidèle à ses yeux. Aujourd’hui, deux personnes partageaient le jeune homme, lui et elle. Pas de la même manière mais les deux étaient les personnes les plus importantes à ses yeux. Il ne savait pas comment tout cela était possible mais Adonis le coureur de jupon, l’homme à femme était devenu un doux agneau, calme et adorable avec une seule demoiselle. Il n’avait pas eu de « relation » avec d’autres personnes depuis qu’il était avec elle, la sagesse du garçon en devenait presque inquiétante. Personne n’aurait pu penser qu’il était même imaginable de rencontrer l’amour de notre vie sur un plateau télé, il fallait croire que la vie en voulait peut être autrement et qu’elle lui avait de nouveau offert une opportunité que l’on ne trouvait pas à tous les coins de rue. L’amour le grand, il était sur de l’avoir trouvé avec Alice, elle faisait battre son cœur encore plus fort, elle croyait en lui et le faisait devenir un homme meilleur, l’homme qu’il voulait devenir, responsable et grandiose à l’inverse de son père qui n’avait pas une once d’humanité.
« Ado’, tu sais que maintenant ça fait presque trois ans qu’on est ensemble… » Oulà ! Le jeune homme ouvrit de grands yeux, où voulait elle en venir ? Trois ans ? Mon dieu cela faisait tant de temps que cela, il ne s’en était pas vraiment rendu compte. Mais mon dieu, il n’aimait pas du tout quand elle commençait ainsi. « Et ? » Ok il n’avait pas envie de faire le malin, il savait un peu ce qui allait revenir sur le tapis, et elle le connaissait trop pour savoir qu’il avait du mal avec cela… « Tu sais on avait parlé de prendre un appartement tous les deux. C’est délicat ici, il y a Daniel et chez moi mes colocs… » « Daniels est super ! » « Oui mais on est en couple Ado ! Pas en colocation ! » Le jeune homme se tourna et se replia en tailleur sur le lit. « Mais tu as les clés d’ici, c’est tout comme… » Elle roula des yeux et souffla, ce n’était pas la première fois qu’ils discutaient de cela, et Adonis était toujours dans la même position. Peur de s’engager, juste le fait de prendre un appartement impliqué trop de responsabilité pour lui, cela lui faisait peur et il savait qu’il n’en était surement pas capable. Elle s’approcha délicatement de lui, l’embrassant dans le cou et le prenant dans ses bras. « Un petit nid rien qu’à nous Ado, tu reviendras voir Daniel quand tu le voudras, vous vous ferez vos soirées, mais dans notre appartement on pourra faire ce que l’on veut… » Elle accompagna sa phrase de caresse sur le torse du jeune homme qui eu un léger sourire. Il se retourna et plaqua la demoiselle sur le lit. « OK. On va y réfléchir. » Les yeux pleins de joies d’Alice exprimait tout ce qu’elle pouvait ressentir à ce moment là. Seulement, Adonis était perdu, il ne savait pas où il allait, pour la première fois depuis extrêmement longtemps, il avait peur…
Les affaires sur le lit, un bordel monstre, la valise se remplissant, Adonis faisait des centaines de choses à la fois mais il ne voulait rien oublier. Maillot de bain, affaires, ordi, téléphone, tout était bon pour lui. Il ferma la valise et se retourna tout fier de lui. Alice sur le pas de la porte le regardait étrangement. Mince, non, il n’avait pas pensé à tout. « Tu fais quoi là ? » Complètement perdu, Adonis se passa la main dans les cheveux, il n’était pas totalement à l’aise, surement parce qu’il ne savait toujours pas ce qu’il faisait, il ignorait pourquoi il le faisait, surement la peur atroce d’aménager avec une femme qu’il aimait réellement… « Je pars. Je pars en vacances avec Daniel. » « Quoi ?! Pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt ? » « On a décidé ça il y a trois heures. » « Mais vous partez tous les deux ? » La jeune femme était troublée, le jeune milliardaire le voyait parfaitement, il la connaissait par cœur, et son palpitant se resserra à la vue de la pâleur d’Alice qui comprenait à comprendre la situation. « S’il te plait, ne pars pas. Pas maintenant. » Le jeune homme ferma les yeux, il avait du mal à faire ce qu’il fallait mais il ne savait pourquoi, il se devait de le faire, il devait partir pour voir où il en était. « Dis moi au moins qu’il n’y aura que vous deux ? » « Je ne veux pas te mentir Alice… » Les larmes coulèrent à flot sur les joues de la demoiselle, elle ne comprenait pas, pourquoi lui faisait il ça, pourquoi maintenant. « Je ne te mérites pas, je ne suis qu’un égoïste coureur de jupon. Je ne peux pas être un homme pour une seule femme. Je suis désolée Alice. Je t’aime… » Il l’embrassa sur le front et sorti de la pièce. Ils venaient tout juste d’aménager, de prendre un appartement pour tous les deux. Et voilà qu’elle se retrouvait déjà seule dans une pièce totalement vide pendant que l’amour de sa vie, s’envoler en dehors loin, à l’autre bout : Pukhet alors qu'il venait pour la première fois de lui avouer qu'il l'aimait. Elle le savait, leur couple ne serait plus d’actualité à son retour de Noël, elle devait s’en remettre et vite…
2004 + Phukets à Noël, un lieu paradisiaque avec des personnes parfaites et charmantes. Deux semaines dans cet endroit, Adonis savait qu’il allait pouvoir oublier sa relation. Pourquoi il le souhaitait personne même lui ne le savait mais c’était ainsi, pour lui il le fallait. La demoiselle à ses côtés allait surement l’aider dans sa tâche. Jeune russe parfaite et en vacances tout comme lui, il allait s’amuser. Entre les soirées ultra arrosé avec son meilleur ami et les nuits de folies avec la jeune femme, il n’avait pas le temps de s’ennuyait. Cette demoiselle s’appelait Anastasia Averhanov, jeune mannequin russe à l’allure parfaite que le jeune homme avait rencontrée dans l’avion. Elle était agréable, gentille et au final en une semaine, Adonis s’attacha à elle, pas avec de vrais sentiments mais comme une amie, une vraie qu’il aurait pu connaître depuis des années, seulement il était sûr d’une chose, après ses petites vacances, il n’en entendrait plus jamais parler. Tout aller parfaitement bien, comme beaucoup de chose dans sa vie actuelle. Tout devait suivre ce que Monsieur Paulson annonçait. Son entreprise marchait au top comme très peu d’entreprise dans l’informatique. Un de ses passes temps étaient de pirater des sites ou des réseaux extrêmement important pour tester ses limites qui allaient de plus en plus loin grâce à des évolutions qu’il faisait lui même ou qu’il suivait de temps en temps. Un geek chic qui n’en avait pas l’air d’un sauf lorsqu’on le voyait avec un outil informatique, Adonis profitait tout simplement de la vie en essayant d’oublier Alice qui devait être chez elle pour les fêtes de Noël où toute sa famille détestait à présent le garçon… Tout était parfaitement parfait jusqu’à ce fameux jour. Le 26 décembre 2004 qui changea la vie de milliers de personnes. Assis au bord de la piscine, Adonis contemplait la vue lorsqu’il vu ce qui pour lui était la dernière minute de sa vie…
Rien ne fut compréhensible. La première chose inquiétante fut la migration intense des oiseaux en moins de deux secondes hors de la plage, puis la vague, les arbres se couchant et se propulsant par la force de l’eau. Adonis ne savait pas vraiment ce qu’il se passait mais il était sur d’une chose, il y allait avoir du grabuge. Hors de son habitude, il se leva avec un air grave, pris son sac et se tourna vers Daniels et plusieurs personnes dos à la vague. « Courrez ! » Le regard de son meilleur ami se tourna vers la vague et en moins de deux secondes ils étaient ensemble entrain de tenter d’échapper à l’impossible. La vague les percuta de plein fouet et à ce moment là, Adonis repensa à Alice, et fut heureux de ne pas l’avoir amené, elle souffre mais pas autant que ce qu’elle aurait vécu. La vague fut présente pendant une dizaine de minutes, ce que les deux américains virent comme des heures. A la fin de la première, ils montèrent sur un arbre en aidant d’autre personne, le fait d’être en maillot de bain n’était plus un soucis, la vie du plus petit être était l’important dans la tête du jeune entrepreneur. La deuxième vague ne put déraciner l’arbre mais Adonis aperçut Anastasia, il ne pouvait la laisser mourir, pas ici, et surtout pas dans ces conditions là. Il rejeta le bras de Daniels qui tentait de l’empêcher d’y retourner et sauta dans le danger le plus grand qu’il n’ait jamais vécu. Jamais il n’aurait pensé que ce genre de chose était possible, ou en tout cas, elles arrivaient toujours aux autres, ce n’était pas possible, même pas imaginable que la mère se renverse sur une île si belle, un paradis tel que Phukets.
« Monsieur Paulson, un témoignage ? Cela fait une semaine et demi que la vague s’est abattu sur votre hôtel et vos amis que pouvez nous vous dire, que c’est-il réellement passé durant ce moment de terreur ? » Une semaine et demi, durant ce lapse de temps extrêmement cours, le jeune homme avait vu les pires horreurs. Des personnes mortes, toutes les unes à côtés des autres, des enfants souhaitant retrouver leurs parents morts, d’autres soutenant leur mère ou leur père blessé. Lui étant blessé mais sans problème grave, il avait couru partout pour aider tout ceux dans le besoin accompagnait de Daniels. « Je ne pense pas que cela vous apporte de savoir ce qu’il s’est passé. L’enfer a eu lieu sur ces îles pendant une semaine et va durer encore plus longtemps. Les personnes ayant vécu ce drame, serait je pense, heureuse de ne pas avoir à le revivre à chaque fois qu’elles allument la télévision ou ouvre un journal. La seule chose qu’il va falloir faire s’est réinvestir dans les îles. L’Indonésie a besoin plus que jamais d’aide et de fond pour refaire leurs beauté naturel qu’ils avaient conservé jusque là. » Une chose était sur, il ne fallait pas laissé ce pays à l’abandon juste parce qu’ils avaient subi une catastrophe naturel. Ils avaient été adorable et avait tenté de sauver le plus de monde possible, sans eux, peu de personne serait encore en vie, encore plus de mort auraient été comptabilisé… « Qu’allait vous faire en retombant sur le sol américain ? » « Rentrer chez moi, voir ma famille, mes proches et toutes les personnes auxquels je tiens. Ensuite j’essaierais de me remettre à vivre normalement, mais en pensant toujours à ce jour, le 26 décembre 2004 et en aidant l’Indonésie, une quête qu’ADOCORP portera avec elle, j’en suis certain. » La première chose qu’il aurait voulu faire, aurait été de passer voir Alice, mais il n’en avait pas le droit, elle n’était plus qu’une amie, il ne pouvait pas lui faire supporter le fardeau qu’ils avaient vécu. Il se tourna donc vers sa mère et la famille de Daniels, direction les Hampton pour une semaine de réhabilitation et surement de médiatisation, comme le savent faire si parfaitement les familles de ce milieu…
2005-2011 + « Ado’, faut que je te dise un truc… » Adonis se tourna vers son meilleur ami, un sourcil élevé. Mais qu’est-ce qu’il lui faisait, on aurait dit qu’il allait lui annonçait qu’ils se séparaient. Le jeune homme fit signe au deuxième de déballer son sac, s’attendant à pas mal de chose. On parlait de Daniels donc tout pouvait arriver. Le financier souffla un grand coup avant de se lancer ce qui ne rassura pas le geek. « Voilà, je crois que j’ai des sentiments plutôt fort pour Alice. Je suis désolé, ça n’aurait jamais dû arriver mais… Je ne l’ai pas fait exprès Ado’, je ferais tout pour qu’il ne se passe rien, mais je voulais que tu le saches… » Le milliardaire serra les dents et ferma les yeux. Oui, il était toujours amoureux d’elle même si cela faisait un an qu’ils n’étaient plus ensemble. Seulement, c’était sa décision, il n’avait rien demandé à personne. « Vas y, si elle ressent la même chose pour toi, rends la heureuse, Danny, mais ne la blesse jamais comme je l’ai fait… » Les yeux ronds de son meilleur ami voulait en dire extrêmement long, un remerciement énorme, un désolation de voir comment il avait abandonné la femme qu’il disait être l’amour de sa vie mais aussi à quel point il était prêt à souffrir pour la voir heureuse. La voir heureuse dans les bras de son meilleur ami, à chaque fois qu’ils se verraient… « Je te promets que je ne tenterais rien. En tout cas, j’essaierais, mais tu me connais, je ne pourrais pas te faire ça à toi… » L’étreinte qu’il reçut ne l’étonna qu’à moitié. Il venait de faire à son ami le cadeau le plus beau de toute sa vie, la femme la plus magnifique de leur monde…
La vie du jeune avait bien reprit depuis le cauchemar qu’il avait vécu à Phukets. ADOCORP’ se portait plus qu’à merveille, les relations avec son père étaient encore plus mauvaises et cela s’aggravait, il avait enfin surmonté le fait que ses deux meilleurs amis (dont son ex) étaient en couple et que lui restait toujours le même homme. Irrattrapable, toujours une connerie à dire, la seule chose qui avait changé chez lui était son voyage tous les ans en Indonésie pour reconstruire ou pour aider à construire de nouvelles choses et améliorer les conditions de vies du pays. Pour lui tout allait bien, pas d’attache, pas d’emmerde, la seule chose qui le liait à quelqu’un ou quelque chose était son entreprise, son bébé, son miracle et la chose à laquelle il tenait le plus. Les trois fanfarons avaient déménagé vers l’endroit qui leur tenait à cœur à tous. Huntington Beach, lieu du collège pour les garçon et ville natal pour Alice. C’est dans cette ville qu’Adonis décida de construire le siège de son entreprise une fois les études finies mais aussi là où il s’installa totalement et fit construire SA maison. Son petit havre de paix, qui n’en était plus un assez souvent, lors de visite, soirée tranquille ou non mais il aimait cet endroit, vu sur la plage. Huntington était rapidement devenu sa maison bien plus que la grande pomme qui avait le don de l’énerver à chaque passage là bas.
« Bon tout le monde, nous, Alice et moi, avons une chose importante à vous annoncer ! » La respiration d’Adonis se fit de plus en plus rapide et son cœur s’arrêta l’espace d’une demie seconde. Il savait parfaitement ce qui allait suivre, une chose crevée les yeux, quand on dit ça, on explique rarement qu’on va vivre ensemble (ce qu’ils faisaient déjà) ou bien qu’ils ont acheté un nouveau chien. Au non, on annonce plutôt que … « On va se marier ! » Toute la table se leva et les applaudirent, difficilement, Adonis suivit le mouvement, ayant qu’une envie, fondre comme un bébé, pleurer et retourner chez lui pour faire quelque chose de ses mains, toucher un ordinateur ou faire un objet avec du bois mais tout sauf rester ici, il fallait qu’il se casse le plus vite possible. Les embrassades suivirent et bien sur il dû y passer aussi. Avec pleins d’humour comme à l’accoutumer Adonis ne put s’empêcher de rajouter un coup de couteau dans son propre cœur. « A quand le bébé les tourtereaux ? » Il vu le visage triste d’Alice lors de ses paroles, elle lui attrapa une main et juste son approche mis du baume au cœur du jeune homme. « On essaie, juste après le mariage bro’. T’inquiètes pas, tu seras le premier au courant ! » Le sourire que fit l’entrepreneur voulait tout dire et pour la première fois, il eut presque envie de casser le nez de son meilleur ami et en même temps l’embrasser pour le féliciter du bonheur qu’il vivait…
Adonis était fatigué, la tête complètement dans le coaltar, il revenait tout juste d’une soirée. Soirée un peu arrosée vu qu’il était 2h de l’après-midi et qu’elle venait de se finir. Quoi ? Quand on vieillit on devient sage ? Pas du tout ! Il se traina tout de même jusqu’à la porte où la sonnette venait de retentir. Mais qui cela pouvait bien être ? Alice ? Daniels ? Sa mère ? « Bonjour Monsieur, vous êtes ? » Les yeux à moitié plissés, il aperçut un homme en uniforme et une femme à ses côtés en tenue normale. Mon dieu mais qu’est-ce que la police faisait ici. « Bonjour, vous êtes bien Adonis Léopold Paulson ? » « Oui lui même. Mais attendais, je lui ai jamais rien fait à elle, je le jure, je ne l’ai jamais vu. » Ok. Le reste de la soirée jouait un peu, mais il savait combien les hommes riches avaient des soucis avec les femmes qui se disaient avoir été abusée par eux. « Mais qu’est-ce que vous racontez Monsieur Paulson, nous ne sommes pas du tout là pour ça. Je suis le shérif Artwood et voici Madame Sullivan, des services sociaux. » Quoi ? C’était une grosse blague, une caméra cachée, il n’y comprenait plus rien du tout. « Pouvons nous entrer pour vous parler au calme s’il vous plait ? » Adonis acquiesça, il n’allait de toute manière pas refermer la porte au nez du shérif, et les invita à rentrer dans son humble demeure. Une fois assis, le shérif et surtout la femme passèrent à table. « Bon Monsieur Paulson, vous êtes un homme de pouvoir, un homme ayant une des plus grandes entreprise actuel à seulement 30 ans, seulement, j’ai besoin de toute votre attention, je ne fais pas appel à l’homme d’affaire mais seulement à l’homme, celui qui par exemple est sorti vivant d’une des plus grande catastrophes naturels du monde de ses dernières années. » Devenant un peu plus sérieux, et ne comprenant toujours pas ce qu’il se passait, Adonis secoua la tête montrant qu’il écoutait. « Voilà, souvenez vous d’une certaine Anastasia Averhanov ? » « Oui, elle était avec nous en Indonésie pourquoi ? » « Elle a eut un accident, enfin, un incendie a eu lieu dans sa maison, il y a deux semaines. » « Mon dieu, elle va bien ? » « Nous avons du la mettre dans un coma artificiel il y a trois jours. Les médecins ne prédisent rien de bon. » Le jeune homme secoua la tête et se frotta le front. « Mais attendez deux minutes là. Pourquoi vous venez m’en parler ? Pourquoi vous êtes des services sociaux, cela n’a rien à voir… » « Si Monsieur Paulson. Voilà, Madame Averhanov a une petite fille du nom d’Aïnoa, elle a sept ans et Anastasia, nous assure qu’elle est votre fille. » Des flashs back revinrent au jeune homme qui se rappelait d’Anastasia, cette jolie russe avec qui il s’était amusé durant la semaine tranquille en Indonésie. « Vous avez fait des tests ? » L’assistante sociale roula des yeux. « Nous allons en faire, mais nous voulions savoir si vous étiez d’accord pour héberger l’enfant d’ici les résultats. Les habitats sociaux ne sont pas le meilleur endroit et nous ne pouvons la garder à l’hôpital plus longtemps… Nous aurons les résultats ce soir, nous vous l’amenons en même temps. » Adonis fit oui de la tête. Son monde allait changer.
« C’est toi mon papa ? » Adonis venait tout juste d’ouvrir la porte et il tomba sur une petite fille magnifique, un visage de princesse, les larmes lui montèrent aux yeux, sans même que l’assistante sociale lui montre le papier, il savait qu’il était le père biologique de cette petite poupée. « Oui c’est moi ton papa. » « Bah tu étais où tout ce temps ? » Le jeune homme fut coupé par cette question mais perdit tous ses moyens lorsqu’elle lui tendit les bras. Il la prit alors dans les siens et se sentit pour la première fois de sa vie, responsable de quelqu’un… « Hein quoi mais c’est quoi ce truc ! » Un petit chien couru dans sa direction, lui frôla les pieds et se précipita vers le salon. « C’est Polochon, mon chien ! » Le sourire de l’enfant fit sourire l’adulte mais mon dieu, il n’aimait pas les chiens ! Il déposa la petite dans la maison pour dire bonjour à l’assistante. « Elle est donc bien votre fille. Il me faudrait votre signature, il faut vous décider, prenez vous sa garde ou non ? Vous ne pourrez pas revenir sur votre position. » « Bien sur que je la prend, je suis son père ! Je ne vais pas la laisser dans un trou. » Le sourire de l’assistante fut presque surprit mais heureux de voir que ce grand bad boy, richou, et coureur de jupon avait tout de même un peu de jugeote et beaucoup d’humanité. « Par contre, vous devrez être un modèle pour elle, les femmes nues se promenant dans la maison sont à éviter au maximum, les soirées alcoolisées il faut éviter quand elle est présente… Vous comprenez ? » « Vous me donnez une gosse et je dois arrêter de vivre ? Non je blague, ou je comprends, je tenterais, mais je promets rien. » Il eut un léger rire qui pris une minute à se répandre à la jeune femme qui ne comprenait absolument pas ce qu’il se passait. Il signa le tout et en lui promettant de revenir l’assistante le laissa seule avec sa fille. Mon dieu, qu’allait il faire, il n’avait même pas de quoi l’habiller convenablement… Il prit son téléphone et le premier numéro qui lui vint à l’esprit pour l’aider fut celui d’Alice, elle était la seule à pouvoir vraiment le comprendre et l’aider dans ce moment là. Daniels se serait contenté de rire et le laisser dans sa merde…
« Mon dieu, merci Alice, je ne sais pas comment j’aurais fait sans toi. » Ils s’affalèrent tous les deux dans le canapé. Le visage du jeune homme se dirigea vers celui de la femme. « Mais de rien, elle est adorable, même si tu n’y ais pas pour grand chose ! » « Merci de me le rappeler ! » Ils rirent tous les deux. La petite enfin couchée, l’ambiance de la maison avait totalement changé. En une journée, une pièce avait totalement était réaménagée pour elle, et des jouets couraient déjà partout dans la salle à vivre. Adonis se leva pour servir un verre à son amie et se rassit juste à ses côtés. « Réellement Alice, merci. » La bouteille était partie de la moitié, et le regard que se lancèrent les deux jeunes adultes voulait tout dire. Adonis l’embrassa et même « contre leur gré », ils ne purent s’arrêter. « Nous n’aurions jamais dû Ado. Mon dieu, Daniels… Je suis mariée depuis deux semaines… » Adonis ferma les yeux, il s’en voulait énormément, il venait de rompre toutes les promesses qu’il avait pu faire, ne pas toucher à Alice, garder leur mariage solide, ne pas avoir de fille nue chez lui, et ne pas refaire quoi que ce soir avec Alice… Aujourd’hui, cela fait deux mois que tout lui est tombé dessus, sa fille qu’il aime maintenant plus que tout, même plus que son travail, et Alice. Ils n’en ont plus parlé, et font comme de s’y rien était, seulement cela risque d’être de plus en plus compliqué. Mais même s’il n’oublie pas Alice, il veut passer à autre chose, laisser ses meilleurs amis vivre leur vie et avoir leur propre bonheur tandis que lui, il doit trouver le sien…
DERRIÈRE L’ÉCRAN ✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est pimentine, tandis que mon prénom est Maëva. Je suis âgé(e) de 19 ans et je vis actuellement du côté de la région centre. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur mes autres comptes..., ma première impression en le voyant a été toujours la même :37: . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5j/7 et que mon niveau rp est de voir chez les trois autres loulous. Concernant mon personnage j'ai choisi Matthew Bomer comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Men With Style comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement Iron Man 2 (pour rester fidèle à mon choix d'il y a 15 jours...). A bientôt sur le forum
Dernière édition par Adonis L. Paulson le Lun 20 Mai 2013 - 13:54, édité 18 fois |
| | | Neela Meyers THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 12654 › EMMENAGEMENT LE : 02/03/2013 › AGE : 38 › STATUT CIVIL : en relation passionnelle avec son cheeseburger parce qu'il n'y a que ça de vrai. en couple avec imran devil johar et il est boiling hot. maman de la petite maya meyers aka cutest baby girl ever. › QUARTIER : presidente drive. › PROFESSION/ETUDE : médecin, chirurgien cardiaque. › DOUBLE COMPTE : naya m. quinton, la garce sublimissime que tout le monde déteste + taleisha campbell, aka da delicious cookie. › CELEBRITE : vidya balan. › COPYRIGHT : ranipyaarcreation.
| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 16:02 | |
| TU VAS ME TUER, un jour, tu vas me tuer avec ces choix de malade !!!!! je t'aime voilà c'dit, maintenant je sors et je te laisse faire ta fiche |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 16:14 | |
| Rebienvenue ! Bon choix d'ava d'ailleurs ! |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 17:22 | |
| Moi aussi je t'aime ma NeeNee Je le fais exprès pour toi Merci Emrys |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 18:15 | |
| Rebienvenue parmi nous ^^
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 18:37 | |
| Merci Lissa |
| | | Liam K. Meyers lama ninja en formation secrète
› MESSAGES : 515 › EMMENAGEMENT LE : 04/04/2013 › AGE : 55 › STATUT CIVIL : N'arrive à penser qu'à elle... › QUARTIER : Palm Avenue › PROFESSION/ETUDE : Homme d'affaire › DOUBLE COMPTE : Joan, Shawn, Drix, Sasha, Matthew, Jamie, Nora, Troy, Lou, Mackenzie & Raphael. › CELEBRITE : JDM <3 › COPYRIGHT : Etangs noirs
| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 18:54 | |
| PFIOUUU CE CHOIX DE FIFOU Bon courage pour ta fiche Et j'exige des liens |
| | | Julian Mcneal GOOD COP
› MESSAGES : 517 › EMMENAGEMENT LE : 09/03/2013 › AGE : 37 › STATUT CIVIL : EN COUPLE AVEC SASKIA ; › QUARTIER : CHEZ SA GRANDE SOEUR KATE, A LOS ANGELES ; › PROFESSION/ETUDE : ANCIEN RÉDACTEUR POUR LE HUNTINGTON BEACH DAILY. IL ECRIT SON PREMIER ROMAN "SOUS LES PLUMES OBSCURES" ; › HB AWARDS : (2013) PERSONNAGE LE PLUS COINCÉ (2015) PERSONNAGE LE PLUS COINCÉ ; HOMME PARFAIT (2016) PERSONNAGE LE PLUS SENSIBLE ; DUO LE PLUS IMPROBABLE AVEC NAYA ; › DOUBLE COMPTE : CF : ELOW ; › CELEBRITE : HAYDEN CHRISTENSEN ; › COPYRIGHT : ELOW' ;
| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 19:20 | |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 19:21 | |
| Ahah je sais je sais Pas de soucis, on en trouvera avec tous tes petits comptes, même le prochain :#22: Merci Julian ;) |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Dim 5 Mai 2013 - 20:11 | |
| Matt Bomer est trop... :37: :37: :37: Bon courage pour ta fiche! et rebienvenue du coup |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 6 Mai 2013 - 0:06 | |
| OH GOSH UN LIEN UN LIEN, s'impose !! RE RE RE REBIENVENUE ALORS , matt bomer était dans mes choix pour un autre compte, et je MÉRITE UN LIEN |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 6 Mai 2013 - 0:26 | |
| Merci Leahnounette Oh Chrichri désolée je savais pas Promis tu auras un super lien |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 6 Mai 2013 - 8:51 | |
| Je rejoins Neela, tu vas nous tuer avec tes avatars de dingue re bienvenue |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 6 Mai 2013 - 13:18 | |
| Oh beau gosse <3
Re-bienvenue ma Quinn et bon courage pour ta fiche :D |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 6 Mai 2013 - 14:24 | |
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| | | Marissa I. Stewart THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 3736 › EMMENAGEMENT LE : 25/08/2012 › AGE : 40 › STATUT CIVIL : Deuxième fille d'Andrew & Isobel Stewart. Divorcée d'Eden Jefferson avec qui j'ai eu une fille prénommait Faith, nous avons perdu notre deuxième enfant. Soeur d'Emma et de Leah, les brunes les plus sexy de la ville après moi ! Je suis également la tante de la petite Lilou et du petit Mason. En couple depuis peu avec le très sexy Simon rencontré lors d'une mission humanitaire ♥ › QUARTIER : Actuellement à la recherche d'un nid douillé › PROFESSION/ETUDE : Je dirige le service obstétrique de l'hopital, j'ai mis mon métier de côté depuis quelques mois. Je suis en pleine remise en question. › DOUBLE COMPTE : Mischa S. Miller - Noah S. Harper - Sawyer E. CLarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Erin R. Preston & Zola Rosebury › CELEBRITE : Sophia Bush (aa) › COPYRIGHT : Cranberry.
| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 6 Mai 2013 - 18:48 | |
| MATTHEW re bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Ven 10 Mai 2013 - 14:33 | |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Ven 17 Mai 2013 - 18:56 | |
| Bienvenue !! Et bonne chance pour ta fiche !! |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 20 Mai 2013 - 12:29 | |
| Merci à vous trois Je crois avoir finie ma fiche (Il faut juste que je remplace l'image de Daniels ) Désolée pour le retard de deux semaines |
| | | Marissa I. Stewart THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 3736 › EMMENAGEMENT LE : 25/08/2012 › AGE : 40 › STATUT CIVIL : Deuxième fille d'Andrew & Isobel Stewart. Divorcée d'Eden Jefferson avec qui j'ai eu une fille prénommait Faith, nous avons perdu notre deuxième enfant. Soeur d'Emma et de Leah, les brunes les plus sexy de la ville après moi ! Je suis également la tante de la petite Lilou et du petit Mason. En couple depuis peu avec le très sexy Simon rencontré lors d'une mission humanitaire ♥ › QUARTIER : Actuellement à la recherche d'un nid douillé › PROFESSION/ETUDE : Je dirige le service obstétrique de l'hopital, j'ai mis mon métier de côté depuis quelques mois. Je suis en pleine remise en question. › DOUBLE COMPTE : Mischa S. Miller - Noah S. Harper - Sawyer E. CLarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Erin R. Preston & Zola Rosebury › CELEBRITE : Sophia Bush (aa) › COPYRIGHT : Cranberry.
| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 20 Mai 2013 - 14:23 | |
| Fiche très intéressante, un personnage bref je craque ! Petit rappel au cas où :p VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH bienvenue parmi noustoutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile : - vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- pour finir, si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Naya) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! Lun 20 Mai 2013 - 14:36 | |
| Merci |
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| Sujet: Re: (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! | |
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| | | | (TERMINÉE) ADONIS - Ce n'est pas parce qu'on est riche qu'on est con. Enfin... Pas tout le monde ! | |
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