NOM : De Michelis. PRÉNOMS : Ezio, Lorenzo. SURNOMS : Aucun en particulier, à vous de voir. AGE : 19 ans. DATE DE NAISSANCE : 20 juin 1996 à Florence. NATIONALITÉ : Italienne. SEXUALITÉ : Hétérosexuel. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire de manière officielle ; c'est un peu compliqué. EMPLOI/ETUDES : Etudiant en design. NOM DU QUARTIER : Pacific Lane. ANIMAUX DE COMPAGNIE : Aucun. CHIFFRE PORTE BONHEUR : Treize.

Tout d'abord, on ne va pas se le cacher, Ezio est un jeune homme particulièrement séduisant et plaisant à regarder. Pourtant, il n'est pas de ceux ou de celles qui usent et abusent de leur beauté soi-disant naturelle. Se vanter de sortir avec la plus belle fille du coin ou pouvoir dire qu'il est déjà parvenu à mettre telle ou telle personne dans son lit, concrètement, ça ne l'intéresse absolument pas. Ce qui peut sembler étonnant quand on connaît ses origines. Mais non, il n'a rien du cliché de l'italien charmeur et séducteur. Faire la fête et s'amuser avec ses potes, à une époque, ça lui paraissait bien plus important que toutes ces choses abstraites comme l'amour ou ce qui peut s'y rapporter. Bien que ça ait quelque peu changé depuis mais c'est une autre histoire. Ezio peut aussi paraître un peu bourru mais ce n'est pas vraiment le cas. Sous ses airs de "bad boy", il sait être quelqu'un de poli, d'aimable et de respectueux. Il faut dire qu'il a été bien élevé. D'un naturel joyeux, il sait tout de même profiter de la vie et des plaisirs qu'offre cette dernière, quand l'occasion se présente. Après tout, on ne vit qu'une seule fois et il faut bien que jeunesse se passe, comme on dit. Et puis, il n'est pas que débauche et amusement, Ezio sait aussi être un garçon sérieux, calme et attentif ; notamment quand une situation ou un événement l'exige. Globalement, c'est quelqu'un qui sait rester droit dans ses baskets et qui veille à ne pas aller dans les excès. Il est aussi confiant dans ses gestes en général, bienveillant et extrêmement protecteur envers ceux qui lui tiennent particulièrement à cœur.

Mais s'il était parfait et sans aucun défaut, ce serait beaucoup trop simple ou beaucoup trop ennuyeux, tout dépend du point de vue, dirons-nous. Ezio est une grande bouche. Un gars parfois un peu trop honnête qui n'hésite pas à dire ce qu'il pense vraiment ou ce qui lui passe par la tête. Une habitude et un trait de caractère qui lui ont souvent joué des tours dont il se serait bien passé. Et à vrai dire, son côté impétueux n'est pas souvent pour arranger ses affaires. Un mot de travers sur lui-même ou quelqu'un qu'il apprécie peut parfois suffire pour qu'il s'emporte et aille jusqu'à la limite de tout envoyer en l'air. Cela dit, il tente de faire des progrès là-dessus en apprenant à se maîtriser mais on ne se change pas comme ça. Hélas diront certains. Mais il ne faut pas croire que ça fait de lui quelqu'un de mauvais ou de méchant pour autant. Dans ces situations-là, il ne pense jamais nécessairement à mal mais expliquer ça une fois que tout est dit, il faut avouer que ce n'est pas ce qu'il y a de plus évident.

"Nés sous le signe des gémeaux..."
Tout a commencé il y a environ dix-huit ans, en Italie ; dans la belle et réputée ville de Florence. Le temps était ensoleillé et le vent peu présent. La température était banale et normale pour ce pays, à cette époque de l'année. Une journée classique, en somme. Sauf pour cette petite famille locale mais relativement modeste au niveau de ses revenus. On les appelle les De Michelis. Un nom qui ne permet pas de douter de leur origine. Quoi qu'il en soit, deux d'entre eux attendaient un heureux événement. Ainsi naquirent deux jumeaux. Liés par leur condition, par leur naissance et par le signe qui semble planer et veiller au-dessus d'eux. L'un s'appelle Ezio alors que l'autre se prénomme Enzo. Une similitude qui parait voulue par les parents. Comme si leur ressemblance physique n'était pas bien assez perturbante comme ça. Du reste, aucun des deux enfants n'étaient à plaindre. Que ce soit l'un ou l'autre, ils étaient tous les deux particulièrement choyés et aimés par leurs deux parents. Ces derniers ne faisaient absolument aucune distinction entre les deux et ils les aimaient autant l'un que l'autre. Alors autant dire que leur enfance respective s'est particulièrement bien déroulée. A l'école, ils travaillaient bien sans exceller pour autant, par contre. Cela dit, à l'époque, ce n'était pas le niveau de leurs notes qui ont le plus interpellé leurs professeurs. Non. Ce qui les a tous étonnés, c'est que peu importe la matière, leurs résultats étaient tous inévitablement identiques. Ils ont bien essayé de les séparer en les mettant dans des coins opposés à chaque salle de classe mais visiblement, il n'y avait rien à faire. A chaque fois, le même problème se reproduisait encore et encore. Alors finalement, ils décidèrent d'abandonner en les laissant se remettre côte-à-côte. Et les deux jeunes hommes n'attendirent pas qu'on le leur dise une seconde fois. Ils étaient fusionnels à un point incroyablement étonnant. Ils restaient systématiquement tous les deux et ne cherchaient clairement pas à se faire des amis qui pourraient risquer de venir troubler leur unité quasiment parfaite. Pourquoi aller voir ailleurs quand tout ce dont vous avez besoin se trouve juste sous votre nez, après tout ? Et puis, ils se comprenaient sans même avoir besoin de se parler. Un simple regard suffisait pour qu'il capte ce que l'autre voulait dire. Des échanges silencieux qui pouvaient naturellement troubler n'importe quelle personne extérieure à leur sorte de bulle. Cette relation aurait pu durer toute leur vie. Ils auraient très facilement pour rester ainsi. Entre eux. Sans jamais voir d'autres personnes. Sans jamais réellement se confronter au monde de la réalité. Hélas, ce ne fut pas totalement le cas... Pas du tout même, à vrai dire...


"Ne m'abandonne pas..."
Ils avaient tous les deux quatorze ans quand cet événement dramatique est survenu. Rien de ce qu'ils avaient pu vivre auparavant ne les avait préparés à un tel choc. A un tel rebondissement dans leur vie respective. On dit que ça n'arrive toujours qu'aux autres... Et quand vient finalement notre tour, c'est la surprise et l'incompréhension la plus totale. Et ce jour-là, c'est Ezio qui, en premier, se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment. Il avait été prévenu, pourtant. On lui avait dit d'éviter de fréquenter ce quartier. Qu'il n'était jamais de bonne augure... Que des problèmes avaient déjà été signalé dans ce coin-là. Mais pour cette journée, le jeune homme avait décidé de faire entièrement fi de ces avertissements. Sans raison apparente. Une simple envie de voir autre chose, aurait-il sans doute répondu si on lui avait posé la question avant. Les premières minutes, tout se passait bien, il ne croisait personne, le lieu semblait complètement vide. Jusqu'à ce qu'il tombe sur un groupe de personnes visiblement un peu plus âgées que lui. Des mecs du genre bourru qu'il ne valait mieux pas provoquer si on ne les avait pas dans son camp. Ne serait-ce qu'un petit peu. Ezio aurait dû le savoir ou au moins faire l'effort de s'en rappeler. Ça lui aurait permis d'éviter les ennuis. Mais non. Il s'est approché du groupe et a commencé à leur adresser la parole. Si les premières parties de la discussion semblaient plutôt banales, ça a assez rapidement dégénéré. Un des membres du groupe s'est montré relativement virulent avec Ezio en disant que de toute évidence, il n'arriverait jamais à rien. Ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Le jeune homme n'a pas pu s'empêcher de répliquer et bien évidemment, tout le monde a fini par s'en mêler. C'est parti en bagarre et Ezio a bien failli y laisser la peau... Ce qui serait inévitablement arrivé. Si son frère Enzo n'était pas intervenu pile à ce moment-là. Pourquoi était-il là ? Comment ? Aucun ne le savait mais les faits se trouvaient là. Il est arrivé, plus courageux et il a littéralement sorti son jumeau de la mêlée qui s'était formée. Non sans oublier d'ordonner à Ezio de fuir, de partir loin d'ici en ajoutant qu'il ne fallait pas qu'il s'inquiète, qu'il allait rapidement le rejoindre, le retrouver et que tout redeviendrait vite comme avant. Sauf que non. Il n'est jamais revenu. Du moins, pas vivant. Ezio avait fui, il avait laissé son frère aimé entre les mains de ces brutes et il avait fui. Comme un lâche. Parce qu'il avait naïvement cru aux paroles prononcées par son autre moitié. De toutes ses forces. Avant de constater que ça n'avait servi à rien. Il était simplement rentré chez lui, l'air plus que penaud... Il a donné une version légèrement différente à ses parents mais au fond de lui-même, il le savait très bien et en tout état de cause. Son jumeau, l'être le plus important à ses yeux, sa moitié, son tout... Cette personne était morte aujourd'hui. Et pourquoi ? Par sa faute. A lui. Et à personne d'autre. C'était sa responsabilité. Son échec. Il en était conscient. Et nul doute que ça le hanterait toute sa vie. Sa décision était prise. Ce fardeau, il le porterait sur ses épaules. Seul. Voilà la punition qu'il s'infligeait lui-même pour son crime. Voilà sa façon de respecter la mémoire de son jumeau. Sa façon de ne jamais l'oublier, quoi qu'il puisse à nouveau arriver.


"Sois mon soleil, mon ciel... Toi qui parvient à donner un nouveau sens à ma triste vie."
Il vivait. C'était dur mais il se forçait à vivre. Plus par obligation qu'autre chose. Le temps passait mais rien n'y faisait. Il ne parvenait pas à oublier. C'était impossible. Puis il y eu un nouveau tournant, il avait seize ans à cette époque. C'était pendant une journée du mois de mars. Ezio allait à son lycée en se disant que ça serait une journée aussi banale et morose que toutes les précédentes... S'il avait su, il y serait beaucoup moins allé à reculons. En arrivant, leurs professeurs leur ont annoncé que leur classe était chargée d’accueillir une autre classe en voyage scolaire qui venait d'Amérique. Ce qui, au final, avait pour conséquence de tous les dispenser des cours de la journée. Jusque-là, il n'y avait toujours rien de bien exceptionnel. Mais le regard et toute l'expression du visage du jeune italien a entièrement changé lorsqu'il l'a aperçu. Elle. Toute seule. Plantée là à faire des gestes étranges avec ses mains. Intrigué, Ezio est allé à sa rencontre en tentant de lui parler avant de comprendre qu'elle était muette. Et que chacun de ses mouvements possédaient une signification bien précise. C'était sa forme de langage. Le langage des signes. Perplexe et étrangement attiré par cette fille, il décida de la prendre sous son aile en lui faisant visiter les différents bâtiments même si lui ne comprenait pas vraiment lorsqu'elle lui parlait. Peu importe. Sur ce coup-là, aussi étrange que ça puisse paraître, seule sa présence à ses côtés importait réellement pour le garçon. La visite ? Un simple prétexte qui lui servait bien. Pour la première fois depuis deux ans, l'ombre d'un sourire était apparu à plusieurs reprises sur le visage longtemps fermé de l'italien. Comme s'il avait attendu cet instant précis et non un autre pour laisser à nouveau passer de la lumière. Il profita donc autant que possible de la semaine où elle était encore là pour passer un maximum de temps avec elle. Et quand ils durent se dire au revoir, il lui donna son numéro de téléphone en lui promettant que, pour leur prochaine rencontre (parce qu'il était persuadé qu'ils se reverraient), il aurait appris par cœur le langage qu'elle utilise pour communiquer. Il lui en avait fait la promesse. Il la tiendrait. Pour elle. Pour lui. Pour eux.

Et bien évidemment, ça ne loupa pas. Environ un an plus tard, en août, ils se sont bien recroisés. Ezio était de sortie à ce moment-là. Il est allé faire un tour dans un bar et aussi étonnant que cela puisse être, elle y était elle aussi. Officiellement, elle s'y trouvait avec sa marraine. Officiellement. Mais dans les faits, cette dernière semblait plutôt être absente. Alors l'italien est tout bonnement allé vers elle en l'abordant par quelques signes pour lui montrer qu'il avait tenu sa promesse d'apprendre son langage. Le reste de la soirée, ils l'ont passé tous les deux sans que personne ne vienne les déranger et aucun d'entre eux n'aurait pu demander mieux. De plus, à cette époque, ni Ezio ni Tallulah n'avaient la majorité et pourtant, ça ne les a certainement pas empêchés de boire jusqu'à plus soif. Ou en tout cas, jusqu'à être saoule. Aussi bien l'un que l'autre. Au final, ils n'avaient plus vraiment conscience de ce qu'ils buvaient. Mais comme personne n'y a réellement fait attention... Quoi qu'il en soit, ils ont fini la soirée tous les deux avant qu'Ezio ne laisse Tallulah pour qu'elle retrouve sa marraine, et lui ? Il en a profité pour rentrer chez lui. Des souvenirs de cette soirée magique plein dans la tête. Tout en envoyant à la jeune fille un sms pour lui dire bonne nuit en ajoutant qu'il l'aimait. Vraiment. Il n'attendant pas spécialement de réponse et à la place, il finit par se laisser tomber dans les bras de Morphée. Le sourire aux lèvres et surtout, avec l'espoir. L'espoir un peu fou mais certainement pas irréalisable de faire sa future vie en sa compagnie. Avec seulement elle et personne d'autre. Sa nouvelle vision.


"Je pars."
Ezio est, par la suite, resté dans son pays natal jusqu'à la fin de ses études dans son lycée. Mais quand ce fut fini, il annonça de manière directe et franche à ses parents qu'il avait l'intention de partir. Loin. En Amérique, dans une ville appelée Huntington Beach. Son prétexte ? Il avait envie de voir de nouveaux horizons et de ce qu'il avait entendu de cet endroit, ça l'avait intrigué. Dans un sens, ces raisons évoquées étaient totalement vraies. Il avait donc dit une semi-vérité à ses parents. Mais il y avait une troisième raison : il ne supportait plus de rester à Florence ou même dans ce pays. Ça lui rappelait trop de souvenirs douloureux qui revenaient petit à petit le hanter. Chose qu'il se garda bien de révéler. Ou ça aurait été avouer à ses parents que c'était lui le responsable de la mort de son jumeau. Et il ne voulait pas. Il ne voulait pas les confronter à cela. Heureusement pour lui, ses arguments ont convaincu ses parents et il n'en a pas attendu davantage pour foncer préparer ses affaires. Il n'attendrait pas la rentrée pour se rendre dans cette ville. Il voulait y être au plus tôt pour avoir le temps de se poser et de se familiariser avec son nouvel environnement. Et bien entendu, c'est ce qu'il fit. Il est parti là-bas après un dernier au revoir à ses parents et ce pays qu'il n'avait pas l'intention de retrouver tout de suite. Et en arrivant à HB, il ne fut pas déçu. Il s'était trouvé un petit appartement sympathique dans le quartier de Pacific Lane. Il avait pris le temps qui lui était nécessaire pour s'habituer et il avait fait toutes les démarches pour s'inscrire dans son université en design. De ce côté-là, ça s'était relativement bien passé. Puis, il a fait sa rentrée sans problème et depuis, une certaine routine assez agréable s'est installée pour lui. Il ne s'en plaint pas et espère que ça ne changera pas trop vite.

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Dagouillette ou Sea, tandis que mon prénom est Julie. Je suis âgé(e) de 16 ans et je vis actuellement du côté de Poitiers. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum à cause de Cacahuète, l'arachide & l'Odyssée, ma première impression en le voyant a été très bonne. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7/7 et que mon niveau rp est de correct (?). Concernant mon personnage j'ai choisi Francisco Lachowski comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi ENJOY WHILE U'RE YOUNG comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum ♥