FICHE D'IDENTITE ✿ NOM : Dalton-Mcdonald ✿ PRÉNOMS : Soren Zander ✿ SURNOMS : So, Dalton, Love machine ✿ AGE : 25 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : dix neuf février ✿ NATIONALITÉ : américaine ✿ SEXUALITÉ : hétéro jusqu'à preuve du contraire ✿ SITUATION AMOUREUSE : célibâtard ✿ EMPLOI/ETUDES : je n'es jamais été passionné par les études, je suis musicien je me produit souvent dans les bars ✿ NOM DU QUARTIER : Mistery Machine✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Mes sept colloc sont considéré comme des animaux ?✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : Huit

LE CARACTÈRE Comme si vous ne pouviez juger de ça par vous-même il faut encore, en plus, que je vous le note noire sur blanc ? J'appelle ça de l'abus ! On dit de moi que je suis un rebelle j'ai du mal à me soumettre aux règles j'ai tendance à faire comme moi je l'entends peu importe les conséquences, je suis très indépendant, je n'ai besoin de personne pour vivre et survivre. Je suis très impulsif comme garçons un mot de travers et je monte en pressions rapidement, j'ai un peu de mal à contrôler mon côté violent quand celui-ci montre le bout de son nez. Ce qui n'arrange pas toujours mes affaires au final. Néanmoins, lorsqu'on me connaît assez bien je peux être un véritable nounours ce qui enlève toute crédibilité à mon côté violent. Je suis quelqu'un de très affectueux avec mes amies féminines s'entend. Je suis très protecteur, surtout quand on s'en prend à plus petit, plus faible que sois c'est une chose qui m'insupporte. Je ne suis pas très bavard la meilleure façon de m'exprimer reste encore ma musique, lorsque je compose j'ouvre mon coeur - je suis très romantique n'est-ce pas ? -. Je suis aussi un peu trop séducteur à ce qu'il paraît, lorsque je croise une jolie demoiselle sur mon chemin je ne peux m'empêcher de la séduire et généralement, elles craquent toutes. Le seul soucis, c'est que je suis quelqu'un de très jaloux et très possessif quand on a le malheur de toucher à ce qui m'appartient ce qui créé pas mal de tentions dans mes relations amicales ou plus si affinités.

«  Vous racontez mon histoire ? En quoi cela peut vous êtes utile précisément ? A mieux me connaître probablement, mais la personne que vous vous voulez connaître c'est moi actuellement ce n'est pas ce que j'étais dans le passé si ? Ah cela forme un tout ... Hm, je ne veux pas faire le chiant de service en quoi ça vous regarde sérieusement ? Vous ne pouvez pas vous mêler de votre c*l ? Est-ce que je vous demande la taille du string de votre arrière grand-mère moi ? Non ! Bah alors arrêtez de me faire chier putain ! Puis de toutes façons je ne peux pas vous parler de mon passé ! Pourquoi ? C'est une maladie chez vous les questions ou c'est juste que votre passion dans la vie c'est d'emmerder le monde ? Bref. La simple et unique raison pour laquelle je suis dans l'impossibilité de vous parler d'où je viens, avec qui j'ai vécu, qui sont ma famille, comment j'étais avant, mes années d'étude c'est juste que je suis amnésique. Comment ça m'est arrivé ? Bon d'accord j'ai compris je vais tout vous déballer - enfin pas tout. Bande de pervers ! -.

Mes souvenirs restent très flou, je me rappelle avec précisions mon accident, mais vous dire pourquoi ça c'est produit j'en suis incapable. Ce qui est arrivé avant, mon passé, ma famille, je le sais uniquement et grâce à ma meilleure amie d'enfance Enora. Commençons, par le commencement. C'était un soir de décembre, je me souviens qu'il neigeait un peu ou peut être que c'était juste de la pluie, j'étais en colère contre le monde entier au vu de ma conduite dangereuse. Je venais de partir en trombe sur ma moto, roulant imprudemment, dépassant les limitations de vitesses, doublant les voitures par le mauvais côté, j'avais roulés des heures et des heures sans aucune onces de faire demis tours. Sur une petite route abandonnée je m'en étais donné à coeur joie, j'avais seulement omis que je n'étais pas seul, une voiture plein phare débarquait juste en face de moi, ce qui me revient à l'esprit c'est les crissements de pneu lors du freinage et le bruit de mon casque qui heurtât violemment le bitume.

Je m'étais réveillé au bout de trois mois de comas, néanmoins personne ne m'attendait à mon chevet. Je n'avais aucun papier d'identité, pas de téléphone et la plaque d'immatriculation de la moto ... disons qu'elle était fausse étant donné que j'étais un danger public, de cette sorte si je me faisais chopper à cause de la plaque je n'en savais jamais rien de plus j'étais à des kilomètre et des kilomètre de là où j'habitais. J'avais été rebaptisés « John Doe » et j'étais resté plusieurs mois sous surveillance, j'avais sympathisé avec les infirmières qui craquaient toutes sur mon coter mystérieux et je dois vous avouer que j'en profitais bien - autant joindre l'utile à l'agréable -. Néanmoins, je n'allais pas rester éternellement dans cet hôpital alors une fois que tous les médecins étaient sur de mon état et que mon amnésie n'allait pas être un problème ils m'ont relâché pour le plus grand désespoir de ces dames. Retourner chez moi ? Chez moi, c'était où au juste ? Peu m'importait au final, j'avais pris un sac à dos et quelques affaires avec le peu d'argent que j'avais et je parcourais les routes à la découvertes du pays.

Mais un jour tout basculas, alors que je marchais sur la fameuse route 66 un vieux Van miteux s'arrêtait à ma hauteur. Une demoiselle aux cheveux rose se précipitais sur moi et je reçus immédiatement une claque, sur le coup je ne comprenais rien du tout et tous me revint à l'esprit, enfin cette fille, ce que j'avais vécus avec elle, nos discutions, nos moments passé ensemble tout m'étais revenus à l'esprit. Alors, quand celle-ci hurlait de tous son coeur qu'elle me détestait, que j'étais qu'un enfoiré, je souriais et la coupas en lui répliquant simplement « Toi aussi tu m'as manqué Nora », par la suite elle me sautait dans les bras et se mit à pleurer après avoir prononcé ces mots « T'es qu'un con Dalton ! » . S'en suivis des explications, sur ma fuite, mon accident, mon amnésie, mon hospitalisation, elle m'a racontas tout ce qu'elle savait sur moi, tout ce que j'avais oublié, mais même ces mots à elle restait que des mots, j'avais juste appris mon identité : Soren Zander Dalton-Mcdonald.

Deux choix s'offrait à moi, retourner dans ma ville d'origine retrouver ma famille que je ne connaissais absolument pas, ou rester avec Enora et la petite troupe du Van qui m'avait recueillis et que j'avais appris à connaître en peu de temps, Pépino le petit frère de ma meilleure amie que j'ignorais complètement avant, mais que je prenais sous mon aile à présent, Morten, le cousin des Dahmer avec qui s'était installé une sorte de compétition pour avoir l'intention de la belle. Il y avait aussi Foxy qui inconsciemment me rappelais quelqu'un de mon passé, ma petite protégée et tellement plus encore ... il y avait aussi la tigresse Lolita avec qui on prenait un malin plaisir de se chamailler et Tahir qui était devenu un véritable ami malgré nos combats de coq inutile, puis Alejandro qui étais juste lui-même ... Mon choix avait été vite fait, je préférais continuer à visiter les routes avec eux plutôt que retourner dans une ville qui contenait probablement que des souvenirs désagréables.

Au bout de plusieurs mois à voyager à travers le pays, plusieurs kilomètres de route, notre bonne vieille machine tombas en rades au milieu d'Huntington, forcé de se fondre dans le paysage et de vivre comme de vulgaire habitant, on s'installait ici en priant pour repartir le plus vite possible. »

DERRIÈRE L’ÉCRAN