NOM : Wiles PRÉNOMS : Ewen Nolan SURNOMS : Wen, Wiles AGE : 40 ans DATE DE NAISSANCE : 04 juin 1975 NATIONALITÉ : Américain SEXUALITÉ : Hétéro SITUATION AMOUREUSE : Célibataire EMPLOI/ETUDES : écrire ici NOM DU QUARTIER : écrire ici ANIMAUX DE COMPAGNIE : La solitude CHIFFRE PORTE BONHEUR : Bonheur, bonheur... Fais attention à c'que tu dis toi.

Le caractère définit qui nous sommes, évidemment nous voulons vous connaître davantage pour vous cibler au mieux. Dites nous si vous avez des qualités, j'imagine que oui sinon vous seriez seul au monde... vous avez sûrement des défauts et ne dites pas le contraire car c'est impossible ! Comment êtes-vous au quotidien ? Plutôt autoritaire ou renfermé(e) ? Allez c'est à vous de jouer, on demande minimum 10 lignes c'est facile !

C'est l'histoire d'une personne que les années ont écorché, brisé. C'est l'histoire de cet homme qui a le cœur en miettes face aux ruines de sa vie, qui passe son temps à faire semblant, semblant de vivre, tout simplement. C'est l'histoire de ce petit garçon, Ewen, c'était son nom. Il est né dans une famille aisée, un père avocat, une mère mannequin, rien de très extravagant. Tout semblait aller si bien, il était intelligent, souriant, il avait l'air si heureux, rien ne semblait pouvoir l'atteindre. Foutaises. Il n'y avait qu'à regarder ses yeux, son regard où se mêlaient tristesse, souffrance et détresse. Un si petit bonhomme et déjà tant de vécu. Car derrière cette parfaite photo de famille, tout cet amour qui s'en dégageait, il n'y avait rien d'autre que des coups, des centaines de coups qui venaient chaque soir heurter son visage angélique, qui venaient à chaque fois retirer une pierre à l'édifice de son enfance. Une enfance s'étant perdue bien trop tôt parmi cette violence et ces injures. Il n'était pas désiré, il n'était rien qu'une erreur, une connerie, un fardeau, un p'tit merdeux comme son père se plaisait à l'appeler. Sa mère, elle, n'était pas beaucoup mieux. Elle ne vivait que pour son métier, que pour le fric. Son fils, elle s'en fichait, à peine il existait à ses yeux. Il aurait pu crever devant elle, elle aurait juste pensé à enlever ses Louboutin pour pas qu'elles soient tâchées de sang. L'amour maternel, tu parles. Qu'est-ce qu'elle s'en foutait de ce mioche à qui elle avait dû changer les couches pendant presque deux semaines, avant de le refiler à une nourrice, ce gosse qui se mettaient à chialer chaque nuit, des larmes qui lui donnaient des boutons et des cernes en prime.  Puis combien de pognon elle avait perdu à cause de lui, à cause de tous ces kilos qu'il lui avait offert en plus de la gerbe à nettoyer. Parce que personne voulait la photographier, lorsqu'elle était enceinte, elle était alors réduite à rester sur le canapé en regardant la télé et en mangeant ses espèces de biscuits allégés, pour finalement préparer à bouffer à un homme pour qu'il elle ne ressentait pas une once de sympathie. C'était juste bien vu de porter un nom tel que le sien. « Wiles, l'avocat haut placé dans la hiérarchie des mecs ayant raté leur vie ». C'était important de bien se faire voir pour elle, elle était riche, elle ne devait pas salir la précieuse image de sa chère famille, et puis c'était toujours mieux pour les castings qu'elle passait. Alors elle se contentait d'assister à la destruction progressive de son enfant, elle laissait son mari le frapper sans rien dire, elle n'aurait rien pu faire de toute manière.
Alors Ewen vivait avec ça, il vivait avec le poids de la haine sur les épaules. Parfois, il rêvait d'une famille aimante, d'une vie heureuse, il rêvait de ne plus avoir à répondre à toutes ces questions à l'école « Qu'est ce que tu t'es fait Ewen ? » « T'es sûr que ça va à la maison ? ». Mais la réalité lui revenait toujours en pleine gueule, comme un coup de couteau, et ça faisait toujours plus mal, alors il s'interdisait même de rêver, car la vie n'était pas un rêve, la vie n'était qu'un cauchemar, il ne pouvait pas se permettre de songer au paradis alors qu'il vivait au beau milieu de l'enfer. Alors il serrait les poings, ravalait ses larmes, et il mentait, il mentait toujours et encore. Parce qu'il tiendrait, il se l'était promis.  Il ne pouvait pas avoir fait tout ça pour rien, il avait pas le droit. Il voulait un jour goûter à la liberté, il voulait pouvoir être heureux, rien qu'une fois, rien qu'un instant, il voulait sentir la joie couler dans ses vaines, il voulait rire aux éclats, tout voir, tout découvrir.
D'année en année, de jour en jour, ça devenait de plus en plus difficile d'encaisser les coups sans rien dire, il ne souriait presque plus, n'avait plus cette once d'espoir qui brillait dans les yeux, l'espoir d'un jour être libre, l'espoir de ne plus se réveiller avec des courbatures et des hématomes sur tout le corps. Il avait lui-même l'impression de devenir un monstre de tristesse, il se faisait peur, il n'osait plus se regarder dans le miroir. Si ses pensées l'effrayaient, la haine qu'il avait accumulée en lui pendant toutes ces années le terrorisait bien plus encore. Il avait peur de ne plus savoir se contrôler, de finir par frapper son père. Son père... Pouvait-il seulement l'appeler ainsi ? Lui, ce monstre qui l'avait tant fait souffert, qui l'avait battu depuis tant d'années, qui lui avait donné envie de mourir, de disparaitre à tout jamais, de partir loin de tout ça. La mort... Il y avait tant pensé. Y avait-il une autre issue, à présent ? Ne serait-ce pas mieux s'il se contentait de partir ? Mieux pour lui, pour ses parents qui le haïssaient tant, pour tout le monde, en fait. Personne ne tenait à lui, il n'était pas aimé, il ne connaissait même pas ce sentiment, il ne s'était jamais senti important, pour personne. L'était-il ? À ses yeux, non. Il n'était rien, rien d'autre qu'un garçon que le monde entier détestait, un garçon qui était né pour souffrir, qui était né pour être un martyr. Il en était même arrivé à se haïr lui-même. Il se faisait honte, se dégoûtait. Pour lui, il devait bien y avoir une raison à tout ça. Son physique, peut-être ? Son caractère ? Ce qu'il était, tout simplement ? Était-il seulement la cause de tout ce cinéma ? Ou alors, était-ce simplement ses parents, le problème ? Méritait-il tout ça ? Les questions se bousculaient dans sa tête, il n'en pouvait plus. Il avait mal, et pas seulement physiquement. Il était brisé. Lui, du haut de ses seize, garçon sans défence, qui n'était pas capable de se protéger de son père. Il fermait les yeux, s'enfonçait dans ses draps, essayant de chasser les idées noires qui lui étaient apparues, comme une évidence. Suicide. Il marchait jusqu'à la salle de bain, tel un zombie. Il ne contrôlait même plus ses gestes. Il ouvrait machinalement l'armoire, cherchait à tâtons la boîte où étaient rangés les médicaments. Il fouillait quelques instants avant de trouver ce qu'il cherchait. La seule issue. Il remplissait un verre d'eau, et si dirigeait de nouveau vers sa chambre. Il fermait la porte derrière lui et attrapait son casque, posé sur le bureau. Il mettait une chanson de rock, très fort, pour masquer les hurlements que raisonnaient en lui. « Fermez-là » sifflait-il entre ses dents. Il s'asseyait sur son lit, passait sa main dans ses cheveux et regardait les somnifères qu'il tenait dans la main quelques instants. Seulement quelques instants. [En cours]

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Adaloya, tandis que mon prénom est Adèle. Je suis âgé(e) de 13 ans et je vis actuellement du côté de Paris. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur bazzart, ma première impression en le voyant a été il est top. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7j/7 et que mon niveau rp est de 15 à 40 lignes. Concernant mon personnage j'ai choisi Simon Baker comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi u can't buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement écrire ici. A bientôt sur le forum ♥