NOM : Jones PRÉNOMS : Allan Alistair SURNOMS : Al' AGE : 22 ans DATE DE NAISSANCE : 15 mai 1994, à New York NATIONALITÉ : Américaine SEXUALITÉ : Hétérosexuel SITUATION AMOUREUSE : Célibataire EMPLOI/ETUDES : Chômage NOM DU QUARTIER : Orange Avenue ANIMAUX DE COMPAGNIE : Un chien CHIFFRE PORTE BONHEUR : 20

Ça bourdonnait un peu à son réveil. Fallait dire que le jeune homme avait passé une bonne soirée. Ou une soirée beuh, au choix. Dans tous les cas, il avait un peu de mal à émerger et se redresser relevait d'un effort surhumain. Ces temps-ci, il n'était pas spécialement enthousiaste le matin. Pas qu'il tirait la tronche, mais il n'était pas non plus prêt à sauter au plafond toutes les deux secondes et demie. Ça changeait un peu d'avant. Depuis le premier pet', il n'était plus aussi sportif qu'avant. Le gars toujours prêt à courir, à se défouler, à suivre son père à n'importe quelle heure pour se dépenser. C'était bien loin et ça se sentait un peu, dans les jambes. Et ce, à longueur de journée. La régularité dans ses bedos avait une influence directe sur ce qu'il était. Un peu stone, alors que l'heure du déjeuner n'avait pas sonné. Un peu sur les nerfs parfois. Mais dans l'ensemble, il restait tout de même quelqu'un de gentil et de joviale, autant que lui permettait son état. Parce qu'il n'y avait pas à chier, il était relativement cool et la pour les autres ou du moins, et en particulier pour sa petite soeur. Amy. Adoptive, peut-être, mais ça ne changeait rien pour lui. C'était plus fort que lui quand il y pensait. D'ailleurs, qu'avait-elle fait, hier soir ? Oh et puis, ça ne le regardait pas vraiment, dans le fond. Elle était assez grande pour se débrouiller seule et lui ferait mieux de mettre son côté sur protecteur au placard. Parce que oui, ça pouvait vite devenir excessive, en y réfléchissant. Le moindre petit truc la concernant, le moindre petit problème et il démarrait au quart de tour, sobre, stone ou entre les deux. Impulsif ? Peut-être légèrement mais pas pour tout, parce que comme tout le monde, qu'il disait, il avait ses "trucs à lui". Des trucs qui le touchaient particulièrement. Rendre fier ses parents par exemple. C'était une motivation, quand il était gosse. Les rendre heureux, par le biais de ses notes, souvent plus que bien, ou par le sport. Le football, le baseball. Il était doué. Et persévérant surtout, même si cette qualité s'était envolée en même temps que la passion pour le sport pour laisser place à celle de la fumette et c'était franchement autre chose. Il n'était pas vraiment du genre à avoir des regrets, mais il n'était pas non plus satisfait de toutes ses décisions et de tous ses actes. Allan était du genre à agir parfois sans trop penser, mais il n'était pas non plus le genre de gars qui passe son temps à faire des conneries. "Donner l'exemple", c'était ce qu'il voulait. Donner l'exemple autant que possible à Amy, pour ne pas la décevoir elle aussi et la garder près de lui, au maximum, garder sa confiance aussi. Parce que non, Allan n'avait pas la discussion facile, et encore moins sans être sure de ceux qu'il avait en face. La confiance était quelque chose d'importante pour lui, et il n'était vraiment sûr qu'avec Amy. Toujours Amy. La seule, l'Unique. C'était étrange à dire et à reconnaitre et honnêtement, il mettait souvent ça sur le compter d'un état décalé, mais il n'avait jamais rien ressentit d'autre. Loin d'être très romantique ni même intéressé par le grand amour, il sentait que bien qu'une relation fusionnelle, elle était encore plus. Et il ne supportait pas. Les gens. Les gars, plutôt. Il était jaloux, et possessif. Pas énormément mais plutôt pas mal, et garder un oeil sur la jeune fille était une habitude, mais aussi une obligation qu'il ne contrôlait pas. Ou plus. Elle était autre mais ça ne le percutait pas chaque jour qui passait. Un peu je-m'en-foutiste, il pensait plutôt autant qu'il faisait et comment passer la journée de chômeur qui l'attendait. Ou bien, au lendemain, ou à la vieille, à la soirée, parfois aussi. Aux filles. Parce que oui, il aimait bien s'amuser aussi, de temps en temps et son physique n'était pas un obstacle au plaisir qu'il prenait du haut de ses 22 ans.   

Nombreux sont ceux qui se sont déjà demandés ce que signifiait vraiment "un long fleuve tranquille". Allan, lui, n'y a franchement jamais prêté attention. New York, un beau mois de mai. Ça crie, ça pleure, ça se sent soulagé une fois que le cordon est coupé et qu'on est fixé. Un gosse en bonne santé, un "p'tit mec" comme a dit le docteur. Pas de problèmes à l'accouchement, si ce n'était la douleur logique de la maman et le stresse omniprésent du papa. Faut dire qu'avoir un gamin, ça change la vie. Ça augmente les frais, ça change le rythme des nuits, ça braille, ça crève, mais ça rend heureux. Ça rend la famille parfaite. Ça rend les Jones parfaits. Et alors qu'il y avait Alice et Callum, il y eut plus. Il y eut Allan. Petit brun, pas chiant pour un sou. L'avantage, disait toujours sa mère, c'était qu'il faisait la plupart de ses nuits. Même à la poussée des dents et c'était souvent durant les moments gênants qu'elle déballait ce genre de trucs, devant ses amies, devant les gens pour montrer à quel point tout était exceptionnel chez eux. Même les premiers pas, le premier mot, qui avait été "papa", le premier rhume. Tout. Dans un sens, c'était mignon, sauf quand on a 17 ans et qu'on entend ça à chaque détour d'allée dans un super marché. Parce que quand on est petit, ça va, on aime bien, on veut faire plaisir à maman et papa, on veut les voir heureux, les voir sourire, les voir nous aimer. Surtout nous aimait, parce que c'est bien ce qu'il y a de plus important quand on est gosse et qu'on vit heureux non ? Parce qu'heureux, ils l'étaient. Ensemble, tous les trois, plus unis que n'importe qui, plus unis que n'importe quelles familles. Ou du moins, c'était ce qu'il semblait, jusqu'à ce que la tristesse toque à la porte de la demeure des Jones et s'invite dans le foyer pour s'y faire sa place et s'en prendre au bonheur, son pire ennemi.

Neuf mois d'attentes. Neuf mois d'espoirs, suivit de six merveilleux mois, à quatre. Pour les parents comme pour Allan, c'était parfaitement nouveau et incroyable. Une petite soeur pour le petit gars d'à peine six ans, n'était que le plus beau cadeau qu'il aurait pu avoir ! Mais il avait fallu lui expliquer que cette même petite soeur, Amy, ne reviendrait plus, ne pleurerait plus la nuit, ne rirait plus à ses grimaces et ne sourirait plus dans les bras de ses parents. Pourquoi ? Il avait souvent posé la question, du haut de ses six ans, alors qu'on tentait de lui expliquer par de doux euphémismes qu'elle était morte, jusqu'au jour où ce même mot sortit enfin de la bouche de sa mère, désemparée par les événements. Une bombe. Une véritable explosion. Puis des larmes, puisqu'il n'y avait que ça à faire, sur le moment. Alors qu'ils avaient fait en sorte d'être délicats dans l'annonce de la disparition du nouveau-né, Alice avait tout gâché, sans forcément s'en rendre compte puisque pour elle, il n'y avait plus rien à faire, si ce n'était déprimer et se repasser les six derniers mois en boucle. Quand il y pensait, Allan se disait que c'était peut-être de là que venait son lien si fort avec son père, au-delà du fait qu'il était un "p'tit gars" et qu'ils pouvaient partager la passion du sport qui n'en était pas encore une, en fait. Allan était trop jeune pour pouvoir se dépenser avec son père, et lui, n'avait plus la tête à faire du sport, ni le temps. Entre le travail, et sa femme, il avait dû faire des concessions et malgré tous ses efforts, le gosse s'était quand même sentit seul. Un peu. Mais il n'était pas bête et il savait que ce n'était pas totalement de sa faute, même s'il y croyait parfois alors que sa mère restait enfermée des heures et des heures avec pour seules paroles "Laissez moi tranquille", quand il se risquait à toquer à la porte de sa chambre. Ça avait été difficile. Pour Callum. Pour Alice. Et pour Allan aussi. Parce qu'il en avait aussi souffert et l'illusion de la famille parfaite s'était brisée momentanément, pour lui et pour tous ceux qui les voyaient comme l'idéal de la petite famille modeste américaine.

Puis, les années passent et les peines s'effacent. Ou du moins, c'est ce qu'on croit. C'est ce dont les gens se persuadent pour soulager leur chagrin qui à force de se faire noyer dans l'alcool ou dans autre chose apprend à nager et persiste. Jusqu'à ce que la roue tourne. Jusqu'à ce que la tristesse s'en aille. Jusqu'à ce que le bonheur prenne sa place et s'installe de nouveau chez les Jones. Jusqu'à ce qu'Amy débarque. Amy. Surement, la planche de bois, ou la bouée qui sauva les Jones du naufrage, de l'implosion. Cette gamine, de six ans qui, on se savait trop comment s'était retrouvé sur le chemin d'Alice, et puis pour finir, dans le domicile même. Et c'était comme une seconde chance, quand il y pensait. Six ans d'écart, les séparaient et faisaient d'Allan son aîné. Un aîné qui n'avait eu aucun mal à accepter cette étrangère au passé sans aucun doute plus sombre que le sien, au sein de sa famille qui avait connu tant de problèmes au cours de ses dernières années alors oui. Oui, le jeune homme la voyait comme celle qui allait rétablir l'ordre et c'est ce qui arriva. La perfection. La famille idéale était là, c'était eux. Pourtant, il y avait tout de même quelque chose de malsain dans tout ça, quelque chose de perturbant. Le prénom, pour commencer. Amy, c'était à la base sa petite soeur, qui, six ans auparavant avait perdu la vie, six petits mois seulement après sa naissance. Un hommage, une identification, une fille par procuration. C'était ce dont cette adoption avait l'air et si sa mère n'avait aucun problème à se dire qu'elle était sa fille, Allan lui, avait toujours su faire la différence même si le lien qu'il entretenait avec elle, ne cessait de dépasser ce que l'on pouvait imaginer. Une confidente, une meilleure amie, une soeur. Elle était pour lui tout à la fois et lui-même parfois, se perdait dans tant d'attachement à cette étrangère qui avait réussi à être un membre à part entière de la famille Jones et il était rapidement devenu difficile de les dissocier. L'un faisait rarement les choses sans l'autre. Surtout pour le sport, qu'avec Callum, ils partageaient quand il le pouvait.

On ne pouvait pas vraiment dire qu'Allan était un gosse à problème. Bien au contraire. D'abord parce qu'il travaillait bien à l'école, ramenait des bonnes notes et avait un comportement exemplaire et ensuite, parce qu'on ne lui laissait pas vraiment le choix. Entacher la réputation de la famille modèle qu'ils étaient tous n'était pas envisageable, et ce n'était pas ce qu'il voulait. Autant dans les études que dans le sport, il était plutôt l'enfant qu'on voulait avoir et dont les parents étaient fiers, en particulier son père, qui voyait en lui, la relève. Sa mère, elle, depuis qu'Amy était entrée dans leur vie n'avait d'yeux que pour elle, même s'il restait son "fils chéri". Pourtant, il avait bien senti que quelque chose avait changé et qu'il y avait à présent une différence entre son lien avec chacun de ses parents et cela se ressentait lorsqu'il avait des coups de blues par exemple. Le réflexe n'était pas celui de discuter avec sa mère, comme il l'aurait fait quelques années plus tôt, au contraire. La figure paternelle lui apparaissait comme une évidence, et plus il grandissait, plus il en était ainsi. Et puis, dans le pire des cas, durant les absences de son père, qui consacrait beaucoup de son temps au travail, il avait toujours ses amis. Parce que oui, il était cet adolescent avec toujours le mot pour rire, toujours partant pour s'amuser, aider ses potes et être là pour eux. On pouvait dire qu'il avait sa petite bande de collègues avec qui il aimait beaucoup passer du temps à trainer dans central park, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige. Et puis, il y avait les filles aussi, qui n'était pas ce qui manquait. Des petites amies, il en avait eu, mais n'en avait jamais beaucoup parlé autour de lui. Pudique ? Peut-être, mais pour lui, ça n'était pas une chose qu'il trouvait utile d'étaler. De même que les démonstrations d'affection qui lui avaient valu le départ de certaines, pourtant sans l'affecter. Il s'en foutait, parce que plus elle grandissait et plus il ne voyait qu'elle.

Et pourtant, à la fac, on ne pouvait pas dire qu'il n'y avait pas de quoi faire. Les demoiselles affluaient par dizaines sur le campus et il n'était pas le genre de type coincé à ne pas profiter. Ça arrivait de temps en temps qu'il en rencontre une et que le feeling passe, mais ça n'allait jamais bien loin. Il n'était pas du genre à s'attacher et préférait se concentrer un peu plus sur ses études et ses potes. Les soirées faisaient aussi partie de sa vie, tout comme l'alcool. Ça lui arrivait parfois de dépasser les bornes, de rentrer plus que déchiré, ou de ne pas pouvoir rentrer tout court. Il lui arrivait parfois de se réveiller, il ne savait pas trop où, de chercher longtemps son téléphone, et même de s'endormir sur les bancs de l'université. Mais ça n'avait pas empêché qu'il réussisse ses trois ans d'études. Une licence de lettres qui, il l'espérait, allait lui servir. Peu motivé à continuer encore trop longtemps, il entreprit de chercher un travail dans New York. En vain. Et ce n'était pas faute d'être qualifié mais pas franchement sérieux au sujet de son avenir qu'il n'arrivait pas à bien cerner, il avait beaucoup de mal à savoir si ce qu'on lui proposait lui allait et les propositions étaient si infimes qu'il avait vite fait le tour, insatisfait et déçu. Il avait toujours dit que quoi qu'il arrive, il ferait un boulot qui lui plairait et qui ne le dégoûterait pas au bout de deux jours. Il avait toujours dit que quoi qu'il en soit, il s'installerait, pas loin de chez lui, mais seul, en prenant son indépendance, sa vie en main, loin de sa mère et son père comme un grand. Et ce jour-là ne semblait pas être arrivé, loin de là. C'était surement ce qui le rendait un peu morne et qui avait entrainé le test de la cigarette puis de tout ce qui allait avec. Quand il y réfléchissait, il se rendait bien compte que tout était parti de là. S'ajoutant à l'alcool occasionnel, il se retrouvait avec la clope au bec, et le reste à longueur de journée. D'abord raisonnable, c'était vite devenu une véritable addiction, et le peu d'argent qu'il gagnait par-ci par-là se perdait dans les paquets de feuilles, de tabac et autres, qu'il ne prenait pas la peine de mentionner à sa famille. Après tout, il avait 22 ans et était assez grand pour faire ce qu'il voulait, tant que ça se faisait ailleurs que chez lui, sous le même toit que ses parents.

Ses potes étaient assez compatissants pour ce genre de truc. Ils s'hébergeaient les uns les autres, ils se fournissaient les uns les autres, et surtout, ils s'entraidaient, toujours. Souvent, Allan squattait chez l'un ou chez l'autre, pour prendre du recul, ou simplement se reposer loin de l'atmosphère pesante qui s'installait chez les Jones. Depuis quelque temps, ça commençait à chauffer dans la relation mère-fille et Allan ne se sentait pas le coeur à s'impliquer. Parce qu'entre sa mère qu'il aimait plus que tout et sa soeur adoptive qu'il comprenait parfaitement quant à son besoin de liberté, il avait du mal à s'imaginer prendre parti. Alors oui, il optait pour la facilité, il se tirait. Mais quand l'annonce du déménagement avait retenti lors d'un repas, il avait posé un regard triste sur sa mère, puis sur Amy, parce qu'il savait. Il savait que c'était là, une dernière tentative, un dernier espoir de les garder près d'elle, de la garder avec elle, surtout. C'était ce genre d'appel au secours, celui d'une mère qui sent ce qu'elle a de plus cher lui glissait entre les doigts et ça lui faisait quand même un peu de peine. Mais il avait haussé les épaules sans rien dire, en enfournant la fourchette dans sa bouche et en finissant son repas. Il n'était contre l'idée, mais pas totalement pour. Il savait ce que cela impliquait. Quitter ses potes, sa deuxième famille et tout recommencer. Repartir de zéro. Il ne se faisait pas franchement de soucis pour lui, mais plutôt pour Amy, qui finalement contre toute attente avait accepter l'idée de sa mère. Alors, ils avaient pliés bagage, ils avaient quitté New York, et ils avaient débarqués à Huntington Beach. Franchement, il y a pire comme renouveau, qu'il avait dit en arrivant après des longues heures de voiture. La Californie, le soleil, la plage, peut-être l'occasion de surfer aussi. Un décor paradisiaque en somme, précisément choisi, il en était sûr, par sa mère qui voulait optimiser ses chances de garder sa famille intacte, mais il n'était pas dupe. Amy allait se faire de nouvelles amies, lui, il trouverait peut-être un travail et de toute manière, tout exploserait, de l'intérieur. Parce qu'à trop vouloir étouffer autrui, on finit par s'étouffer soi-même ...

Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Carrybou, tandis que mon prénom est Lisa. Je suis âgé(e) de 17 printemps et je vis actuellement du côté de la frontière italienne. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum grâce à Faith   , ma première impression en le voyant a été "Ça à l'air cool, mais t'arriveras pas à gérer.." Puis j'ai parlé à mon second moi, on a débattu et j'ai fini par lui dire qu'il avait pas son mot à dire et que c'était moi qui choisissais, nah !. Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 2j/7 et que mon niveau rp est de "oulaaaaaah ça dépend !. Concernant mon personnage j'ai choisi Sam Claflin comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi U can't buy happiness comme groupe ! Au fait j'allais oublier le code du règlement je le connais et il a été validé par Neela. A bientôt sur le forum

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :

• vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
  
• si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
  
• vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
  
• si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
  
• en parlant d'ennemis, on vous présente l'ennemi commun de tous les habitants. maître corbeau, dont l'identité reste inconnu, a comme passe-temps préféré vous torturer l'existence grâce à ses fameuses lettres anonymes qui risquent de mettre une fin à votre vie tranquille.
  
• vu que tout ce qui rime avec secret, rime avec potins, n'hésitez pas de visiter le buzzer pour être informé de tous les secrets mis en danger. peut-être ceci réveillera-t-il le Sherlock Holmes qui sommeille en vous pour en trouvez d'autres vous-même !
  
• pour finir, si vous aimez pimenter votre vie, une section défis où tout le monde peut vous défier !
  

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Neela)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.