| Sujet: Charles A. Hayes - "Good Morning Charlie!" (Done!) Mar 8 Jan 2013 - 21:39 | |
| « Insanity runs in my family. It practically gallops » FICHE D'IDENTITE ✿ NOM : Hayes ✿ PRÉNOMS : Charles, Anthony ✿ SURNOMS : Charlie ✿ AGE : 25 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : 10/12/87 ✿ NATIONALITÉ : Franco-Américain ✿ SEXUALITÉ : Hétérosexuel. Majoritairement. ✿ SITUATION AMOUREUSE : Jeune père célibataire ✿ EMPLOI/ETUDES : Fraîchement diplômé de droit, lance son cabinet d'avocat ✿ NOM DU QUARTIER : President Drive ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : Kir, labrador de son état ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : 14
| LE CARACTÈRE Ma famille me voit comme l'enfant prodigue. En fait, je crois que je suis bien le seul à ne pas être complètement pourri par l'argent. J'ai des valeurs. On dit souvent de moi que je suis le mec sur lequel on peut compter, et ce même dans les pires des emmerdes. Je crois en la justice, même si la vie a pas été tendre avec moi. Je suis fidèle envers mes amis, du moment que je suis certain qu'ils ne courent pas après moi pour mon argent. Je suis fidèle en amour, aussi, à tort ou à raison. Je suis exactement ce genre de mec qui, pour peu qu'il ait eut des supers pouvoirs, se serait précipité au secours de la veuve et de l'orphelin. Mais voilà, la vie est mal faite, alors je suis juste avocat. Et peut-être un peu naïf. Juste un peu. Mais toujours entier. Et le fait que je sois sociable, la plupart du temps souriant, me permet de gagner vite l'affection des gens. Ca me va. Je suis pas vraiment du genre réservé. Faut dire, une fois que la génétique nous a fait dépasser le mètre 90, ça devient un peu difficile de se planquer dans un coin. Alors je raconte de la merde, je ris très fort, et je suis toujours le premier à sortir. J'ai beaucoup déconné, plus jeune. J'avais beau être très bon élève, mes parents appréciaient moyennement le fait de devoir cueillir leur fils au poste, faut dire que ça entachait vaguement leur nom "prestigieux". Enfin ça, c'était avant. J'ai arrêté mes conneries de jeune décadent quand j'ai eu ma fille, Nastasia, et que sa mère, droguée notoire, l'a mise dans mes bras en renonçant haut et fort à sa maternité. Depuis, je suis celui qui tempère les conflits, qui s'interpose dans les bagarres, et qui sacrifie tout son petit confort et toutes ses petites fantaisies pour son enfant. Je n'ai que 25 ans, ok. Mais elle, elle n'a qu'un an. Et dans ce genre de situations, il faut se la jouer père responsable. Déterminé, j'ai réussi à suivre mes études tout en l'élevant, pour qu'elle ait une belle vie. De façon générale, il suffit que je me fixe un objectif pour ne plus jamais le lâcher. Mon objectif du moment, et pour les vingt ans à venir, c'est Nastasia.
|
NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.
Je suis le petit dernier d'une fratrie de quatre enfants. J'ai trois soeurs, si vous voulez tout savoir, hystériques à souhait, superficielles à en mourir, mais pas méchantes dans le fond. J'ai grandi dans un luxe proprement indécent, près de Paris, avec une chambre de la taille de votre appartement, et une piscine tellement grande qu'une partie dépassait dans notre salon. Mon père a fait fortune en vendant du vin sans probablement n'avoir jamais jeté un oeil sur son propre vignoble, en bon américain fraîchement débarqué de ses études de commerce. Ma mère était mannequin, française, sublime, et ne lui a jamais tout à fait pardonné de l'avoir mise enceinte quatre fois coup sur coup - pas le meilleur foyer, on va dire, même si l'argent coulait à flot. Dernier venu, premier garçon, héritier tout désigné à peine montré le bout de mes fossettes, ils ont attendu beaucoup de moi. Mes soeurs piaillaient, et moi je travaillais d'arrache-pied. Au moins, je maîtrise parfaitement le piano, je parle aussi bien le français que l'anglais, je saurais arnaquer n'importe quel diplômé de management, et j'ai pratiqué le golf à haut niveau. Ils n'ont pas tout à fait compris que c'était pas l'essentiel. J'avais beau porter le nom de Anthony, marque au fer rouge de la dynastie des Hayes, quelque chose me disait que vendre une vinasse douteuse en affirmant qu'il s'agissait du meilleur cru de tous les temps n'était pas tout à fait pour moi.
Alors j'ai fait de la merde. Mais genre... vraiment. Ca a commencé par des tentatives de fugues en série, premières rencontres avec la police du coin. Puis j'ai volé les cigares du patriarche pour cloper sur les marches de mon école privée, qui ne m'a gardé que parce que j'étais assez bon élève hors de ça, et que mon père avait financé la rénovation entière des bâtiments. Et puis j'ai bu, assez tôt. J'ai traîné dans les bars. J'ai traîné dans les boîtes. J'ai eu une petite période de rébellion profonde qui m'ont vues échouer dans les quartiers gays. J'ai pas fumé que du tabac. J'ai commencé à me battre passées trois heures du matin, plus ou moins clean, plus ou moins conscient. Plus que Charles Hayes, j'étais simplement Charlie, le colosse tombeur de ces dames, à ne pas provoquer une fois dépassés les cinq verres. Troubles sur la voie publique, possession de drogue, comportements indécents divers et variés, sans l'argent du père mon casier judiciaire serait loin d'être vierge. Ce qui commençait à être problématique. J'étais pas vraiment conscient des portées de mes gestes, je faisais que vivre ma vie, j'étais pas un fouteur de merde, juste un ado en pleine rébellion qui pour le reste était on ne peut plus fiable, sérieux, et noble même quand je fracassais des nez. Même ivre mort, je défends la veuve et l'orphelin. On se refait pas. Mais ma famille voyait pas les choses comme ça. Mes trois soeurs vivaient leur vie avec talent, politesse, distinction, comme les richissimes héritières qu'elles étaient. J'étais celui sur lequel on plaçait tous les espoirs, et voilà que je me la jouais mauvais garçon au grand coeur, enchaînant de façon assez paradoxale gardes à vues et cours de droit.
J'aimais vraiment mes études. J'avais commencé le droit après mon bac. C'était mon truc. Oui, ingurgiter le code civil français, c'était mon truc. Je me voyais grand avocat, à agiter mes manches devant une salle médusée. Un peu plus tard, j'ai appris que je défendrais pas que des innocents, surtout en début de carrière. Grand coup à mes idéaux, mais j'ai continué quand même, même si mon père revenait de temps à autres à la charge. "Tu comprends, Charles, je peux pas confier l'entreprise à tes soeurs, il faut un homme pour ce métier, elles sont trop superficielles, elles ruineraient tout" - allez regarder vos aînées en face après ça. Et puis j'ai refusé, encore, et encore. Il a fini par se lasser. Je suis devenu le mauvais fils, le fils indigne, celui qui salissait le vénérable nom des Hayes. Soit. Ils m'ont peu à peu coupé les vivres, j'ai pris mon propre appartement à Paris. Je ne les voyais plus que rarement, et sans plaisir. Sauf ma mère, partie en cure pour son alcoolisme, reniée à son tour - alors qu'elle était la seule à être restée conscience de l'effet désastreux qu'avait l'argent sur ce foyer. Mes grands-parents maternels étaient des gens biens, toujours scandalisés de l'attitude de mon père. Ils ont, à la fin de ma licence, payé mon aller simple pour les Etats-Unis et mes études supérieures de droit.
Harvard. J'y ai vécu les trois plus belles années de ma vie. Je vivais bien grâce à ce qui avait survécu de mon compte en banque, nourri et logé par le capital de ma famille maternelle. Ils comptaient sur moi pour devenir quelqu'un de bien, et même si je restais un fêtard de base j'ai suivi avec brio mon cursus. J'étais l'un des premiers de ma promotion, parce que j'étais consciencieux, soi-disant intelligent, mais aussi sociable et suffisamment ouvert pour gagner les gens à ma cause. La nuit, je continuais le train de vie dissolu hérité de mes années de rébellion. J'avais beaucoup d'amis, et pour être sincère j'étais l'une des grandes personnalités du campus. Ma fraternité? Thêta-Omega-Chi, chez l'élite, avec pour valeurs l'ambition, le courage et la spontanéité. Ca m'allait. Sauf qu'à la fin de ma seconde année, ma copine du moment, Tatiana, a décidé de briser ma vie. Et de l'éclairer à la fois.
Je l'avais rencontrée en ville, à Boston, tout près du campus. Je savais pas grand chose d'elle, sinon qu'elle m'avait plu, que je lui avais plu, et que nous avions passé des nuits de folie ensemble. Je n'étais pas amoureux. Mais j'avais peur de la laisser - parce qu'elle était instable, et que je n'étais pas égoïste. Elle buvait beaucoup, prenait de la drogue, aussi, sans jamais savoir se gérer. Un jour, elle a annoncé qu'elle était enceinte. J'ai paniqué. Complètement. Et je suis parti en courant, comme le dernier des cons. Une semaine plus tard, j'ai frappé chez elle, une bague dans ma poche. Plein d'idéaux, je pensais qu'il fallait que nous soyons un véritable couple stabilisé, pour que cet enfant soit à l'abri du besoin, et pour que Tatiana cesse ses conneries. Elle n'était pas là, volatilisée, et pendant de longs mois je ne l'ai plus revue.
Un jour, mon meilleur ami est venu me chercher dans ma chambre, à la fraternité. Tatiana était revenue, mais pas pour moi. Elle a simplement posé dans mes bras un petit tas de couverture et m'a dit "C'est Nastasia. C'est ta fille. Pas la mienne." - et ma fille était magnifique. Tatiana, elle, ne payait pas de mine - plus maigre que jamais, pupilles dilatées, elle puait l'alcool et j'ai eu peur pour Nastasia. Je me suis pris l'instinct paternel en pleine gueule, avec une violence rare, et pour la première fois de ma vie j'ai été cruel. Je lui ai demandé de renoncer officiellement à sa maternité, à avoir les pleins droits sur cet enfant, parce que j'avais terriblement peur pour elle. Elle a signé les papiers de bonne grâce, en me disant qu'elle était soulagée. Nastasia était sauvée, et devenait une Hayes, la première depuis longtemps à avoir une chance d'être élevée avec amour. Le taux d'alcoolémie de la fraternité est passée d'astronomique à zéro, tous les mecs sont devenus un peu son père. Une famille légèrement atypique, mais les services sociaux n'ont jamais rien eu à me redire. Nastasia était notre petite reine, notre merveille, et nous n'aurions jamais laissé quiconque lui faire du mal. Encore quelques mois, et j'empochais mon diplôme, avec moins de brio que les semestres précédents, mais je l'empochais tout de même. J'étais obnubilé par Nastasia, mon petit bout de femme.
J'ai appelé ma mère. Elle pleurait de joie, et de peur à la fois. Elle m'a dit que je serai fabuleux, comme père, et bien meilleur que celui qui m'avait élevé. Même si j'étais jeune. J'ai appelé mon père. Il a achevé de me renier, m'a dit que je ne serai jamais un Hayes, et je lui ai dit d'aller se faire foutre. Son cadeau d'adieu, juste parce qu'il aimait bien marquer le coup, et qu'il adorait se donner bonne conscience, un appartement à Huntington Beach, sa ville de naissance, sur President Drive, où je suis venu poser mes valises. Ca fera bientôt un an. Je suis plus heureux que jamais. Je vais monter mon petit cabinet d'avocat, au nom de ma famille, parce que j'ai le sens de l'ironie. Et j'ai la certitude d'être un bon père pour Nastasia, parce que je suis prêt à tout pour son bonheur, et qu'elle est bien plus pour moi qu'une simple future carrière. Je ne suis plus le garçon que j'étais avant, j'ai grandi tout à coup. Je suis devenu un homme.
DERRIÈRE L’ÉCRAN ✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est Tanagra, tandis que mon prénom est Jeanne. Je suis âgé(e) de 20 ans et je vis actuellement du côté de Montpellier. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur PRD, ma première impression en le voyant a été ronron . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 5/7 et que mon niveau rp est de checkez mon double compte, Jagger Dickens! Concernant mon personnage j'ai choisi Jared Padalecki comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi Money doesn't make happiness comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement Je le sais & il est validé par Marissa. A bientôt sur le forum
Dernière édition par Charles A. Hayes le Mer 9 Jan 2013 - 23:42, édité 13 fois |
|
Marissa I. Stewart THIS WORLD IS MINE
› MESSAGES : 3736 › EMMENAGEMENT LE : 25/08/2012 › AGE : 40 › STATUT CIVIL : Deuxième fille d'Andrew & Isobel Stewart. Divorcée d'Eden Jefferson avec qui j'ai eu une fille prénommait Faith, nous avons perdu notre deuxième enfant. Soeur d'Emma et de Leah, les brunes les plus sexy de la ville après moi ! Je suis également la tante de la petite Lilou et du petit Mason. En couple depuis peu avec le très sexy Simon rencontré lors d'une mission humanitaire ♥ › QUARTIER : Actuellement à la recherche d'un nid douillé › PROFESSION/ETUDE : Je dirige le service obstétrique de l'hopital, j'ai mis mon métier de côté depuis quelques mois. Je suis en pleine remise en question. › DOUBLE COMPTE : Mischa S. Miller - Noah S. Harper - Sawyer E. CLarks - Harper M. Carrington - Samuel N. Hamilton - Charlie Keynes - Arizona R. Donroe - Erin R. Preston & Zola Rosebury › CELEBRITE : Sophia Bush (aa) › COPYRIGHT : Cranberry.
| Sujet: Re: Charles A. Hayes - "Good Morning Charlie!" (Done!) Jeu 10 Jan 2013 - 0:39 | |
| Waaah ce personnage est parfait ! J'ai adoré lire ta fiche & je l'aime déjà (a) Petit rappel au cas où :p VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH bienvenue parmi noustoutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu. mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile : - vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.
- si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.
- vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !
- pour finir, si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !
n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. ( contacter Marissa - contacter Naya) en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici. |
|
|