GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie)

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GASPARD SAMUEL JENKINS

« les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait »

FICHE D'IDENTITE

✿ NOM : jenkins ✿ PRÉNOMS : gaspard samuel ✿ SURNOMS : demandez à ses frères, ils lui en ont trouvé une multitude ✿ AGE : 19 ans - ✿ DATE DE NAISSANCE : le seize décembre 1993 ✿ NATIONALITÉ : américaine ✿ SEXUALITÉ : hétérosexuel ✿ SITUATION AMOUREUSE : célibataire✿ EMPLOI/ETUDES : étudiant en deuxième année de littérature française et anglaise ✿ NOM DU QUARTIER : palm avenue ✿ ANIMAUX DE COMPAGNIE : écrire ici ✿ CHIFFRE PORTE BONHEUR : 12

LE CARACTÈRE

A l’apparence innocente et enfantine, Gaspard est toutefois très loin d’être naïf. Plutôt sûr de lui mais certes renfermé, il n’évite jamais le contact humain mais peut s’en passer. Gaspard est un garçon dit « adorable », le genre de petit frère qui vous fait craquer en un sourire, et aussi très attentionné. Malgré son tempérament plutôt solitaire il n’a aucune difficulté à aller vers les autres et à s’attacher à eux, par ailleurs il n’est pas non plus difficile de s’attacher à lui. Contrairement à ses frères Gaspard n’est pas quelqu’un de sportif et de violent, il préfère à cela la tranquillité de ses livres. Son manque de sport ne reflété pourtant pas une faiblesse de caractère puisque élevé par trois frères, il est largement apte à se défendre et à répliquer de lui-même. Gaspard est un jeune homme intelligent, très intelligent, qui réussit tous ce qu’il entreprend et qui n’a pas peur de sauter le pas.

NOUS AVONS TOUS UN PASSE, UN PRESENT ET UN FUTUR.

CHAPTER ONE.

Gaspard n’avait pas remis les pieds dans le grenier familial depuis une bonne douzaine d’années. A cette époque, ses frères trouvèrent amusant d’y enfermer pendant quelques heures le plus jeune de la fratrie. Blague très douteuse selon ce dernier qui n’osa jamais y remettre un orteil, totalement apeuré par l’endroit. A dix neuf ans Gaspard, plein de courage et d’audace, osa finalement s’y aventurer. Le grenier était resté le même, bien que plus poussiéreux et encombré que dans son souvenir de gamin. En une grimace peu rassuré et d’un pas très lent, le jeune garçon s’avança dans l’obscur endroit, se cognant au passage le pied contre une commode dont la couleur vert fluo témoignait à perfection de son ancienneté. Accroupi, Gaspard commença à farfouiller dans la dizaine de cartons posés à même le sol et quelques minutes passèrent avant que le jeune brun ne pousse un cri de victoire. De sa chasse Gaspard ramena trois albums photos que le temps et la poussière n’avaient pas épargné. Dès la première page tournée une foule de souvenirs lui revinrent en tête ; les noëls entourés de sa famille, ses fêtes d’anniversaire organisées dans le plus grand secret, mais dont il finissait toujours par être au courant, puis une photo attira son attention. Son père, un sourire sur les lèvres, le tenant dans ses bras. La photo avait été prise seulement quatre heures après la naissance de Gaspard, son père, comme à chacune des naissances de ses fils, était exceptionnellement rentré de mission. Contrairement à ses frères Gaspard n’eut pas la chance de grandir auprès de son père, celui-ci étant tué seulement six mois après cette bien rare photo de lui et de son plus jeune fils.

Gaspard n’avait aucun souvenir de son père et les quelques brides qu’il connaissait de la vie de ce dernier lui avaient été racontées par sa mère et ses trois frères aînés. Malgré tout, le petit garçon n’en demeurait pas moins fier de ce valeureux soldat mort sur le champ de bataille.

Un jour après l’école, enfermé dans sa chambre le garçonnet essuyait le plus silencieusement possible les grosses larmes coulant sur ses joues. La mère de famille, étonnée par le peu d’entrain de son cadet, l’avait rejoint dans sa chambre et l’y avait trouvé allongé sur le lit, oreiller sur la tête et reniflant bruyamment. « Qu’y a t-il mon ange ? » Gaspard ne répondit pas, resserrant simplement mais fermement ses doigts sur l’oreiller « Gaspard, parles moi. Qu’est ce qui ne va pas ? » Une nouvelle fois sa question fut sans réponse « Ne pleures pas et expliques moi » Cette fois-ci le visage bouffi par les larmes du garçon surgit de sous l’oreiller « J’pleure pas ! » s’écria Gaspard. D’une main réconfortante la mère de famille essuya les larmes de son fils puis son regard aimant croisa le sien « D’accord tu ne pleures pas, mais parles moi chéri » reprit-elle d’une voix douce, « A l’école les autres enfants me demandent toujours où est mon papa et quand je dis que j’ai pas de papa, ils me traitent d’orphelin » concéda finalement l’enfant après quelques secondes d’hésitation. La voix pleine de sanglots et les yeux embués de larmes, Gaspard baissa la tête. C’était pas juste, pourquoi lui n’avait pas de papa ? Pourquoi n’y avait-il pas le droit ? De nouveau sa mère l’obligea à la regarder « Tu as un papa Gaspard mais il ne peut plus être avec toi, avec nous ». A ses mots, de nouvelles larmes coulèrent sur les joues de son fils « Mais c’est pas juste maman ! » cria le benjamin. Lèvres serrées et tentant de cacher ses propres larmes, la mère de famille entraina son plus jeune fils dans une étreinte maternelle « Je sais mon ange je sais, c’est pas juste ».

Non, contrairement à ses frères Gaspard n’eut pas la chance de connaître et de grandir auprès de son père mais ces derniers s’employèrent divinement bien à combler son absence. C’était Simon qui le réceptionna après avoir fait ses premiers pas, c’était Nicolas qui s’extasia devant ses premiers mots, et bien que partit de la maison, c’était Arthur qui s’employa à raconter à son plus jeune frère les formidables aventures de leur guerrier de père. La maison des Jenkins manquait certes d’amour paternel mais regorgeait d’amour fraternel.

CHAPTER TWO.

A la maison, il était devenu fréquent d’apercevoir, au détour d’un couloir, le pauvre Gaspard se faire tyranniser par deux de ses grands frères. Nicolas et Simon prenaient en effet un malin plaisir à persécuter le plus jeune et cela pour n’importe quelle raison. Parmi leurs punitions, deux étaient devenues particulièrement connues du garçon, la tête sous le lavabo ou le porté à l’envers. Dans les deux cas, le résultat était bien souvent le même. Gaspard pleurait, ses frères allaient se cacher, tandis que leur mère, benjamin dans les bras, arpentait la maison afin de trouver et punir ses deux sacripants de fils.
Bien que la vie avec ses frères lui soit parfois invivable, leur départ pour l’armée, à quelques mois d’intervalle, fut particulièrement dur pour le plus jeune de la fratrie. Habitué à la surprotection de ses frères et bien que libéré de leurs harcèlements, devenir l’enfant unique du foyer fut très pesant pour Gaspard. A leur tour Nicolas et Simon rejoignirent les rangs de l’armée, comme leur père et leur frère aîné avant eux. A chacune de leurs missions, leur mère restait désespérément inconsolable, priant inlassablement pour que ses fils lui reviennent en vie. Agé de huit ans lorsque Simon quitta la demeure familiale, Gaspard dut apprendre à vivre seul. La compagnie et l’amour de sa mère ne remplacèrent pas l’absence de ses frères dont les permissions étaient rares et très courtes.

Un soir de décembre le jeune Gaspard Jenkins fêtait son dixième anniversaire en compagnie de sa famille proche. Autour de la table, Arthur, son plus grand frère, était venu accompagné de sa jeune femme tandis que leur mère était assise à l’autre bout de la table, ses doigts tapotant nerveusement la montre accrochée à son poignet. Quand huit heures sonnèrent, des bruits de crissements de voiture retentirent de l’allée principale. « Joyeux anniversaire Gaspard ! » Lança enchantée sa mère, rigolant devant le regard interloquée de son plus jeune fils « Va ouvrir, il y a un petit quelque chose pour toi à la porte » lui expliqua t-elle rapidement en indiquant la porte d’entrée du doigts. Hésitant, le jeune garçon descendit de sa chaise et le regard toujours aussi interloqué, s’avança vers le hall principal. Ni une ni deux, la porte s’ouvrit dans un grand fracas, permettant à l’air hivernal d’entrer de parcourir la maison. Soudainement, Gaspard se sentit soulever, ses pieds quittèrent la surface dure du sol et tête renversée vers celui-ci il entendit deux voix s’esclaffaient, en chœur « Joyeux anniversaire Gasp’ ! ». Ces voix, il les reconnu immédiatement « Simon ! Nick ! ». A la gaieté générale, un large sourire vint se suspendre aux lèvres du plus jeune de la fratrie. Depuis le départ de ses frères Gaspard avait changé, son rire, ses sourires n’étaient plus les mêmes, ils semblaient plus tristes, plus douloureux. « Nicolas doucement avec ton frère ! » intervint la mère de famille, les mains soutenant son plus jeune fils en cas de chute « T’inquiètes m’man, je suis pas revenu ici pour casser mon p’tit frère, pas vrai Gaspard ? ». De nouveau, celui-ci sourit, laissant exprimer sa joie de retrouver ses deux frères soldats. « Écoutes la et pose le donc » intervint à son tour l’aîné des frères en approchant du groupe, sourire aux lèvres. Les deux plus grands se prirent dans les bras, vraisemblablement heureux de se retrouver puis la mère embrassa à son tour son fils revenu de guerre. La tête levée, Gaspard observait la scène lorsqu’il sentit une main se poser sur son épaule « Tiens ton cadeau » dit Simon en lui tendant un livre, salement amoché « Il était à papa, l’un des rares livres qu’il lisait, il te revient maintenant alors prends-en grand soin ! » expliqua le grand frère. Pour seul remerciement Gaspard sauta dans les bras de son frère, aucun cadeau ne pouvait lui faire plus plaisir. Puis la famille, de nouveau entièrement recomposée, alla s’asseoir dans la salle à manger.

Aujourd’hui encore ce livre était rangé sur une étagère de sa chambre. Gaspard en connaissait la moindre page, le moindre mot. Ce livre représentait pour le jeune homme l’unique héritage laissé par son père. Celui-ci, pourtant, n’était pas grand lecteur et sa mère devait certainement avoir un grand rôle à jouer dans l’histoire. Sans que l’histoire ne soit fascinante, le bouquin lui l’était. La page de devant était légèrement arrachée, les pages étaient jaunies par le temps et sur certaines pages quelques gouttes de café vinrent les tacher, aussi chacun de ces petits et minuscules détails témoignaient de l’existence de son père. Il tenait le livre que son père tenait lui-même une vingtaine d’années auparavant, il lisait les mots que son père avait lu avant lui et très certainement avait il lui aussi rit lorsque le héros de l’histoire se retrouve dans une situation comique.
Gaspard n’était pas un garçon à plaindre, sa mère, professeure à l’université, jonglait habillement entre son travail et son cadet. Ses aînés partis, Gaspard devint, assez jeune, l’unique enfant de la maison et sa mère lui voua toute son attention. Ses frères, quant à eux, avaient toujours pris le rôle du père tout en gardant leur rôle de grand frère, autrement dit en plus de se faire engueuler Gaspard se faisait physiquement martyriser. A l’adolescence, l’absence de son père fut bien plus difficile à oublier mais Gaspard tenta de faire avec. Son père était partit avant que tout deux n’ait eu la chance d’apprendre à se connaître. La guerre lui avait arraché son père, c’était tout.

Au lycée Gaspard était le genre d’élève plutôt discret, à ne jamais parler pour ne rien dire, plutôt banal en sport mais très brillant dans ses études. A l’instar de ses frères, Gaspard hérita de l’esprit littéraire de sa mère, autant dire que les livres occupaient une grande place dans la maison familiale. Bien que doué, la littérature n’était pas l’unique matière dans laquelle Gaspard excellait, il aimait aussi beaucoup les sciences ainsi que les langues étrangères. Lors de sa dernière année, plusieurs professeurs lui recommandèrent les plus grandes universités du pays et étrangères mais pour Gaspard il était tout simplement hors de question qu’il quitte sa ville natale ainsi que sa famille.
Le sport c’est son frère Nicolas qui le poussa, voire ordonna, à en faire. C’est ainsi que jambes écartées, poings levés, l’adolescent se retrouva à suivre des cours de boxe, enseignés par son frère, et pour son plus grand bonheur… Non les poings n’étaient pas fait pour lui. Plus jeune, sa mère avait bien tenté de l’initier au judo et autres sports de combats, sans trop vraiment de résultat. Il accepta tout de même que son frère lui apprenne à se défendre et cela sans trop rechigner.
Pour compenser à son manque d’engouement pour le sport, Gaspard se renferma dans les livres et vivre avec une mère aussi passionnée pour la littérature contribuait largement à sa propre obsession envers les bouquins. Que se soit au lycée, à la maison ou dehors, un bon livre restait toujours son meilleur ami.

CHAPTER THREE.

« Maman, rappelle toi de ce qu’on dit les médecins. Tu dois te re-po-ser ! » pesta Gaspard à la vue de sa mère en train de ranger une bibliothèque. « Ne t’en fais donc pas pour moi, et promis j’arrête dès que je sens que ça va pas, d’accord ? ». Sa réponse ne sembla pas convaincre son fils qui d’un bond se retrouva aux côtés de sa mère, lui arrachant les deux livres qu’elle tenait dans ses mains et la forçant à reculer du meuble « J’aimerai sincèrement que tu arrêtes avant que ça n’aille pas » lui confia t-il. Les hochements de tête de sa mère n’y firent rien, Gaspard garde ses mains sur ses épaules, forçant pour qu’elle reste tranquille, pour une fois. « Mon bébé… » Commença t-elle en prenant de ses deux mains la tête de son cadet « Je vais bien, je t’assure. Maintenant laisse moi ranger cette bibliothèque avant que ça aille très mal pour ton matricule. », un air malicieux sur le visage, la mère de famille contourna son fils pour retourner à son occupation originale, le rangement de cette fichue bibliothèque. « Je suis plus un bébé, tu sais » fit remarquer Gaspard, dépité par l’attitude de sa mère. « Mon petit homme alors » rectifia cette dernière, laissant échappé un léger rire moqueur. Un coup de téléphone interrompit brusquement la conversation. « Allô ? » dit Gaspard en décrochant le robinet « Je suis bien à la résidence des Jenkins ? » répondit une voix inconnue « Oui c’est bien ça… ». Le reste de la conversation n’eut plus aucun sens pour Gaspard ; Simon, son avion touché, il s’est écrasé, son frère dans le coma. Son regard vide croisa celui de sa mère, paniquée par le teint soudainement pâle de son fils. « Gaspard ? » se hasarda t-elle à demander. C’était le même coup de téléphone que vingt ans auparavant, une nouvelle fois on venait lui dire qu’elle allait pleurer, qu’une partie d’elle même était morte. Elle avait supporté la mort de son mari, elle avait fait son deuil mais ses fils… La mort de ses fils n’était pas envisageable, elle ne le supporterait pas. Pas une nouvelle fois. « MAMAAN ! » cria Gaspard en se précipitant aux côtés de sa mère, au sol et inconsciente « Hé maman, réveille toi ! Réveille toi !! »

Simon survécut malheureusement à cet accident, alité pendant près d’un mois mais bien en vie. La mère de famille fut hospitalisée, sa vie ne tenant qu’à un fils. Gaspard passait ses journées à ses côtés, il ne voulait pas la voir partir et sa présence à ses côtés le réconfortait. Non elle n’allait pas mourir elle. Il vivait désormais chez son plus grand frère, Arthur, ainsi qu’avec sa femme et la nièce et séchait de plus en plus les cours pour pouvoir passer plus de temps auprès de sa mère. Bien qu’il appréciait sa belle-sœur et sa nièce, la vie avec la famille de son frère lui pesait parfois. Gaspard était habitué à la vie avec sa mère, seulement tous les deux, et cela depuis des années. Aujourd’hui, leur duo des « trois mousquetaires moins un » se résumait tout simplement à un fauteuil sur lequel Gaspard prenait place et un lit où sa mère allait très certainement mourir. Petit à petit ses frères revinrent et malgré le sentiment de soulagement qu’il ressentit en les prenant dans ses bras, Gaspard goutait à une certaine amertume. Toutefois, réunis avec tous ses frères, la vie lui sembla avoir un peu plus de sens. Rapidement, la question de son propre enrôlement fut le sujet à de nombreux débats opposant Arthur, dont l’idée de voir son plus jeune frère s’enrôler dans l’armée était inacceptable, à Nicolas, au contraire très favorable à voir Gaspard entrer dans les rangs de l’armée. Pour Gaspard, sa passion pour la littérature et son envie de prendre exemple sur son défunt père le faisaient hésiter quant à ses possibilités futures. Pour autant, ce débat n’était plus vraiment d’actualité pour le jeune homme, plus abattu et renfermé que tout autre chose.

DERRIÈRE L’ÉCRAN

✿ Coucou tout le monde, je débarque sur H.B alors que personne ne me connaît alors autant faire les choses bien non ?! Tout d'abord il faut savoir que dans le monde des forums mon pseudo est @louette, tandis que mon prénom est Mélanie. Je suis âgée de 21 ans dans deux semaines (snif) et je vis actuellement du côté de Paris. Ce que je fais dans la vie ? ça ne vous regarde pas :p Passons aux choses sérieuses, j'ai connu ce forum sur PRD je crois, ma première impression en le voyant a été waooooooh . Côté rp je vous préviens que mes fréquences de connexion seront de 7/7 et que mon niveau rp est de environ 500 mots, tout dépendant de l'inspiration.
Concernant mon personnage j'ai choisi Logan Lerman comme célébrité, pas mal non ? Si vous avez bien lu ma fiche vous savez d'avance que je choisi enjoy while u're young comme groupe ! Au faite j'allais oublier le code du règlement Je le sais & il est validé par Marissa.
A bientôt sur le forum

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BEBEJENKINS GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3011711443

Bienvenue par ici. On va te couvrir d'amour toi, tu peux pas imaginer GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3200772859

Bon courage pour ta fifiche! Et excellentissime choix de scénario! GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3887326422

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un autre Jenkins oh wiiiiiiiiiiii !
bienvenue ici et bon courage pour ta fichette GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3581977478

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UN BEBE JUNIOR JENKINSOUNET !!!! le plus jeune le plus frais, la viande la plus jeune Rolling Eyes

NON j'suis pas sous Christina ça le fait pas haha !
BIENVENUE, comme l'a dit Heath, on va te couvrir d'amùùùùùrr comme il le faut. bonne chance pour ta fifiche et hâte de la lire GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3827031138

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MON DIEU MON PETIT FRERE D'AMOUR GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 1557144119

Tu sais comme je t'aime toi d'avoir pris ce magnifique jeune homme GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2569780947

En tout cas si tu as besoin de quoi que ce soit, même si c'est un truc totalement débile, je t'aimerais toujours t'inquiètes pas GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3809637566

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ADAM : oui c'est très étrange sous toi Rolling Eyes

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BBJenkins au rapport !
Ouiiiiih j'veux tout plein d'amour moi GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2054474852

4545

Merci pour l'accueil en tout cas, j'suis juste TROP pressée de vous rejoindre !

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Oh mais tu nous a déjà rejoint :D !
La preuve ? ... On a besoin d'une preuve ? GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2659374128

...

Enfin bref ! :#16: ! C'est pas important ça !
En tout caaaaaaaaaaaaaaaaaas...... BIENVENUE ICI ** !
Super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super super

(...)
super super super super super super super super super super super super choix de scénario ** !

(non je suis pas folle rassure toi GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2176152401

GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2176152401

)

La famille Jenkins s'agrandi GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2638419894

Bonne chance pour ta fiche
&& bienvenue parmi nous GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 1896256922

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Bienvenue sur le forum !! GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 4193654043

Bienvenue ! :)

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Bienvenue

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GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 276753687

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J'ai l'impression qu'on se connait:

Spoiler:

Bon courage pour ta fiche et bon choix de scénario! GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3581977478

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Merci à vous tous ! GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2231002580

Han c'est gentil Jamie GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3121082355

Je suis super (xinfini) contente de mon coup de coeur alors GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3581977478

Rooh Leah, ressors pas les vieux dossiers voyons GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3476459425

!

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Oh mini Jenkins GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3549213922

Bienvenue sur le forum GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3401950797

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Merci Lyana ^^ :#23:

Bon fiche TERMINÉE !

J'ai adoré lire ta présentation, c'est très touchant GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3581977478

Bienvenue dans la famille H.B GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 1494269874

VOUS FAITES OFFICIELLEMENT PARTIE DE HUNTINGTON BEACH
bienvenue parmi nous

toutes nos félicitations ! votre fiche vient d'être validée et vous faites officiellement partie des habitants de huntington beach. les portes de la ville vous sont grandes ouvertes, vous pouvez commencer dès maintenant vous y promener et commencer votre jeu.
mais, avant d'aller plus loin, ne vous invitons à consulter le guide de la ville qui vous sera certainement utile :
vous pouvez dans un premier lieu préciser votre métier ou étude, ainsi qu'à décider quel sera votre logement.

si vous vous retrouvez complètement perdu dans les rues de la ville, sachez qu'un salon de parrainage est à votre disposition. tout ce qu'il vous reste à faire c'est de demander d'avoir un parrain qui vous servira de guide touristique et vous aidera à retrouver vos repères plus rapidement.

vous avez également la possibilité de constituer vos propres carnets de relations et de rencontres. eh oui ! il ne faut pas oublier qu'avoir une vie sociale palpitante vous aidera à mieux vous épanouir !

pour finir, si vous vous attendez à ce que des personnes proches, amis ou ennemis, viennent vous rejoindre à huntington beach, n'oubliez pas qu'une catégorie pour la création des scénarii est consacrée à toutes ces personnes !

n'oubliez cependant pas que vous devez informer le staff de votre plus sombre secret. ne jouez pas aux innocents, car au fond, personne n'est un ange ! Si besoin le staff peut vous aider à trouver un secret. (contacter Marissa - contacter Naya)

en cas de besoin ou de question, le staff du forum sera toujours là pour vous, n'hésitez surtout pas à le contacter par mp ou à tout simplement poster vos questions dans le sujet consacré aux membres qui se trouve ici.

**Invité** Invité

Merci beaucoup pour le compliment GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2833161931

J'arriiiiiiiive !

**Invité** Invité

BIENVENUE DANS LA FAMILLE JENKINS GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 2833161931

Je surkiffe tellement ton histoire, j'ai encore la larme à l'oeil ! GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 3468309744

Pourtant je connaissais le déroulement ...

En tout cas j'adore j'adore, et je réclame un de tes premiers rp GASPARD # les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait (finie) 811299040

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» SKYLAR ◘ Est ce que quelqu'un que vous ne connaissez pas vous a donné quelque chose ? Moi je leur réponds " Monsieur même ceux que je connais très bien ils me donnent rien du tout ! " FICHE FINIE
» Devon + Je comprend très bien que parfois on ait vraiment envie de presser la détente, mais quand on se perd soi même on perd tout en même temps.
» c'est la maman de maman, ma mémé, c'est le bébé de mémé, ma maman, car ma mémé fut maman quand ma maman fut bébé... ☂ NOAH
» Dans la vie le gris n'existe pas, c'est soit tout est parfait est blanc soit tout est comme ma vie est c'est noir !
» ROKSANA → Si on mettait les cons sur orbite, ils ne finiront pas de tourner

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